Soumise Ou Non 06 ('Dogging')

Informations sur Récit
Devant son mari, Inès se donne à des inconnus au pire moment.
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Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/08/2023
Créé 06/08/2023
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Soumise ou non 6 ('dogging')

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Inès, esclave sexuelle de son mari, Hugo, a bien profité de vacances de ski pendant lesquelles elle a eu deux aventures, la première avec un homme dont elle serait facilement tombée amoureuse et un autre avec lequel ce n'était que plaisir physique, si intense qu'il en était dangereux.

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Dès leur retour, alors que son mari vient de partir très tôt travailler, Inès se sent bien seule.

Alors qu'elle commence sa toilette matinale dans la salle de bain, son esprit revient sur ses aventures des jours précédents et de leurs possibles conséquences. Elle sait qu'elle va devoir attendre encore deux semaines avant de savoir si un de ses amants l'a engrossée ou non pendant leurs vacances de ski.

Par moments, c'est l'inquiétude qui l'emporte et elle espère bien que ses règles vont revenir normalement. A d'autres, elle voudrait le contraire. Ce serait une façon de montrer à son mari que c'est elle qui a eu le pouvoir final en se laissant engrosser sans son accord. Il lui semble qu'ainsi elle serait presque passée d'esclave à maîtresse.

Imaginer Hugo assistant à l'accouchement, voyant un enfant qui n'est pas le sien et qu'il va devoir reconnaître, lui paraît être le summum de son pouvoir. Puis, Inès se surprend en pensant qu'il y a pire encore. Elle a évidemment pensé comme géniteur à cet amant qui lui plaisait tant et non à son second partenaire qui l'avait prise si brutalement. Quand elle se dit que ce dernier cas pourrait aussi bien être le bon, Inès imagine la surprise de son mari découvrant un bébé de couleur. Quelle humiliation ce serait pour lui, pense-t-elle.

Alors que, sous sa douche, Inès s'apprêtait à faire enfin une toilette intime repoussée depuis deux jours, une idée perverse et irresponsable l'envahit : elle va retarder encore cette toilette pour maximiser le risque d'être enceinte, façon de montrer son pouvoir à son mari, qui deviendrait ainsi cocu, officiellement.

Toujours dans son délire de pouvoir, Inès va passer sa journée sur Internet. Elle y trouve vite des sites qui s'adressent aux femmes libérées. Elle peut y lire toutes les motivations d'un mari pour devenir un cocu volontaire. Elle s'étonne de voir que certains hommes poussent leur femme à devenir une 'hot-wife' dans une relation de domination qui n'aurait pour but que de préserver leur position traditionnelle. Ce machisme ne serait là que pour arriver à leur fin sans montrer ce qui paraît être une faiblesse à leurs yeux. Il semble que souvent domination et soumission soient présentes en même temps chez certains.

Cela donne à Inès des perspectives intéressantes qu'elle a bien envie d'explorer.

Le soir même, au retour d'Hugo, Inès se veut aguichante. Cela se finit au lit par des caresses dont elle prend pour une fois l'initiative. Ses doigts enserrent le sexe de son mari. Sous les mouvements de sa main, le membre se tend. Hugo se met à soupirer de plaisir. Inès veut tenter une expérience qu'elle a lue sur un site spécialisé. Cela doit lui permettre de confirmer ou non si la nouvelle relation qu'elle imagine est possible, aussi dit-elle :

« Je repense aux deux aventures que j'ai eu pendant notre séjour de ski. Cela a été très bon pour moi, tu le sais. C'était bien mieux qu'avec toi. Je me suis dit que c'était à cause de la nouveauté et de l'interdit qui m'excitait, mais, en y repensant maintenant, il y avait peut-être autre chose. En fait, mes deux partenaires étaient bien mieux montés que toi. Le premier avait un sexe plus long et le second beaucoup plus gros. Je les ai sentis bien mieux en moi. Qu'en penses-tu, mon petit mari? »

A peine a-t-elle fini sa phrase qu'elle sent le sperme couler entre ses doigts. Inès a sa réponse : l'humiliation a fait jouir Hugo. Elle va pouvoir prendre la position dominante dans leur couple et elle va aimer ça, vraiment aimer ça, se dit-elle.

Toujours inspirée par ses lectures sur Internet, Inès, se servant du sperme qui lui englue les doigts, continue de branler la pine d'Hugo. Comme elle l'avait lu, c'est effectivement très douloureux et son mari le confirme :

« Arrête, arrête ! »

« Mais je croyais que tu aimais ça. C'est curieux... », dit-elle, tout en continuant.

« Non, non ! », crie Hugo.

Inès n'a pas l'intention de le pousser à une seconde éjaculation, mais veut profiter d'une érection renouvelée, car elle a envie d'être pénétrée. D'autorité, elle place un préservatif sur le sexe et attire son mari sur elle, tout en écartant bien les jambes. Dès qu'elle sent la pénétration, Inès prend le contrôle en disant :

« Vas-y, mon chéri, enfonce-toi bien. Je ne te sens pas bien, pousse. Tu as une petite bite mais tu dois pouvoir aller plus loin. »

Un peu vexé, Hugo redouble d'efforts pour être à la hauteur. Avec un fort mouvement en avant, il finit par sentir enfin son gland encapuchonné s'appuyer sur le col de l'utérus. Il y reste plaqué, sans bouger, car il veut ainsi que sa femme se rende compte de ses possibilités.

« Ah, oui, tu est bien au fond », dit Inès, rendant ainsi sa fierté à son petit mari, puis elle ajoute :

« Avec le préservatif, peut-être ne sens-tu pas tout le sperme de mes deux amants, mais, avec ton gland, tu le pousses bien en moi. Non, ne te retire pas. Le mal est fait, alors continue, baise-moi fort. Frappe bien au fond, si tu y arrives. Oui, comme ça ! Pousse leur semence vers ma matrice. Si je tombe enceinte de mes amants ce sera toi le responsable ! »

C'est à cet instant que Hugo remplit son préservatif.

Après la toilette intime d'Inès, le jour suivant, Hugo pense bien qu'il va pouvoir faire l'amour à sa femme sans protection, mais Inès refuse encore, lui disant :

« Tu n'y penses pas. Si je découvre que suis enceinte, je veux savoir qui est le père. »

« Mais comment sauras-tu? Ce peut être un de tes deux partenaires ! », rétorque Hugo qui n'a pas capté la logique.

Inès ne daigne pas répondre.

Pendant deux semaines, leurs rapports sexuels seront tous protégés. Ni l'un ni l'autre n'y prend beaucoup de plaisir.

Lorsque ses règles reviennent normalement, Inès se sent à la fois soulagée et déçue. Hugo, lui, y voit la fin d'une inquiétude et le retour à des plaisirs plus forts, comme avant. Le soir même, ils ont une petite discussion sur l'oreiller. C'est Inès qui aborde le sujet :

« Tu sais, j'ai bien aimé mes dernières aventures. Elles ont été bien plus excitantes que les précédentes. Tu vois, c'est le risque qui m'a fait atteindre des niveaux inconnus jusqu'ici. Alors, voilà, j'ai décidé de ne pas reprendre de contraception. J'ai déchiré l'ordonnance et j'ai jeté tous les comprimés restants dans les toilettes. Comme ça, je vais continuer mes aventures de femme libérée avec ce risque qui m'excite tant. »

Hugo, surpris, réagit immédiatement :

« Tu m'avais dit que tu ne voulais pas que je te fasse d'enfant et que tu voulais attendre encore ! »

« Mais c'est vrai ! Qui parle de toi? Tu ne fais pas partie de mes partenaires de rencontre. Pour toi, ce sera toujours avec un préservatif », répond Inès, qui ajoute, avant que son mari ne puisse de nouveau intervenir :

« Je suppose que tu veux que mes aventures qui t'excitent continuent, alors il n'y a pas d'autre solution. C'est à prendre ou à laisser ! »

Maté, Hugo acquiesce de la tête sans dire un mot.

Quelques jours plus tard, Inès, qui a de nouveau fait quelques recherches sur Internet, questionne Hugo :

« Mon chéri, sais-tu ce qu'est le 'dogging'? »

« J'ai déjà vu ça sur des vidéos pornographiques. C'est une exhibition, souvent en voiture, qui se termine par des rapports sexuels avec des inconnus, je crois », répond Hugo.

« J'ai envie de faire cette expérience. Essaie de m'organiser ça pour une soirée, dans deux jours. Ce sera pour moi le milieu d'une période dangereuse. Cela va m'exciter », propose Inès.

Hugo se rend compte, avec cette demande de sa femme, que c'est elle qui prend le contrôle de la situation. Il vient de perdre son pouvoir, mais il ne s'en trouve pas affecté, au contraire. Cela va même être confortable d'être dirigé. Il sait qu'elle saura être encore plus imaginative que lui dans leurs jeux érotiques, qu'elle va souvent le surprendre.

Venu le soir prévu, Hugo annonce :

« Prépare-toi. Nous partons dans une heure. »

Trop heureuse de pouvoir bientôt assouvir tous ses besoins, retrouver tous les plaisirs, Inès n'a rien à répondre et se précipite pour aller se préparer.

Au moment de partir, Inès dit à son mari :

« Tu sais, depuis que j'ai arrêté ma contraception, je surveille tous les jours ma température. Ce matin, il y a eu un net changement. Cela a confirmé ce que j'avais ressenti intimement : c'est bien mon ovulation. »

Hugo ne peut qu'exprimer ses craintes :

« Ma chérie, il vaudrait mieux repousser ce 'dogging' à plus tard. C'est bien trop dangereux en ce moment. »

Inès ne veut pas céder :

« Non, on ne change rien. Tu sais bien que le risque m'excite et, aujourd'hui, il est au plus haut. Rien que d'y penser, je suis déjà trempée. »

Hugo tente de nouveau de trouver un moyen plus raisonnable de poursuivre leurs jeux érotiques, sans lui imposer le préservatif qu'elle déteste, en proposant :

« Tu pourrais te contenter d'une exhibition et de quelques caresses superficielles, avec même des éjaculations sur toi, mais pas en toi. Qu'en penses-tu? »

« Peut-être, mais on verra ça sur le moment. Allez, assez tergiversé. On y va ! »

Le ruban de l'autoroute se déroule inlassablement dans la lumière des phares. Hugo conduit. A côté de lui, Inès somnole. Au début du trajet, il a posé sa main sur la cuisse de son épouse, juste au-dessous de la petite robe d'été très évasée, qui permet à la main de remonter très haut, jusqu'à toucher une petite chatte, nue et déjà trempée. Inès s'est voulue totalement disponible, prête à tous les plaisirs. Hugo n'a pu que lui offrir quelques caresses bien superficielles, pour ne pas les mettre en danger pendant sa conduite. Il est vrai qu'il pourrait faire une halte pour profiter de sa femme si demandeuse, mais il sait qu'elle a d'autres idées en tête. A cette heure, en semaine, la circulation est réduite, se limitant aux longues files de camions que la voiture dépasse rapidement.

De temps en temps, Hugo quitte la route des yeux pendant une fraction de seconde pour regarder son épouse assoupie. Qu'elle est belle ainsi alanguie, pense-t-il. En la voyant, Hugo sent son sexe durcir peu à peu, annonçant une forte érection. Il a envie de reprendre ses caresses sur les cuisses de sa si belle femme, qui est maintenant quasiment endormie. En tendant la main vers elle, tout en gardant les yeux sur la route, il fait tomber son téléphone qu'il avait posé à côté du levier de vitesse. Pour le ramasser, il ferait mieux de s'arrêter, mais il n'y a pas d'air de repos à proximité.

Alors, il allume le plafonnier pour mieux voir et réduit sensiblement sa vitesse avant d'essayer de se pencher pour ramasser l'objet. Alors qu'il roule plus lentement dans la file du milieu, il se trouve maintenant au même niveau et à la même vitesse que le grand semi-remorque qu'il dépassait. Le chauffeur du camion, intrigué par cette voiture qui reste juste à sa hauteur, jette un coup d'œil qui dure un peu plus longtemps que nécessaire, lorsqu'il remarque, grâce à la lumière du plafonnier, les cuisses découvertes de la passagère, dont la robe d'été est restée très remontée.

Hugo tourne lui aussi la tête et voit le regard du camionneur qui vient, comme lui, d'éclairer sa cabine. Alors cela donne une idée excitante à Hugo, qui ne pense même plus à récupérer ce maudit téléphone. Il avait l'intention de rejoindre un parking connu pour les activités nocturnes, mais il a là l'occasion idéale pour commencer ce 'dogging' demandé par Inès. Il pose alors sa main sur la poitrine de sa femme, qui s'éveille à moitié. Le chauffeur du camion a bien vu son mouvement et se doute que quelque chose d'intéressant va peut-être arriver. C'est pourquoi, lorsque la voiture à sa gauche réduit encore sa vitesse, le camionneur fait de même.

Un à un, Hugo détache les boutons de la robe jusqu'à la taille, puis en écarte les pans, découvrant la poitrine nue d'Inès. Le chauffeur du camion montre immédiatement son intérêt en levant le pouce. Alors, Hugo caresse lentement les seins de sa femme, énervant les pointes. Inès se laisse faire, sensible à ces caresses qui la réveillent vraiment maintenant. Elle repère à l'instant le camion et son chauffeur, qui la regarde bien plus que la route. Sa chatte se mouille énormément à la pensée de tout ce qui pourrait suivre. Inès a été tellement frustrée pendant une si longue période qu'elle se sent prête à tout.

Elle met alors son siège en position couchette pour mieux profiter de ces instants, de cette main qui la fait frémir et des autres attouchements qu'elle espère. Hugo relève complètement la robe, montrant ainsi sa femme quasiment nue. Il fait glisser sa main et caresse doucement la chatte qui s'offre, Inès écartant largement ses jambes.

Il est difficile d'aller plus loin en conduisant. C'est à ce moment que le chauffeur alerte Hugo d'un coup de klaxon et lui fait signe de le suivre. A quelques kilomètres plus loin, ils s'engagent dans une aire de repos très peu éclairée et s'arrêtent à l'endroit le plus sombre.

Inès, qui a remarqué le manège de son mari, commence à se douter de ce qu'il essaye de faire. Il veut encore m'exhiber, me caresser sous les yeux de ce camionneur qu'il veut exciter, se dit-elle. Effectivement, Hugo lui enlève sa robe. Inès est complètement nue. Le chauffeur descend alors de son camion et s'approche de la voiture, dont Hugo vient d'ouvrir en grand la vitre du côté passager. L'homme est très baraqué et fait penser à quelqu'un des pays de l'Est, comme en témoigne son accent, alors qu'il dit :

« Bonsoir madame. C'est bien joli tout ça. »

Les grosses mains caleuses palpent durement la poitrine d'Inès, qui apprécie ces caresses fortes. La main descend sur le ventre, se plaque sur le pubis. Un gros doigt se replie et s'enfonce sans ménagement dans le vagin d'Inès. En entendant le clapotis que fait ce doigt, Hugo ne peut se retenir. Il sort son sexe pour se masturber, comme il se doit pour un bon voyeur. Inès ouvre fébrilement la braguette de l'homme et en fait sortir une très grosse bite, ce qui lui fait dire :

« Chéri, ce n'est pas toi qui en a une comme ça ! »

A cet instant, l'homme déboutonne et baisse son pantalon d'une main pour mieux mettre tout à l'air. Inès est surprise par la grosseur des couilles qui lui font imaginer tout ce qu'elles contiennent. Le doigt de l'homme se courbe en elle et presse sur son point G, ce qui lui fait tremper la main de l'inconnu. L'homme s'appuie contre la portière. Son sexe est tendu par la fenêtre ouverte, tout près du visage d'Inès. Alors celle-ci fait coulisser la peau qui recouvre le gland. L'odeur forte qui s'en dégage fait penser à Inès que l'homme, plutôt rustre, n'est probablement pas adepte d'une hygiène poussée. Cela ne la dégoûte pas, bien au contraire.

Inès fait passer sa langue sur un gland déjà bien humide, puis elle le prend complètement en bouche. D'une main, elle palpe les testicules, alors que sa bouche aspire continuellement. Elle sait, par expérience, qu'aucun homme ne peut résister longtemps à cette caresse. Alors, sans interrompre sa succion, elle resserre ses doigts et plante ses ongles pointus dans les couilles du chauffeur, qui éjacule dans sa bouche. Elle voudrait tout garder sur sa langue, mais il y en a tant qu'elle est obligée d'en avaler la moitié. Le goût est fort, très fort, bien plus fort que celui de son mari.

Pendant que le chauffeur se réajuste, Inès se redresse et dit «merci » à son mari, avant de l'embrasser sur la bouche. Hugo, surpris, n'a pas le temps de se reculer. Déjà Inès pousse avec sa langue la moitié du sperme sur celle de son mari. Hugo se sent honteux d'être excité par ce que lui fait subir sa femme, mais il continue cependant leur jeu, mêlant leurs langues, faisant passer le sperme d'une bouche à l'autre. Cela dure jusqu'à ce qu'Inès redresse son siège, prenne le visage de son mari entre ses mains, pour le faire pencher en arrière. Dans cette position où elle le domine, Inès l'embrasse de nouveau et tout ce que contenait sa bouche se vide dans celle de son mari, à qui elle ordonne de tout avaler. Hugo est paradoxalement à la fois excité et dégoûté, mais il obéit.

« As-tu aimé cette expérience de 'dogging'? », questionne-t-il sa femme.

« Bien sûr, j'ai aimé, mais on ne va pas s'arrêter là, la nuit ne fait que commencer, alors organise-moi la suite. »

A cours d'idée, Hugo quitte sa voiture et va rejoindre le chauffeur près de son camion, pour lui dire :

« Je crois que ma femme a envie de continuer un peu. Est-ce possible pour vous? »

« Évidemment ! Je bande de nouveau et j'aimerais baiser ta femme. Es-tu d'accord? », répond le chauffeur, qui ajoute :

« Mais je n'ai pas de préservatif. Est-ce un problème? »

Hugo réfléchit très vite. La prudence serait de refuser. C'est ce que lui dit son esprit, contredit par son sexe qui bande encore plus durement. Il va pourtant choisir la sagesse, mais, au moment de s'exprimer, il pense à la déception de sa femme, qui va lui en vouloir, qui va lui faire payer sa frustration. Alors il laisse à Inès le soin de décider, sur le moment. Peut-être demandera-t-elle à son partenaire de se retirer avant la jouissance. Il sent qu'il a perdu tout contrôle sur les évènements et que sa femme seule dirige maintenant leur sexualité, aussi répond-il :

« Non, elle préfère à nu », avant de revenir s'installer à sa place dans la voiture, trop heureux de pouvoir regarder sa femme de si près dans cette situation.

Alors, le routier s'approche de la voiture, en ouvre la porte côté passager et attrape brutalement les jambes d'Inès, qui ne cherche pas à résister. Dans ce mouvement, la tête d'Inès vient se poser sur les cuisses de son mari, qui en ressent la pression au bon endroit sur son pantalon. Les fesses de sa femme sont juste posées sur le bord du siège, tournées vers la porte ouverte. Le chauffeur sort son sexe et l'enfile d'un coup dans le vagin accueillant. Inès est si excitée que le gros membre est rentré sans difficulté. Elle a cependant bien senti la pression de ce sexe très épais qui a dilaté son vagin. L'homme ne cherche pas à faire plaisir à cette femme qui lui est offerte. Il veut juste se vider les couilles, comme le fait régulièrement ce célibataire avec des prostituées.

Inès s'en rend tout de suite compte et elle comprend qu'il la prend comme un pute. C'est cette pensée qui l'excite au plus haut point. Elle n'a jamais été traitée comme ça, mais elle aime, ou plutôt elle adore, d'autant plus que l'homme la pistonne à une vitesse folle, la touchant profondément à chaque fois. Elle ne peut se retenir et elle se laisse emporter par une folle jouissance, qui lui fait contracter son vagin sur la grosse pine, qui se bloque alors en elle, pressant le col de son utérus. Sentant sa jouissance arriver, l'homme se retire de suite pour arroser son pubis, mais il n'a pas été assez rapide. Une bonne dose de sperme a giclé dans le vagin d'Inès. Sans rien dire, il s'éloigne, laissant Inès retrouver ses esprits.

Hugo se sent un peu gêné, car les mouvements de la tête de sa femme sur son pantalon pendant ce coït furieux l'ont fait éjaculer dans son slip. Il sort un instant de la voiture pour se réajuster. Le routier s'approche alors de lui pour le remercier :

« Merci de m'avoir prêté ta femme. Tu as de la chance. C'est une sacré baiseuse. C'était super bon de la prendre à nu. Elle m'a tellement excité que je n'ai pas pu me retirer à temps et j'ai un peu giclé en elle. Bon, ce n'est pas grave car ta femme prend sûrement la pilule pour se faire baiser comme ça, sans protection. »