Révolte 04: Jennifer et Laurence.

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Laurence déglutit. Jennifer s'est approchée d'elle, la médecin sent le bras de la jeunette contre le sien. La jeune fille a enfin compris qu'un truc ne tourne pas rond.

-Et... et nous?

- Vous, on va un peu attendre, je vais vous montrer un truc.

Le gardien-chef prend la tablette de Laurence sur la table. Il entre dans l'icône des caméras de la prison. Il la pose sur la table, devant les deux femmes.

- Je vais vous montrer un truc, soyez sage, et tout se passera bien. Désobéissez, et vous serez les suivantes.

Il choisit une caméra, Laurence reconnaît la grande pièce où les nouveaux-arrivants sont fouillé-au-corps. Il fait tourner la caméra, l'image que Jennifer et Laurence voient, les glacent d'effroi.

Laurence reconnaît les quatre détenus les plus dangereux de la prison. Ignacio Gomez, est le numéro quatre. Il a cinquante ans, pendant trente ans, il s'est attaqué à des jeune filles allant ou revenant de leur travail de nuit. Il les enlèvent, les violent pendant des jours, puis les tortures à mort. Il agissait à Juarez, au Mexique. Il a fait des centaines de victimes. Il faisait participer des tas de truands, des millionnaires dans des partouzes horrible. Il est tombé pour une idiotie. Un simple feu cassé. Contrôlé par trois policier fédéral, ils ont eut la surprise de trouver un corps de jeune femme dans son coffre.

Le numéro trois, c'est Momo Ben Slim, soixante ans, si il a violé des centaines de jeunes femmes, c'est simplement pour sa fonction de trafiquant d'esclaves sexuelles. Il est aussi l'assassin numéro 1 de la mafia tchétchène. Plusieurs centaines de contrats à son actif. Tous réussit, même le dernier. Le meurtre commandé d'une balance. Seulement sa femme, âgé de trente ans était là. La plus belle femme qu'il n'est vu, pourtant il en a vu des milliers. Il a décidé de jouer avec. La violant pendant des jours. C'est un chasseur perdu qui les a vu. Il a prévenu la police. Si le mari était bien mort, la jeune femme était encore en vie.

Le numéro deux, c'est Yann Bardot, un génie de l'informatique, mais aussi un champion de sport de combat. Il a cinquante ans. Il enlevé des couples, vidé leurs comptes en achetant des bitcoins qu'il changé alors en vrai monnaie. Mais ne laissant aucune trace, la police ne l'a jamais retrouvé par ce moyen. Ensuite, une fois l'argent eut, il sodomise à mort le mari, puis il viole sauvagement la femme pendant des heures. Volontairement, il la laisse en vie, mais tétraplégique. Plus de quatre mille victime. Mille cinq cent hommes, et deux mille cinq cent soixante femmes. La différence s'explique parce-qu'il adore aussi s'occuper de couple lesbien. Là, il laisse les deux tétraplégique. Il est arrêté quand sans s'en rendre compte, il a perdu sa carte d'identité chez ses deux dernières victimes.

Le numéro un, c'est Igor Kovac, quarante ans. Un albanais de plus de deux mètres. Il a un proverbe pour expliqué ce qu'il a fait. Un jour, un pays, une ville, une femme, un viol total, une morte. Pendant vingt-deux ans, il a frappé de partout dans le monde. Dix mille trente-cinq victimes, en comptant les années bissextile et les filles enlevées par deux ou trois. Lui, la police ne l'a pas arrêté. Il s'est rendu, officiellement fatigué par sa vie de chasseur de femme. Réellement pour discuter avec d'autres tueurs comme lui, et voir si il peut s'évader. Ce qu'il compte bien faire, après avoir bien échanger avec ses quo-détenus, il veut s'évader lors d'un de ses nombreux transferts pour un procès à l'étranger. Cela ne fait que deux mois qu'il est ici.

Ils ont donc amené madame la Directrice dans la grande pièce qui sert de fouille pour les prisonniers. A l'état physique de la directrice on ne peux que constater que dans ses appartements elle a du subir un bon nombre de violences sexuelles....

Nicole et Jennifer sont horrifiées par ce ce qu'elles voient se dérouler sur l'écran de contrôle.

Le gardien chef voyant leurs têtes et leurs mines terrorisées et terrifiées, s'est pressé de déclarer : "Bien entendu avant de l'amener ici on s'est un peu amusés avec elle... Moi bien sur, mais aussi les autres gardiens et aussi quelques prisonniers...

En particulier les numéros de 1 à 4 qui n'ont pas pu résister à l'envie qu'ils avaient de lui défoncer ses orifices..."

A la vue de l'état des orifices sexuels de madame la directrice, les deux autres femmes ne purent que constater que l'homme ne ment pas et que bien au contraire il est assez laconique et bref sur ce que la directrice a déjà endurée et subie...

Laurence voient donc avec effroi ces détenus sur l'image. Jennifer qui ne les connaît pas encore, n'est pas effrayée. Puis la caméra est tournée par le gardien-chef. Là, les deux femmes reconnaissent la directrice, en très mauvaise posture. Nue. Le gardien-chef leur sourit :

- Regardez ce qui vous attends, si vous n'êtes pas obéissante.

Alors la médecin et l'infirmière-stagiaire se concentre sur ce qu'elles voient.

L'ancienne directrice de la prison passe en gros plan à l'écran. Ils la font mettre debout. Un des gardien lui a passé une corde autour d'un de ses poignets, comme s'il voulait lui faire un bracelet. Aidé des autres, il lui font lever les bras. Il attache la corde à un anneau qui est en bout d'une chaîne, qui pend au-dessus d'une poutre métallique. Rapidement, il lui enserre l'autre poignet et il l'accroche aussi à l'anneau de la chaîne. Elle se met alors à sangloter. Ne doutant pas un seul instant de ce qui l'attends, surtout après le viol du gardien-chef.

Les mecs, surtout les prisonniers sont comme fous. Certains sont déjà nus comme des vers, exhibant leurs membres dressés. D'autres n'ont que les pantalons baissés.

Mais tous écrasent ses seins dans leurs mains puissantes. Ils pincent, ils tirent les tétons violacés, meurtris pas les sévices déjà endurés. A nouveau, comme ceux de son bourreau qui l'a dépucelée, des doigts fouillent sa bouche. Ils étalent, mélangent le peu qui reste du mascara et du rimmel de son maquillage avec le sperme récupéré sur son corps, dans ses trous, sur son visage. Le gardien-chef l'a violée plus d'une heure, avant de la laisser à ces hommes. Cela lui donne un air de pouffiasse sous la pluie.

Aussitôt sa chatte et son cul sont pris d'assaut par des mains. On ne saurait dire combien de doigts la fouille, l'explore. Madame la directrice se tortille, en geignant maintenant, au bout de ses bracelets de corde. Elle essaye de s'écarter et d'échapper à chaque main qui la touche. Aussi curieusement que cela puisse paraître, étrangement, elle a encore sur elle la veste de son tailleur qui est grande ouverte et qui a été lacérée avec les couteaux...

Elle a aussi encore la jupe de son tailleur tire-bouchonnée sur ses hanches qui lui fait comme une large ceinture de tissus... petite jupe roulée sur son ventre...

La pute a également ses bas auto-fixant qui étaient descendus et roulés à ses chevilles...

Mais dans cette position, suspendue à la poutrelle on voit très bien des surplus de sperme qui ressortent de ses orifices, et qui coulent le long de ses jambes...

Marijke ressemble à une carcasse de viande, suspendue à un crochet dans un abattoir ou dans une boucherie. Un tas de viande qui va être dévoré, mangé par des sauvages. Enfin c'est une métaphore, car, en fait, c'est plutôt elle qui va en manger de la viande, de la belle bite bien dure.

Mais à force de se débattre, ses poignets commencent à se violacer. Des types lui sucent les seins, tirent sur les tétons avec les dents. La femme a des rictus, des grimaces, des contorsions de douleur, mais ça n'arrête en rien la façon de faire de ces hommes. Bien au contraire même. Tant lui faire mal, est aussi important pour eux, que profiter de son corps. Se venger, détruire, massacre la responsable de tant de punition, lui faire vivre l'enfer qu'elle leur a fait vivre.

De fortes claques tombent sur ses fesses, les faisant rebondir, rougir. Mais aussi sur son ventre, sur ses hanches, sur ses cuisses.

Un jeune black s'est mis à genoux. Il a retiré violemment les doigts qui obstruent son vagin, il a essayé de la prendre debout...

Mais il se fait bousculer, il tombe en arrière. Déjà des index, des doigts tirent son vagin de chaque coté, ouvrant grand son trou, le rendant béant, libre de toute occupation. Un très jeune black, un ancien prisonnier est arrivé avec une pelle à la main. Il a placé le bout du manche devant l'orifice et il a redressé la pelle. Pour ne pas se faire pénétrer par l'outil, Marijke s'est dressée sur la pointe de ses pieds. Il faut dire qu'elle n'a plus ses escarpins depuis longtemps. Mais paradoxe et bizarreries, ils lui ont encore laissé le reste de sa jupe tire-bouchonnée sur son ventre, ainsi que le reste de ses vêtements. Une phrase est dite dans leur dialecte et tous les hommes s'écartent aussitôt.

La directrice se mord les lèvres pour ne pas crier. Le spectacle qu'elle offre est pitoyable. Ses mains enserrées, sont violettes, elle serre si fort les poings que ses ongles ont pénétré la chair tuméfiée.

Son visage hautain et autoritaire est tordu par la douleur et par la peur...

La peur de laisser son corps retomber. La peur que ses jambes la lâchent. Ses jambes qui commence à trembler, de plus en plus. Ses pieds vont rapidement être pris de crampes. Le manche la pénétrant peu à peu. De nouveau, après la bite horrible du gardien-chef, un truc va entrer en elle, dans son ventre, le summum de l'horreur pour cette lesbienne totale. Restée vierge pendant si longtemps.

Dans cette position, comme elle est debout, des gros paquets de trop pleins de tous le sperme que lui a envoyé le gardien-chef, pendant l'heure et demi qu'a duré son viol, coule de ses orifices. La semence qui sort de son vagin coule, dégouline sur le manche de la pelle.

Le sperme qui sortait de son anus, lui, coule sur ses cuisses. Car se gros porc, ne s'est pas contenté de lui dépuceler le ventre, il a aussi forcé son anus, sa bouche. Maudite pilule sexe-dure, qui lui ont permit de la violer pendant tout ce temps, jouissant de partout en elle, sur elle...

Cela fait énormément rire l'assistance, ils se moquent beaucoup d'elle, la directrice hautaine et fière... La grande dame moralisatrice... Le bourreau sans état d'âme... Celle qui a incarné toute l'horreur de leurs condamnation. Enfin punie, livré à eux, comme dans leurs rêves les plus fou.

Ses pied finissent par retoucher le sol. Elle est à présent profondément fourrée avec un manche de pelle. Les hommes sont revenus sur elle, suite aux hurlement qu'elle pousse sous cette pénétration infâme. Ils ne cachent pas leur joie de la voir ainsi pénétrée.

Un très jeune black, très laid, marqué par une acné mal soignée, est arrivé avec une bobine de fil électrique. Il lui a entouré ses énormes gros seins avec, en faisant plusieurs tours.

Mais un autre plus âgé, un des gardiens, certainement plus vicieux, a trouvé le travail mal effectué et mal fait. Il a redéfait le fil pour le resserrer encore plus fort. Les gros seins laiteux ont vite gonflés et ils ont changés de couleur à vus d'œil.

Un autre les lui frappent toujours pour les faire rougir plus vite. Les yeux de la femme roulent, tournent un peu... Beaucoup même. Marijke n'est pas loin de tomber dans les pommes, de perdre totalement conscience.

Certains s'en sont vite aperçu, comme ils sont vicieux et pervers, qu'ils ne veulent pas la voir inconsciente, inanimée, ils sont venu lui mouiller le visage avec un chiffon crasseux. Ils s'amusent bien et ils n'ont pas envie d'arrêter de jouer maintenant. Surtout que les quatre caïds, les quatre détenus les plus dangereux de la prison, les ont prévenus, ils peuvent jouer avec, mais pas toute la nuit. Après elle sera à eux, uniquement à eux.

Les traces de maquillage et de sperme sont parties avec l'eau. Sont visage est presque redevenu normal. Si ce n'est le masque de douleur qui le transforme.

Un homme se cale dans son dos. Son sexe est dressé, long, fier, vigoureux. Un geignement de douleur sort, sans discontinuer, toujours et encore, de la gorge de la malheureuses, dont le sexe est forcé par le manche de pelle.

Le black derrière elle, glisse son engin entre les fesses de la femme, il pénètre l'anus offert, exhibé, en deux ou trois coups de reins. Elle pousse alors, un long et puissant hurlement, déchirant, aigu. Le mec n'en tient pas compte, bien au contraire. Cela semble l'exciter, le stimuler encore plus. Il s'agrippe à sa taille pour la pénétrer bien à fond. Le manche de la pelle, rigide, bien droit, tendu, lui déforme la chatte à chaque pénétration. Des doigts lui branle, lui frappe le clito, gonflé, tuméfié par les coups répétés.

Des bouches lui ont aspiré les tétons prêt à exploser. D'un coup son corps est devenu complètement flasque, avachi, il s'est affaissé, effondré. Ce qui a eu pour effet de l'empaler encore un peu plus sur le manche. Ce qui n'avait pas empêché le mec de continuer son pilonnage violent, brutal. Avant de se vider dans son cul.

Il a été aussitôt remplacé par un autre, tout aussi excité... Puis encore un autre... Beaucoup l'ont prise comme ça. Jouissant en deux minutes, comme des lapins, se vidant enfin dans un corps de femme, après des années de détentions.

Marijke est depuis longtemps sans défense, se laissant défoncer le cul par les sexes. La chatte toujours empalée, embrochés sur le manche de la pelle.

Ils ont ensuite décidés qu'il fallait varier un peu les spectacle. Ou alors qu'il est temps de la laisser souffler un peu. Le dernier mec passé dans son cul, après les autres s'est enfin retiré.

Ils lui ont détachés les poignets, ils lui ont retiré le manche brutalement, sans aucune délicatesse. Ils lui ont aussi enlevé le fil électrique de ses seins. Alors, ils l'ont allongée sur une table.

Pour la faire totalement revenir à elle, car vicieux comme ils sont, ils la préfèrent complètement lucide, consciente. Un mec lui repasse le chiffon avec de l'eau sur le visage. Un autre lui fait du vent avec un magasine, un dernier a passé sa main sous sa tête pour lui faire boire de la bière.

Elle a ouvert doucement les yeux, et d'un bond sans que rien ne le laisse prévoir, ni deviner, contre toute attente, malgré son état, elle a essayée de se relever pour s'enfuir.

Bien entendu les hommes l'ont retenue, solidement maintenue.

Surpris qu'elle soit encore aussi vive, ils se regardent. Ils sont très en colère d'avoir été trompés par ce pseudo-malaise. Ils l'ont relevée de sa table pour la poussée vers une petite table carrée, ils l'ont couchée dessus, sur le dos.

La table est si petite que ses jambes et sa tête sont dans le vide et pendent.

Très vite, le fil électrique a refait son apparition. Il a été enroulé autour d'un de ses poignets, puis passé sous la table, pour être également enroulé autour de son deuxième poignet.

Ainsi elle est à nouveau dans l'incapacité de s'enfuir.

Elle gigote, elle tente de donner des coups de pieds à ceux qui s'approche.

Cette femme de fort caractère a vraiment beaucoup de résistance, de révolte après tout ce qu'elle a déjà subie. S'en en est même incroyable. Les mecs sont tous terriblement excités par cette belle mature. Une corde a été passée au dessus de la poutrelle. Deux hommes lui ont levé les jambes et d'autres ont fixés la corde à ses chevilles. Elle est maintenant totalement offerte, de nouveau à hauteur de bites. Ses deux trous sont accessibles sans effort.

Un black doté d'un appareillage avantageux, c'est présenté, face aux orifices féminin, il choisit le vagin. Il la pénètre à fond, d'un seul coup.

Marijke pousse un cri de douleur, qui n'a pas attendri l'africain, bien au contraire.

Il est agrippé, accroché à ses cuisses, il cogne au plus profond du ventre, à chaque coup de butoir.

Il la défonce furieusement, bien profondément.

La directrice a la tête en arrière, penchée dans le vide. Ses cheveux blonds touchent presque par terre. Encore lucide, consciente, elle refuse les queues qui se présentent devant sa bouche, en tournant son visage dans tout les sens.

Alors, très énervés, mais aussi très excités, plusieurs souhaitant se faire sucer, lui ont divisé la chevelure en deux, il ont attaché les couettes ainsi obtenues, aux pieds de la table avec de la ficelle.

La tête ainsi bloquée, il ne reste plus qu'à lui appuyer sur le menton pour lui faire ouvrir la bouche, pour y enfoncer son sexe, loin, très loin dans la gorge.

La directrice déglutit, elle avale, elle bave beaucoup. Elle s'étouffe aussi, elle suffoque. Parfois, souvent même, elle a des hauts le cœur.

Mais rien n'arrêtait plus ses tourmenteurs, devenus fous d'envies, complètement hystériques.

Les couilles lui frappent le nez, les yeux, le front.

Quatre prisonniers se relaient, se succédant dans sa bouche, faisant à chaque fois jaillir des flots de spermes chauds, abondants dans sa gorge, qui lui donne la nausée, le dégoût.

Le noir, s'est libéré lui aussi, dans un dernier coup de rein, il a envoyé son foutre au plus profond de sa victime, par longues saccades.

D'autres, beaucoup d'autres sont venu ainsi la prendre, par devant ou par derrière... Ne durant pas plus de trois minutes, tant ils sont excités, les couilles pleines, débordantes de spermes/

Des pinces à linges ont été fixées à ses seins et sur ses tétons meurtris.

Puis brusquement, elles ont été retirées, une à une, mais sans les ouvrir.

La peau pincée est tendue, la pince glisse jusqu'à la dernière fraction de seconde, elle provoque une grande douleur tout autour du pincement.

Marijke pleure à gros bouillons, mais ça n'intéresse personne, aucune pitié à attendre d'eux, au contraire ça les excitent encore plus.

La pelle a refait son apparition. Posée sur une autre table, face à ses trous, ils lui enfoncent le manche dans l'anus, bien profond. Un type est même chargé de le faire naviguer d'avant en arrière, de le bouger dans tous les sens.

Le diamètre du manche est très largement supérieur à celui d'une queue, mais tout le sperme emmagasiné, accumulé en elle, est un excellent lubrifiant. Heureusement...

La tête toujours bloquée, la sadique directrice demande pitié, pardon, à chaque fois que sa bouche se libère d'une queue. Mais rien n'y fait. Un des gardiens, toujours très actif, est sorti, il est revenu avec une batte de base-ball . Sans hésiter, il la lui a planté dans le vagin dégoulinant.

Elle est prise en sandwich non pas par des hommes, mais par des outils.

Ça les fait beaucoup rire, beaucoup se moquer.

La femme a eu des soubresauts, elle a vomit du sperme.

Il en coule dans son nez, dans ses yeux, en paquets grumeleux, abondants, puis une fois passé le front, tout cela se mélangeait doucement aux cheveux.

Les manches s'agitent, bougent en elle. Très vicieusement des prisonniers les font coulisser, les font rentrer, font pénétrer, alternativement, successivement, tour à tour dans son vagin, dans son cul, ensemble et simultanément.

Les gars sont comme fous, ivres d'alcool mais surtout de drogue.

Cela dure un long moment. Puis cela ne les a plus amusé, ils les ont retirés.

Ensuite tout les mecs présents, chacun leur tour, lui ont administré une fessée sauvage, des claques violentes, répétées sur les cuisses, la chatte ou les seins.

Comme dans un baroud d'honneur, une ultime bataille, ils sont tous repassé sur elle, vidant leurs couilles dans le vagin, dans l'anus, sur le visage, dans le dos.

Marijke a été enfin détachée, balancée, jetée sans ménagement sur un matelas posé à même le sol.

Puis les quatre détenus les plus dangereux de la prison de Anabia se sont approchés du matelas où reposent le corps massacrée de Marijke. Alors, à ce moment, la directrice comprend le vrai sens du mot douleur.

Le gardien-chef coupe à ce moment la vidéo, il regarde le visage blême de Laurence et Jennifer. La retransmission à durée plus de deux heures, les deux femmes n'ont pas bougée. Il sourit.