Soumise Ou Non 06 ('Dogging')

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

L'homme est très surpris d'entendre Hugo lui dire :

« Non, ma femme ne prend pas la pilule. »

« Ouah », s'exclame le chauffeur, « Vous êtes drôlement gonflés, même si vous avez choisi une période sans danger pour elle, évidemment ! »

Hugo se demande s'il doit en dire plus. Cet inconnu n'a pas besoin de savoir. Pourtant, la situation de sa femme excite Hugo énormément et son excitation s'accroît encore en pensant le révéler à cet homme. Malgré son éjaculation récente, son sexe bande de nouveau à cette pensée, alors Hugo informe le routier :

« Non, au contraire, elle est dans une période risquée », ajoutant ensuite dans un murmure :

« C'est même le jour de son ovulation. »

« Oh ! Alors là !... Une femme... fertile ! », s'exclame le routier, avant d'ajouter :

« Là, mon gars, si tu as envie de continuer de faire baiser ta salope, je peux m'occuper. J'ai plein de copains sur la route qui ne voudront pas rater ça ! »

« Je vais voir si elle veut continuer », répond Hugo.

Pourquoi a-t-l dit ça, alors qu'il sait très bien que le refus s'impose? Mais, un mari soumis ne peut rien décider sans en référer à sa femme. Hugo se précipite vers sa voiture pour interroger Inès :

« Le routier propose de rencontrer d'autres camionneurs. C'est certainement trop dangereux aujourd'hui. Qu'en penses-tu? »

« Pourquoi pas? Je crois que j'ai pris goût au 'dogging' ! », répond Inès.

Prévenu, le routier passe plusieurs appels avec son téléphone et un réseau radio utilisé dans ce métier, avant de revenir vers eux. Il s'adresse à Hugo :

« Tu vas à la prochaine aire et tu te gares tout au fond, près d'un petit bois, sur la zone réservée aux poids lourds, et tu attends. Tu éteindras les phares et laisseras le plafonnier allumé. »

Dès qu'ils roulent de nouveau, Inès se sent à la fois très excitée et un peu inquiète, ne sachant pas ce qui l'attend.

La voiture s'engage maintenant dans la bretelle de sortie. A minuit, l'aire de stationnement est déserte. Hugo se dirige vers l'extrémité réservée aux camions et s'arrête face au petit bois indiqué. Il n'y a aucun éclairage à cet endroit et seule la lumière du plafonnier marque leur présence, car il vient d'éteindre les feux de la voiture, comme demandé. Hugo reprend ses caresses et embrasse sa femme fougueusement sur la bouche, la fouillant de sa langue.

Le camion qu'ils connaissent vient se garer sur la gauche de la voiture, bientôt rejoint par un second semi-remorque qui s'arrête à droite, très près également. Inès n'est pas surprise par cette seconde arrivée, mais elle se sent prise au piège de ces deux murailles métalliques qui se dressent le long des portières. Cette situation inquiétante la fait frémir d'une angoisse contenue, qui croît encore lorsque des phares haut placés viennent éclairer violemment l'intérieur de la voiture par la lunette arrière. La cabine d'un troisième mastodonte s'est glissée entre les deux autres camions pour venir stopper au raz du pare-chocs arrière de leur voiture. La lumière vive des phares que le chauffeur laisse allumés inonde les occupants, et étire des ombres inquiétantes sur l'herbe qui borde le bosquet d'arbres. Inès ne voit que les trois semi-remorques qui l'entourent, mais elle entend encore des bruits de moteurs, de freins. D'autres camions sont arrivés autour d'eux.

Très vite, plusieurs hommes sont collés autour de la voiture.

"Hugo, attention!", dit Inès à son mari, qui verrouille les portes de la voiture pour la rassurer un peu.

Inès s'attendait bien à continuer son jeu de 'dogging', qui l'excite tant, avec d'autres inconnus, mais l'environnement est inquiétant et les hommes paraissent nombreux.

Malgré les regards sur elle, malgré la lumière des phares qui l'éclaire mieux qu'en plein jour, Inès commence à se détendre. Les hommes que le routier a appelé sont jeunes et pas déplaisants, bien qu'un peu vulgaires en apparence. Elle laisse son mari la caresser de nouveau. Voir des visages presque collés à la vitre ou au pare-brise l'excite. Elle lit le désir dans les yeux qui ne la quittent pas un instant. Dehors, plusieurs hommes ont ouvert leur braguette et sorti leur sexe. Ils se masturbent en la regardant, les yeux exorbités.

Hugo a glissé une main entre les cuisses de sa femme. Ils les écarte largement pour enfoncer ses doigts entre les lèvres humides. D'une main, il manœuvre le siège pour le coucher complètement. Inès se laisse glisser encore, cuisses écartées, heureuse de s'exhiber ainsi devant ces hommes qui la désirent. Elle ne peut détacher ses yeux du gros gland qu'elle voit sortir gonflé entre les doigts du camionneur le plus proche. Il touche même parfois la vitre où il laisse une traînée gluante.

Hugo prend la jambe gauche d'Inès, la relève et lui pose le pied sur le tableau de bord. Dans cette position, sa vulve ouverte est tournée vers les voyeurs. A cette vue, le camionneur appuyé contre la vitre se laisse aller à la jouissance. Une première giclée blanche éclate sur la glace, alors qu'au même instant, Inès, incrédule, entend le ronronnement caractéristique du moteur qui commande la vitre. Hugo vient de l'entrouvrir, permettant ainsi au second jet de sperme de fuser dans la voiture et d'arroser les seins de sa femme.

Inès est si excitée par la sensation sur sa peau du foutre chaud qui la recouvre qu'elle n'entend même pas le claquement sec du déverrouillage électrique des portières, que Hugo vient de déclencher. C'est seulement lorsque la porte s'ouvre largement, lorsque des mains fortes enserrent ses chevilles et la tirent ainsi hors de la voiture, qu'elle se rend compte de la situation. Tout va très vite ensuite. Elle sent qu'on la traîne sans ménagement sur le sol. On la couche sur l'herbe, en bordure du petit bois. Elle est intégralement nue, à leur merci. On lui écarte les cuisses. Elle se débat un peu, car elle prend un peu peur. Les phares éclairent moins l'endroit où elle se trouve et cette quasi obscurité l'angoisse, mais des poignes de fer l'immobilisent. Un homme est déjà sur elle.

Inès sent le jean rugueux contre ses cuisses, en même temps que la chaleur du gland qui presse déjà sa vulve. Le routier, tendu sur ses bras, se cambre et pousse son ventre en avant. Le sexe s'enfonce dans son vagin déjà abondamment lubrifié, tant l'épisode précédent l'a excitée. L'homme qui a éjaculé sur elle il y a quelques instants est à genoux près d'elle. Il a posé ses grosses mains sur la poitrine d'Inès. Il lui malaxe les seins, étalant son propre sperme sur les globes fermes qu'il pétrit. L'homme qui la pénètre la baise rapidement. Elle a moins peur maintenant, et ce gland qui vient buter à chaque fois, tout au fond, sur sa matrice, lui arrache des gémissements de plaisir.

En rejetant la tête en arrière, elle voit son mari qui la regarde en se masturbant lentement. Il ne la touche pas, mais elle sait que son regard ne la quitte pas, la caresse. Elle lit dans ses yeux toute l'excitation qu'elle lui apporte en se donnant ainsi à ces inconnus, tout le plaisir qu'elle lui fait en s'offrant, et elle en est heureuse.

Les mouvements en elle sont maintenant plus rapides, plus forts, plus violents. Elle sent que l'homme approche de l'orgasme. Elle le voit dans son regard qui devient presque bestial. Ce ne sont pas seulement les sensations du vagin qui lui serre bien sexe qui vont déclencher la jouissance de cet inconnu, mais surtout le fait de savoir qu'il va peut-être engrosser cette femme, car évidemment, celui qui les a prévenus ne leur a rien caché. Alors, il ne peut plus se retenir et déverse son sperme en elle. L'orgasme d'Inès arrive à cet instant, intense, non seulement provoqué par ce coït brutal, mais surtout par la pensée qui a accaparé son esprit : elle risque d'être fécondée par cet inconnu.

Curieusement, elle n'avait pas eu une telle crainte lors de sa première expérience de 'dogging', il y a moins d'une heure. Elle y avait pensé, bien sûr, mais elle s'était dit qu'il s'était retiré au moment de l'éjaculation, donc que le risque n'était pas si élevé. Elle ne s'était évidemment pas rendu compte qu'un peu de sperme avait coulé en elle au moment du retrait.

Elle n'a pas le temps de retrouver son souffle, de récupérer de cette excitation intense qui l'a comme vidée, que déjà d'autres mains sont sur son corps. On la retourne sur le ventre. On lui replie les jambes sous elle. Son mari participe aussi, la met en position. Elle est à genoux, cambrée, présentant ses fesses et son sexe trempé, d'où s'écoule un foutre abondant. Elle sent déjà des mains serrer ses hanches. Un homme s'est placé derrière elle, entre ses cuisses. Inès sent le contact du sexe qui rentre jusqu'au fond de son vagin sans difficulté, aidé dans sa progression par le sperme dont elle est remplie.

L'homme entame un coït rapide, tirant les hanches vers lui en même temps qu'il pousse son membre en avant. Encore sous le coup de son orgasme, Inès profite mal de cette pénétration. Pourtant, d'instinct, elle accompagne ce va et vient de mouvements de la croupe, venant à chaque fois à la rencontre de ce sexe qui la perce, recherchant le plaisir du contact brutal sur le col de son utérus. Elle est très excitée, mais n'atteint cependant qu'une jouissance moins forte que la précédente lorsque l'homme explose en elle, la gorgeant de sa semence.

Après qu'il se soit retiré, Inès reste ainsi, dans la même position indécente, se délectant de ces instants de calme qui suivent le plaisir. Elle sent un peu de sperme déborder de son vagin et couler le long de ses cuisses, dans une sorte de chatouille humide qui la fait frissonner. Elle est toute aux caresses des mains d'hommes qui glissent sur son dos, qui flattent ses reins et ses fesses, alors que Hugo lui masse doucement la nuque. Elle se sent bien. Elle a fini par accepter le risque qu'elle prend parce qu'il l'excite au plus haut point. Inès se dit que, si risque il y a, le mal est fait, alors pourquoi ne pas profiter pleinement de la suite?

Elle se sent maintenant tranquille, apaisée, libre de toute angoisse, seulement attentive aux sensations douces qui l'envahissent. Plusieurs hommes, debout à côté d'elle se masturbent en la regardant. Certains éjaculent sur son dos et ceux qui la caressaient continuent en utilisant ce lubrifiant naturel. Inès apprécie encore plus le mouvement de leurs mains gluantes sur sa peau.

Tout à coup, la porte d'un camion s'ouvre. Le second chauffeur, qui dormait dans la cabine, vient de s'éveiller. Il n'avait même pas entendu le camion s'arrêter et son collègue sortir. Il descend la marche et saute à terre. Encore à moitié endormi, il ne remarque pas le groupe devant la voiture et se dirige vers un arbre, le sexe déjà sorti du pantalon, pour satisfaire un besoin naturel. Son collègue l'interpelle alors:

« Et bien, René, tu m'as l'air au radar! »

Tournant brusquement la tête, l'homme reste figé, abasourdi par la scène qu'il a sous les yeux.

« Bien, mes salauds ! », répond-il, ahuri, tout en se dirigeant vers eux, le sexe à l'air.

« J'allais pisser », ajoute-t-il, « mais je crois bien que ça va plus être possible », comme le montre son membre déjà dans une demie érection.

Il vient alors se placer à genoux derrière Inès, et, posant ses mains sur elle, lui dit :

« Il n'y a pas de raison que le petit René n'en profite pas aussi, ma poule ! »

Il glisse alors une main sur la vulve ouverte. Il en palpe un instant les lèvres de ses gros doigts calleux, avant de dire :

« Mais je ne vais pas me mélanger aux affaires des autres, moi ! »

Alors Inès sent les mains du camionneur se crisper sur ses fesses et les écarter fortement. Le sexe, maintenant tendu, s'appuie sur sa rosette. Le gland la force à sec. Cela lui fait un peu mal. Heureusement il n'est pas trop gros. A chaque pression, elle sent son sphincter s'ouvrir un peu plus sans pour autant laisser passer le gland. Cela a été trop rapide, trop surprenant. Elle qui, habituellement, aime la sodomie, n'a pas eu le temps d'y penser, de s'en réjouir à l'avance et son anus n'a pas pu se lubrifier. Elle aurait préféré qu'il pénètre d'abord son sexe plein de sperme avant de la prendre ainsi.

Enfin, sous l'effet de la pensée, son anus s'humidifie un peu, et le gland passe tout à coup. Son sphincter s'est refermé juste derrière la collerette, comme un piège sur sa proie. L'homme pousse d'un coup sec son ventre en avant. Inès ressent une vive douleur. Le membre fin et long est planté tout au fond. Des ondes la traversent, non pas tant par les sensations que lui procure cette pénétration, mais plutôt par la pensée qu'un inconnu, dont elle n'a même pas vu le visage la sodomise devant témoin.

Inès s'attend au mouvement de ce membre en elle, au coït long et puissant qui va lui fouiller l'anus, au va et vient de ce sexe qui va y coulisser à chaque fois plus facilement, profitant de l'humidité abondante que l'excitation croissante va apporter. Au contraire, le pieu reste planté, bien au fond, entre ses fesses, sans bouger. Elle essaye de bouger, mais les mains serrées sur ses hanches l'en empêchent. L'homme reste ainsi, totalement immobile, longtemps, sans pour autant la libérer. Par moments, il passe seulement une main entre les cuisses d'Inès pour palper sa vulve et tirer vicieusement sur les lèvres, comme pour les allonger. Hormis cela, c'est l'immobilité totale. Le sexe de l'homme reste planté dans son fondement, sans bouger. Elle ne comprend pas ce qu'il cherche. Trouve-t-il son plaisir ainsi, dans le seul contact de son membre sur ses muqueuses anales? Sa chaleur lui suffit-elle? Elle a l'impression curieuse d'être soudée à ce sexe. Ce n'est pas désagréable.

Inès se concentre sur ces sensations curieuses, nouvelles, inhabituelles. C'est comme si elle voyait ce membre en elle, tant toute sa pensée n'est plus centrée que sur ce point. Elle a soudain l'impression que le sexe a bougé dans son anus. Pourtant l'homme n'a fait aucun mouvement, la maintenant toujours fermement par les hanches. Inès se rend compte alors que le sexe se rétracte un peu, ramollit en elle. En même temps, elle a tendance à se crisper, comme pour le retenir prisonnier. Son sphincter se contracte et serre le membre à sa base, assurant encore plus l'étanchéité de ce bouchon de chair dans son conduit.

« Hé, l'ami ! Tu vas y passer la nuit ! », l'interpelle un des routiers.

Alors le chauffeur répond :

« Attendez un peu, les gars. J'étais parti pour pisser un coup. Faut bien que ça se fasse ! »

Alors, tout à coup, Inès sent un liquide chaud, presque brûlant, couler dans son anus. Elle comprend que c'est l'urine de l'homme qui la remplit ainsi. A cette pensée, elle commence à vibrer. Elle a honte, mais, en même temps elle aime cette sensation de chaleur. Son sphincter serré autour du sexe empêche toute évacuation. Elle a l'impression que l'homme va lui en injecter des litres. L'urine remplit son anus, puis remonte dans ses intestins, répandant sa chaleur en elle. Alors monte un second orgasme, bien plus fort que le précédant et qui lui interdit toute retenue. Elle crie alors son plaisir.

Elle est là, à plat ventre dans l'herbe, exténuée. Hugo caresse doucement son dos.

Les camionneurs, comme le premier, sont maintenant presque tous partis. Un seul est resté. Pendant que sa femme se faisait prendre sans discontinuer, Hugo avait remarqué ce camionneur qui regardait, sans participer. Ce grand noir avait sorti un énorme sexe, qu'il masturbait lentement en se régalant du spectacle. Inès ne l'avait pas vu, car il se tenait assez loin, dans la pénombre.

L'homme s'approche d'Inès et, sans un mot, fait signe de s'éloigner à Hugo, qui obéit, voulant éviter un affrontement qui serait en sa défaveur. Il regarde l'homme passer ses grosses mains sur le dos d'Inès, avec une douceur qui la fait ronronner de plaisir. Elle se retourne alors pour découvrir cet homme, athlétique, qui lui paraît très beau. Malgré son épuisement, Inès a instantanément l'envie irrépressible de se donner à cet homme. Le camionneur soulève alors Inès dans ses bras musclés, comme si elle ne pesait rien, et se dirige avec elle vers son camion. Inès a alors l'impression qu'elle est portée par un mari qui l'emmène dans sa chambre pour sa nuit de noce. Elle se sent curieusement à la fois excitée et heureuse.

L'homme la dépose dans son camion sur la couchette intérieure, juste derrière les sièges de la cabine. Toujours sans dire le moindre mot, il fait glisser ses lèvres sur le corps d'Inès, le parcourant lentement, comme s'il voulait en découvrir les moindres endroits. Sa langue suit tous les trajets érotiques, s'insinuant dans l'oreille, suçant le lobe, frôlant le coin de la bouche, cherchant la pliure du bras sous l'aisselle, faisant le tour d'un sein tout près du téton sans jamais le toucher, venant fouiller le nombril d'une caresse énervante, descendant vers l'aine sans toucher les lèvres vulvaires, glissant le long de la jambe jusqu'à la cheville, atteignant le pied pour le sucer, aspirant les orteils en bouche, avant de remonter le long de la jambe, pour finir sur la face interne de la cuisse, pour enfin lécher les lèvres d'une chatte odorante. Inès est toute à ses sensations électrisantes de douceur, si différente des assauts qu'elle a subi auparavant. Elle se sent à la fois désirée et offerte.

Hugo, qui s'est approché timidement des marches du camion, tente une demande :

« Puis-je monter? »

Le camionneur lui fait un signe positif de la main. Hugo vient s'asseoir sur le siège passager. Il est aux premières loges pour regarder sa femme abandonnée. Inès ne se rend compte de sa présence que lorsqu'il lui prend la main, comme pour lui montrer qu'il est là, qu'il l'accompagne dans son plaisir. Inès, quant à elle, lui jette un regard noir. Elle se sentait si bien sans lui. Il la gêne dans ce moment de plénitude. Elle le voit comme un intrus, pourtant elle n'ose pas repousser sa main. C'est grâce à lui qu'elle vit tous ces plaisirs. Elle lui en est reconnaissante, mais elle regrette de ne pas pouvoir partager cette 'nuit de noce', seule avec ce beau noir qui la caresse si bien.

Au bout d'un long moment, alors que l'homme vient de sucer sa chatte et son clitoris, l'amenant si proche de l'orgasme, celui-ci la retourne, lui fait plier les jambes et se mettre à genoux sur la couchette, lui faisant prendre une position obscène. Le dos d'Inès est cambré, ses fesses relevées, son vagin offert.

Dans le mouvement, Hugo a lâché la main de sa femme et il n'ose pas la reprendre. Il sait que l'homme va la baiser maintenant et qu'il va se contenter d'en être le simple voyeur. Hugo sort son sexe et commence une lente masturbation, ses yeux rivés sur le postérieur de sa femme. Inès sait qu'il la regarde et ça l'excite, mais elle est heureuse de ne plus sentir le contact de la main de son mari. Elle se veut totalement offerte à son nouvel amant, à lui seul.

Le grand noir serre ses mains sur les hanches d'Inès et vient poser son gros gland juste sur les lèvres du vagin de cette femme qu'il veut prendre. Il ne fait aucun mouvement pour cela. Il attend. Inès, qui n'a jamais eu autant envie d'être pénétrée, glisse sa main sous elle et attrape le gros sexe d'une main. Elle le fait bouger lentement, sur ses lèvres vulvaires, qu'elle écarte délicieusement avec l'énorme gland. Elle vibre de jouissance contenue, si proche de l'orgasme à ce seul contact. Il va la prendre, là, maintenant, pense-t-elle.

Cependant la grosse main de l'homme attrape le poignet d'Inès et l'éloigne de son membre tendu. Inès comprend instantanément ce qu'il attend. Elle a lu ça dans ses lectures sur Internet : il attend que ce soit le mari cocu qui lui offre sa femme. Alors, Inès tend le bras vers son mari, qui arrête sa masturbation et s'approche. Elle lui prend le poignet et guide sa main vers le sexe du noir, disant simplement :

« Oui, toi ! »

Alors Hugo serre l'énorme membre entre ses doigts et le pousse dans le vagin de sa femme, qui gémit lors de cette première pénétration. Hugo sait qu'il n'est là que pour offrir sa femme et pour rien d'autre, alors il revient vite prendre sa position de voyeur et de masturbateur.