Suzanne Pofesseure Partie 01

Bonjour, je m'appelle Suzanne P et je vis dans une petite ville préfecture du département du Jura. Je suis née en 1948 et à l'époque des faits que je vais vous raconter j'étais mariée à homme aimant mais très occupé par son travail de commercial dans le bon vin de la région et ses loisirs sportifs(adepte de l'ULM).

J'avais deux grands enfants qui poursuivaient leurs études dans des facultés à Lyon et Paris.

C'était le début des années 90, et je me sentais seule et délaissée par mon mari aussi bien moralement que physiquement. Il me faisait l'amour rarement et si parfois je prenais du plaisir quand même nos rapports étaient sans fantaisie.

Dans mon lycée professionnel je fis la connaissance d'un homme plus vieux que moi, la cinquantaine mais sportif et très bien de sa personne, très charmeur.

Et après quelques semaines d'une cour intensive, un après-midi sans cours je me retrouvai dans son lit et pour moi ce fut une véritable révélation.

Je connus un plaisir jamais éprouvé encore à ce jour, pourtant il me faisait l'amour sans grande fantaisie non plus mais il se préoccupait de moi, de ma jouissance avant la sienne. Et bien sur, après cette demi-journée de plaisir, comme nous étions dans le même établissement je cherchais à le revoir sans cesse. Il en profitait pour me prendre dans des lieux insolites parfois glauques de notre lycée. J'aurais tout accepter de cet homme, j'étais accroc à sa façon de me posséder alors que lui , je le sus plus tard, c'était lancé le défi de coucher avec toutes les femmes mariées de notre lycée(une quarantaine à cette période).

Un soir après les cours nous étions dans un petit débarras, moi les seins sortis de mon chemisier, la jupe troussée par dessus les fesses, penchée en avant, la culotte au sol et lui derrière moi qui me besognait à grands coups de queue, il entrait et sortait de ma chatte lentement et je gémissais , en disant vulgairement, baise moi plus fort, défonce moi.....je vais jouir.....ce qui arriva dans un long cri trop bruyant, lui me retournant et se répandant sur mon visage et mes seins.....

Par contre nous n'avions pas remarqué que deux élèves, punis, qui quittaient le lycée, avaient entendu du bruit et depuis une porte dérobée, à leur plus grande joie ,avaient assisté à nos ébats.

Rien ne se passa les jours suivants, par contre en début de semaine lors de mon dernier cours, je constatai qu'à la fin de celui-ci deux élèves n'avaient pas quitter la classe, les deux plus cancres bien, redoublants assidus. Il s'agissait de Jules et Rachid. Jules me dit:" on peut vous parler Madame" pendant que Rachid glissait une chaise sous la poignée de la porte pour qu'on ne puisse l'ouvrir de l'extérieur. Mais que faites vous, que voulez vous, dis je sur un ton sévère. Jules me répondit on veut être tranquille pour vous parler de ce que vous faisiez la semaine dernière dans le placard à balais avec le prof de maths. Et il me regarde en souriant ainsi que son copain. Avant que je ne puisse répondre quoi que ce soit, il me lance une enveloppe en disant vous allez pouvoir constater que les travaux du club photos nous sont eux bénéfiques. Tremblante je me saisis de l'enveloppe, déchirant les bords et je vois 5 photos de mes ébats avec mon amant dans le fameux débarras, par contre son visage à lui est flouté. Je suis toute blanche, je bégaie, mais que voulez vous, combien voulez vous? Pourquoi, que vous ai je donc fait?

D'abord tu peux pas nous saquer dit Rachid et puis nous on aime bien les bourgeoises salopes. Mais...mais...je...ne....suis....pas....ce.....que....vous dites. T'appelles ça comment une vieille qui se fait tringler dans un placard rejoute Jules?

Heu....ben....je....sais....pas....mais...que voulez vous donc?

D'abord on veut que tu rompes immédiatement avec le prof de maths qui d'ailleurs en à rien à foutre de toi puisqu'on vient de le voir avant ton cours en train de rouler des pelles à la prof de dessin dit Rachid. Oh....vous êtes des menteurs....ce n'est pas vrai....je ne ferai jamais ça. Ta gueule dit Jules dis toi bien que soit tu fais tout ce qu'on te dit soit ces photos seront demain diffusées dans tout le lycée et aussi chez toi, on connait ton adresse, on baise la secrétaire du proviseur, on te laisse une minute pour donner ta réponse. Mais enfin....vous êtes fous...je pourrais être votre mère.....plus que trente secondes.....dit Rachid. Un long silence, des larmes qui comment à couler sur mon visage et enfin je balbutie....je....je.....ferai....ce...ce....que... vous....vous....voudrez....mais....s'il vous plait ne dites rien à personne.

Un large sourire inonde le visage des deux élèves....c'est très bien Suzanne dit Jules.....on peut t'appeler Suzanne et te tutoyer maintenant que nous sommes amis? Du bout des lèvres...j'esquisse un oui...Par toi tu nous vouvoieras et tu nous appelleras Monsieur quand nous serons seuls avec toi, c'est compris Suzanne? Heu...oui....j'ai pas entendu....excusez moi, oui monsieur.

Bien maintenant passons aux choses sérieuses, on a encore plus d'une heure devant nous avant la venue de la femme de ménage.

Suzanne tu montes debout sur ton bureau et tu te fous à poil et vite.....Mais....non.....je...je...., tu obéis et penses aux photos....

Je me mets à pleurer mais obéissante de mon sur le bureau et commence par enlever mon chemisier.....que je jette sur la chaise derrière moi, au tour de la jupe qui suit le même chemin.....Stop dit Rachid, c'est quoi cette horreur, tu portes des collants, plus jamais ça, à partir de demain c'est bas et porte-jarretelles et cul nu, plus de culotte non. Toujours en larmes j'acquiesce par un petit oui monsieur.

Bon la suite plus vite....je retire mon soutien gorge mes seins encore fermes jaillissent en beau 90...je retire mon collant avec difficulté en équilibre sur le bureau et en fin je fais glisser ma culotte en dentelle blanche, laissant apparaître ma fine toison blonde.

Mains croisés sur la tête , jambes écartées dit Jules....j'obéis la mine défaite....mon maquillage coulant sous les larmes...tourne toi et penche toi en avant....écarte tes fesses avec tes mains......je voudrais tant refuser, tant me rebeller mais je n'ose pas et je suis envahie d'une étrange sensation....j'écarte donc mes fesses, honteuse.....

Quel beau cul à enculer dit Rachid en riant.....Descends du bureau dit il et approche de nous...ce que je fais, je me tiens devant eux, nue, mains sur la tête toute flageolante.

Montre nous ce qu'une vieille comme toi sait faire avec les deux jeunes belles bites qui bandant pour toi dit Jules en se caressant l'entrejambe. Mais que voulez vous de moi? Je ne sais pas....sanglote je....Tu as intérêt à te dépêcher et être imaginative si tu ne veux pas que la femme de ménage te surprenne à poil avec deux élèves dis Rachid...Contrainte et forcée je me décide à agir et retirant mes mains de la tête j'en pose une sur chacune des bites par dessus leurs vêtements et je les masse doucement....je sens qu'elles sont bien dures et d'une taille au dessus de ce que j'ai connu jusqu'à présent.....Je commence à déboutonner leurs pantalons qui glissent doucement sur leurs jambes et je fais de même avec les slips....deux bites de plus de 20 cm jaillissent....et je commence à les masturber les deux en même temps tout en continuant à sangloter bien sûr. Sers toi de ta bouche de salope dit Jules et très obéissante je me laisse tomber à genoux devant eux....je dois faire vite....je ne veux pas être surprise...Caresse tes seins avec ta main droite et caresse ta chatte avec la gauche....dit Rachid en m'appuyant sur la tête....lèche bien nos couilles....ils essaient de rentrer leurs deux bites en même temps dans ma bouche...ce qui m'étouffe....pas encore assez prête dit jules....sous mes caresses je sens un plaisir inattendu monter dans mes entrailles...je suis humide....très humide....ma cyprine coulant sur mes cuisses....Elle va jouir la salope dit Rachid....stop dit il....tu n'as pas l'autorisation.....uniquement nous....et ils s'enfoncent dans ma bouche l'un après l'autre, me donnant des nausées...que je refoule de mon mieux....puis brusquement Jules se retire de ma bouche et des jets de sperme jaillissent sur mon visage et mes seins....Rachid lui reprend possession de ma bouche et peu après son foutre m'envahit la bouche ...contrainte de tout avaler pour ne pas m'étouffer.....n'en perd pas une goutte....dit il sinon gare à toi...

Voila ils ont joui sur moi et en moi....affalée sur le sol...eux déjà rhabillés....la prochaine fois ce sera chez toi et n'oublie pas ta nouvelle tenue dès demain....on vérifiera.....et ils partent en rigolant.....je reste prostrée de longues minutes sur le sol terrorisée par la suite et frustrée de n'avoir pu jouir....entendant du bruit je me hâte de remettre mes vêtements....je rentre chez moi longeant les murs...avec l'impression que tous les gens que je croise me regardent bizarrement.

A suivre