Soumise Ou Non 06 ('Dogging')

L'homme pousse son ventre en avant et son gros sexe s'enfonce dans un vagin qu'il dilate au maximum. Inès ne s'est jamais sentie écartée comme ça, par un sexe aussi large. L'énorme pine progresse difficilement, malgré tout le sperme qui est déjà en elle et qui devrait faciliter la pénétration. En fait, Inès s'aperçoit que, à chaque mouvement vers l'avant, le gros gland presse sur la semence qui est en elle et qui reflue le long du membre pour sortir de sa chatte. Progressivement, le gros sexe prend sa place, toute la place, dans son vagin. Inès a l'impression que son amant du moment est dans une conquête totale, éliminant tout ce que ses prédécesseurs, ses opposants ont laissé en elle.

Tout le sperme est sorti de son vagin et seule son excitation lubrifie le conduit vaginal que l'énorme pine ramone. Les mouvements de l'homme sont lents mais puissants. A chaque fois, le gland vient buter plus fortement sur le col de l'utérus. A certains moments, lorsque son sexe est bien planté au fond, l'homme s'arrête un instant, puis presse fortement. Inès a l'impression que le col de son utérus va être retourné comme un gant. Il n'en est rien, mais, à chaque pression, l'ouverture du col s'élargit un peu. Enfin, dans un mouvement de l'homme un peu plus fort, qu'Inès arrête d'un cri, le gland se coince dans l'ouverture. Tout le corps d'Inès se met à vibrer. Son amant ne bouge pas, se contentant de se pencher vers elle et d'embrasser sa nuque. Dans son vagin, Inès n'a jamais senti une telle sensation, aussi incroyable. Elle est comme défoncée, mais il n'y a nulle douleur. Elle a l'impression que leurs corps soudés ne font plus qu'un. Jamais elle n'a connu ça avec son mari, ni avec aucun de ses partenaires de rencontre.

Les deux amants ne bougent plus. Chacun profite de cette sensation unique. Inès, qui a toujours séparé son plaisir avec ses partenaires de son amour pour son mari, ne sait plus trop comment réagir. Ses sentiments pour son mari s'évanouissent un peu, alors qu'elle se sent amoureuse de ce grand noir dont elle ne connaît même pas le nom. Elle est sortie de ses pensées par son amant, qui lui murmure à l'oreille pour que Hugo n'entende pas :

« Je vais te féconder, là, maintenant, mais c'est lui qui... »

L'homme a laissé sa phrase en suspend, mais Inès a compris. Alors, elle fait signe à son mari d'approcher, avant de lui dire à l'oreille :

« Son gland presse sur le col de mon utérus et y est même entré un peu. C'est toi, mon chéri, qui va le faire jouir en moi. Tu vas serrer ses testicules entre tes doigts. Allez, vas-y! Sois un bon cocu ! »

Alors Hugo tend le bras et serre fortement les couilles de l'amant de sa femme, provoquant l'éjaculation, dans des contractions aussi longues que nombreuses, alors que le noir et Inès jouissent à l'unisson, dans un long et même cri de bonheur. Au même instant, sans se toucher, Hugo éjacule, arrosant de sperme les cheveux de sa femme.

Lorsqu'elle reprend ses esprits, Inès se rend compte que jamais son mari ne lui donnera le plaisir qu'elle vient d'avoir. Pour la première fois, elle vient de rencontrer un partenaire dont elle se sent amoureuse. Son monde bascule dans l'inconnu, mais cela ne l'inquiète pas, tant elle y voit l'amour et le plaisir mêlés. Alors, elle se confie à son mari, avec l'envie de l'humilier :

« C'était merveilleux. Toute sa semence à giclé jusque dans ma matrice. Je suis certaine qu'il vient de m'engrosser et c'est toi, mon petit mari cocu, qui l'a provoqué. »

Hugo n'a pas le temps de répondre, car l'homme le pousse dehors en disant :

« Allez, le cocu, descend, casse-toi ! »

Hugo, reprenant difficilement son équilibre, n'a que le temps de voir la porte se refermer et le camion partir dans un bruit de moteur rageur. Sa dernière image sera pour lui celle de sa femme, assise sur le siège passager, toujours nue, qui lui fait, de la main, un petit signe d'adieu.

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... Fin ...