Chez Nos Grands-Parents

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Chez mes grands-parents avec ma famille.
3.4k mots
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 01/25/2024
Créé 01/03/2024
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Ceci constitue une œuvre de fiction. Tous les personnages sont majeurs. Le copyright est activé, toute reproduction est strictement interdite, y compris la revente et la duplication sur d'autres sites d'histoires. Toutes reproduction non autorisée fera l'objet de poursuites.

*****

Chapitre 1.

Je m'appelle Raph, j'ai 19 ans, et j'habite chez mes parents avec ma sœur Camille, 18 ans à peine.

Nous avons toujours était très proche avec nos parents, une relation normale comme dans toutes les familles. Ils sont ouvert d'esprit, attentionnés et nous ont toujours encouragés à nous exprimer librement.

Ils n'ont pas de tabou et nous ont jamais imposé de limites dans nos discussions. Nous pouvions parler de tous les sujets, y compris ceux considérés comme tabous.

Aujourd'hui, notre relation va changées, pour toujours. Mais avant, il faut que je vous explique comment tout a commencé.

Régulièrement depuis notre plus jeune âge à Camille et moi, nous allions dîner chez nos grands-parents. Ils habitaient une petite ville à quelques heures de chez nous, et ces visites étaient toujours un moment de retrouvailles joyeux et chaleureux. Nos grands-parents étaient adorables et nous gâtaient souvent avec des cadeaux et des petits plaisirs sucrés.

Mais toujours après le repas, nos grands parents et nos parents nous laissaient seuls dans le salon ou dans le jardin, pendant qu'ils montaient tous à l'étage. C'est notre grande sœur qui prenait alors le relais pour veiller sur nous.

Notre grande sœur, Chloé, avait 22 ans à l'époque et était déjà très mature. Elle était notre modèle, celle vers qui nous nous tournions pour obtenir des conseils ou partager nos soucis. Chloé avait toujours été très attentive et protectrice envers nous, et nous avions une confiance aveugle en elle.

Chaque soir, après le dîner chez nos grands-parents, nous étions tous les trois assis sur le canapé du salon devant la télévision. J'entendais souvent des bruits provenant de l'étage, comme des murmures ou des rires étouffés, mais je ne m'en préoccupais pas vraiment.

Mes sœurs entendaient aussi. Mais Chloé tentée toujours de trouver des excuses pour ne pas que l'ont se posent trop de questions. Elle était très bien consciente de ce que nos parents faisaient et voulait préserver notre innocence autant que possible.

Cependant, au fil du temps, j'ai commencé à me poser des questions sur ces bruits étranges. Je savais que mes parents étaient très ouverts d'esprit, mais il y avait quelque chose de différent cette fois-ci. J'en ai parlé à Camille, qui elle aussi était curieuse de savoir ce qui se passait à l'étage.

Un soir, après le repas chez nos grands-parents, Chloé était en train de lire un livre lorsque nous avons décidé d'aller voir à l'étage. Alors que nous montions les escaliers, une excitation mêlée d'appréhension montait en moi. Qu'est-ce qui se cachait derrière ces bruits étranges? Arrivés devant la porte de la chambre de nos parents, nous entendions de légères respirations et quelques soupirs étouffés qui nous intriguaient davantage.

Camille posa sa main sur la poignée de la porte, puis se tourna vers moi avec un sourire complice. D'un regard, elle me demanda si j'étais prêt à découvrir le secret de nos parents. Bien que cela nous semblait interdit, l'envie de savoir l'emporta sur la peur d'être pris en flagrant délit. J'acquiesçai doucement et, avec prudence, Camille ouvrit la porte.

Mais avant que l'ont ne puissent l'ouvrir, Chloé est arrivée précipitamment, et retiré la main de Camille de la poignée. Elle nous regarda avec un air choqué et déconcerté, réalisant que nous nous apprêtions à commettre une grave intrusion dans l'intimité de nos parents.

« Qu'est-ce que vous faites?! » s'exclama-t-elle, la voix tremblante. « C'est complètement fou de vouloir voir ce qui se passe là-dedans! C'est leur vie privée! »

Camille baissa la tête, honteuse d'avoir été prise au jeu de la curiosité. Pour ma part, je me sentais également gêné et coupable d'avoir été attiré par l'inconnu qui se tramait derrière cette porte.

Chloé nous à sermonner et nous a demandé de redescendre immédiatement. Nous avons obéi sans protester et, une fois en bas, Chloé nous a conduit dans le salon. Elle s'est assise sur le canapé, visiblement agacée, tandis que nous nous sommes installés en silence à ses côtés. La tension était palpable, et aucun de nous n'osait prononcer le moindre mot.

Chloé avait réussi à nous faire promettre de ne plus jamais essayer d'espionner leur vie privée. Nous avions compris notre erreur et respections désormais leur intimité.

Cependant, l'incident avait créé une certaine distance entre nous trois. Les repas chez nos grands-parents étaient devenus plus silencieux, le sourire complice qui unissait Camille et moi avait disparu. Chloé semblait toujours agacée par notre curiosité passée et peinait à nous regarder dans les yeux.

A cette époque, j'avais 13 ans, et Camille 12 ans. En prenant de l'âge, j'ai commencé à vraiment prendre conscience de ce que nos parents vivaient. Je remarquais des regards complices entre eux et nos grands-parents, des gestes tendres qui dépassaient le simple amour familial.

Je commençait à avoir des doutes sur leurs relations. Et comme à chaque fois, une fois à l'étage, j'entendais des murmures, des petits cris, des bruits qui m'intriguaient de plus en plus.

Aujourd'hui, 6 ans après, j'ai compris réellement que nos parents et nos grands-parents ont des relations incestueuses. Je pense que Camille le pense aussi, mais nous n'en avons jamais discuté ouvertement. Nous avons tous les deux gardé ce secret pour nous, préférant l'ignorer plutôt que de l'affronter. Cette réalité était trop difficile à accepter, trop tabou pour être confrontée.

Mais malgré tous nos efforts pour le nier, cette vérité invisible pesait de plus en plus lourdement sur nos épaules. Elle était devenue une barrière infranchissable entre nous, transformant notre complicité en silence et notre innocence en culpabilité.

Comme je vous le disais plus tôt, aujourd'hui j'ai 19 ans. Il est 9 heures du matin, et je me réveille doucement dans la maison familiale.

Je me lève lentement de mon lit, encore un peu étourdi par le sommeil. Comme tout les matins, j'ai une érection matinale qui m'envahit. Nu dans mon lit, je ne perds pas mes habitudes. Je dirige progressivement ma main vers mon entrejambe, commençant à me masturber doucement. Mes pensées se bousculent, mêlant l'excitation du moment à la confusion causée par les secrets familiaux que je porte depuis des années.

Alors que je suis plongé dans mes pensées, j'entends soudainement des pas dans le couloir. Je me fige, pris de panique, et tente de cacher mon érection sous les draps. La porte de ma chambre s'ouvre doucement, et c'est Camille qui apparaît.

Elle me regarde d'un air surpris, puis baisse les yeux, gênée. Je me sens honteux d'être découvert ainsi, mais je ne peux pas m'empêcher de remarquer que son regard est troublé. Elle vient voir si je suis debout, et me préviens qu'on part chez nos grands-parents dans 30 minutes.

Je hoche la tête, incapable de dire un mot. Ma sœur voit bien que je tente de cacher mon érection, elle à 18 ans et connaît déjà ces choses là. Je ne sais pas comment, sûrement en regardant des vidéos ou en discutant avec des amis. Elle soutient mon regard, un sourire complice aux lèvres, avant de se détourner et de quitter ma chambre.

Je reste là, perplexe, avec mon érection toujours présente et mes pensées qui s'embrouillent davantage. Quelques minutes plus tard, je me lève enfin et me prépare pour la journée. Malgré la confusion qui règne dans ma tête, je sais que je dois garder mon calme et agir comme si de rien n'était.

Je rejoins nos parents dans la cuisine, où ils sont en train de prendre leur petit-déjeuner. Leur comportement est normal, comme d'habitude. Je m'installe à table avec eux et entame mon repas.

Ma mère est encore en pyjama, ses cheveux en désordre et ses yeux encore lourds de sommeil. Mon père, quant à lui, est plongé dans son journal, comme si rien d'anormal ne se passait dans notre famille.

Ma sœur est plutôt sexy. Elle porte une jupe courte et un chemisier légèrement déboutonné, laissant entrevoir un léger décolleté. Elle s'assoit en face de moi, et je ne peux m'empêcher de regarder dans son décolleté, sentant mon excitation revenir de plus belle.

Je distingue la couleur de son soutien-gorge à travers le décolleté entrebâillé, ce qui ravive mes pulsions interdites. J'essaye de chasser ces pensées de mon esprit et me concentre sur mon petit-déjeuner, évitant tout contact visuel avec ma sœur.

Les minutes passent. Ma mère se lève pour aller prendre la douche. Elle est suivie par notre père, qui se lève à son tour pour aller la rejoindre. Je reste seul avec Camille à table, on discute calmement de la journée à venir. Je la complimente sur sa tenue, lui disant qu'elle est vraiment belle. Elle rougit légèrement et me remercie timidement.

Alors que nous poursuivons notre conversation, je sens son regard posé sur moi. Je regarde à mon tour et nos yeux se croisent. Il y a quelque chose de différent dans son regard, une lueur de désir que je n'avais jamais remarquée auparavant.

Je détourne rapidement les yeux, essayant de faire taire les pensées qui commencent à s'emparer de moi. Je ne peux pas me permettre de céder à ces pulsions, pas avec ma propre sœur.

Pourtant, l'excitation est trop forte, le désir trop présent. Je me surprends à imaginer des scènes intimes entre nous, à fantasmer sur le plaisir que nous pourrions partager. La culpabilité me ronge, mais je ne peux pas nier la vérité de mes sentiments.

Camille, de son côté, semble également perturbée. Elle se mord la lèvre inférieure, signe qu'elle aussi est en proie à des pensées interdites.

Mais soudain, nous sommes interrompus par de petits bruits provenant de la salle de bains. Nous nous regardons, inquiets et curieux à la fois. On entend notre mère gémir doucement, ce qui nous glace sur place. Camille et moi ne savons plus où se mettre. La tension est palpable dans l'air alors que les bruits venant de la salle de bains continuent. Nous sommes partagés entre l'excitation et la culpabilité, ne sachant pas comment réagir face à cette situation étrange.

On commence maintenant à entendre des claquements, ce qui nous fait penser que notre père accélère la cadence. On se regarde tout les deux, et on éclate de rire.

Ma sœur, dit soudain en riant : « Maman semble beaucoup apprécier la douche aujourd'hui! » Nous éclatons tous les trois de rire, le soulagement remplaçant peu à peu l'inconfort de la situation. Je lui réponds : « Oui, on dirait bien que papa a réussi à la mettre de bonne humeur! » Nous continuons de rire de bon cœur, comme si rien de tout cela ne s'était jamais passé.

Après quelques instants, la porte de la salle de bains s'ouvre enfin et nos parents en sortent essoufflée, leurs cheveux mouillés et leur visage légèrement rougi.

Je profite du peu de temps qu'il nous reste pour me rendre dans la salle de bains. Je me précipite pour prendre une douche rapide, espérant que cela me permettra de chasser ces pensées interdites qui continuent de me hanter.

En entrant dans la douche, je remarque par terre à ce qui s'apparente à des gouttes de sperme. Mes parents ont visiblement fait l'amour dans la douche, et mon père à jouit sans se soucier de laisser des traces. La découverte de ces gouttes de sperme accentue l'excitation qui m'habitait déjà.

Ma curiosité m'incite à explorer davantage cette facette interdite de ma sexualité. Je m'agenouille devant les gouttes de sperme, hésitant un instant avant de passer ma main dessus. Cette texture glissante et chaude m'électrise.

En face de moi, je vois la culotte de ma mère, en dentelles rouges. J'aperçois des taches de mouille, mais aussi de sperme Je suis pris entre l'envie de m'éloigner de cette situation et la tentation d'explorer ma curiosité interdite. Mes doigts se dirigent presque par eux-mêmes vers la culotte en dentelle, les touchant presque involontairement. Je ne peux pas m'empêcher de sentir le mélange de mouille et de sperme qui s'en dégage, un parfum envoûtant qui fait monter mon excitation à des niveaux incontrôlables.

Un frisson parcourt mon corps alors que je glisse ma main le long de ma propre intimité, fantasmes et désirs se mélangeant dans mon esprit. Je ferme les yeux, me laissant emporter par ces sensations qui me submergent. La culpabilité de ces pensées me hante, mais l'extase que je ressens est trop puissante pour y résister.

Je commence à sentir que je suis sur le point de jouir. Et soudain sans aucune retenue, je jouis bruyamment, laissant échapper un cri de plaisir qui résonne dans la salle de bains. Mes jambes flageolent et je m'appuie contre le mur pour reprendre mon souffle.

Je me regarde dans le miroir, mon visage rougi par l'excitation. Après la douche, je me prépare, et rejoint ma sœur et mes parents dans le salon. Dès que je franchis le seuil du salon, je sens le regard insistant de ma sœur sur moi. Ses yeux bleus pétillent d'une lueur malicieuse et je ne peux m'empêcher d'être troublé par cette lueur. Mon cœur bat la chamade, submergé par un mélange d'excitation et d'appréhension.

Tous ensembles, on se dirige vers la voiture, pour aller chez nos grands-parents. Dès que nous entrons dans la voiture, l'atmosphère devient immédiatement palpable. Une tension sexuelle flotte dans l'habitacle, les regards furtifs et les sourires complices entre ma sœur et moi en sont la preuve. Mes parents semblent aveugles à cette étrange connexion qui s'est tissée entre nous et je me demande si c'est moi seul qui ressens cette attraction interdite.

En s'asseyant dans la voiture, sa jupe s'est légèrement remontée au dessus de ses cuisses et je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil furtif à ses jambes parfaitement galbées. J'admire discrètement sa peau douce et lisse et je sens mon désir monter de plus en plus.

Je ressens le besoin d'ouvrir la fenêtre, permettant à l'air frais de caresser mon visage en sueur. J'espère que cela atténuera l'intensité de mes pensées interdites. Mais même avec le vent qui s'engouffre dans la voiture, je sens mon érection devenir de plus en plus difficile à cacher. Je suis partagé entre la honte et le plaisir de ressentir de telles sensations en présence de ma propre famille.

En tournant légèrement ma tête vers elle, je remarque que ses yeux sont pointer vers mon entrejambe.

Ma sœur, ma propre sœur, regarde mon érection à travers mon pantalon. Je suis à la fois choqué et excité. Est-ce que ma sœur ressent la même attirance interdite que moi?

Nous arrivons finalement chez nos grands-parents, mais l'excitation continue de m'envahir.

Je sors difficilement de la voiture, mes jambes tremblantes reflétant mon état intérieur. Les conversations et les rires joyeux des autres membres de ma famille semblent lointains alors que je suis absorbé par mes pensées interdites.

Je fais là les bises à mes grands-parents, mais je ne peux m'empêcher d'imaginer leurs réactions s'ils découvraient les pensées qui occupent mon esprit. Je me sens coupable de ces désirs inappropriés, mais je suis incapable de les ignorer.

J'espère que personne ne remarque mon érection. Je prends rapidement mes distances, conscient de la situation dérangeante dans laquelle je me trouve. Je trouve refuge dans un coin tranquille du jardin, espérant calmer mes pulsions et me remettre les idées en place.

Mais au fond du jardin, je trouve Chloé, ma deuxième sœur. Elle m'a vue, donc trop tard pour faire demi-tour. Elle est ravissante. Elle porte sur elle une robe légère et colorée qui épouse parfaitement les courbes de son corps. Ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules et ses yeux verts brillent d'une lueur curieuse.

Mais je remarque soudainement qu'elle à un ventre arrondi. Je m'arrête net, surpris par cette découverte. Chloé s'avance pour me faire la bises, mais je ne peux m'empêcher de détourner les yeux de son ventre proéminent. Je suis envahi par un mélange d'émotions : du choc face à cette révélation inattendue, de la curiosité quant à la raison de son état, et une étrange excitation qui se mêle à mes pensées interdites.

Après 2 ans sans nous voir, Chloé me révèle qu'elle est enceinte. Et contre toute attente, elle me demande si je veux être le parrain Je reste sans voix devant cette proposition inattendue de ma sœur. Mes larmes coulent, et je lui réponds : « Mais évidemment! Félicitations Chloé! »

Nous sommes rejoint dans le jardin par le reste de la famille. Ma mère, en voyant son ventre, fond littéralement en larmes. Jamais je ne l'ai vu aussi heureuse. Elle se précipite vers Chloé pour la prendre dans ses bras. Elle reçoit les félicitations de toute la famille.

Les minutes passent, et nos grands-parents sortent l'apéro pour fêter ça. L'atmosphère joyeuse et animée du jardin contraste avec les tourments qui se déroulent encore dans mon esprit.

Nous nous installons sur des fauteuils de jardins. Mes deux sœurs Camille et Chloé s'installent sur des fauteuils en face de moi, nos parents et grands-parents à l'extrémité. Alors que la conversation se poursuit joyeusement, je ne peux m'empêcher de jeter des regards furtifs à Chloé. Son ventre arrondi est constamment dans mon champ de vision.

Mais soudain, dans un mouvement délicat, Chloé écarte légèrement les cuisses. Mes yeux se dirigent instinctivement sous sa robe, et je me rends compte qu'elle ne porte pas de culotte. Mon cœur s'emballe et mon entrejambe se serre.

Je découvre pour la première fois sa vulve légèrement rosée avec une fine couche de poils, qui se dévoile lentement. Un frisson électrique parcourt tout mon corps, mêlant l'excitation et la confusion.

Mon érection grossit encore, et commence à se voir à travers mon pantalon. Je tente désespérément de détourner mon regard, de me concentrer sur la conversation qui se déroule autour de moi, mais c'est impossible. Mon esprit est complètement obsédé par cette image interdite.

Je croise discrètement les jambes pour dissimuler mon état. Mais mon pénis se refuse à se calmer, exacerbé par la vue troublante devant moi. Je sens mon souffle devenir court, mes mains moites. Des pensées impures se bousculent dans ma tête, des fantasmes interdits qui me donnent à la fois plaisir et culpabilité.

Chloé, ignorant les turbulences qui agitent mon esprit, poursuit innocemment la conversation avec notre famille. Son sourire rayonnant, sa voix douce et ses gestes délicats m'hypnotisent au point de ne plus pouvoir me concentrer sur rien d'autre. Les paroles des autres se mêlent dans un brouillard confus, ne parvenant pas à rivaliser avec l'image brûlante de ma sœur enceinte, si proche de moi.

Je me lève brusquement, en me dirigeant vers les toilettes. Je me l'étais promis, je devais me calmer, reprendre mes esprits. Je ferme la porte derrière moi et m'appuie contre elle, essayant de contrôler ma respiration.

Je ressens le besoin de me satisfaire au plus vite. Je défait ma braguette et libère mon pénis, déjà dur et tendu à l'extrême. Mes mains tremblantes caressent ma verge, mes doigts glissant sur la peau chaude et sensible. Mes pensées sont envahies par des images provocantes de Chloé, de ses courbes féminines et de son ventre rond.

Je décalotte mon gland et commence à me masturber frénétiquement. Les claquements de ma main contre ma peau résonnent dans la petite pièce, se mêlant au souffle rapide et saccadé qui s'échappe de ma bouche. L'excitation monte rapidement en moi, plus intense que jamais.

Mais au moment où je sens qu'une extase orgasmique est imminente, quelqu'un toque à la porte. C'est Camille, qui me demande de me dépêcher car elle ne peut plus se retenir. Est-ce qu'elle a entendu ma respiration haletante et mes gémissements étouffés? La panique s'empare de moi alors que je remballe rapidement mon sexe et refais ma braguette en toute hâte.

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