Tendre Adeline Chapitre 02

Informations sur Récit
Suite de mes amours incestueux avec ma douce cousinette.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 01/03/2024
Créé 12/27/2023
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Chapitre 2

Durant tout le petit déjeuner elle resta auprès de moi, se frottant telle une panthère langoureuse. « Je suis tellement heureuse. C'était mon rêve. Je t'aime ».

Moi, je me sentais un peu mal à l'aise. Avoir fait l'amour avec ma cousine était déjà perturbant. Mais avoir sodomisé ma cousine me gênait au plus haut point. Cette façon de faire l'amour avait, pour moi, une connotation de domination. J'avais beau me dire que c'est elle qui me l'avait demandé, quelque part, peut-être était-ce de ma faute malgré tout.

Mais... Adeline avait toujours aimé que je la maltraite un peu. Les souvenirs étaient toujours présents.

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Très souvent Adeline se comportait en petite fille espiègle. Une vraie peste empêchant les autres cousins et cousines de jouer tous ensemble. Il nous arrivait alors de l'exclure de nos jeux et elle boudait, allait se plaindre à sa mère qui nous ordonnait de la reprendre avec nous. Bon gré, mal gré, on devait la réintégrer mais nous inventions des scenarii où elle était punie. Elle refusait les punitions et continuait de nous embêter, sauf si c'était moi qui la punissais.

Alors rapidement, je pris gout à la faire souffrir. Je la mettais au piquet parfois très longtemps, à genoux, mais sur la tête,... Elle ne bougeait plus. Ou alors, fréquemment je la pinçais. Je lui faisais des clés de bras, forçant la douleur jusqu'à ses supplications qu'elle retardait au maximum. Je prenais aussi plaisir à lui écraser les pieds. Cela parait bien peu comme maltraitance mais elle me regardait avec une telle soumission dans ces moments-là que c'en était gênant. Elle acceptait stoïquement la douleur que je lui imposais en profitant toujours pour se coller à moi. Avec le recul, j'imagine qu'elle devait mouiller sa culotte dans ces instants-là.

Quand une punition plus sévère s'imposait, c'était la fessée. Et moi seul devais exécuter la sanction. Elle devait s'allonger sur un lit, parfois les yeux bandés, et je la tapais d'abord doucement, puis excité, de plus en plus fort. Elle restait protégée par sa robe et ses sous-vêtements jusqu'à un jour, où nous étions seuls dans sa chambre, elle me dit « J'ai été trop méchante, il faut plus me punir »

Et elle souleva sa robe légère pour que je tape directement sur sa culotte. Je devenais comme fou à la vue de ce spectacle unique et, laissant vite passer une mini hésitation, je lui mettais la fessée tant attendue.

Si moi, dans ces moments-là, je connaissais une érection incroyable, j'imagine qu'elle aussi devait jouir dans sa culotte. Je ne vis qu'au bout d'un long moment que sa main glissait entre ses jambes. Je tapais de plus en plus fort. Elle criait doucement, le visage enfoui dans l'oreiller. Au bout d'un instant je pris peur de moi-même. Je repris conscience et arrêtais de la battre, gêné, penaud.

Je la pris dans mes bras en lui disant « Pardon Adèle, je voulais pas te faire mal. » Elle pleurait ou simulait « tu as bien fait, je suis pas gentille ».

Une autre fois, elle annonça à toute la bande qu'elle allait nous montrer les poils de sa foufoune. J'étais comme un fou à cette idée. Elle nous redit cela plusieurs fois dans l'après-midi. Sa sœur et ses cousines (incapables d'être aussi impudiques) se moquaient d'elle « Mais non, tu vas pas faire ça. » Les cousins, eux, attendaient tous le moment de la journée où cela arriverait.

Il ne restait plus beaucoup de temps avant la fin de la journée et déjà quelques membres de la famille commençaient à partir. Moi, je ne pensais toujours qu'à cela : voir son minou. Alors que nous étions tous dans la grange de l'étable des oncles, je dis « Allez, c'est le moment, montre-nous »

Adeline sembla tout à coup moins à l'aise. Je l'attrapais par le bras et la poussais sur une botte de paille. Je la coinçais avec mes genoux, tenant difficilement ses bras d'une main et relevais rapidement sa robe, découvrant sa culotte. Elle criait. Tous les autres s'éloignèrent. J'étais seul avec elle. Je vis la peur dans son regard. Elle hurlait et se débattait. Ma main se posa sur son entrejambe et je commençais à tirer sa culotte pour découvrir les merveilles. Je la voyais. Je la touchais. Pour la première fois.

« Vous faites quoi, là? » une de mes tantes arrivait face à nous. Je lâchais ma cousine, soudain réveillé de la folie qui m'emportait vers des lieux inconnus. « Rien, rien, on joue ». Adeline se rhabilla rapidement et confirma mes dires « Oui, oui, on joue tatan, tout va bien. »

Peu après, ayant retrouvé les autres, Adeline se serra contre moi, tendre et affectueuse (sans doute pour prouver aux autres que tout allait bien), me laissant avec mes questions sur cette attirance irraisonnée...

Ma cousine avait depuis ce temps-là, bien changée. Plus de caprices, plus de bouderies. Elle était sûre d'elle et toujours douce. Sûre désormais de m'avoir séduit. Et je n'avais plus du tout envie de la faire souffrir.

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Adeline avait retrouvé toute son innocence. Comment faire le lien entre cet ange et le démon qui me suppliait de l'enculer hier soir? J'avais l'impression de voir deux personnes différentes. Pourtant dans le pire moment de notre étreinte elle était toujours aussi belle, peut-être encore plus...

Toute la journée, je fus soucieux. Nous avions franchi un cap définitif. Où cela nous mènerait-il? Officialiser cette liaison était impossible. Que ce soit au niveau de l'entourage (amical, professionnel) mais surtout au niveau de la famille. Personne ne pourrait comprendre.

Que faire? La quitter m'était impossible. Officialiser notre couple, pas davantage. Vivre notre amour dans l'ombre? Pendant quelques temps, pourquoi pas. Mais sur le long terme, ce ne serait pas tenable...

Le soir, elle m'accueillit avec son plus beau sourire et un doux baiser. Pour elle, il n'y avait pas de doute, nous étions en couple. Elle m'aida à préparer le repas, toujours collée à moi et riant à pleines dents. Elle était tellement belle. Je savais que je ne pourrais jamais résister à ce sourire, ce visage d'ange. Je ne pouvais que constater que c'était l'amour de ma vie, que personne d'autre ne pourrait jamais me faire un tel effet.

Mais pourquoi fallait-il que ce soit elle? Il y a tant de filles autour de moi. De toutes celles que j'avais eues dans mon lit, aucune ne m'avait fait autant d'effet. Ma jouissance avait été exceptionnelle et visiblement, la réciproque était vraie. Je ne pouvais oublier mon ressenti au moment où j'éjaculais dans son ventre si chaud.

Je ne pensais qu'à une chose : recommencer.

Après le repas, nous essayâmes de regarder une émission à la télé mais nous pensions tous les deux à autre chose. Elle était blottie contre moi. Je sentais sa respiration saccadée. Je savais à quoi elle pensait. Je caressais son bras. Ma bite était dressée. « On va au lit? » « Oui, ouiiiiii ».

Nous ne prîmes même pas la peine d'éteindre la télé. Je l'avais prise dans mes bras et la portais dans notre lit où je l'allongeais tout en douceur. « Je t'aime mon amour, je t'aime ». Je l'embrassais goulûment. Puis nos mains s'égarèrent vers nos parties intimes.

Comme la veille, nos bouches engloutirent nos sexes. Elle mouillait encore plus, j'avalais avidement cette liqueur divine. « Cette fois-ci, j'ai des capotes, dis-je en essayant d'attraper la boite ». « Non, prends-moi comme hier. » « Adèle, ce n'est pas bien. » « Je m'en fous, moi j'aime ».

J'étais abasourdi comme la veille. Alors je commençai à attendrir son petit trou avec mes doigts et sa liqueur vaginale puis lui relevant les jambes pour garder son visage face au mien, ma bite se présenta à nouveau sur son orifice anal qui s'ouvrit facilement. J'entrai en elle en douceur.

Elle soufflait, râlait de plaisir « Fais-moi mal, Thomas ». Je l'embrassais avidement allant et venant doucement. « Plus vite, plus vite. Ça fait mal, c'est booooonnnn. Hummmm. » Et alors que j'accélérais mes va-et-vient, elle rugit comme une furie, se mit à hurler de plaisir, ce qui me gêna énormément. Pas de voisins certes mais quand même, peut-être de la rue l'entendrait-on...

« Vas-y, vide-toi en moi. Donne-moi ton sperme, je le veux en moi. » Elle me faisait peur. Ma douce cousine était en furie. Une vraie folle. Son visage totalement déformé, ses yeux livides, perdus dans le néant. Mais c'était toujours elle. J'aperçus sa culotte abandonnée sur le lit. Je l'attrapais et la portais à mon nez. Sa cyprine séchée si odorante me fit à nouveau un effet dingue. Je fus pris d'un orgasme encore plus fort que la veille. J'explosais en elle. Je la remplis littéralement de mon sperme. Elle ne criait plus. Elle semblait en extase.

Elle me regardait droit dans les yeux. Un regard rempli d'amour et de totale soumission. Mais quel bonheur!... J'aurai voulu rester toute ma vie comme cela. Ma bite profondément ancrée dans son anus si chaud, ma semence la remplissant tendrement. « Adèle... Mon amour. Je t'aime, je t'aime... » Elle souriait maintenant. Son sourire si bon. Ses yeux me dévoraient. Quel moment intense!...

Dès le lendemain, ce sont des pensées beaucoup plus terre à terre qui me tracassaient. Le weekend qui approchait s'annonçait compliqué. Nous étions invités à une réunion de famille et il était prévu que nous rentrions d'abord chacun chez nos parents respectifs.

La perspective de passer trois nuits sans ma dulcinée me semblait maintenant insurmontable, mais ce n'était pas là ma principale préoccupation. Comment devions-nous nous comporter vis-à-vis de notre famille? Quand je fis part de mon inquiétude à Adeline, celle-ci ne comprit pas. « On n'a qu'à dire qu'on s'aime et puis c'est tout ».

Il n'en était pas question pour moi. « Tu imagines le scandale dans la famille? Ta mère, ma mère... Elles seront outrées. Et ta sœur? Et nos cousins? Personne ne comprendra. Ça se fait pas entre cousins, tu le sais bien ». Adeline sembla déstabilisée et attristée par mes paroles. « Tu m'aimes pas, en fait... Tu as honte de dire qu'on est ensemble... » « Mais pas du tout. Je suis fou de toi, comment tu peux en douter? Jamais une fille ne m'a fait autant d'effet que toi. Et depuis toujours. Mais franchement, tu sais bien ce qu'ils vont tous dire. Ils vont se moquer. Ils feront tout pour nous séparer. Tu le sais bien. Tu crois vraiment que ta mère va être contente? Bien sûr que non. Elle ne voudra plus que tu viennes chez moi,... » « Je suis majeure » « Oh oui, majeure, mais qui paie ton école d'infirmière? » « C'est leur rêve que je sois infirmière... »

Après bien des tractations et une première vraie dispute, il fut décidé de ne rien dire de notre liaison et de réfléchir à la façon de faire au-delà de ce weekend tendu.

Le vendredi après midi, nous primes donc chacun notre train direction chacun chez nos parents.

La journée du samedi me parut interminable sans mon Adeline adorée. Ma mère n'arrêtait pas de me questionner sur ma cousine et colocataire. Se doutait-elle de quelque chose? Cela ne m'aurait pas étonné. Comment lui cacher quoi que ce soit? D'autant que j'étais extrêmement mal à l'aise pour répondre « Oui, tout va bien. Oui, on s'entend bien. Non, on ne se dispute pas. Non, je n'ai pas de candidat pour une coloc (j'avais retiré l'annonce). Oui, elle participe aux taches ménagères. Oui, il arrive qu'on sorte ensemble. Non, elle ne fait pas venir d'amis chez moi. Non, je n'ai pas de copine pour l'instant... »

Les questions de ma mère étaient trop précises pour être non équivoques. Ma situation était vraiment inconfortable. Toutes mes réponses ne pouvaient que la conforter dans ses doutes. Il était certain que notre secret serait rapidement découvert avec toutes les conséquences que j'imaginais dramatiques pour nous deux...

Le lendemain était la journée festive. Toute la famille se retrouvait sur le perron de l'église avant la messe traditionnelle que mes grands parents et plusieurs de nos vieilles tantes ne rataient pour rien au monde. C'était la seule église dans laquelle je mettais les pieds mais malgré tout je ne cherchais jamais à m'y soustraire.

Je vis immédiatement Adeline au milieu de la mini foule, constituée en grande partie de notre grande famille.

Je me retins de me précipiter sur elle et embrassais tous les autres membres avant de lui plaquer trois bises comme aux autres cousines. Elle me fit un grand sourire entendu, apparemment très amusée par une situation qui me paraissait à moi très désagréable.

Après 10 minutes de discussions endiablées, les membres de la famille se décidèrent enfin à pénétrer dans l'église. Je me dis intérieurement qu'il ne fallait pas que je me tienne trop près de ma chérie mais celle-ci ne l'entendait pas ainsi et vint se coller contre moi, sa sœur de l'autre côté. Elles riaient toutes les deux « Tu en as de la chance, tu as les deux plus belles pour toi ». « Et ton copain, il est où? » demandais-je à Coralie. « Parti. Je suis de nouveau célibataire. Si tu as un coloc à me présenter,... » « Dommage, il avait l'air sympa Ludo » « Tu te trompes grandement, un vrai petit con. Je sais pas pourquoi, j'attire toujours les pires »

Adeline précisa à sa sœur « Thomas n'est pas près d'avoir un nouveau coloc, je suis chez lui pour longtemps. » « Il va falloir qu'on vous surveille tous les deux, ça devient louche... » Adeline éclata de rire, suivie de Coralie, alors que moi je ne savais plus où me mettre, conscient que notre secret ne tiendrait plus longtemps désormais.

Il fallut faire silence. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais dans cette église entre mes deux cousines. Depuis notre plus tendre enfance Adeline venait toujours se coller à moi.

Mais cette fois-ci c'était différent.

Ma tendre cousine n'était plus la sage petite fille que j'adorais depuis toujours. Les images de nos ébats des derniers jours me hantaient.... Elle se collait à moi, son bras nu contre le mien. Je sentais également sa cuisse collée à la mienne. Elle avait mis ce jour-là une longue jupe que je ne lui connaissais pas (sans doute un effet soldes de la veille avec sa mère et sa sœur) et un chemisier légèrement transparent laissant deviner son soutien-gorge rose qu'elle avait sans doute coordonné à la petite culotte de cet ensemble que je connaissais bien...

Je revoyais les scènes de nos dernières nuits, son petit abricot grand ouvert inondant ma bouche gourmande, ses petits seins que je suçais bruyamment,...

Mais surtout je revoyais mon sexe entrer en douceur dans son anus serré. J'entendais sa jouissance extrême quand je me vidai dans son ventre... Et elle était là, dans cette église, à côté de moi, assise sur son petit œillet odorant, souriante et détendue, avec son visage de sainte... Quel contraste incroyable!

A la sortie de la messe, nouvelles discussions endiablées avec toutes les personnes que nous n'avions pas vues depuis longtemps. Beaucoup apprenaient qu'Adeline et moi vivions ensemble. Un de nos oncles rigola en disant « vous formez un très beau couple ». Ma mère ne trouva pas cela pas drôle et le regard qu'elle me lança ne laissa pas de doute, elle avait compris. Alors que j'étais extrêmement gêné, ma cousine m'attrapa par le bras et en riant répondit « on vous invitera à notre mariage » « Je ne suis pas sûr que le curé soit d'accord » répondit mon oncle toujours goguenard. Ma mère mit fin à cette discussion surréaliste « allez, tout le monde à table, il est tard »

Et nous voilà tous en route pour le restaurant du village. Bien évidemment, au milieu de tout le groupe de cousins, Adeline se colla à moi pour le repas et cette proximité commençait, de mon point de vue, à trop se voir même si ce comportement datait de notre enfance. Tout au long du repas, elle ne cessait de me toucher, de poser sa tête sur mon épaule, comme l'aurait fait n'importe quelle amoureuse. Ce qui, inévitablement, entraina des commentaires et des plaisanteries autour de nous. J'étais extrêmement gêné, là où Adeline était aux anges, inconsciente des ennuis vers lesquels nous courions.

Elle profita que je m'étais levé de table pour aller aux toilettes pour me surprendre et m'embrasser goulument dans le couloir à l'abri des regards indiscrets « J'ai envie, j'ai tellement envie » « Arrête Adèle, on pourrait nous voir » « T'inquiète, ils sont tous à table. Ils s'occupent pas de nous ». Elle se serrait fort contre moi, plaquant mes mains sur ses fesses. Mon zizi était bandé comme jamais, collé contre sa foufoune. Si nous avions été seuls, je l'aurais prise immédiatement. Mais les bruits de la salle à manger étaient si proches...

Je me détachai d'elle pour retourner à ma place. Elle eut beaucoup de mal à me lâcher enfin et revint avec moi en me tenant toujours la main, ce que tout le monde pouvait clairement voir. Un cousin fit en sifflant « voilà les amoureux ». Je devais être écarlate. Adeline riait à gorge déployée, libre et espiègle... comme elle avait toujours été.

Un de nos cousins, Geoffrey, nous invita à aller au stade du village où l'équipe locale jouait cet après-midi. Nous y connaissions beaucoup des joueurs dont certains étaient nos amis. Je décidais de suivre Geoffrey pour ne pas rester dans la situation inconfortable où je me sentais.

Nous étions 5 garçons et 1 fille à vouloir y aller et alors qu'Adeline n'aimait pas vraiment cette activité, elle décida de venir avec nous à la grande surprise de sa sœur.

« Vous partez déjà? Vous allez rater le dessert ». « T'inquiètes pas mamie, on vous retrouve chez vous vers 5 heures et demie. On a largement assez mangé ».

Arrivés au stade, le match était déjà bien commencé, nous nous installâmes autour du terrain, accoudés aux barrières. Evidemment Adeline était collée à moi. Mais cela ne lui suffisait pas « J'ai un peu froid, tiens-moi chaud » « On va se faire remarquer ».

Sans attendre mon accord, elle se glissa entre moi et le garde-corps. Immédiatement, je sentis ses fesses contre mon bas-ventre. Elle remua son derrière pour bien placer sa raie au niveau de mon pénis et bien évidemment, celui-ci réagit. Elle se cambra encore plus et soupira « ça fait du bien ».

Au bout d'un moment dans cette position, je la sentis se dandiner et aperçut clairement sa main se diriger vers son entre jambe « ça me gratte ». J'étais gêné. Décidemment ma cousine n'était pas le petit ange que j'imaginais. '' Quelle cochonne, pensais-je tout bas ''.

« Mets tes mains dans me poches » et aussitôt dit aussitôt fait, elle attrapa mes mains et les glissa dans les poches de sa jupe ample. « Gratte-moi » je la sentais écartant les jambes. C'était une pure folie mais je ne pouvais que lui obéir. Mes doigts trouvèrent donc la direction de son sexe et à travers ses vêtements, je commençai à la caresser doucement. Doucement car il ne fallait que nos proches voisins se rendent compte de quoi que ce soit. Je craignais que ma belle ne se laisse aller à un orgasme en plein public. Je la savais folle mais quand même, un peu de dignité.

« Mmmm, que c'est bon » J'avais ses cheveux tout près de ma bouche, je sentais son odeur que j'aimais tant et qui m'avait tant manqué depuis deux jours. « Embrasse-moi dans le cou ». J'en mourrai d'envie mais je craignais tellement qu'on nous voie. Elle dégagea encore ses longs cheveux pour découvrir sa peau blanche. La peau de son cou était si douce. Quel plaisir!

« OUAIIIIISSSS » « T'as vu ce but? Waow, génial ». Je n'avais rien vu et je dus vite improviser pour que mes cousins ne s'aperçoivent de rien. J'avais dû sortir mes mains de ses poches pour applaudir mais dès que l'ambiance se fut calmée, Adeline reprit possession de mes mains pour les remettre à leur place. Tu vas avoir un beau cadeau mon chéri ». Je ne comprenais pas le sens de cette phrase « Quel cadeau? » « Ah, tu verras ».

Le match terminé, nous rentrâmes comme promis chez nos grands-parents où quasiment toute la famille s'était retrouvée. Nous notâmes que, l'alcool aidant, l'ambiance était montée chez les « adultes ». Il faut dire que contrairement à notre génération, nos ainés avaient une légère tendance à être de « bons vivants »...

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