Une Randonnée en Famille

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Nous sommes un mardi. Avec ma famille, nous partons en randonnée pour la journée. Aujourd'hui, il fait vraiment très chaud, mais nous avons l'habitude des grandes chaleurs. Ce matin-là, nous nous préparons dans notre camping-car. Comme à mon habitude, je m'équipe avec un vieux pantalon, des chaussures de randonnée, un t-shirt et un sac à dos. Pareil pour ma sœur et mon père. Ce matin-là, ma mère, qui s'appelle Nathalie et a la quarantaine, nous rejoint à l'extérieur, sur le début du sentier. Elle est vêtue d'un simple petit short noir très moulant qui lui arrive seulement en haut des cuisses, recouvrant uniquement ses fesses. À en voir les formes, même les plus intimes, elle ne semble pas avoir de culotte. En y prêtant bien attention, je pense que j'aperçois les formes de son entre-jambes, mais je ne m'étale pas là-dessus au risque de me faire surprendre. Ma mère a de très belles formes et aujourd'hui, elle a décidé de les mettre en avant. Avec son petit haut moulant qui doit sûrement lui serrer la poitrine, je dois avouer qu'elle ne me laisse pas totalement indifférent... Nous commençons notre randonnée en suivant un sentier ombragé. Nous avançons tranquillement pendant plus d'une heure, profitant du paysage et de l'air frais. Ma mère marche devant nous, se balançant gracieusement de droite à gauche, accentuant encore plus ses formes. Je ne peux m'empêcher de la regarder de temps en temps, ce qui n'échappe pas à ma sœur qui me lance un regard réprobateur. Je souris en réponse.

Au bout de deux heures de marche, nous arrivons à une petite crique avec une petite plage de sable blanc. Nous décidons de faire une pause et de prendre un bain de mer. Ma mère retire son t-shirt mouillé pour révéler un bikini très échancré qui met encore plus en valeur son corps. Je ne peux plus détacher mon regard d'elle, ce qui ne passe pas inaperçu aux yeux de ma sœur qui me lance cette fois-ci un regard noir. Je sais que je ne devrais pas... Mais contre ma volonté, une bosse se forme au niveau de mon entre-jambes. Oh non...

Je tente de me concentrer sur autre chose, mais c'est difficile. Ma mère est si belle et sensuelle... Je fais de mon mieux pour ne pas laisser paraître mes pensées obscènes, mais je suis certain que ma sœur les a remarquées. Après quelques minutes, nous retournons sur le sentier pour poursuivre notre randonnée. Mais le comportement de ma sœur a changé. Elle ne parle plus beaucoup et s'écarte souvent de notre petit groupe. Je ne peux m'empêcher de me sentir coupable, même si je n'ai rien fait de mal, outre le fait d'être en érection devant ma mère.

Que m'arrive t'il? Pourquoi ma mère me fait autant d'effet aujourd'hui...? La chaleur, peut-être? J'essaie de me concentrer sur le paysage, mais voir son fessier remué devant moi, et me dire en plus qu'elle ne porte aucune culotte, ça me donne des envies qui sont normalement interdites.

Je préviens le groupe que je fais une petite pause pipi. Je m'éloigne alors légèrement du sentier. En ouvrant ma braguette, j'aperçois effectivement que j'ai une grande érection. Je suis confus et honteux de ma réaction envers ma propre mère. Je frappe doucement ma tête contre un arbre, essayant de faire disparaître les pensées impures de ma tête.

Pour me soulager, le mieux serait peut-être que je me masturbe pour faire retomber mon excitation... mais ça risque d'être long, et ils m'attendent.

Quand je rejoins ma famille, il est difficile pour moi de cacher mon érection, qui forme une grosse bosse à travers mon survêtement.

Je me sens gêné et mal à l'aise, mais j'essaie de me concentrer sur les conversations en cours. Cependant, je sens le regard insistant de ma sœur sur ma bosse. Je fais de mon mieux pour me cacher et changer de position, mais rien n'y fait.

Ma mère remarque mon malaise et se rend compte de ce qui se passe. Elle a brièvement jeté un œil sur ma situation, mais sans y prêter une grande attention.

Finalement, ma sœur ne peut plus contenir sa curiosité et elle pose la question qui tue : « Qu'est-ce que tu as dans ton pantalon? ». Je me sens rougir jusqu'aux oreilles. Mon père propose que l'on avance, car il souhaite être de retour au camping-car avant la nuit.

Ma sœur Océane, de 21 ans, n'a jamais eu sa langue dans sa poche. C'est une fille assez ouverte d'esprit, mais qui peut parfois être compliquée. Elle a toujours été capable de dire les choses telles qu'elle les voit, même si cela peut parfois être difficile à entendre. Cependant, malgré sa forte personnalité, Océane n'a jamais été la personne la plus confiante. Elle a souvent eu du mal à faire confiance aux autres et à se laisser aller dans des situations inconnues.

Après quelques heures de marche dans les montagnes des Pyrénées, nous avons une vue sublime sur la mer Méditerranée, avec énormément de vent.

Mon père Antoine, après avoir pris le temps de prendre quelques photos, invite Nathalie, ma mère, à le rejoindre dans un bois à 100 mètres de là. Ils nous demandent de rester ici à les attendre. Il est évident que nous n'allions pas les rejoindre, sachant exactement ce qu'ils allaient faire. Comme bien souvent en randonnée, ils veulent profiter au maximum. Donc après quelques photos, ils font l'amour.

Nous étions restés assis à l'ombre des arbres, à discuter des sites que nous avions déjà visités lors de nos précédentes randonnées. Après une demi-heure qui nous a semblé une éternité, nous avons finalement décidé de partir à la recherche de nos parents. Nous nous sommes approchés du bois, silencieusement, en pensant à tout ce qui pouvait se passer. Soudain, nous avons entendu des bruissements de feuilles et des soupirs étouffés. Nous sommes restés choqués, à l'écart, ne sachant pas quoi faire. A une dizaine de mètres devant nous, mon père était en train de prendre ma mère par derrière contre un arbre.

Nous n'avions jamais vu nos parents dans une telle situation et cela nous a choqués. Nous sommes restés là pendant quelques instants, incapables de bouger ou de parler. Finalement, nous avons décidé de les laisser finir ce qu'ils étaient en train de faire et sommes retournés nous asseoir à l'ombre des arbres.

Moi qui avait sorti ma mère de la tête, voilà qu'elle hante à nouveau mon esprit. Une fois encore, c'était impossible de cacher mon érection, ce qui avait tendance à agacer Océane.

- Oh mais... encore?!

- Excuse-moi... je ne contrôle pas!

- Ça devrait te dégoûter de voir nos parents faire l'amour... encore moins d'être en érection en voyant les fesses de maman quand elle marche!

- Certainement la chaleur.

- Ouais la chaleur... fait juste en sorte que... maman ne sache pas que c'est elle qui te met dans cet état!

Soudain, nos parents reviennent. Ils sont souriants, et peut-être même un peu gênés d'avoir mis autant de temps.

Nous sommes aussi gênés, mais nous faisons comme si nous ne les avions pas vus faire l'amour.

Ma mère face à nous, nous pouvions voir l'humidité au niveau de sa petite chatte, ainsi que la forme de ses lèvres.

Puis nous sommes repartis. J'ai encore les images en tête, de ma mère nue. Ses seins en 90c qui se balançaient à chaque butée de mon père.

Plus de doutes, j'ai vraiment envie d'elle!

Je me sentais perdu, déchiré entre l'amour que je portais à ma mère et la culpabilité de ces pensées interdites. Je ne pouvais pas en parler. J'ai donc commencé à garder mes désirs secrets, à les enfouir profondément en moi.

Mais chaque fois que je la voyais, je ne pouvais m'empêcher de la regarder avec convoitise. Son short moulant qui épousait ses courbes parfaites, ses lèvres rouges qui semblaient m'inviter à les embrasser... J'étais obsédé.

Un jour, je l'ai surprise en train de se changer dans sa chambre. Elle avait oublié de fermer la porte à clef et je suis entré sans frapper. Je l'ai vue debout devant le miroir, en train d'enlever son soutien-gorge. Mon cœur a manqué un battement, ma respiration s'est accélérée. Elle s'est rendue compte de ma présence et s'est empressée de se couvrir. « Que fais-tu ici? » m'a-t-elle demandé d'une voix crispée. J'ai bafouillé une excuse, mais je savais qu'elle ne me croyait pas.

Cet incident a créé un malaise entre nous, un silence oppressant qui durait depuis des semaines. C'était il y a 3 ans.

Une fois encore, mon érection m'a donné une envie d'uriner. Je me suis donc arrêté, sans rien dire à personne pour ne pas déranger. Je suis resté sur le sentier à uriner, pendant que les autres avançaient. Mon envie était plus grosse que prévu. J'étais donc là, le zizi à l'air à attendre que ma vessie se vide.

Mais soudain, Océane et Nathalie ont fait éruption. Elles m'ont vu le sexe à l'air. Je me suis senti pris au dépourvu et gêné. Je me suis empressé de remettre mon pantalon en place en leur expliquant que j'étais juste en train d'uriner. Océane, un peu moqueuse, m'a demandé si j'avais besoin d'aide pour ranger tout ça. Nathalie, elle, a paru un peu plus mal à l'aise et m'a demandé si j'étais sûr que ça allait. J'ai remercié les deux filles pour leur inquiétude, et nous avons repris notre marche, un peu plus silencieux qu'avant. Je me sentais un peu honteux, mais l'incident est rapidement passé et nous avons continué à profiter de notre randonnée.

Quelques heures plus tard, nous voilà enfin dans une prairie pour la pause déjeuner. Rien à l'horizon, sauf de grandes herbes et des moutons. Mais le paysage était vraiment très beau. Nathalie nous a préparé des sandwichs. En les cherchant dans son sac, j'ai pu furtivement voir quelque chose qui s'apparente à un petit sex-toy. Je suis un peu surpris, mais je ne dis rien. C'est sa vie privée, après tout. Nous mangeons tous les sandwichs qu'elle a préparés et nous discutons en profitant de la beauté de la prairie.

Nathalie s'éloigne de nous afin de trouver un endroit pour une envie pressante. Mais il n'y a pas beaucoup de cachettes, outre les grandes herbes. En se mettant accroupie, aucun risque que nous la voyions. Après quelques minutes, on entend un « oh nonnn ». En se baissant, elle a déchiré l'entrejambes de son short. Tant qu'elle restera debout, il n'y aura aucun risque pour que nous voyions le trou. Mais un oubli ça arrive vite.

Pour digérer un peu, mon père étend une serviette au sol pour faire une petite sieste.

Quant à moi, j'ai vraiment besoin d'aller me masturber, pour m'enlever l'envie de faire l'amour à ma propre mère.

Mais face à cette vaste prairie, il était très compliqué de me cacher. Je suis partie au sens opposé à ma mère. Je vais m'allonger dans l'herbe pour que personne ne me voie. Après avoir estimé que j'étais assez loin, je baisse mon pantalon et je me mets à genoux. Je m'empare de mon sexe et je commence une série de va-et-vient. Cependant, mes pensées tournent encore autour de ma mère et je trouve de plus en plus difficile de me concentrer sur la tâche à accomplir. Soudain, j'entends un bruit derrière moi et je me retourne pour voir ma sœur qui s'approche lentement. Elle me regarde, surprise, avant de comprendre ce que je suis en train de faire.

Je suis mortifié, en train de me masturber devant ma propre sœur. Je me sens mal à l'aise, gêné et j'ai envie de disparaître. Ma sœur me regarde avec un mélange d'horreur et de colère. Je reste là, figé, incapable de bouger ou de comprendre ce qui vient de se passer. Mais ma sœur reste là, les yeux fixés sur mon pénis en érection, le gland décalotté.

Je tente de dire quelque chose pour me justifier, mais aucun son ne sort de ma bouche. Je suis tellement embarrassé que j'ai envie de m'enfuir et de me cacher pendant une éternité. Finalement, ma sœur secoue la tête, vidée de toute émotion.

A suivre... infos en commentaire.