Week-End Avec Ma Soeur

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Ma grande soeur m'aide à soigner mon obsession.
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Week-end avec ma soeur, première partie

Note de l'auteur : Tous les personnages mis en scène dans cette histoire ont plus de dix-huit ans, et toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est une pure coincidence.

Ahhh l'inceste consensuel et saupoudré d'amour entre un frère et sa soeur super sexy, sûrement mon deuxième thème tabou préféré, après mère/fils! J'espère que je lui aurais rendu justice. N'hésitez pas à lâcher un vote, ça m'encourage à continuer.

L'histoire est copieuse, il y a moins de blagues foireuses que d'habitude et du sexe anal. Vous êtes prévenus.

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Dès que j'arrivais devant la maison après les cours, je jetais un coup d'œil à l'allée devant notre garage et remarquais que la petite voiture de ma soeur y était garée, seule. Anna était donc là, et les parents étaient absents. Jusqu'ici, tout ce passait comme prévu. En plus, les capteurs de la voiture indiquaient 33°C à l'extérieur. Autant dire que toutes les conditions étaient réunies pour mon passe-temps favori de ces derniers mois...

Alors certes, d'un côté ça me faisait quand même un peu chier de ne pas avoir la maison pour moi tout seul, mais de l'autre j'éprouvais un sentiment d'anticipation délicieusement tordu, car la présence d'Anna, associée à la chaleur anormale de ces derniers temps, signifiait qu'elle allait sûrement piquer une tête dans la piscine!

Pour une fois que ça sert à quelque chose, le réchauffement climatique!

Et non seulement ma sœur était une jeune femme sacrément sexy, mais en plus elle avait commencé à porter ces petits bikinis de plus en plus révélateurs quand elle allait nager! Rectificatif : à ce niveau-là ce n'étaient même plus des bikinis. Les bikinis, c'était ce qu'elle mettait quand on allait à la plage en famille et qu'elle ne voulait pas avoir d'ennuis avec les parents. Ce qu'elle portait ces jours-ci quand elle était seule était plutôt un genre de microkini; et encore, j'étais généreux. Ses microkinis était tellement proche de l'inexistence que je devenais profondément mal à l'aise à chaque fois qu'elle les sortait.

Je fronçais les sourcils à cette dernière pensée. « Mal à l'aise » n'était pas la bonne expression ; « en rut » aurait été plus juste...

D'ailleurs ces dernières semaines, j'avais l'impression qu'Anna s'habillait de manière beaucoup plus provocante, exhibant un corps que j'imaginais déjà très attirant, mais certainement pas à ce point! Autant dire que ça n'avait vraiment pas arrangé mon état : je me surprenais maintenant à reluquer une jeune fille très désirable, et non plus à regarder une simple membre de ma famille.

Et puis merde aussi! Le fait qu'elle soit devenue beaucoup plus câline et affectueuse ces derniers temps ne m'aidait pas non plus. L'autre soir par exemple, alors qu'on regardait une série débile à la télé, elle était venue se blottir tout contre moi sur le canapé, spontanément, en passant un de mes bras autour de ses épaules. On aurait dit un vrai petit couple! Ça n'aurait pas été trop gênant si elle portait autre chose que son petit crop top rouge et son minuscule mini-short blanc. En plus, au cours de la soirée elle s'était arrangée je ne sais pas comment pour placer ma main dangereusement près de ses fesses, et j'avais presque pu les sentir à travers le tissu. Mais le plus alarmant c'était qu'elle ne portait pas de soutien-gorge et que j'avais pu sentir un de ses mamelons se presser contre mon flanc. Et, peut-être que c'était un autre effet de mon petit esprit tordu, mais je jure qu'il était tout dur. J'avais bien essayé de me dégager un peu, mais elle m'avait regardé avec ses grands yeux bleus et son air innocent et elle m'avait demandé :

-- Tu ne veux plus des câlins de ta grande soeur?

Et là paf! Elle avait suivi ses paroles de cette petite moue irrésistible qu'elle arborait toujours quand on était enfants et qu'elle employait quand elle voulait me faire craquer ou amadouer les parents. Sauf que depuis, la puberté était passée par là, et désormais ses lèvres pleines et sensuelles ne me faisaient plus tout à fait le même effet.

Je poussai un soupir en songeant à ce que mes parents penseraient s'ils savaient qu'à plusieurs reprises au cours des mois précédents j'avais imaginé ma sœur en train de me regarder avec ces mêmes yeux, et cette même moue, mais dans une position bien différente. Oh ouai, ses yeux bleus étaient écarquillés et ses lèvres faisaient cette moue absolument imparable, comme d'habitude, mais cette fois elles étaient à quelques centimètres du gros gland gonflé de ma bite, et alors que je caressais ses longs cheveux châtain si soyeux, ses lèvres s'entrouvaient pour...

-- Arrête ça! » grognai-je en ouvrant les yeux et en tapant de rage contre le volant. Je regardai mes propres yeux bleus reflété dans le rétroviseur et murmurai : « T'as vraiment besoin d'aide là Maxence...

J'avais vraiment songé à en parler à quelqu'un. Reluquer sa sœur dès qu'on en a l'occasion n'est absolument pas normal et il y avait une maison de santé pas loin de ma fac qui proposait un service d'aide psychologique gratuit pour les étudiants. Mais je n'avais pas le courage de me confier, même à un professionnel. Imaginez la tête du type lorsque je lui avouerais que je reluquais ma soeur comme un vieux pervers, et que tous les jours depuis un mois et demi maintenant je chipais une de ses culottes pour la renifler, puis je me paluchais dedans tout en regardant des vidéos pornos frère-sœur parce que la mienne me faisait trop d'effet!

Merde quoi, j'ai même souscrit à un abonnement!

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-- Anna! Je suis rentré! » appelai-je en rentrant dans la maison, suffisamment fort pour qu'elle m'entende si elle était en bas, suffisamment bas pour qu'elle ne m'entende pas si elle était dehors.

Pas de réponse. C'était bon signe. Une fois mes chaussures enlevées, je me dirigeais vers la cuisine pour prendre un verre d'eau et me désaltérer, essayant tant bien que mal de clarifier mes pensées. Dès que je fus dans le hall, je sentis mon estomac se nouer ; il y avait deux valises dans le couloir, papa et maman allaient partir en week-end en amoureux ce soir après le travail.

C'était une espèce de tradition qu'ils avaient instaurée lorsque nous étions devenus assez grands pour nous débrouiller seuls. Ils faisaient ça environ une fois toutes les trois semaines, « pour se retrouver », et vu comment ils semblaient proches après vingts ans de mariage, ça avait l'air de plutôt bien fonctionner. Honnêtement, j'étais super admiratif de les voir comme ça, à toujours essayer de trouver du temps l'un pour l'autre, même après plusieurs années au compteur. Bien sûr Anna en avait très vite profité : chaque fois qu'ils partaient, elle faisait venir son mec en douce ; enfin, son ex maintenant. Ah, toutes les fois où j'avais dû éviter le hall la nuit et monter le son de ma chaîne hi-fi pour éviter de les entendre!

Son ex... Un de mes poings se serra en pensant à ce connard.

C'est quand un même un peu lui la racine de mes problèmes...

Un soir, cédant à la tentation, j'avais écouté à la porte les jappements de ma soeur alors qu'elle exhortait Steve à la baiser plus fort et qu'elle lui hurlait à quel point elle aimait se faire prendre comme une chienne. Elle avait promis de le sucer pour le faire bander à nouveau s'il jouissait trop vite, mais seulement s'il lui léchait la chatte avant. Entendre ma grande soeur d'habitude si sage et posée beugler comme la dernière des catins derrière la porte de sa chambre m'avait totalement retourné le cerveau et avait profondément transformé l'image que je me faisais d'elle ; elle n'était plus ma sœur désormais, mais une fille hyper sexy qui adorait le sexe et qui vivait sous mon toit!

Alors bon, c'est sûr que c'était pas vraiment très malin, et même un peu malsain, d'être resté à les écouter jusqu'au bout, et encore plus malsain d'avoir bandé comme un cheval à ce moment là. J'étais précipiter dans chambre pour me branler ensuite, claquant la porte derrière moi, et j'avais eu le premier d'une longue série de rêves très très sales au sujet de ma soeur le soir même.

J'avais rêvé qu'elle se glissait dans ma chambre avec son petit peignoir rose et sans un mot, s'approchait de mon lit, se déshabillait, tirait ma couverture et suçait ma bite avant même que je puisse réagir. Après un songe pareil je m'étais réveillé dur comme un roc, et plus qu'un peu désorienté. Je m'étais rendormi ensuite après m'être branlé une deuxième fois, totalement honteux, mais pour plonger aussitôt dans un nouveau rêve, où elle me suçait dans le salon en guise de remerciement pour l'avoir couverte avec les parents après qu'elle ait fait une grosse bêtise.

Ce rêve là ne venait pas de nulle part mais d'une vidéo porno frère-sœur réalisée par un studio spécialisé dans les fantasmes romantico-incestueux (si si ça existe). Le site s'appelait « OnlyFam », et proposait des vidéos d'incestes consensuels prétendument authentiques. J'étais tombé dessus par hasard il y a quelques semaines, et mis à part le fait que la fille était mignonne et qu'elle suçait bien, cela ne m'avait rien fait de spécial. Mais après ce rêve, elle était devenue ma vidéo préférée, et j'avais vite commencé à mater tous les autres films sur le même thème que le studio proposait, tout en regardant ma sœur avec un mélange grandissant de désir et de culpabilité qui devenait chaque jour de plus en plus insoutenable.

De son côté, elle avait largué Steve il y a un mois quand elle avait appris qu'il la trompait depuis le début de leur relation, et c'était à peu près à ce moment-là qu'elle avait changé sa façon de s'habiller et son comportement avec moi. Peut-être qu'elle se sentait un peu seule sans homme dans sa vie?

Au milieu de toutes ses réflexions, je me dirigeai à l'étage. La porte de la chambre d'Anna était fermée, alors je frappai doucement dessus.

-- Anna, tu es là? »

J'attendis un moment, espérant ne pas obtenir de réponse. Comme rien ne venait, je frappai plus fort, puis entrouvris la porte, jetant un coup d'œil dans sa chambre. Personne.

-- Et moi qui pensais que les filles étaient censées être soignées... » Je secouai la tête en voyant à nouveau le lit défait d'Anna et les piles de vêtements, de livres et de chaussures qu'elle collectionnait éparpillés dans la pièce.

Sans perdre plus de temps, je me dirigeai vers le panier de linge et je l'ouvris. Plongeant une main, je farfouillai sous la petite robe d'été qu'elle y avait jetée et un grand sourire naquit sur mon visage lorsque je serrai ma prise. Je retirai un petit string noir, simple et efficace.

Bonne pioche!

Pas de petite culotte toute sage cette fois, mais à vrai dire je m'en fichais un peu du sous-vêtement; tout ce qui m'importait, c'était que ma sœur ait passé la journée dedans.

Je fermai le panier et filai dans ma chambre. Une fois ma porte fermée à double tour, je me laissai tomber sur mon lit. Alors même que je défaisais mon pantalon d'une main, je pressais sa culotte contre mon visage de l'autre, inspirant profondément. Ma bite déjà dure fut libérée et je soupirai à l'odeur de la chatte de ma sœur émanant de l'entrejambe de sa culotte.

Ses vêtements portaient toujours son parfum mais pour moi, cette odeur serait toujours associée à un parfum de chatte, celui de la chatte de ma sœur. Un délicieux frisson me parcourut : l'entrejambe n'était pas seulement humide au centre, mais collante! Anna avait été excitée et avait mouillé à un moment dans la journée. Oh, c'était divin! Alors que je caressais lentement ma bite tout en lâchant la bride à mon côté pervers et en léchant l'entrejambe de sa culotte, je me demandais pour la n-ième fois ce que ça ferait de goûter son jus à la source.

J'avais également appris en fouinant dans sa chambre que ma soeur avait un petit vibromasseur qu'elle gardait dans sa table de nuit, près de son lit. D'après ce que j'avais entendu en l'épiant parfois à la porte de la salle de bain, il lui arrivait de l'utiliser sous la douche lorsqu'elle pensait qu'il n'y avait personne à la maison.

Je continuai à laper sa culotte comme une bête assoiffée à un point d'eau, essayant d'en profiter jusqu'à la dernière goutte. J'imaginais que je lui léchais la chatte, ses jambes écartées et drapées sur mes épaules tandis qu'elle passait les mains dans mes cheveux en gémissant mon nom pendant que ma langue caressait sa délicieuse fente rose. Elle jouissait en criant des immondices, puis me suppliait de la pénétrer.

De profonds gémissements m'échappèrent alors que, avec des gestes bien rôdés, je tendis la main gauche dans le premier tiroir de ma table de chevet, attrapai la bouteille de lubrifiant que j'y gardais, la décapsulai, versai le liquide huileux sur ma paume puis en recouvris mon érection lancinante.

Puis je retirai à contrecœur sa culotte de mon visage et je l'enroulai autour de ma bite et commençait à me caresser plus rapidement. A ce moment précis, j'entendis comme un bruit d'éclaboussure venant de l'extérieur. Je me levai et m'approchai de la fenêtre ouverte, toujours la bite à la main, suffisamment en avant pour pouvoir voir la piscine dans le jardin, tout en restant suffisamment en retrait pour disparaître rapidement si jamais Anna levait les yeux. Elle nageait paresseusement sur le dos mais entre le mouvement de ses bras, les éclaboussures et ses jambes en grande partie sous l'eau, difficile de se rincer l'oeil.

Heureusement Anna atteignit le bout de la piscine, appuya brièvement son dos contre le rebord, puis s'éloigna et nagea jusqu'à l'autre côté. Elle arriva jusqu'à l'échelle et je retins mon souffle; le spectacle tant attendu était sur le point de commencer. Un spectacle encore meilleur que tout ce que j'avais pu imaginer.

-- La naissance de Vénus » murmurai-je lorsque le corps d'Anna émergea de l'eau, exposant un maillot de bain que je n'avais jamais vu auparavant.

Mon cerveau nota bien que le bikini deux pièces était bleu turquoise mais je me concentrais surtout sur le corps de ma sœur qu'il dissimulait à peine. Le haut semblait à peine contenir ses gros seins ; surtout maintenant qu'il était mouillé et tendu contre sa peau. Les bonnet laissaient l'intérieur de sa poitrine exposée et même depuis l'étage, je pouvais voir ses seins rebondir alors qu'elle sortait de la piscine et se dirigeait vers la chaise longue. Le bas était tout aussi minimal, un bout de tissu turquoise tout bête entre ses cuisses et qui n'était pas beaucoup plus grand que le string que je tenais, et sur les côtés deux ficelles bleues qui montaient haut sur ses hanches et me donnait un super aperçu de toute la longueur de ses jambes galbées. L'arrière laissait une grande partie de ses fesses exposées et quand elle se pencha pour prendre sa serviette, le bikini me révéla encore plus ses fesses rondes et fermes. Anna se redressa et secoua la tête, envoyant ses longs cheveux châtains mouillés voler derrière elle.

Je me demandai ce que mes parents allaient dire en rentrant à la maison et en la voyant comme ça, mais je me rendis compte qu'ils n'en sauraient jamais rien car de une Anna allait se changer avant qu'ils n'arrivent, et de deux je n'allais certainement pas me plaindre de cette tenue! À la simple pensée de mes parents, je ressentis une vague de culpabilité, non seulement parce que je reluquai impunément leur fille, mais surtout parce que j'étais déjà la bite à la main, nichée dans une de ses culottes!

Posant la serviette sur son épaule, elle passa ses mains dans ses cheveux, les rassembla puis les secoua vigoureusement avec la serviette pour en chasser l'eau. Je regardai ses seins rebondir alors qu'elle se séchait vigoureusement. Mon Dieu, elle était tellement parfaite! Anna avait vraiment des jambes de tueuse : longues, minces et toniques. Elle était assez grande avec une allure athlétique. Ses hanches s'évasaient juste assez pour la rendre absolument irrésistible, et son ventre était lisse, plat et mis en valeur par le petit piercing en argent qui pendait à son nombril percé. Elle l'avait eu il y a deux mois. Maman et papa s'y étaient opposés, et le résultat dépassait tous mes espoirs les plus fous.

Ma soeur ferait un carton sur OnlyFam!

Ma main ralentit un peu sur ma bite, caressant paresseusement mon érection douloureuse avec l'aide de sa culotte pendant que je regardais Anna secouer sa serviette et l'étendre sur le sol pour la faire sécher. Elle prit son smartphone et le leva, sourit et prit quelques selfies avec l'eau cristalline de la piscine en arrière-plan. La pose me donna une parfaite occasion de mieux reluquer son ventre plat et ses seins incroyables, et j'étais prêt à parier que sa poitrine allait être bien mise en évidence dans le selfie.

Anna s'installa ensuite au bout de la chaise longue, sa position me donnant une nouvelle occasion de bien voir ses fesses pendant qu'elle levait son téléphone et prenait de nouveaux selfies. Beaucoup de selfies. Elle déplaçait le téléphone de gauche à droite, puis le soulevait et l'abaissait, prenant des photos sous différents angles. Enfin, Anna cessa de se mitrailler et regarda son portable. Elle resta assise pendant que ses doigts fins dansaient sur l'écran, éditant probablement les photos. Elle hocha la tête puis, visiblement satisfaire, elle mit le téléphone dans le petit sac près de la chaise longue pour le protéger du soleil.

Elle se laissa ensuite tomber en arrière sur la chaise longue, le dos calé contre celle-ci, ses longues jambes tendues. Elle farfouilla alors dans le sac et en sortit un flacon d'huile de bronzage.

Elle se pencha et en aspergea le dessus de chaque pied. Elle les massa, puis en versa un peu sur ses genoux et commença à frotter le bas de ses jambes et ses mollets. Je la regardai faire pénétrer l'huile, frottant le haut de ses jambes, puis la partie extérieure de ses cuisses. Ses mains laissaient derrière elles un éclat d'huile scintillant, rendant ses jambes encore plus sexy que d'ordinaire. Anna écarta les jambes et passa de l'huile sur l'intérieur de ses cuisses. Je déglutis en m'imaginant sa peau sous mes doigts, douce mais ferme, chaude du soleil et glissante d'huile. Je regardai le bout de tissu entre ses cuisses et soupirai. J'aurais été près à tout pour me placer entre elles, tirer le bikini sur le côté et exposer cette fente rose succulente et humer son parfum d'huile de bronzage et de chatte mêlé.

Anna était maintenant appuyée en arrière sur la chaise longue et se passait de l'huile sur le ventre. Je la regardai procéder lentement, ses longs ongles parfaitement manucurés parcourant sa peau lisse et glissante. Elle passa ensuite de l'huile sur ses bras, puis tira sur le cordon de son haut de bikini d'une main, dénouant le nœuds qui le maintenait intact.

-- Non, elle ne va quand même pas... » murmurai-je.

Anna défit le haut de bikini et je regardai les ficelles tomber, les yeux écarquillés et ma bite se contractant encore plus. Les maisons des deux côtés étaient à étages et papa avait dissimulé l'arrière du jardin avec une clôture de deux mètres pour nous garantir un peu d'intimité pendant que nous profitions de la piscine. Une intimité dont je réalisais maintenant qu'Anna profitait pleinement quand elle se croyait seule! Elle fit glisser les sangles le long de ses bras et les enleva. Je retenais mon souffle tout en continuant à me caresser lentement, une part de mon esprit songeant qu'elle allait simplement se retourner pour bronzer du dos et qu'elle voulait juste éviter les lignes de bronzage.

Mes yeux s'écarquillèrent alors lorsque je la vis se redresser, ôter le haut de son bikini et s'allonger sur le dos sur la chaise longue, seins nus.

-- Oh mon Dieu » croassai-je, la bouche sèche, à la vue des seins nus de ma soeur.

Ils étaient encore plus beaux que ce que j'imaginais et ils étaient si fermes que même malgré leur taille, ils pendaient à peine sur les côtés alors qu'elle s'allongeait.

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