Si tu vas à rio -- Ch. 03

Informations sur Récit
Face à ma destinée.
3.4k mots
4.6
3.9k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 07/07/2022
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Lorsque nous rentrons au vestiaire j'ai un regard immédiatement pour le coin sombre où j'avais vu l'autre garçon la dernière fois. Pierre me sourit et me demande si je suis déçu que personne ne soit là. Tout rouge je réponds que non bien entendu, et il me sidère en me disant que c'était normal que la place soit vide car il l'avait réservé pour moi. Il est sûr que cela va beaucoup me plaire comme nouvelle expérience. Je ne suis pas d'accord, mais alors pas d'accord du tout. Il reste très calme, me dit que je dois bien faire cela puisque je l'ai déçu tout à l'heure et que c'est la suite de la punition. Il me culpabilise, et sans doute sait-il déjà que je ne supporte pas la culpabilité. J'essaie de lui dire que ce n'est pas du tout ce qui m'attire, et il sourit en me répondant que si, je suis une petite pute avide de sexe et d'être utilisée, et qu'il est certain que je vais y prendre du plaisir. Il me propose un marché : si je ne prends objectivement aucun plaisir et que je regrette après, alors je pourrais décider de tout ce que je veux après ces dix jours, sans aucune limite. Mais si je prends du plaisir c'est lui qui continuera à tout décider sans aucune limite.

L'image du garçon embroché par les deux côtés me revient et je me dis qu'au pire c'est une expérience unique, moi qui n'en ai aucune. Je baisse la tête en guise d'assentiment, mon destin pour la soirée est scellé. Pourtant les épreuves ne font que commencer. D'abord je dois me mettre nu devant tout le monde et j'espère que la faible luminosité des vestiaires masquera mes marques sur les cuisses et les fesses. Les regards appuyés me font comprendre qu'il n'en est rien et je réalise aussi que les hommes qui me prendront à 4 pattes en auront un aperçu parfait. Je passe les mains sur mon fessier et je sens les marques en volumes, au moins je n'ai pas souffert pour rien, ni de rien, c'était vraiment dur. Et je suis au final très fier de moi, et comme ce soir je suis la pute de service, autant assumer. Rien que cette idée m'excite et je me rappelle que je dois essayer de prendre le moins de plaisir possible.

J'ai juste réussi à reprendre contenance quand Pierre m'indique que je dois aller me laver partout pour être bien propre. Je ne comprends pas ce qu'il dit. Aussi il m'explique en montrant une douchette avec un embout particulier. Je dois l'insérer dans mon rectum, laisser l'eau s'écouler 10 secondes, courir aux toilettes me vider et recommencer jusqu'à ce que cela soit parfaitement propre. Et ce au vu et au su de tout le monde. Je me demande s'il est sérieux, mais il l'est. Il me donne un peu de savon liquide pour rendre la première intromission plus agréable, et pour la première fois de ma vie, je me vide le cul. La sensation est étrange, je sens mon ventre se gonfler un peu, mais surtout une envie de me vider très forte, je me précipite aux toilettes pour tout lâcher d'un coup. A la couleur je vois que c'était nécessaire. Je répète l'opération 5 fois, pour être certain que tout soit bien nickel. Cela me fait un peu mal au ventre mais je n'y pense plus. Je me sèche bien, et conformément à ce que Pierre m'a demandé, je vais me mettre à 4 pattes sur la table prévue à cet effet et j'attends. Je ne dois pas bouger.

Un premier groupe d'hommes arrive derrière moi, je sens des mains me flatter, des commentaires mais en brésilien donc que je ne peux comprendre, une main masser mon sexe qui durci, une autre me flattant la croupe, un doigt qui s'insère dans ma bouche. Je ne bouge pas, je me laisse totalement faire, je suis la pute de service. Un doigt enduit de crème me masse le sexe, c'est doux et agréable, je ne sais pas qui est-ce, avant que je n'entende le bruit d'un préservatif, rapidement suivi par la pression d'un sexe contre mon cul. Celui-ci s'ouvre facilement, le sexe est petit et assez court, je ne sens pas grand-chose, sinon les coups de boutoir de son propriétaire. Cela discute beaucoup derrière moi tandis qu'un homme vient devant, relève mon visage et sans avoir à me le dire, j'ouvre la bouche pour prendre son sexe mou et le lécher doucement. Quelle sensation extraordinaire que de sentir ce sexe devenir dur par la seule action de ma langue. Je fais bien attention de ne pas le blesser avec mes dents, je m'appuie sur une seule main pour pouvoir caresser son membre bien dur et imposant de l'autre main. Je préfèrerais celui-là dans mon cul, tant l'autre ne me fait pas grand-chose.

Heureusement il jouit vite, et sort de mon cul tandis que je lèche toujours le beau membre viril. On me tend un préservatif rempli, je ne sais trop quoi en fait. Le brésilien que je lèche me montre une coupe et je dépose le préservatif usagé dedans. Enfin il se retire de ma bouche et vient m'embrocher par derrière. La sensation est bien différente, même affolante. Son pieu est très long et vient cogner contre mes organes, je ne sais lesquels, mais c'est douloureux quoique très excitant. D'une main il enserre mes couilles, et tire dessus au rythme de ses coups de boutoir. La douleur est vive dans mes couilles qui remonte dans le ventre, je gémis de souffrance et de plaisir, et je réalise avec sidération que l'écrasement de mes couilles me fait bander et m'excite prodigieusement. Plus il sert et plus c'est douloureux et plus le plaisir monte.

Il accélère le rythme et cela devient incontrôlable pour moi et comme une vraie petite pute je me mets à jouir et à éjaculer sous moi. Mon enculeur en profite pour m'écraser les couilles et me faire crier et jouir profondément en moi. Je suis sonné mais je reste bien en place. Je me sens honteux d'avoir joui, je me demande si je vais être à nouveau puni par Pierre. J'ai une pensée rapide pour Sophie, serait-elle furieuse? L'homme me tend son préservatif rempli de son sperme, je le pose dans la coupole. Il y a des éclats de voix derrière moi, je ne bouge pas, plus personne ne me touche, je réalise que j'ai fait une grosse bêtise mais je n'y pouvais rien.

Enfin je sens une main caresser ma fesse puis saisir mes couilles à leur base. Je sens un dispositif qui est fixé à leur base et qui tire bien mes petites noisettes en arrière, en les serrant très fort. Un hammer je pense, puisque je ressens les vis qui se ferment. C'est peut être ma punition. C'est douloureux mais excitant aussi de sentir mes couilles compressées. Mais l'outil a été modifié avec une plaque qui vient dessus et qui en se vissant, écrase les couilles progressivement. Les 4 vis sont tournées l'une après l'autre, et je sens l'étau de plus en plus fort. Bizarrement je ne bouge pas. Lorsque la pression devient trop forte je me mets à haleter, avant que je ne perde toute notion tant je suis pris par la douleur.

C'est à cet instant que je vois Pierre se présenter devant moi, j'ouvre automatiquement la bouche pour le sucer. Il m'explique qu'il est évidemment interdit de prendre du plaisir à cette place, une petite pute ne jouit pas. La punition est un écrasement de mes couilles, sachant que chaque homme qui m'enculera aura le droit de faire un tour de vis. Je tremble d'effroi lorsqu'il ajoute qu'il ne sait pas bien dans quel état seront mes couilles à l'arrivée, aucune n'a jamais éclaté mais comme je suis une proie rare qui change des brésiliens, il n'est pas sur que cela n'arrive pas avec moi. Il ajoute, comme s'il y pensait, que bien évidemment il n'y avait pas besoin de savoir si j'y avais pris du plaisir, et que donc il attendait de ma part une parfaite obéissance à tous ses désirs d'ici la fin de mon séjour au Brésil. Il avait évidemment raison, mais comment aurais-je pu deviner que je pourrais jouir de mes couilles maltraitées. Même là, écrasées au bord de l'évanouissement, je sentais mon pieu dur comme de la pierre. J'étais maudit.

Déjà un autre homme me prenait et rien que par la sodomie, la douleur dans mes couilles était ravivée. Heureusement chaque homme n'avait le droit de serrer d'un tour qu'une des 4 vis car j'en ai un grand nombre qui m'utilisèrent le cul ou la bouche. J'avais le ventre déjà rempli de sperme, et la coupelle à côté de moi débordait quand Pierre vint me dire que mon tour était fini. La nuit était tombée depuis longtemps et je réalisais alors que le vestiaire était très calme. Il me caresse les cheveux et me dit qu'il était très fier de moi. L n'y avait plus qu'à vider la coupelle. Pour cela je devais vider tous les préservatifs dans ladite coupelle et tout boire. Même si je n'étais plus à cela près, le faire ainsi à froid était vraiment difficile, humiliant et révoltant. Je lançais un regard implorant et Pierre me demanda de ne pas tout gâcher. Une fois encore la culpabilité, aussi j'obéis.

Le mélange était bizarre on aurait dit, en fait je ne sais pas quoi. Je pris ma respiration, ce n'était qu'un petit moment à passer puis je serais libéré de ce carcan de couilles épouvantable. Sauf qu'il y en avait beaucoup et qu'il me faut plusieurs gorgées, j'ai très soif mais j'attends d'être libre pour demander à boire. Un homme que je ne vois pas desserre doucement les 4 vis, j'ai tellement mal, cette fois-ci je ne bande plus. Mes couilles sont toutes violettes, gonflées, méconnaissables. Je pleure d'émotion tandis que Pierre me prend dans ses bras. Il m'explique qu'il est très fier de moi et que j'ai vraiment un gros potentiel.

Il a décidé de m'envoyer un mois dans une hacienda à quelques centaines de kilomètres pour que je suive là-bas une formation par une amie à lui. Je lève la tête surpris, lui disant que j'ai mon avion dans 10 jours. Mais comme mes cours ne reprennent pas avant deux mois, cela n'a pas d'importance, il me prendra un autre billet. Il pourrait me prendre même un billet en première classe mais une petite pute comme moi ne voyage pas en première classe me dit-il pour m'humilier. Et oui je suis très humilié d'être traité ainsi. Après m'être rincé de partout, nous rentrons en silence à son penthouse. Arrivé je lui dis que je ne suis pas d'accord. Que cela va trop loin. Je veux juste prendre du plaisir et découvrir plein de choses mais là c'est bien trop et ce n'est pas du tout ma vie. Pierre me regarde longuement. Il prend son temps. Je pensais qu'il serait furieux mais j'avais besoin de lui dire que j'arrêtais, c'est bien trop perturbant, je ne sais pas si c'est moi vraiment ou si c'est juste que je le fais comme je ferais n'importe quoi. Et je perds complètement le contrôle.

Pierre m'explique qu'au contraire, c'est ma vraie vie qu'il me permet de découvrir. Comme pour le rôle de la petite pute des vestiaires, je pensais que cela ne me plairait pas et cela m'a tellement éclaté que j'ai jouis au deuxième visiteur! Il savait juger les hommes et il savait que je n'en étais pas un. Même avec Sophie c'est elle qui avait le phallus, moi j'étais la femelle du couple. Ma vie est insignifiante, et lui me promet une vie incroyable avec des gens incroyables. Je n'ai vraiment rien à perdre. Je reste obtus, je veux rentrer, j'ai eu trop mal aujourd'hui entre les coups de canne et mes couilles. Il sourit et me dit que j'aime la douleur, quand la métisse me mord les tétons je bande. Quand on écrase mes couilles, même de façon extrême, je bande. Et surtout que je ne me plains pas de m'être fait sodomiser à la chaine par une dizaine d'hommes.

Il me laisse réfléchir toute la nuit et demain matin je lui donne ma réponse. Comme il est fâché il me jette un oreiller par terre et me dit de dormir sur le tapis. Je me retrouve nu avec juste un oreiller, le corps et l'esprit meurtri, bien décidé à tout arrêter dès le lendemain. Je ne me reconnais pas, je n'ai pas le temps de souffler et je ne sais même pas si cela me plaît. Ce n'est pas parce que je bande que j'aime. Ce n'est pas parce que cela m'excite et que je jouis que cela me plaît. Ou bien si? Je m'endors épuisé malgré la précarité de ma couche.

Je me réveille d'un bon le jour est levé, j'ai dormi d'une traite mais je me sens aussi épuisé que la veille et le corps perclus de douleurs. Pierre est déjà levé et c'est l'odeur du café qui m'a réveillé. Je me sens un peu gêné, je ne sais pas trop quoi faire ni dire. Après un tour aux toilettes je le rejoins à la cuisine où il me demande d'emblée ma réponse. Je suis cueilli à froid, je n'y ai pas vraiment pensé cette nuit et je suis encore à moitié endormi. Je dois lui répondre, et le souvenir de la veille reste vraiment fort tout comme les tiraillements dans mes couilles ou mes fesses et je lui réponds que je souhaite rentrer.

Je pensais qu'il allait s'énerver. Au lieu de quoi il m'explique que sa proposition n'était en rien intéressée pour lui, parce que là où il voulait m'envoyer ce sont des relations hors normes qui ne lui conviennent pas, mais qu'il pense sincèrement que cela me conviendrait et que là est ma place. Il me dit que 99% des gens ne vivent pas leur vie, obéissent à des mantras métro boulot bébé dodo sans chercher ce qui est vraiment bon pour eux, ce qu'ils sont faits pour vivre. Dans le 1% restant il y a tous ceux qui s'éclatent dans leur vie quelle qu'elle soit, et parmi certains c'est de s'éclater dans une sexualité hors norme, dans des émotions sans cesse renouvelées, dans une transgression inimaginable pour les 99% restants. Lui, Pierre, voulait me donner cette chance sachant que lui s'éclate grandement, préférant ne pas se marier pour avoir mille et une aventures toutes plus exotiques les unes que les autres, moi ayant été une de celles-là. Mais c'était mon choix, j'aurais du y penser, parce qu'étudier ne semble pas être mon karma, mais que très clairement je suis fait pour servir, subir une loi extérieure, donner du plaisir sans en prendre.

Je n'ai rien pu répondre et dans la voiture qui nous amène à l'aéroport je cogite tout cela. Surtout je repense à mon studio parisien, à ma solitude totale, et au fait que depuis toujours j'attends quelque chose. Je le sais bien, et je me demande si ce n'est pas cela. D'un autre côté c'est juste un mois, cela peut être intéressant au moins pour mieux me connaître. Je suis mal, j'ai déçu Pierre et je me dis que je me suis peut être trompé. Arrivé au parking, je retrouve les sensations de la veille lorsqu'il m'a pris sur son capot. Ce n'était qu'hier, c'est fou! D'une voix tremblotante je lui demande s'il veut bien me violer comme la dernière fois sur le capot, puis m'envoyer ensuite dans son hacienda?

Je me rends compte que je me suis trompé. Pierre me regarde longuement. Il me précise que là-bas il n'y a aucune limite, aucune règle sinon que je dois une absolue obéissance et que je n'aurais le choix de rien. Que le mois ne peut être raccourcis et que lui Pierre ne me récupèrera que dans un mois. Je lui dis oui à tout, que je suis consentant, que je le remercie, les larmes coulent, je suis en perdition. Pierre me sort de la voiture, le capot est brûlant mais il n'en a cure, il me casse dessus, enlève mon short et mon boxer, mon t-shirt pour me mettre nu, et écarte mes fesses. Pour la première fois je suis enculé à sec, et je le sens passer. La première poussée me provoque une douleur phénoménale que je contrôle en respirant fort, et qui s'apaise progressivement. La lubrification vient progressivement et son gland rentre profondément dans mes entrailles avec tout son sexe, je suis défoncé comme jamais je ne l'ai été et je sens comme c'est si bon. J'ai envie de jouir, je fantasme d'une bouche sur mon sexe, mais hélas il n'y a rien et j'ai compris que je ne devais pas penser à mon plaisir.

Un homme passe près de la voiture, je me sens honteux, mais Pierre n'est pas gêné, il lui propose de goûter à mon cul de petite pute, l'autre sourit, mais continue son chemin, à mon grand soulagement. Juste quand il va jouir, Pierre m'ordonne de me retourner, et je l'embouche pour le terminer et avaler sa précieuse semence. Mu par un réflexe incontrôlé, je me penche sur ses chaussures et les lui embrasse avec ferveur. Il me relève, me dit qu'il n'est pas mon Maître et que je trouverai bien assez vite. Il enlève la valise du coffre pour la mettre sur la banquette arrière, s'amuse de me voir ainsi bander, prend deux attaches rapides en plastique pour me ligoter les mains dans le dos, et les chevilles ensemble, mon slip dans la bouche avec un large sparadrap pour compléter le tableau et me fourre au sens propre dans le coffre de sa voiture, sans un mot. Le coffre est refermé, je suis dans le noir, cela sent bizarre, je ne m'attendais pas à cela, si vite. J'espère ne pas vomir dans mon slip qui me remplit toute la bouche! De façon surprenante je me sens bien, une boule au ventre certes, mais je suis heureux d'avoir changé d'avis, au pire je passe un mois d'enfer mais cela me fera des souvenirs!

Je me suis endormi lorsque le coffre est ouvert et que je suis ébloui par le soleil brûlant. Je me redresse avec difficulté et sors du coffre, les graviers blessant mes pieds. Nous sommes face à une grande ferme comme il y en a des milliers, et rentrons dans le bâtiment principal, désert. Pierre me demande de me mettre à genoux et d'attendre, c'est douloureux sur le carrelage mais je ne dis rien. Il rentre dans ce qui semble être un salon, j'entends des voix. Je regarde la décoration plutôt spartiate même si cela sent le luxe dans les tentures, la qualité de la peinture et les quelques meubles d'ébène. Le temps passe, la douleur dans les genoux devient infernale mais je n'ose pas bouger, je suis certain que dès que je vais bouger cela sera le moment où Pierre reviendra.

Difficile de savoir combien de temps je reste là, je suis certain qu'au moins une heure s'est passée, j'ai vu l'ombre du soleil nettement progresser. C'est alors que j'entends la voix puissante de Pierre m'appeler par le nom affectif qu'il me donne, petite pute, et me demander de rentrer en restant à 4 pattes. La mise en mouvement est douloureuse et je fais pauvre figure à marcher ainsi les genoux douloureux. La pièce où m'attend Pierre est grande. Il est attablé avec une femme d'un certain âge, sans doute la cinquantaine, qui me regarde très fixement, je n'en mène pas large, d'autant qu'à 4 pattes je suis clairement en position d'infériorité. Ils ont du déjeuner pendant tout le temps où j'attendais dans l'entrée! Cette idée m'humilie profondément, mon orgueil en prend un coup, et sans trop de surprise maintenant, mon sexe aussi qui sans se redresser prend du volume. Je suis vraiment complètement déglingué de réagir comme cela, et de me retrouver ici.

Je n'ose regarder cette dame, qui ne ressemble en rien à ce que je pouvais imaginer d'une dominatrice. Elle a le teint halé, des cheveux gris, un certain embonpoint, une poitrine très imposante, dans un ensemble pantalon en lin assez strict. Mais son regard suffit à voir qu'elle n'est pas commode, et à me sentir vraiment tout petit. Pierre se lève, lui dit qu'il lui laisse sa petite pute et qu'il revient dans un mois jour pour jour pour la récupérer, et s'en va en l'embrassant, sans un regard, sans un mot pour moi. Je me sens perdu, je ne sais même pas si nous parlons un langage commun, mais je ne bouge pas, pétrifié.

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Anonymous
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2 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Très excitant. J’ai hâte de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Un regal meo, comme chacune de vos histoires. Vous nous régalez!!!!!!

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