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Cliquez iciLe manque de places assises nous contraignit Adeline et moi à retrouver le fauteuil de notre enfance, elle prit naturellement sa place sur mes genoux en prenant bien soin de se positionner au meilleur endroit... Je sentais les regards en coin dirigés vers nous. Notre liaison était une évidence. Adeline avait passé ses bras autour de mon cou comme une amoureuse, absolument pas gênée par la situation qui rappelait tant ce que nous faisions des années plus tôt.
Elle semblait fière d'être à moi et voulait le montrer. Moi, je ne pensais qu'aux conséquences. Je sentais bien que cette journée allait marquer une rupture, l'heure du coming-out allait arriver....
Deux heures plus tard, les convives commencèrent à se dire au revoir et à quitter la grande maison familiale. « On va partir, me dit Adeline. Viens » et elle m'attrapa par la main jusque devant les toilettes où elle entra seule puis ressortit dix secondes plus tard, le poing serré « Tiens. Ton cadeau » et elle me mit dans ma main ce qu'elle tenait. J'aperçus un bout de tissu rose et compris immédiatement de quoi il s'agissait. Je le glissais vite dans ma poche pour que personne ne voie rien.
« Mais t'es folle? » « Folle de toi, oui ». Son sourire était irrésistible. « Mais tu vas rester sans culotte? » « Pas grave, on va juste chez nous, dans une demi-heure on y est. Personne le sait et j'ai une longue jupe. Hop, ni vu ni connu... Sauf si tu le dis à tout le monde, hi hi hi... ». Ma cousinette était une psychopathe...
Je la regardais dire au revoir à tout le monde, embrasser papi et mamie et j'imaginais son entrejambe nu sous sa jupe. Mais quelle honte!... Puis elle disparut dans la voiture avec un dernier petit coucou de la main et un nouvel énorme sourire.
Mes parents n'étaient pas encore décidés à partir. Je mis ma main dans ma poche pour caresser la douce culotte de ma cousine adorée. Je ne pouvais pas attendre. Discrètement je me dirigeais vers les toilettes et portais enfin le doux tissu à mes narines. Je l'examinai attentivement et fatalement après les longues caresses du stade, elle était particulièrement imbibée de ses liqueurs odorantes. Cela faisait une pate visqueuse et gluante. J'en décrochais un bout entre mes dents pour m'en délecter et bien évidemment, je ne pus retenir une rapide éjaculation dès que je touchais mon membre bandé.
'' Que tu es bonne ma chérie, ma petite Adèle adorée ''....