Self Domination Ch. 01

Informations sur Récit
Deux amies d'enfance font la fête et se découvrent.
2k mots
4.31
4.2k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/19/2023
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Louise fête sa quille ce soir, dernier jour d'un stage horrible qu'elle a fait dans les sphères politique. C'est ma meilleure amie, elle fait science po, tandis que je suis dans une fac de droit où je termine mon master. Nous nous connaissons depuis la maternelle et nous sommes toujours collées ensemble. Ce soir je la retrouve chez elle avant un barathon, où elle espère lever un mec. Elle adore le sexe, ne s'attache pas et est toujours partante pour toutes nouvelles expériences. Moi ce n'est pas mon truc, encore moins ce soir! A son grand désespoir.

- Tu veux essayer un truc?

- Un truc?

- Tu me fais confiance?

- T'es bête, évidemment!

Et Louise me met dans la bouche un papier à cigarette plié en 8 que je dois avaler, elle ne veut pas m'en dire plus. Je n'ai rien prévu ce week-end si c'est un truc horrible, j'aurais le temps de m'en remettre. Je ne suis pas facilement effarouchée non plus! La conversation se fait plus gaie, nous mettons la musique plus fort, on danse comme des folles, j'ai une grosse énergie. Je réalise que je suis hyper détendue, tout aussi excitée physiquement que sensuellement, et j'éprouve une tendresse de dingue pour Louise. Cela doit être réciproque car ses yeux sont des braises dans lesquels je me perds. Je n'ai pas l'impression d'avoir pris une drogue, juste d'être super bien, comme jamais en fait.

Plus de vingt ans que je la connais et je réalise que je ne l'ai jamais vraiment regardée. Un peu plus grande que moi, les yeux noirs comme ses cheveux, le teint en contraste très pâle, elle a une énergie qui transparaît par tous ses pores. J'ai toujours été fascinée par cette énergie qu'elle a, et qu'elle met dans tout ce qu'elle fait. Moi je me laisse bien plus porter. Je découvre qu'elle a une vraiment jolie poitrine que j'ai d'un coup envie de caresser, et des fesses hyper rebondies, bien qu'elle soit hyper mince. Elle est canon et il est vrai qu'elle lève n'importe quel mec rapidement, et certains objectivement des gravures de mode!

Moi je suis aussi blonde qu'elle est brune, un peu plus enrobée, mais juste ce qui me plaît. J'ai la taille fine, et pour cause, je la travaille depuis toute petite! Je sais que je plais aussi aux hommes, qui ne cessent de lorgner ma grosse poitrine et mes fesses qui remplissent mes jeans à les faire craquer. Ce n'est pas que je n'ai pas de libido, mais je n'arrive pas à accrocher.

Sa drogue c'est pour me rendre lesbienne? Nous partons d'un fou rire, tandis que nous nous rapprochons dangereusement. Je ris tellement je suis bien et heureuse, et je m'en fous si c'est à cause de la substance que j'ai ingérée. Nos bouches se collent, nous nous cherchons, nous nous trouvons, nos corps fusionnent et ce n'est que quand elle pose ses mains sur mes fesses que je réalise la catastrophe à venir. Mais je ne fais pas le moindre geste pour me retirer, j'en suis incapable, tant le besoin d'être soudée à elle est plus fort. Et puis je n'arrive pas à penser plus loin que cet instant magique.

Ses mains me découvrent, pas tant mes formes mais ce que j'ai sous ma robe et qui est censé rester caché de tous et toutes! La surprise ne la fait pas décoller de moi, au contraire, je la sens se presser encore plus. Elle découvre d'abord le câble qui passe entre mes fesses, puis en remontant elle découvre mon corset et le même câble qui fait le tour de ma taille, avec un petit cadenas pour le maintenir en place. C'est un câble en acier recouvert de silicone pour être confortable mais très solide. Ma respiration devient haletante, mes pensées brouillées. C'est toute ma vie secrète qui est en train d'être mise à nue, que j'ai masquée avec beaucoup d'application, et là je ne fais rien pour me protéger. Au contraire cela me plaît prodigieusement. Sans quitter ma bouche, elle redescend entre mes fesses en suivant le câble, et s'arrête de respirer quand elle sent l'extrémité métallique du gode profondément enfoncé en moi. En temps normal, je me serais enfuie, mais là, je n'ai qu'une envie, c'est qu'elle continue son exploration, qu'elle me mette à nue. Heureusement elle ne rompt pas notre baiser, remonte ses mains dans mon dos qu'elle caresse, rien de surprenant par là. Le gode se fait d'un coup ressentir en moi qui l'avait oublié dans l'euphorie de nos danses. Peut-être en restera-t-elle là? Nous parlons de tout, mais l'intime le plus profond n'a jamais été abordé, je n'aurais pas su ni pu lui expliquer avant.

D'un accord tacite nous ne disons rien, j'ai les yeux fermés, terrorisée à l'idée de croiser son regard. Elle me fait tourner en pressant une de mes hanches, notre baiser est plus difficile puis rompu à mon grand désespoir, alors nos yeux se cherchent maintenant, se sourient, même si elle reste interrogative et moi soulagée. Je ne lis aucun jugement ni aucune réprobation.

Je mets mes mains dans le dos pour caresser son ventre ainsi offert, c'est si doux, si tendre. Elle de son côté ne se gêne pas, soulevant et soupesant mes seins que je n'ai pas enfermés dans un carcan et qui sont mis en avant par le corset. Comme servis sur un plateau. Je fais un 90 D et leur volume me gêne parfois. C'est une découverte pour moi en voyant ceux de Louise tout à l'heure, comme des seins peuvent donner envie, alors que j'ai toujours trouvé l'attirance des hommes pour eux un peu étrange. Et c'est la première fois que je sens des frissons tandis qu'elle me les malaxe doucement, me soulageant de leur poids.

Louise pince doucement mes tétons, m'envoyant de petites décharges électriques, avant de les abandonner pour descendre plus bas. Sur le corset, elle retrouve le câble qui plonge, vers mon pubis libre de culotte et de poils. Elle hésite, moi je suis folle, je dégage une main posée sur son ventre, pour saisir ses doigts, qu'elle suive le filin, qu'elle descende un peu plus. Ses lèvres glissent sur mon cou dans un baiser mouillé qui me fait frissonner de plaisir. J'écarte légèrement les jambes pour lui ouvrir l'accès qui ne pourra que la troubler.

En haut du triangle de mon sexe, elle découvre l'anneau épais qui orne mon clitoris, le maintenant en tension permanente, et sorti de son capuchon. Le câble passe dans l'anneau, écrasant ainsi mon clitoris qui frotte à chaque pas et me rend folle du désir de jouir. Lorsque j'ai le droit, je me caresse presque une dizaine de fois dans la journée. Louise joue avec l'anneau, caresse doucement mon clitoris, m'amenant sans le savoir au bord de l'orgasme, avant de continuer son exploration.

C'est en-dessous que c'est un peu plus... transgressif. Je sens, au travers ses doigts, son incompréhension, sa recherche, sa stupéfaction. Sans dire un mot, elle me retourne à nouveau face à elle. Je mets mes mains dans le dos, je lui souris, l'encourage, folle que je suis. Je m'offre pour la première fois de ma vie. Je devrais être terrorisée, mais non. Folle d'elle à ce moment, c'est certain. Elle soulève ma jupe courte dévoilant ainsi mon sexe parfaitement fermé, les grandes lèvres repliées vers l'intérieur, ne présentant plus qu'une mince cicatrice verticale. Il est cousu serré, avec un fil épais pour ne pas le déchirer. Le filin disparaît entre mes lèvres pour ne sortir qu'au niveau du gode qu'il maintient en place. Je sais comme la vision est troublante, sauvage, tout en ayant une certaine esthétique. J'adore me photographier ainsi.

En temps normal, Louise aurait hurlé, exigé des explications, m'aurait engueulé, bref cela aurait été un drame total. Rien de tout cela ce soir, elle se jette dans mes bras, m'embrasse à nouveau, et me ressert à boire. Nous dansons encore de longues minutes, avant qu'épuisées nous nous écroulions sur le lit, collée l'une à l'autre. J'ai tellement envie de jouir, cela me rend dingue. Et tellement envie d'elle. Jamais je n'ai eu envie d'une fille avant, je crois même que cela me dégouterait.

Louise me caresse à nouveau, pas pour me découvrir, mais dans un plaisir sensuel et tactile dément. Je n'ai jamais été aussi excitée.

- Tu as envie de quoi? (Louise me murmure à l'oreille d'une voix que je ne lui connais pas. Ses yeux sont en flamme, je la sens tout autant consumée par le désir que moi)

- De toi, de toi, de tout de toi...

- De moi comment? Dis-moi, tout, lâche-toi.

- Oh oui? Tu veux vraiment? (J'essaie de réfléchir, mais je parle sans même y avoir pensé avant) J'ai envie que tu me mordes les tétons au sang, aussi fort que tu voudras, que tu me fasses hurler sans que cela ne t'arrête, que tu passes de l'un à l'autre indéfiniment.

- Marie... Marie... (Elle tremble et me serre si fort)

Ce soir Louise se lâche comme jamais, c'est fou. Sans quitter ma bouche, sa main se glisse sous mon chemisier dont elle défait les boutons laborieusement. Elle masse mes seins, les ramassant dans ses mains, jouant avec mes tétons, je brûle de désir de sentir sa propre attirance, son désir multiplie le mien.

Enfin elle se décolle, pose sa bouche sur mon téton gauche, tandis que sa main droite pince mon téton droit. C'est doux, tendre, bien trop pour moi. Je me tends vers elle, j'appuie doucement sur sa tête pour lui faire comprendre que je veux, que je peux bien plus. Mais je suis trop égocentrée, ce n'est peut-être pas son désir? Les mordillements sont plus forts, de plus en plus puissants. Elle joue avec ma chair sensible, l'étire, la mord pleinement, la tourne dans sa bouche. L'autre main n'est pas inactive, maintenant ses ongles me pincent, comme si elle voulait m'arracher mes chairs sensibles. Je mouille comme jamais, je n'ai jamais connu une telle sensation.

Je continue d'appuyer, lui envoyer le message. Elle voulait savoir ce que je désirais! Sans lâcher la pression, de peur qu'elle n'arrête paniquée de ma souffrance, je me mets à geindre, à crier, à implorer d'aller plus loin. Cette fois Louise a compris, elle m'enlève autoritairement ma main qu'elle place au-dessus de ma tête, et se met à mordre mon téton, parfois mon mamelon, à pleine dent. Je hurle, je sursaute dans tous les sens, la tête me tourne, la douleur irradie dans mon dos et dans tout mon corps.

Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, elle s'allonge un peu plus sur moi, ramène mon sein gauche, et fait subir à l'autre téton déjà bien pincé un tourment pire encore, je suffoque, je retiens en vain ma respiration, la douleur est toujours là. Je répète inlassablement oui pour surtout qu'elle n'ai pas peur. Mais elle n'a plus peur, elle me dit entre ses dents qu'elle a compris et que je vais avoir ce que je veux.

Alors je peux me laisser aller, et jouir de cette torture. Je me mets à couiner, remplie de souffrance, tandis qu'elle revient au premier sein, me faisant hurler de souffrance, je suis arquée. Elle prend l'anneau de mon clitoris, le tire, le tort, le pince de son ongle, je pleure, cette fois je supplie qu'elle arrête, c'est insoutenable. Mais rien n'y fait, elle continue son va et vient d'un téton à l'autre, martyrisant mon clitoris et ne se satisfaisant d'aucun de mes cris. Jamais je n'aurais osé rêver d'une telle séquence. Je ne fais rien pour me protéger, j'essaie de m'offrir le plus possible à la souffrance, je la sens enragée, mordant parfois mon sein à pleine dent et y laissant la trace de ses mâchoires.

Elle lâche un instant mes seins pour venir prendre mon clitoris entre ses dents, ce n'est pas facile avec le filin qu'elle fait glisser le côté. La morsure sur le clitoris me couple le souffle, mais la vue aussi, je plonge dans le noir tant la sensation est intense. Je sens un orgasme jaillir au milieu de ce torrent de douleur, je hurle, mais rien n'y fait, Louise continue comme si de rien n'y était alors que mon pauvre clitoris est encore plus sensible.

Enfin elle l'abandonne à ses ongles pour reprendre son va et vient sur mes tétons, elle est insatiable, elle me dit être affamée de moi, qu'elle veut me dévorer, je ne peux que m'offrir dans un bonheur et une souffrance aussi ontologique.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Louise découvre que sa copine est masochiste :)

AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

On est toujours dans l'excellent ! Imagination, description, psychologie, orthographe... Après, sur le fond, cette relation sexuelle et amoureuse basée sur le don le sacrifice de soi m'est difficile à lire. Mais peut-être faut-il la vivre ?

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Court, mais génial.

En plus le sexe cousu et piercing au clito : c'est génial !

Rudy

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