Révolte 04: Jennifer et Laurence.

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- Ce que vous avez vu, vous arrivera si vous faîtes les grandes. Alors, je ne vais vous le dire qu'une fois, coopérez, et si vous allez grave morfler, ce ne sera pas à ce point là. Au moindre refus, ce que vous avez vu, vous paraître être un séjour en camp de vacances. Sinon je vous donne ma parole, que tout ce qu'il vous arrivera dans cette pièce, même si ce sera dur, sera beaucoup plus facile à vivre que pour la directrice. Alors, Laurence, tu choisis quoi?

La médecin sait que ce qu'elle va vivre va s'apparenter à l'enfer, mais si elle résiste, elle vient de voir que ce sera pire encore.

- Je... Je vais être... coopérative...

- Bon choix. Et toi la jeunette?

- Je... ferais ce que vous voulez...

- Bien. Il te reste un pucelage la vieille?

- Non, aucun.

Laurence répond le moins précisément possible. Si elle a bien connue la sodomie, ce n'est que avec son mari, quand elle a ses règles.

- Bien, et toi, l'infirmière?

- Tous...

- Quoi, tu es vierge de partout?

- Ou...oui, monsieur.

- Parfait ça, tu sais que dès que l'on auras finis, tes trous seront aussi ouvert que ceux d'une vieille putain?

- Pitié...

- Tu supplie? Cela veux dire que tu ne veux pas?

Je... ne veux pas... Mais... je... ferais ce... que vous voulez... je serais... obé... obéissante...

- Bien, très bien.

Le gardien-chef est aux anges, il s'est déjà la pute de directrice, maintenant il va se faire cette chienne de médecin-chef. Ses deux fantasmes, les deux meufs qui le font bander comme un fou. La petite stagiaire ne sera qu'un dommage collatéral, tant pis pour elle. Puis elle est bandant la petite avec son air de sainte-nitouche, de petite vierge effarouchée.

- Chef, je... peux vous... demander quelque chose?

Il regarde la médecin dans les yeux, elle ne soutien pas son regard, baissant la tête en signe de soumission.

- Vas-y.

- Ne violez pas Jennifer... Ne prenez que moi... Laissez-la... Je... Je vous en... supplie...

- Tu me demandes de te faire subir à toi, ce que tu dois prendre, plus ce qu'elle doit prendre?

- Oui... c'est... c'est ça...

Le gardien-chef regarde les deux femmes, semblant hésiter.

- Désolé docteur, mais c'est impossible, ta petite pute est trop bandante.

Laurence baisse la tête, ne disant plus rien. Elle sursaute quand le gardien-chef s'approche d'elle. Il lui relève la tête. Il approche sa bouche de la sienne.Laurence le laisse faire, malgré le dégoût qu'elle éprouve pour le gros gardien. Il est sale, il pue, il est laid, tout en lui donne envie de vomir à la femme. Mais quand les lèvres de l'homme se colle sur les siennes, elle ne fait rien. Quand Laurence sent la langue du mâle contre ses lèvres, elle ouvre les siennes, et se laisse rouler une pelle.

Laurence sursaute quand la main du gardien-chef se pose sur son gros sein droit encore emprisonné par son soutien-gorge, sous la blouse.

Il cesse alors son baiser, se recule de quelques pas.

- Allez, montre-nous tes atouts.

Laurence comprend ce qu'il veut. Elle jette, honteuse, un coup d'œil à Jennifer qui se retient de pleurer. Lentement, le médecin se déboutonne sa blouse. Il y a peu de boutons. Ensuite elle la fait glisser de son corps, au sol. Dévoilant un corps svelte et musclé, parfait pour son âge. Il siffle en voyant son soutien-gorge blanc, et sa petite culotte blanche elle aussi.

- J'ai toujours su que tu étais bien foutu!

Laurence comprend que son corps dont elle à été toujours si fière, va être aujourd'hui la cause de bien des horreurs.

- Montre-nous ton cul!

Laurence obéit, elle a l'impression d'être une bête de foire.

- Joli, on va prendre plaisir à l'éclater. Refais nous face!

Une nouvelle fois, elle s'exécute.

- Allez, à poils maintenant.

Sans rien dire, la femme passe ses bras dans son dos, elle défait son soutiff, l'enlève. Leurs dévoilant des seins lourds. Sa poitrine encore bien ferme, ses larges aréoles brune, et ses petits tétons font leur effet sur ses hommes en manque de sexe. Puis elle descend sa culotte. Dévoilant son sexe parfaitement épilé.

- Parfait, tu es vraiment canon!

Laurence ne répond pas.

- Bien, plie-toi en deux sur ton bureau, et écarte tes fesses.

Cette fois le barrage de Laurence cède, elle fond en larmes. Mais les images de ce que vit la directrice sont toujours dans sa mémoire, elle ne pourra éviter le viol, alors autant éviter la violence. Elle se retourne, avance vers son bureau, elle dégage sur le côté ce qu'il y a dessus. Puis elle se plie en deux, posant son torse sur le bois, y écrasant ses gros seins.

- Bien, écarte bien les cuisses.

Laurence obéit.

- Parfait, écarte tes fesses avec tes mains.

Une nouvelle fois, la médecin s'exécute. Ouvrant ses fesses et son vagin.

- La belle chatte que tu as. Toi, la vierge, va là lécher.

- Quoi...

- Tu as compris, un conseil, si tu mets trop de temps, ce sera trente coups de fouets.

Terrorisée, Jennifer obéit. Elle se précipite vers la femme, elle s'agenouille derrière-elle. La jeune vierge sort sa langue, et avec dégoût la pose contre la vulve de son amie. Alors elle entreprend de la lécher.

Le gardien-chef rigole.

- Elle est peut-être vierge cette pute, mais question coup de langue, elle sait y faire.

En effet, Jennifer lèche la vulve de Laurence comme si elle voulait la dévorer. Une cuni bien baveux. Le gardien-chef se retient d'aller violer la femme, tant les soupirs qui montent de sa gorge prouve qu'elle y prend plaisir. Pourquoi ne pas lui offrir un dernier orgasme avant l'hallali. Pas par mansuétude quelconque, non, juste pour l'humiliée de jouir dans de telle circonstance. Et l'homme ne se trompe pas, moins de dix minutes plus tard, Laurence lance de petit jappements de plaisir. Il laisse continuer l'infirmière, jusque à ce que Laurence resserre ses cuisses sur le visage de Jennifer, criant sa jouissance, aspergeant le visage, la langue, la bouche de la jeune fille d'un jet abondant de cyprine.

Le gardien-chef excités par ce spectacle, se précipite vers les deux femmes. Il tire violemment Jennifer en arrière, qui tombe sur le sol. La bite du mâle est dehors, il n'a aucun mal à s'enfoncer en entier dans le ventre lubrifié à foison. Laurence lâche cette fois un cri, qui n'a rien de plaisir. Tant le sexe long et épais, lui meurtri son intérieur. Tout en la besognant, il regarde Jennifer.

- Langue-agile, glisse toi sous le bureau, et lèche le clito de cette pute que je baise!

Jennifer ne se fait pas prier et obéit. Elle passe sous le bureau en marchant à quatre pattes. Elle arrive au couple en train de copuler. Elle se redresse et pose sa langue sur le clito de Laurence qui pousse un cri un peu plus strident. La jeune vierge à la vu sur le sexe qui coulisse dans le ventre de son amie.

- Masse-moi les couilles aussi.

Avec difficulté, la jeune fille attrape les boules du violeur, et les massent doucement. Le gardien-chef en soupire de plaisir.

- Il n'y a pas à dire petite vierge, tu sais faire plaisir aux hommes!

La langue qu'il sent à la base de sa bite, plus le massage des couilles, le font rapidement arriver au bout. Il donne des coups de reins de plus en plus fort, tout en gémissant.

- Tu prends la pilule docteur?

- Non... Non... Je suis... ménopausée...

- Parfait ça. Alors je peux lâcher la purée.

Il joint aussitôt les actes aux paroles, en se vidant torrentiellement dans le vagin de sa victime. Il en envoie tellement, que cela déborde du ventre de sa proie. Il en coule ainsi sur le visage et sur la langue de Jennifer, qui est contrainte de tout avaler, car elle a trop peur de cesser ses coups de langues pour quelle que raisons que ce soit.

Le gardien-chef se retire du ventre profané, un flot de sperme inonde aussitôt les cuisses d'une Laurence sanglotante.

- Allez, la stagiaire, sort de là!

Jennifer n'a pas fini de s'extraire de sous le bureau, que déjà Laurence se fait de nouveau violer, par un prisonnier cette fois. Poussant des cris plus fort cette fois, tant son violeur la laboure méchamment.

Harold Nganda, le prisonnier numéro dix, regarde la jeune fille, toujours agenouillée sur le sol.

- Toi, la gamine, vient me lécher la bite. Et fait ta pipe bien baveuse, sinon cela va être très dur pour ta copine. Viens vers moi à quatre patte.

Jennifer obéit, tandis que Harold lui explique comme faire une bonne pipe. Arriver à sa hauteur, la jeune vierge avale pour la première fois de sa vie un sexe masculin. Et quel première fois, une belle bite black de vingt-deux centimètres pour six de diamètre, un engin d'acteur porno. Elle est obligée d'ouvrir sa bouche au maximum de ses possibilité, ses commissures promettant de se rompre si la jeune fille ouvre sa bouche d'un ou deux centimètres de plus. Harold passe ses mains derrière la tête de Jennifer, et la fait aller à un rythme rapide. La jeune fille à de la chance, il ne veux pas aller au bout, aussi, il n'y va pas trop fort, n'y trop loin, ne lui violant pas sa gorge. Malheureusement pour l'infirmière-stagiaire, cela ne sera pas tout le temps comme cela.

Trois autres hommes ont jouis dans le ventre de Laurence, avant que Harold ne s'estime assez mouillé de la bite. Il attend que le cinquième violeur finisse pour prendre son tour. Quand l'autre à jouit dans la vulve de la médecin, il s'avance vers elle, bite en avant après être sortit de la cavité buccale de Jennifer. Il sait ce qu'il veut faire, il à envie d'entendre gueuler cette belle brune. Les autres n'ont pas su le faire, lui, le saura. Il se colle immédiatement à elle, mais au lieu de visiter son vagin comme elle s'y attendait, Laurence sent le pieu qui lui paraît immense se placer entre ses fesses fermes et lisses. Quand l'homme commence à forcer contre son petit trou, Laurence comprend qu'elle va morfler grave.

La bave de Jennifer sur la bite du mâle fait son office. Rapidement, le sphincter de la belle brune cède. Son rectum engloutissant l'engin du black d'un seul coup. Le hurlement que pousse Laurence est effroyable. Elle cabre de tout son corps, avant de retomber sur la table, le visage déformé par la douleur. Alors le prisonnier numéro cinq commence à défoncer l'anus de la femme, la faisant hurler comme une folle, sans discontinuer.

Jennifer regarde avec horreur l'homme s'activer entre les fesses de Laurence. Le gardien-chef sourit en voyant son air de dégoût. Il s'approche d'elle, la jeune stagiaire sursaute quand il lui met la main sur l'épaule.

- Alors, on est jalouse? On préfère être à la place de son amie?

- N... non...

- Tu y seras pourtant... Bientôt...

Il lui caresse la joue, la faisant sursauter. Jennifer se retient de reculer d'un pas.

- Allons, jeune fille, n'ai pas peur, on va juste faire de toi une femme...

Il se colle à elle, l'embrasse. C'est le premier garçon qui l'embrasse. Le gardien-chef l'embrasse quelques instants avant de se reculer.

- Tu n'es pas douée pour les baisers ma belle. J'espère que tu seras plus douée pour le reste.

Laurence sent son anus écartelé comme jamais. Son mari la sodomise de temps en temps, surtout quand elle avait ses règles. Maintenant c'est beaucoup moins souvent, la femme n'a jamais trop aimée ça, le faisant par devoir conjugal. Mais c'était fait avec douceur, avec tendresse, avec amour. Avec un sexe normal en plus, son mari possède un membre de quinze centimètres pour quatre de diamètre. Là, c'est fait avec violence, avec haine, dans le but de faire mal, de détruire. Avec en plus, cette monstruosité qui sert de sexe à son violeur. Et pour faire mal, la black qui s'active derrière-elle s'y entend. Il n'a qu'à entendre les hurlements qui sortent de la gorge de la pauvresse, et voir son visage déformé par la douleur pour le comprendre.

- Allez petite stagiaire, enlève-moi donc cette robe que je regarde à quoi tu ressembles nue.

Se rappelant toujours l'horrible sort de la directrice, Jennifer ne veux pas souffrir plus que ce qu'elle va endurer. Alors, en tremblant, elle relève ses mains. Mais le barrage cède. Ses mains reste en l'air, tandis que sa bouche s'ouvre en grand. Des filets de baves reste entre ses lèvres, tandis que comme un poisson se noyant, elle ouvre et ferme la bouche rapidement, sur des paroles silencieuses. Ses larmes se mettent à couler sur ses joues, tandis que ses mains tressautent maintenant. Un peu de morve coule de son nez.

- Allez, Jennifer, soit obéissante, ce sera pire sinon, bien pire...

Il n'a pas besoin de préciser sa menace, l'infirmière la comprend immédiatement. Alors tant bien que mal, elle approche ses qui mains tressautent de sa robe boutonnée sur le devant. Heureusement que ce sont des boutons à pressions. La jeunette de vingt ans réussit en tenant le pan gauche de sa robe, et en tirant sur le droit, à défaire le premier bouton. Ses mains descendent très lentement vers le second. La jeune vierge ne s'en rend pas compte, mais le spectacle lent qu'elle offre attire l'attention sur elle. Un strip-tease d'un érotisme intense pour ses bourreaux. Attention, pour tout homme normal, ce spectacle serait horrible, une jeune fille tremblante et en pleure n'est pas ce qui fait la plus envie. Mais pour eux, cela fais dresser leurs bites dans leurs pantalons en un clin d'œil.

Le troisième bouton est enlevé tout aussi lentement. On aperçoit un morceau du torse de la femelle. Comme sa peau, il est d'une blancheur de porcelaine. Quelques hommes se mettent même à baver. Jennifer, tout à son déshabillage ne se rend pas compte à quel point ce qu'elle fait est excitant pour eux. Un par un, avec une extrême difficulté, elle réussit néanmoins à défaire le dernier bouton de sa robe. Néanmoins elle garde les pans croisé sur son corps.

- Allez, enlève-moi ça.

Le gardien-chef à parlé doucement, mais d'un ton sec. Elle a suffisamment pas peur, il ne veut pas la faire paniquer au point qu'elle ne soit plus en mesure d'obéir. Jennifer lève vers lui le regard le plus plein de supplication que personne ne lui a jamais lancé. Puis elle écarte sa robe, l'enlève et la fait glisser à terre. Elle a de petit seins bien rond, elle fait du 75b, ils ont de petites aréoles à peine plus sombre que la peau, de long tétons épais. Ils voient avec délice, qu'elle n'a qu'une culotte blanche et très sage en dessous. Heureusement qu'elle n'a pas mit un string aujourd'hui, sinon ils lui seraient tous sauter dessus. Le gardien-chef rigole.

- Et bien, toi tu t'épiles pas, même pas pour faire le maillot, il y a des poils qui sortent de chaque côté de ta culotte.

Cela aussi excitent les amateurs de poils.

- Allez, enlève-là d'ailleurs.

Jennifer met se pouces dans les échancrures de sa culotte. Elle sait qu'il est inutile de les supplier, alors aussi, la fait-elle descendre immédiatement. Levant les pieds, la gardant en mains, avant de la laisser tomber sur sa robe posé sur le sol.

Tous voient son bas-ventre très très fourni. Contrastant sensuellement avec la blancheur de sa peau. Il la font tourner. Elle a un petit cul, légèrement bombé. Un peu plat, mais ils le trouvent terriblement bandant.

- Vas t'asseoir sur la table, à côté de ton amie. Tu sais, celle qui hurle comme une truie que l'on égorge.

En effet, Laurence est toujours sodomisée par son tourmenteur, qui fait volontairement durer son viol immonde. Restant immobile dans ses reins, quand les prémices de son plaisirs se font sentir.

Jennifer obéit. D'un pas mal assuré, tant elle tremble elle se rapproche de la table. Avec difficulté elle s'assoit dessus. Sentant la peau trempé de sueur des bras de Laurence contre sa cuisse. Le gardien-chef s'approche de la jeune fille. Il la tire vers lui, jusque à ce que son cul soit sur le bord de la table.

- Écarte les cuisses.

Aussitôt elle obéit. Le gardien-chef se glisse entre elle. Il descend sa braguette, faisant sortir son sexe dur.

- Penche-ton buste en arrière, aide-toi de tes bras tendu vers l'arrière pour maintenir la position.

- Vous... all ... allez me faire... quoi?

- Je vais faire de toi une femme, je vais te dépuceler le vagin.

- Mon dieu...

Elle a parlé tout en prenant la position demandée. Dans cette position, le torse de biais, son vagin se trouve offert. Jennifer gémit quand le gland de l'homme se pose contre les lèvres de son sexe. Il prend son temps, il fait aller-et-venir son gland le long de la vulve de la fille. Il laisse ainsi le temps à la terreur de son viol prochain de s'installer profondément dans son cerveau. Puis, la tenant par les cuisses, il fait rentrer son gland en elle, doucement, jusque à rencontrer son hymen. Il s'arrête alors, regardant sa proie dans les yeux. D'un violent coup de reins, il arrache le pucelage de la belle. Les yeux de Jennifer s'exorbite, son visage se déforme sous la douleur, tandis que sa bouche s'ouvre sur un cri silencieux. Il reste immobile, enfoncé en entier dans ce fourreau étroit qu'il est le premier à visité. Il sent les parois vaginal de la fille palpiter à tout rompre contre son sexe. Il savoure les sensations. La deuxième jeune vierge qu'il dépucelle après Nabilla, la troisième avec la directrice. Puis quand il commence à bouger dans le corps de sa victime, rester bouche ouverte, le cri silencieux fais place à un hurlement.

Laurence ne sait pas depuis combien de temps son bourreau la sodomise. Elle sent la cuisse de Jennifer contre son bras. Quand son amie commence à hurler, Laurence comprend qu'il vient de la violer. La pauvresse, jamais elle n'aura connu les joies du sexes, la tendresse d'un accouplement désiré, le fait de coucher avec un homme qu'elle aime. Non, pour elle, le sexe ne sera que violence. Mais la cadence devenu infernal des coups de reins de son violeur, lui font interrompre ses pensées. Il lui détruit le cul. Jamais on ne l'a enculée comme cela. Quand il se vide dans ses entrailles, le sperme la brûle horriblement. Mais Laurence n'a pas le temps de reprendre ses esprits quand il se retire, déjà une autre bite s'enfonce dans son cul grand ouvert.

Son bourreau le défonce comme un sauvage, se moquant qu'il soit le premier à entrer en elle. Il sait qu'elle ne prend pas la pilule, néanmoins il se vide quand même en elle, dans son sexe, envoyant son tout son sperme dans le ventre fécond de la jeune fille de vingt ans. Mais Jennifer n'a pas le temps de s'apitoyer sur sa possible grossesse futur. La gardant dans la même positon, le gardien-chef ressort de sa vulve. Il descend son gland, le positionne contre l'entrée des reins de sa victime et commence à pousser.

Laurence n'est plus qu'un anus ouvert pour ses violeurs. Ils la sodomisent et jouissent en elle à un rythme hallucinant. Elle les vides tous, l'un après l'autre. Avant que son premier violeur ne revienne à l'assaut. Cette fois Laurence sait qu'il va encore durer plus longtemps en elle. Mais quand il lui viole la chatte, la médecin en pousserait presque un cri de soulagement. Par contre quand il commence à lui massacrer le vagin, c'est un hurlement que la malheureuse pousse.

Laurence hurle comme une truie, mais celui que pousse Jennifer le supplante en horreur, volume et puissance. Le gardien-chef vient de sodomiser la pauvre stagiaire-infirmière en entier. Lui faisant connaître son premier enculage, lui volant le dernier de ses pucelages. A chaque coups de reins puissant de l'homme, le corps de la fille décolle légèrement de la table. Le bruit de ses fesses trempée de sueur, qui retombent sur le bois, ravi son violeur. Il la défonce alors encore plus fort. Savourant l'étroitesse de la fille. Son splendide visage, n'est plus qu'un horrible masque de douleur, mais pour le gardien-chef c'est comme cela qu'il aime les femmes. Il se montrerais bien plus méchant avec elle si il le pouvait, mais il a promis. Et malgré tout ses défauts, c'est un homme de parole. Il aura bien le loisir, plus tard, de lui faire subir tout ce qu'il lui passe par la tête. Au deux putains, ensemble, il compte bien les détruire. Il la massacre comme un sauvage, le plus longtemps possible, avant de jouir en hurlant son plaisir. Un orgasme si intense le frappe, qu'il glisse hors de l'anus de Jennifer, avant de se retrouver sur le sol, à genoux. Aussitôt c'est la ruade sur la jeunette, tous veulent se faire cette jeune chienne tout juste dépucelée.

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