Soumise Ou Non 05 (Des Risques)

BÊTA PUBLIQUE

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Elle sent qu'elle en peut plus reculer maintenant, aussi se lance-t-elle sans même attendre la réponse de son mari :

« Tu sais, cet homme était vraiment très beau. Il me plaisait beaucoup. J'ai aimé sa façon de me cajoler, ses baisers partout sur mon corps, alors me suis sentie... comment dire... un peu... amoureuse. Je sais que c'est vraiment hors des limites de notre accord et je sais que tu pourrais me punir pour ça, pourtant c'est ce que j'ai vraiment ressenti. Je vais être même très franche : j'étais amoureuse... pas seulement un peu... et je peux te le prouver... si tu n'es pas fâché... »

Hugo est partagé entre faire respecter par sa femme les règles qu'il lui impose et une curiosité qu'elle a faire naître en lui. Il finit donc par dire :

« Comment pourrais-je être content de cette petite trahison d'un soir? Mais je ne te punirai pas, car j'ai vraiment envie de savoir. »

Alors Inès commence, un peu hésitante :

« Voilà... j'étais si bien dans ses bras... je m'étais donnée à lui, totalement. Je sentais son sexe encore dur en moi et j'ai alors pensé qu'il bouchait mon vagin, bloquant ainsi son sperme bien au fond. J'ai, à cet instant, espéré être fécondée et cela a été ma dernière pensée avant de m'endormir. »

Inès laisse à son mari le temps de digérer se dernière phrase, avant de lui murmurer à l'oreille, comme une confidence :

« Ne t'inquiète pas. Je ne serai que l'amoureuse d'un soir. Cet homme, dont je ne connais même pas le nom, était invité par le club pour la soirée. Il est déjà reparti et je ne le reverrai jamais. Il n'aura laissé un très bon souvenir... au moins... si tu vois ce que je veux dire... non, je te taquine. »

Fatigués par cette nuit avec si peu de sommeil, ils décident tous deux, pour cette dernière journée sur place, de ne pas aller skier et de prendre une journée de repos. Ils passent un peu de temps à lire dans un salon. Inès porte un fin pantalon noir très ajusté et un chemisier blanc très léger. Hugo trouve que sa femme est toujours aussi belle et cela lui fait oublier sa lecture pour penser de nouveau aux jeux érotiques qu'il espère. Alors qu'ils sont seuls à cet endroit, il dit à Inès :

« Ma chérie, j'espère que tu auras l'occasion d'être coquine, aujourd'hui. »

Inès hésite un peu avant de répondre :

« Je sais que tu en as envie... et moi un peu aussi. Peut-être devrais-je être plus prudente qu'hier soir? Les risques ne peuvent qu'augmenter de jour en jour. J'essaierai de flirter un peu, mais ça n'ira pas plus loin, puis on se retrouvera pour que tu me fasses l'amour, mais toujours avec un préservatif, évidemment. »

En fin d'après-midi, Inès fait un tour dans la salle de bridge, jeu qu'elle affectionne. Ici également, elle se sent regardée, moins directement qu'au bar, mais pourtant les yeux sont posés sur elle. Elle sent particulièrement le regard d'un homme très bronzé, aux cheveux frisés, qui la détaille. Il doit avoir un peu moins de quarante ans. Inès se dirige vers lui et l'homme l'invite à s'installer à sa table, où il reste une place libre. Avec les présentations, elle apprend qu'il se prénomme Omar et est marocain, ce qui l'étonne car les yeux bleus sont plutôt rares chez les hommes du sud. Tout en jouant, elle jette quelques coups d'œil à son partenaire, qui lui plaît assez.

A la fin de la partie, l'homme l'accompagne et s'installe à sa table pour dîner. Pendant le repas, ils font plus ample connaissance, et, en se levant après le dessert, Omar propose à Inès de l'accompagner au bar.

« D'accord », dit-elle.

Lorsqu'elle le retrouve au bar, Hugo, qui s'est installé sur un tabouret à côté d'eux, écoute discrètement leur conversation.

« Êtes-vous mariée? », demande le marocain.

Lorsqu'elle acquiesce, il poursuit par un:

« Mais vous êtes seule alors? »

« Non, je suis ici avec mon mari, mais nous sommes rarement ensemble », lui répond Inès.

L'homme laisse paraître sa surprise en lui disant:

« C'est étonnant de laisser seule une si jolie femme. »

Avant qu'elle ne réponde, le marocain ajoute à brûle pourpoint :

« Pourquoi n'irions nous pas passer la soirée au casino? »

L'idée n'est pas pour déplaire à Inès qui lui dit :

« Pourquoi pas? Mais je remonte d'abord pour prendre un manteau. »

Alors l'arabe lui fixe rendez-vous dans sa chambre, dont il lui donne le numéro.

Inès croise son mari dans le couloir et lui explique le programme :

« Il veut m'emmener au casino », lui dit-elle rapidement, « mais je dois le retrouver d'abord dans sa chambre ».

Hugo a compris que la sortie n'était qu'un prétexte pour attirer Inès. Il se doute que l'homme va essayer de la draguer et de lui faire l'amour. A cette pensée, il se sent tout de suite follement excité.

Hugo a suivi sa femme et l'a vue entrer dans la chambre du marocain. Après quelques instants d'attente, il ne peut résister à la tentation de les épier. Alors, il s'approche sans bruit dans le couloir et colle son oreille à la porte. Dans le noir, il se concentre sur l'écoute.

Dans la chambre, l'homme n'a pas perdu de temps. Dès la porte refermée, il plaque ses lèvres sur celles d'Inès dans un baiser fougueux, auquel elle répond. Omar l'embrasse partout, sur le visage, sur le nez et même dans les oreilles. Il a soif d'elle. Sans plus attendre, le marocain déboutonne le chemisier et l'ouvre. Il lui caresse les seins à travers son soutien-gorge. Inès est sensible à cette fièvre qu'elle sent chez cet homme qui la désire. Puis, il lui enlève son chemisier et retire le soutien-gorge, libérant ses seins. Alors, se baissant un peu, il y pose sa bouche et en suce les pointes.

Pendant ce temps, dans le couloir, Hugo écoute, attentif à tous les bruits. Il entend d'abord des bruissements de vêtements que l'on retire, puis des murmures, et enfin les soupirs de son épouse adultère. Être là, si près d'eux, les entendre et imaginer ce qui se passe l'excite au plus haut point. Son sexe se tend en une forte érection, si forte qu'elle en est presque douloureuse.

Omar continue de caresser les seins d'Inès, mais ses mains ne font qu'accompagner le travail des lèvres qui sucent les pointes tendues. Il les aspire dans sa bouche, provoquant ainsi chez sa partenaire de longs soupirs, qui se transforment presque en râles de plaisir, lorsqu'il accroît sa succion. Inès apprécie ces caresses un peu trop fortes. Pourtant, quand l'homme, excité par les réactions qu'il voit, s'acharne sur un téton qu'il aspire de toutes ses forces, les sensations d'Inès passent brusquement du plaisir à la douleur. Cela l'inquiète mais l'excite malgré tout. C'est seulement lorsque la limite du supportable est atteinte qu'elle lui demande de se calmer.

L'arabe lui baisse alors son pantalon et son slip. Inès se tient debout devant lui, dans une tenue encore plus indécente que si elle était intégralement nue. Pour l'exciter, elle écarte un peu les jambes. Sensible à l'invite, Omar s'accroupit et vient poser sa bouche au bas du ventre qui s'offre à lui. Ses lèvres frôlent le pubis et sa langue se glisse dans la toison, pour descendre enfin vers le clitoris. Inès aime la caresse humide du bout de la langue qui titille longuement son bouton. Elle en soupire d'aise et sent que son sexe se mouille plus encore. Le contact se déplace. Omar suce maintenant les lèvres intimes, les aspire, les écarte pour venir lécher les parois de ce vagin odorant, dont les sécrétions nappent sa langue un peu plus à chaque fois. Lorsque sa bouche met fin à cette longue caresse, c'est pour ordonner:

« Couche-toi sur le lit. »

Inès retire alors son pantalon et son slip, avant de s'allonger sur le dos. Elle ose écarter largement ses cuisses. Elle sait qu'elle se comporte comme une salope, mais elle a trop envie de cette exhibition. Elle veut lui offrir son sexe. Toute excitée par son indécence, elle ne quitte pas Omar des yeux, attentive à son déshabillage. Lorsqu'il est nu, elle regarde alors ce membre qui va bientôt la pénétrer. Il est vraiment très long. L'homme se place alors au-dessus d'elle, tête-bêche, et pose de nouveau sa bouche sur cette vulve offerte. Ses mains se posent sur les cuisses d'Inès et les écartent au maximum. Sa langue caresse un court instant le clitoris tendu, puis s'enfonce entre les lèvres, forçant le vagin trempé. Elle passe et repasse, pénètre, suce, lape sans cesse.

Hugo, l'oreille toujours collée à la porte, n'en peut plus d'entendre ces bruits de succion et les soupirs de plaisir de sa femme. Au risque d'être surpris, il a sorti son sexe et se masturbe rapidement.

Inès, quant à elle, profite de ce léchage qui dure longtemps et l'excite. Au-dessus de son visage, elle voit le membre en érection du marocain qui lui donne tant de plaisir. Alors, pour lui rendre la pareille ou peut-être aussi satisfaire sa propre envie, elle passe le bout de sa langue sur le gland. Elle voit bien que l'homme, qui ne s'attendait pas à une telle initiative, est sensible à la caresse. Le sexe réagit et tressaute à chaque coup de langue. Inès, encouragée par ces réactions, absorbe goulûment le membre dans sa bouche et le suce. Elle l'aspire et le pompe.

Par moments, elle arrête sa succion et garde longuement le sexe de l'homme dans la chaleur de sa bouche. Elle sent alors un peu d'humidité au bout du gland, un peu de liquide annonciateur du plaisir couler du méat et se répandre lentement sur sa langue. Omar pousse son sexe, l'enfonce dans la bouche accueillante, butant à chaque fois un peu plus durement au fond de la gorge d'Inès. Elle sent qu'il est très excité et qu'il va bientôt jouir dans sa bouche. Elle n'a pas envie de recevoir son éjaculation, de boire son sperme, car elle espère une autre pénétration, une autre jouissance.

Le marocain, trop excité, se retire de la bouche d'Inès pour éviter une éjaculation prématurée. Il porte alors ses mains vers le sexe de sa partenaire. Ses doigts se posent sur les lèvres et les écartent fortement, ouvrant ainsi un vagin béant. Réunissant en faisceau les doigts d'une main, il les pousse dans la vulve ouverte. Le sexe s'écarte mais résiste à la pénétration. L'homme accentue sa pression. Inès ressent douloureusement cette introduction, qu'elle ne refuse pas, bien au contraire. Elle aime être forcée ainsi. Elle a peur d'avoir trop mal et pourtant elle ne voudrait pour rien au monde que l'homme abandonne son projet pervers.

A chaque nouvelle pression de cette main, qui s'enfonce à chaque fois un peu plus loin, elle laisse échapper un soupir de plaisir, ponctué d'un petit cri de douleur. Ses lèvres intimes sont tirées douloureusement vers l'intérieur et refusent le passage de la dernière articulation, au plus large de la main. Alors, l'arabe s'aide de son autre main pour tirer sur les lèvres, pour les faire bouger et épouser les dernières phalanges. Lorsqu'elles lui paraissent bien entourer sa main, il l'enfonce violemment. Inès, qui attendait cet instant, pousse un cri strident lorsque la main disparaît complètement dans son vagin, dont les lèvres se referment sur le poignet de l'homme, comme une bouche gourmande.

Elle se sent écartée, remplie, distendue, et cette pensée, jointe à la fabuleuse sensation qui l'habite, la fait déjà vibrer de plaisir. Inès profite intensément de ces instants, mais l'homme ne veut pas en rester là. Il commence à faire bouger sa main. Il la fait tourner en elle, comme pour prendre totalement possession de ce vagin conquis. Dans ce mouvement, les ongles un peu trop longs meurtrissent les chairs sensibles. Malgré la douleur, le vagin maltraité dégouline, facilitant les mouvements des doigts. L'homme en profite alors pour faire coulisser sa main dans un va et vient de plus en plus rapide et ample. Il ressort même parfois sa main complètement pour l'enfoncer tout de suite au plus profond du sexe, sans ménagement.

A travers la porte, Hugo entend distinctement les bruits de clapotis significatifs de la pénétration. Il ne sait ce que l'homme fait subir à sa femme, mais il ne peut ignorer que cela doit être très dur, s'il en croit les cris de son épouse. Il se caresse sans arrêt et retient difficilement une éjaculation. Il laisse un peu de sperme couler le long de son sexe, sur ses doigts, et s'en sert pour amplifier encore les sensations de sa masturbation. Et, tout à coup, il entend sa femme jouir et crier son plaisir dans un long hurlement.

Inès, qui n'a pas encore récupéré de ce moment intense, repense à ses bonnes résolutions, mais elle sait qu'elle ne pourra s'y résoudre. Elle est trop excitée. Elle a trop envie d'être pénétrée par le sexe de cet homme qui lui a donné dans de plaisir, même si cela a été dans une douleur à laquelle elle a pris goût. Il va la pénétrer, mais elle lui demandera de se retirer avant la jouissance, se dit-elle. Omar se couche sur elle et la pénètre de son sexe tendu. Si ce n'était la sensibilité due aux griffures internes encore bien présentes, elle sentirait à peine ce membre en elle, tant son vagin reste ouvert et distendu. L'homme doit sentir également que cette pénétration n'est pas idéale, car il se retire et se renverse en arrière.

Alors, Inès se place au-dessus du sexe et s'y empale. Ainsi, même si son vagin n'enserre pas bien le membre, elle sent le gland appuyer contre sa matrice. Elle aime ce contact profond. Alors, son partenaire, qui l'a certainement compris, se met à se cambrer violemment sous elle, plantant à chaque fois plus loin sa pointe très longue et dure. Inès est de nouveau à la limite de la jouissance, lorsque ces coups violents la soulèvent et manquent de lui faire perdre l'équilibre. Avant qu'elle n'atteigne le plaisir, l'homme se retire. Inès apprécie de ne pas avoir eu à lui demander ce retrait.

Il lui écarte de nouveau fortement les cuisses et lui enfonce d'un seul coup sa main complète dans le vagin. Inès est au plus fort de l'excitation, lorsqu'elle sent les doigts la ramoner sans ménagement. Puis la main ressort pour entrer de nouveau, mais cette fois c'est son poing fermé que l'arabe enfonce d'un coup en elle, frappant durement le col de l'utérus. Puis il recommence dans des mouvements, à chaque fois plus amples, plus rapides, plus violents. Inès hurle son plaisir sans discontinuer, mais c'est pourtant elle qui lui demande d'arrêter, car la douleur est maintenant trop forte.

Hugo a écouté derrière la porte en se masturbant au même rythme que les coups qu'il a entendu sans savoir exactement ce que sa femme subissait.

« Mets-toi à quatre pattes sur le lit », dit alors l'arabe à Inès.

Lorsqu'elle est en position, l'homme lui plante son membre et commence à la besogner. Inès soupire, râle, rythmant ainsi chaque coup au fond de son sexe meurtri. Les soupirs se font plaintes, puis cris. Et, tout à coup, Inès, tellement excitée qu'elle n'a même pas pensé à lui dire de se retirer, sent de grandes giclées de sperme noyer le col de son utérus et elle se met à jouir pour la seconde fois, encore plus violemment, et à hurler de plaisir, faisant entendre sa jouissance dans tout l'étage.

Alors Hugo l'accompagne en arrosant sa main et éclaboussant ses vêtements d'un sperme qui n'en finit pas de jaillir, sans qu'il ne puisse le contrôler.

Plus tard, quand le couple se retrouve, dans leur chambre, lorsque son épouse raconte son aventure à Hugo, leurs ébats restent doux, légers. En effet, Inès ne supporte plus la moindre caresse sur ses seins endoloris. Son vagin meurtri refuse toute pénétration et saigne même un peu. Son cou porte la marque d'un gros suçon. Des traces de morsures s'étalent tout au long de son épaule et son dos est griffé jusqu'au sang. Inès se contente donc de branler doucement le sexe de son mari en lui racontant son aventure dans les moindres détails. Elle termine son récit en lui disant :

« C'était très fort. Je crois que je n'avais jamais eu un tel plaisir, mais cet homme me faisait peur. Avec lui, contrairement à ma rencontre d'hier soir, il n'y avait aucun sentiment. J'étais angoissée et j'aurais dû refuser ces rapports, mais, dès qu'il a commencé, mon plaisir était si intense qu'il était au-dessus de mes forces de résister. Je n'ai même pas pu lui demander de se retirer et il m'a inondée de sa semence. »

Alors que son mari reste un instant pensif, Inès, épuisée, s'endort instantanément dans ses bras.

Le lendemain, au réveil, Hugo passe le premier à la salle de bain, car Inès a commencé à préparer les valises pour un départ imminent. Lorsque Hugo libère la place, Inès va prendre sa douche puis ressort de la salle de bain, en disant :

« Hier soir, je me suis endormie si vite que je n'ai pas pu faire de toilette intime. Le sperme est resté en moi toute la nuit. Comme j'ai pensé que le mal était fait, ce matin, je n'ai rien fait non plus. Ce n'était pas nécessaire, n'est-ce pas? »

« Tu prends tout de même plus de risques», lui répond son mari, « Les spermatozoïdes, à l'intérieur du corps, peuvent rester vivants pendant plusieurs jours, ce qui ne sera pas loin de ta prochaine ovulation.»

Inès le savait, évidemment, mais elle n'y avait plus pensé. Curieusement, ce rappel de son mari, qui aurait dû l'inquiéter, l'excite à un point qu'elle n'aurait pu imaginer. Penser qu'elle pourrait être enceinte dans ces conditions est pour elle très érotique. Inès en est presque à le souhaiter. Elle se rend compte qu'elle prend même plaisir à sentir l'angoisse de son mari. Inès se dit que c'est elle, par son comportement, qui est à l'origine de cette crainte. Elle est surprise de s'en délecter. Inès se demande ce qui lui arrive. Elle qui subissait la domination de Hugo qui avait fait d'elle son esclave sexuelle, voilà qu'elle ressentait un pouvoir inconnu sur son mari. Si elle portait un enfant en elle, ce serait forcément celui d'un inconnu, puisqu'elle avait imposé le préservatif à son mari. Elle est aussi consciente de l'humiliation qu'elle imposerait son mari si elle accouchait d'un bébé de couleur. Ce pourrait être le cas si elle était enceinte de son second partenaire. Inès n'en est pas à le souhaiter, mais cela lui fait ressentir son pouvoir sur Hugo. Pourrait-elle inverser les rôles? Y prendrait-elle goût? Inès se dit alors qu'elle devrait explorer cette possibilité qui ferait d'elle une femme totalement libérée. Ces pensées n'ont tourné dans son esprit que pendant quelques secondes et son mari ne s'est rendu compte de rien. Elle lui répond alors :

« Veux-tu vraiment que je fasse maintenant cette toilette intime? Nous n'avons pas beaucoup de temps. Et puis, j'avais déjà en moi le sperme de l'homme de la veille, alors? Nous allons attendre pour voir ce qui se passe, mais nous ne prendrons plus de risques jusque là. Pour toi, ce sera le préservatif. »

Hugo ne peut qu'acquiescer.

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... à suivre ...

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4 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 10 mois

cette escapade en montagne fut très excitante !!

AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Cette prise de pouvoir de la femme soumise est un ressort érotique très excitant ! Soumise dominatrice et dominateur soumis... j'aime beaucoup Merci Toutfaitpourelle

Assas78Assas78il y a 10 mois

Très excitant cette inversion des rôles.

C'est l'arroseur arrosé .

J'espère qu'elle va réussir à soumettre son mari cocu

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Cette inversion des rôles est diabolique et les risques de fécondation tellement probable !

Hugo qui utilisera un préservatif .... Bientôt il ne pourra plus pénétrer sa femme ?

Rudy

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