Si tu vas à rio -- Ch. 02

Informations sur Récit
Première punition.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 07/07/2022
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Dans les vestiaires, tous les hommes sont nus pour le sauna ou la douche. Je réalise qu'effectivement le club m'est ouvert qu'aux hommes, cela me paraît dingue, avec des serveuses uniquement, c'est vraiment très sexiste! Pierre se met aussi nu et je ne peux me retenir de regarder son sexe. Il est au repos mais me semble de vraiment bonne taille à comparer au mien au repos. Je suis gêné, mais je me mets nu aussi, surtout pour ne pas me faire remarquer, même si je suis, de loin, le plus jeune des vestiaires. Les hommes sont plutôt ventripotents, et c'est remarquable comme Pierre lui s'entretient. Je me dis que c'est sans doute le plus beau de ce vestiaire.

Je croyais être le plus jeune du vestiaire jusqu'à ce que mes yeux me donnent l'impression de rêver : dans un coin plus sombre, un coin qui semble spécialement aménagé, un jeune brésilien de mon âge est à genoux sur une table recouverte de cuir, et se fait sodomiser en plein devant tout le monde par un vieux corpulent qui discute avec d'autres hommes, tout en le fourrant en rythme. C'est obscène et incroyable, je suis hypnotisé. Lorsque le vieux corpulent semble avoir joui, il se retire, donne sa capote au jeune homme et un autre prend sa place, cette fois-ci avec bien plus de vigueur, défonçant le cul du pauvre esclave qui est ainsi offert. Je l'entends ahaner en rythme.

Un troisième homme vient en face de lui et il se fait embrocher des deux côtés. Une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Je vois cette bite de taille respectable disparaître tout entier dans la gorge de l'objet sexuel, assistant pour ma première fois à une gorge profonde. Je ne croyais pas vraiment que cela existait en fait. Je sors de mon état hypnotique par Pierre qui me touche du bras et me montrant mon sexe tendu au maximum, me dit que cela semble me plaire. Il me demande si j'ai envie d'utiliser le jeune homme. A nouveau très gêné je réponds que non.

Mais il est vrai que mon sexe est très dur et que j'ai très envie de jouir. Je n'ai jamais aimé les hommes, aussi je ne comprends pas bien l'origine de mon excitation, sans doute l'atmosphère assez irréelle qui règne là. Il se penche vers moi et avec un sourire il me demande si, au contraire, j'aurais envie d'être à la place du garçon. Je reçois sa question comme un coup de poing au ventre, ma respiration est coupée, je le regarde hébété ne sachant pas quoi dire, tellement cette demande me paraît insensée et décalée. Il rit de sa blague sans que je ne réponde et nos regards retournent vers le coin des réjouissances.

Il m'explique qu'il y a souvent un ou deux employés du club qui viennent servir de vide couille pour les clients, quand ils ont fini leur service, pour se faire un peu d'argent avec les pourboires. Je lui demande s'il a déjà fait cela et il me rétorque que je suis bien curieux pour mon âge et que j'aurais bien le temps de découvrir ce qu'il avait fait et qui il était. Genre de réponse qui ne dit rien et ne sert à rien, mais au moins cela m'a coupé le sifflet. Je me sens mal à l'aise de cette situation avec des discussions dans une langue que je ne maîtrise pas, et cette érection que tout le monde pouvait voir. Mais objectivement personne n'y prêtait attention, même si de nombreuses personnes me dévisageaient. Connaissant leur goût pour les jeunes brésiliens je n'en menais pas large.

Toute la soirée j'ai eu cette image d'un jeune homme mince et fluet, pris par ces deux hommes vigoureux et puissants en même temps, cela me troublait énormément, sans nécessairement m'exciter sexuellement, j'avais simplement du mal à intégrer cette image dans ma bibliothèque personnelle et il me fallait du coup du temps pour m'y apprivoiser. Je sentais presque un sexe en moi comme le garçon avait dû le sentir, plus difficilement la gorge profonde me demandant comment cela était donc possible. J'avais du mal à suivre la conversation avec Pierre, et j'avais hâte que nous rentrions chez lui.

Nous bûmes beaucoup et rentrèrent au loft très tardivement. Nous partions dès demain pour rio. Pierre vivait dans un grand appartement superbe, mais avec une seule chambre. Une vue à couper le souffle et le luxe suintait partout. J'aimais bien, c'était vraiment confortable. Nous partageâmes alors son lit, immense, et faisant comme lui, je me glissais nu sous les draps. Parfois je mettais un t-shirt, mais là il faisait assez chaud malgré la climatisation.

Il me demanda si j'avais apprécié ma journée, et si j'avais préféré la métisse et son massage ou le jeune homme qui se faisait prendre en sandwich, je ne savais que répondre, mais ces deux évocations liées à mon manque de jouissance firent se redresser légèrement le drap, ce qu'il ne manqua pas de remarquer. Son pied vint prendre appui sur le mien pour entrer en contact et sans réponse de ma part, il rit en saisissant mon sexe, soulignant que ces évènement ne m'avaient pas laissé froid.

J'étais tétanisé. Il souleva le drap, permettant à sa main de coulisser plus facilement, me branlant délicatement. Même Sophie ne m'avait jamais masturbé ainsi, c'était la première fois que je sentais une main saisir mon sexe, et c'était très doux, très fort. Les sensations étaient bien plus fortes que quand je me touche et me caresse moi-même. Je sentis si vite le plaisir arriver, je n'ai pas pu me retenir et je jouis dans sa main, par longues saccades, en gémissant, tandis qu'il se moquait gentiment de moi. C'était divin, j'avais des étoiles dans les yeux, mais curieusement, je ne me sentais pas rassasié, je crois que j'aurais pu jouir à nouveau dans la foulée. La pensée de Sophie vient ternir de culpabilité cette libération, je me promis de tout lui expliquer si un jour elle daignait me rappeler.

Après s'être essuyé d'un kleenex, il me dit que c'était à moi de lui rendre la pareille. Maladroitement je lui pris son sexe dans la main. La sensation était incroyable et tellement nouvelle. Je sentais toute sa puissance tandis que son sexe devenait dur. Il me fallait deux mains pour en faire toute la longueur, je me mis à genoux pour pouvoir mieux le masser, essayant d'aller doucement. Il me dit que je n'étais pas très doué, me prit la tête et la pencha vers son sexe. Je compris qu'il voulait que je le suce. Je compris surtout que j'avais envie de le sucer, je n'étais plus à cela près de cette folle journée où tous mes repères s'effondraient.

Je n'en revenais pas. Je léchais doucement son prépuce bien tendu, avant de l'engouffrer dans la bouche et de le lécher du mieux que je pouvais. Ma main enserrait le manche de son membre, tandis que je l'aspirais. Je n'avais jamais reçu une pipe, mais j'avais déjà regardé quelques vidéos, je m'appliquais du mieux possible. Je ne dû pas être si mauvais puisqu'au bout de deux ou trois minutes, je sentis des jets de foutre remplir ma bouche. Sa main m'interdisait de me retirer, et j'avalais tout, avec un mélange de dégoût et d'excitation. D'excitation due au dégoût! J'étais aussi assez fier de lui avoir donné du plaisir et j'étais complètement perplexe alors que j'avais toujours détesté mon sexe et les sexes d'hommes.

Il me dit juste c'est un bon début, puis éteint la lumière. Je mis beaucoup de temps à m'endormir, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. J'avais adoré la sensation de son sexe tendu dans la bouche, mais aussi très heureux d'avoir senti son désir pour moi s'exprimer, ce sperme qu'il avait craché dans ma bouche était pour moi.

Au matin je me réveille avec une sensation douce, je suis toujours nu, le drap est relevé, le soleil rentre dans la chambre. Je sens la main de Pierre qui me caresse doucement les fesses, il me faut du temps pour le réaliser. Je suis gêné, je ne sais que faire, il a été adorable avec moi, je ne veux pas créer de problème, je me laisse faire. J'ai fait plein de rêves plus excitants les uns que les autres aussi je me sens rempli d'un désir de sensualité. Mon érection du matin est bien là et il peut voir mon sexe tout dur entre mes cuisses, je suis mort de honte. Il me masse doucement les globes, c'est agréable, sans même le réaliser j'écarte un peu les cuisses, plus pour soulager la tension de mon sexe, mais cela lui envoie un signal et il me malaxe plus fort, inspectant ma raie, posant un doigt sur mon cul qu'il masse. Je suis sûr qu'il sent que mon cul n'est pas vierge, et je rougis de honte.

Bien entendu je ne me suis jamais fait enculer mais cela fait des années que je prends plaisir à mettre tout ce que je peux dans mon cul. Parfois je suis pris de frénésies pires que sur mon sexe, je veux mettre des légumes ou des objets de plus en plus gros, une petite bouteille de coca est ce que je préfère, je me sens défoncé, pris à la gorge, cela tire dans les jambes, mais je fantasme souvent de plus, de pénétrations vraiment excessives. Je me suis même obligé à dormir avec des objets en moi, pour que mon cul soit bien souple, voulant toujours pousser plus loin ces expériences mais aussi ces sensations si fortes. Curieusement jamais je n'ai pensé à avoir un sexe d'homme. Après avoir léché celui de Pierre je me dis que c'est assez excitant.

Pierre, justement. Son doigt masse doucement mon anus, tandis que l'autre main ouvre le tiroir de la table de chevet. Je ne bouge pas, comme si je dormais, je sens alors un liquide froid couler sur ma raie, je panique, mais toujours sans donner signe de vie. Le lubrifiant pénètre mon petit trou, les doigts se font plus insistants, le premier rentre, vite suivi du second. Instinctivement je creuse les reins, c'est la première fois que je me fais doigter, c'est tellement doux. Je sais qu'il ne va pas en rester là, mais je ne résiste pas, je ressens à nouveau cette fatalité d'être utilisé comme je l'ai été avec Sophie. Une fatalité qui me convient bien. J'ai juste très peur de ne pas être bien propre.

Les doigts sont profonds, je me détends, je sais bien ce qu'il faut faire pour faciliter l'intromission. Pierre se relève, me dit que je suis une bonne petite pute, il se met derrière moi et je sens son sexe appuyer contre mon trou du cul. Je n'aurais jamais cru que cela arriverait. Il pousse doucement, ma corolle s'ouvre, je le sens qui me prend, mon sexe est dur comme la pierre, je gémis, je n'arrive pas à me retenir et je crie oh oui, déclenchant alors une poussée vertigineuse jusqu'au tréfonds de mon cul. Il me tient, il me possède, je suis sa pute, et il se met à me pomper comme un fou, de façon bien plus violente qu'hier les vieux hommes au club. Il sort entièrement sa queue pour la replonger au plus profond de moi. Je sens des fourmillements dans mon sexe, c'est tellement fort en émotion. Je tremble de partout. Enfin je n'en peux plus, il jouit en moi. Je suis frustré, j'aurais aimé sentir les giclées de foutre.

Je m'écrase dans le lit mais il me demande de le nettoyer, je n'hésite pas, en fait je ne réfléchis pas, mais son membre est bien propre, avec encore un peu de sperme. J'avais eu envie de goûter mon sperme mais je n'avais jamais essayé en fait. Je n'aime pas trop, mais cela m'excite, je me sens vraiment une pute, j'ai trop envie de jouir. Il me dit de ne pas me laver, qu'il veut que je fasse tout le voyage avec son foutre dans moi, qu'il coule dans mon slip quand je serais devant ma mère. Oh c'est tellement sale. Je tressaille profondément, j'ai l'impression d'avoir un orgasme tant tout mon corps est secoué de frissons, je suis profondément remué.

Une semaine que je suis à Rio et je commence à m'ennuyer ferme. Ma mère passe ses après-midis et soirées au bridge et je me retrouve le plus souvent seul. J'ai bien visité les centres d'attractions les plus intéressants de la ville, profité de la plage d'Ipanema qui s'étend juste au pied de notre immeuble, mais rien ne me tente ou ne me fait vraiment envie. Je n'ai pas ouvert les livres que j'ai emportés, sachant bien que ma mère n'allait pas s'occuper de moi, encore moins mon fallot de beau-père. Toutes mes penses sont tournées vers ce qui s'est passé pendant ce voyage, aussi bien avec Sophie qu'avec Pierre.

Avec Sophie cela a été merveilleux et finalement conforme à ce que je peux fantasmer habituellement. Elle est vraiment jolie, jeune, dynamique, pleine de vie et nous nous sommes bien amusés. Avec Pierre je reste dans une sorte de stupéfaction, ne sachant pas trop si j'ai aimé, adoré, ou juste subi passivement tout ce que nous avons fait en ces quelques 24 heures ensemble. Et dans les deux cas, je réalise à quel point j'ai été, et finalement je suis, passif, totalement passif, prenant même un grand plaisir au fait d'être utilisé. J'interprète cela comme susciter de l'intérêt de la part de ces personnes, alors que je ne me pense pas vraiment intéressant, ni attirant, ni rien du tout. Si je n'ai pas vraiment d'ami c'est sans doute bien que je suis transparent, ce que j'ai ressenti toute ma vie, comme lorsque ma mère est partie il y a 4 ans au Brésil, me laissant à 15 ans seul dans un petit appartement à me débrouiller.

Sur le chemin que nous avons fait en voiture avec Pierre, il m'a longuement interrogé sur plein de sujets, ma vie, mes études, ce que j'aimais, et bien entendu il a abordé ma sexualité. Je ne suis pas trop habitué à ce qu'on m'interroge et je suis totalement incapable de ne pas répondre à une question. Cela me fascine lorsque je vois des personnes ne pas répondre, ou bien faire des réponses qui ne disent rien. Lorsque quelqu'un me pose une question, je me précipite pour y répondre, sans me demander pourquoi elle me la pose, ni si je dois répondre, c'est quelque chose d'impérieux. Du coup Pierre sait tout de ma vie, non qu'il y ait beaucoup à savoir, mais il s'intéresse aussi à mes relations avec ma mère, mes deux grandes sœurs.

Je l'ai senti surpris de découvrir que j'étais vierge avant de prendre l'avion de Paris, et trouvait très amusant les expériences vécues du coup. Il m'a questionné sur mes plaisirs solitaires et malgré mes réticences j'en suis venu à lui parler de mes plaisirs masochistes que ce soit sur mon sexe, ou les sodomisations que je m'inflige. Je ne l'ai pas senti me juger du tout mais être très intéressé de comprendre mes motivations, mes ressentis. Jamais je n'avais parlé de cela à quiconque bien entendu, et curieusement cela m'excitait de lui en parler. Il l'a repéré et en mettant sa main sur mon sexe dur dans mon short, il m'a caressé et j'ai à nouveau jouis très fort. Le sperme a fait une tache assez visible sur le short au travers de mon boxer, et l'odeur était lourde. J'étais gêné, et assez humilié, et Pierre en a rajouté en me disant que j'étais un petit éjaculateur et que je devais être éduqué et comme première punition je ne me changerai pas pour arriver à destination.

Rien que d'entendre ses propos avilissants, mon sexe redevint dur! Je me demande bien pourquoi cet homme me fait un tel effet. Ou alors ce n'est pas lui, peut être les situations. Je passe mon temps à repenser à tous ces évènements, et à en imaginer d'autres mais curieusement je ne me fais pas jouir. Je préfère rester au bord, cela rend la fièvre sexuelle encore plus intense, c'est une frustration terrible.

Au matin du huitième jour je reçois un message de Pierre venant prendre de mes nouvelles et savoir si tout allait bien. Je suis heureux et flatté qu'il m'écrive. Nous échangeons un peu, sur mon ennui d'abord, puis sur mes pensées intimes ensuite. Quelques heures plus tard il me propose de venir à Sao Paulo si j'ai envie de continuer ce que nous avions commencé, sans doute que ma mère ne s'y opposera pas puisqu'elle s'en fout de ce que je fais. Je ressens immédiatement une boule au ventre, me demandant ce que cela signifie continuer ce que nous avons fait. Il propose de m'envoyer un billet d'avion et que je passe une grosse semaine chez lui à explorer de nouveaux plaisirs. Je sens le sang battre dans ma tête, une envie terrible de me faire jouir alors qu'il n'y a rien de salace dans ses propos, mais aussi une certaine angoisse, me demandant si c'est dans cette direction que j'ai envie d'aller.

Non que j'espère un message de Sophie, mais ce que j'ai vécu avec Pierre est tellement différent de ce que je pensais être. Je suis en vacances, je m'ennuie et ce ne sera qu'une parenthèse. D'autant qu'après mon retour à Paris, j'aurais encore deux mois à ne rien faire avant la rentrée en deuxième année. Ma mère est d'accord, ne me pose aucune question et me voici reparti pour Sao Paulo pris en charge encore plus que la première fois par Pierre.

Je le retrouve à nouveau à l'aéroport comme 10 jours plus tôt. Je ressens immédiatement mes entrailles qui font un nœud en le voyant, j'ai l'impression de franchir un précipice et de perdre tout contrôle. Je me demande si j'ai bien fait. Mais l'alternative c'est un ennui abyssal, je ne risque pas grand-chose. Je le sens moins jovial et plus déterminé encore que la dernière fois, et je n'ose pas parler tandis que je le suis jusqu'à la voiture. Une fois la valise dans le coffre, il me couche de force sur le capot, baisse mon slip pour mettre mes fesses à nue. Je regarde paniqué à droite ou à gauche, craignant d'être vus, mais nous sommes dans un coin désert.

Je sens la chaleur du capot sous mon ventre, une main prendre mon sexe et le rendre dur en quelques secondes. Mais cette fois-ci je n'ai pas la chance de pouvoir jouir, car ses doigts glissent vers mon anus qu'ils massent doucement. Après un court instant et des bruits que je n'identifie pas, je sens un peu de liquide couler sur ma rondelle, et les doigts me pénétrer doucement. D'abord un, puis deux, puis trois, cela tire. Je voudrais écarter mes jambes mes mon short est à mes genoux et je ne peux rien faire pour faciliter l'intromission. Je gémis en continu, c'est si fort et si bon. Je suis d'un coup excité et j'ai envie de sa queue en moi.

Je lui demande de me prendre, ce qui le fait rire, sans doute est-il satisfait de ma réaction. Les doigts se retirent, j'entends la fermeture éclair qui descend, et son pieu qui appuie pour me fendre en deux. Il y va progressivement, sans revenir en arrière, c'est impérieux, c'est délicieux, je me sens envahi, rempli. C'est bien meilleur que mes godes mais en même temps j'aimerais que ce soit plus gros. J'aime toujours plus, je suis déraisonnable, j'ai toujours besoin d'aller plus haut et défier toutes les limites.

Je regarde autour de nous, toujours personne, je continue à gémir tandis qu'il se met à aller et venir avec force, cherchant à me prendre le plus profondément possible, m'écrasant sur le capot de la voiture que j'ai peur de déformer. Ses mouvements commencent à être désordonnés et très vite je sens sa queue gonfler et Pierre jouit en me traitant de sale petite pute, ce qui m'excite bien. J'halète, je suis essoufflé et je sens avec regret qu'il retire son sexe de mes entrailles. Sans qu'il ait besoin de rien me dire, je me retourne, remonte mon short et mon slip pour bien garder sa précieuse semence et, à genoux, je lèche doucement son membre pour le rendre bien propre. Je caresse ses couilles qui sont pendantes et vraiment très grosses. J'ai envie d'encore le lécher, mais il se retire de me bouche affamée et se rajuste. J'ai la tête qui tourne, je sens le sperme s'échapper de mon cul, je me fais honte. Et je sais maintenant que cela m'excite et que j'aime cela.

Nous partons à nouveau pour le club. Pierre m'explique qu'il passe beaucoup de temps là-bas et que la plupart de ses affaires se décident autour d'un déjeuner ou bien d'un match de tennis. Il est conseiller financier et travaille pour les familles les plus fortunées du Brésil. Je comprends alors qu'il a beaucoup d'entregent et qu'il est lui aussi plutôt très riche. Mais je pense surtout à mon désir de jouir. Je lui avoue spontanément que je ne me suis pas fait jouir depuis que je l'ai quitté à Rio, et il me regarde d'une façon que je n'arrive pas à décrypter. Je lui demande si cela lui fait plaisir, et il répond être très satisfait. Il reste dans ses pensées le reste du trajet, coincés que nous sommes dans les embouteillages paulistes.

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