Sous la robe de ma Belle-mère 02

De retour au salon, dans la chaleur des conversations animées, je pris beaucoup de plaisir à observer une certaine gêne chez ma belle-mère..

Instinctivement, elle croisait plus souvent les bras dans une tentative de masquer sa poitrine, et on sentait bien son malaise. Bien sûr, elle pointait moins que lorsque je lui tripatouillais ses mamelons, mais il n'empêche que ; lorsqu'elle faisait certains mouvements et que sa robe se plaquait un peu plus sur sa poitrine, la pointe de ses seins étaient nettement visibles sous l'étoffe...

Personne ne fît la moindre allusion mais je pense que tous avaient remarqués ; il m'avait même semblé voir le regard du couple d'invités -particulièrement l'homme- mater Marie-Christelle avec insistance..

De retour en cuisine pour lancer l'entrée, une fois la porte refermée, Marie-Christelle ne semblait plus fâchée mais amusée...

« Toi, t'sais... » me lança-t-elle en souriant, comme une ado rebelle...

« Oui? » répondis-je, me parant de mon plus beau sourire...

« Fait l'innocent va... J'avais l'impression d'être toute nue...J'espère que cela ne se voyait pas trop? » me demanda-t-elle...

Bien sûr, je ne voulais pas trop la rassurer...

« Ecoute, de un, ta robe te va mieux lorsque on ne voit pas de marque de sous-vêtements » fis-je...

« Et, de deux, je me suis régalé à la vue de tes petits tétons bien durs et je ne pense pas être le seul »...

Son sourire se rétrécit quelque peu mais elle ne rajouta rien.

Marie-Christelle entreprit de lancer la cuisson et autres préparations pour la suite.

Elle se tourna vers le plan de travail, pendant que je me plaçai à nouveau dans son dos en m'accroupissant...

« Quel cul » m'exclamais-je en lui caressant les fesses...

« si tu savais ne nombre de fois que je me suis branlé en y pensant... » ajoutais-je...

Marie Christelle eut un petit rire crispé, ne sachant pas trop quoi rajouter.

Je me mis à caresser ses jambes.. Mes doigts effleurèrent ses mollets, en appréciant le contact du nylon.. Je remontai vers le creux de ses genoux en gestes tendres, presque des effleurements...

« Tes bas te vont super bien tu sais? Tu es très bandante... » ajoutais-je...

« Merci me fit-elle... C'est agréable ces caresses... » me complimenta-t-elle..

Enhardi et enjoué par cette remarque, je passais sous sa robe pour lui caresser les cuisses... Je découvris avec joie qu'elle portait des bas auto-fixants ; qui lui arrivaient à mi-cuisse. Je trouvais cela très excitant, et mes mains s'aventurèrent sur son cul...Où la matière de sa petite culotte -une sorte de vieux coton- me découragea. Il fallait vraiment que je m'occupe de sa lingerie.

Je plaquais ma main gauche sur sa fesse gauche, bien ferme, et -tout en caressant ses cuisses de plus en plus haut- et je plaçai ma main droite en coupe pile sur sa chatte.

Je sentis ma belle-mère tressaillir et elle poussa un petit « ho » de surprise ; ne s'attendant sûrement pas à une telle audace.

Je sentais une petite touffe de poils à travers le tissu, et son entrejambe était brulant... Doucement, très lentement, je déplaçai ma paume toute entière de haut en bas et de bas en haut, de quelques centimètres, dans un mouvement de frottement.

La respiration de Marie-Christelle s'accéléra un peu et je crus entendre une sorte de petit gémissement de plaisir mais elle ne protesta pas...

Avec une lenteur délibérée histoire de bien faire monter son excitation, je descendis ma main (après quelques mouvements supplémentaires), jusqu'à avoir mon index posé sur ses grandes lèvres, à travers le tissu. Sa culotte était légèrement humide.. Elle essayait désespérément de continuer à préparer le repas mais je sentais sa concentration se diluer au profits des sensations qui lui venaient de la chatte.. A travers le tissu, je localisai son clitoris... Imperceptiblement, presque sans le toucher, je bougeai le bout de mon index de haut en bas, de droite à gauche ; et je sentais les cuisses de Marie-Christelle se mettre à trembler sous l'effet que je lui produisais...

Soudain, je glissai mon doigt sous sa culotte. Je le repositionnai sur son clitoris qui était à présent bien érigé. Je sentais avec joie sa chatte moite pendant que mon doigt imprimait des caresses très lentes au petit bouton de plaisir de ma belle-mère...

Elle ne bougeait plus, elle tremblait légèrement en poussant de ci-de là un petit gémissement tremblotant... Je pense qu'on ne l'avait plus touché là depuis longtemps, et je crois qu'elle ne s'était plus masturbée depuis des lustres...

Elle redécouvrait un plaisir que je lui communiquais très lentement, presque sadiquement, sans pouvoir réagir...

Je délaissai soudain son clitoris pour revenir les caresser le haut des cuisses, toujours sans violence même si j'avais envie d'être plus brutal...

Puis, sans quitter le dessous de sa robe, je joignis les mains tout en tendant mes deux index l'un contre l'autre...

Alors, avec une lenteur appuyée, j'écartais sa petite culotte et j'enfonçais mes doigts ainsi tendus dans sa chatte détrempée..

Le « haaaa » qu'elle laissa échapper à ce moment-là, tout en s'agrippant au plan de travail, était terriblement excitant...

Et goutait au plaisir de mes doigts qui fouillaient son intimité, elle s'abandonnait complètement et en posa même son couteau sur le plan de travail sans s'en apercevoir.

Je fis quelques vas et viens entre ses cuisses, accompagnés de ses gémissements appuyés, puis je retirai mes doigts avec un petit bruit de succion bien agréable... Ils luisaient de cyprine...

Je me redressais derrière elle et j'attendis un peu, sans la toucher... Je me délectais de sa respiration saccadée, de son trouble, en bon sadique je l'avais bien évidemment bien excitée pour ne plus rien lui donner ensuite... de moins, pas tout de suite.

Je lui plaçai mon index gauche sous le nez, puis je le plaçai sur ses lèvres.. Elle voulu détourner la tête mais je lui enfonçai dans sa bouche, et elle fit la grimace...

Je suçai, moi, mon autre index avec volupté... Puis je la serrai dans mes bras avec une vraie tendresse...

« C'était bon? Tu as bien mouillé en tous cas, ta cyprine est délicieuse tu sais... » dis-je d'une voix suave...

Marie-Christelle essayait de reprendre son souffle, elle transpirait légèrement...

Elle implora d'une voix faible : « touche moi encore » souffla-t-elle...

Mais je répliquai avec une joie mauvaise : « Mais, Marie-Christelle, nos convives s'impatientent.. allez, je vais t'aider à donner un coup de boost...Mais d'abord, j'ai ceci à faire... » et, joignant le geste à la parole, je m'abaissai derrière elle à nouveau, je plongeais encore mes mains sous sa robe pour attraper le bord élastique de sa petite culotte, et je m'employai à tirer dessus pour lui la retirer...

Elle ne réagit pas au premier abord, puis sembla sortir subitement de sa transe : « Non! » fit-elle. « Pas ça.. En plus je... » elle hésita avant d'ajouter « je dégouline »... elle tenta de poser sa main sur la culotte pour m'empêcher de continuer à la descendre le long de ses jambes mais je tirai d'un coup sec. La culotte se retrouva sur ses escarpins et, avec douceur, je posais ma main sur sa cheville gauche, et je lui dit d'un ton sans réplique : « Allez, on lève ».

Elle soupira puis s'exécuta. Une fois le pied droit levé puis reposé, je me plaçai de nouveau derrière elle...

« Comment je vais adorer te savoir sans ta culotte » lui-dis-je...

« Attention de ne pas trop décroiser tes jambes ni te pencher là bas hein? »

Puis, d'un ton plus doux : « Ecoute, après le diner je te la remets ok? Promis, même si elle est moche et que je vais t'en acheter d'autres! »..

Je portais ensuite la culotte à mon nez et je respirai un bon coup, sous son regard surpris...

« Mmmh elle sent bon ta chatte tu sais? Si tu es sage, je serai gentil avec elle »...

Nous consacrâmes les minutes qui suivirent à terminer les préparatifs, puis nous servîmes les convives...

(Fin de la partie 2)