Révolte 05: Jennifer et Laurence.

Informations sur Récit
La suite des aventures de Jennifer et Laurence.
9.2k mots
4.63
16.8k
2

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/22/2018
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Pendant près de quatre heures, tous profitèrent de Laurence et de Jennifer. Des viols difficiles, certes, mais bien doux comparé à ce qu'ils font subir à leurs victime d'habitude. Les deux femmes, pleine de sperme, reste allongée sur le sol, essayant de reprendre des forces. Tandis que le gardien-chef installe un rétro-projecteur. Il regarde les deux chiennes.

- Si on regardait un peu ce que fait votre chère amie la directrice.

Aussitôt après, l'image de la directrice apparaît sur l'écran.

Celui qui de toute évidence était le chef du groupe de prisonniers et de gardiens s'occupant de la belle Marijke, la directrice, la fit mettre à quatre pattes et sortit son sexe, de taille moyen mais déjà bien dur. Sans préliminaire il s'enfonça dans l'intimité de la directrice qui n'offre plus aucune résistance depuis longtemps. Un autre vint se positionner devant et lui donna ses testicules à lécher, en lui tirant la tête en arrière, par les cheveux. Quand elles furent bien luisantes de salive, il enfourna son sexe au plus profond de sa gorge et lui donna de violents coups de reins, utilisant cet orifice comme un sexe. Le chef se retira brusquement et lui éjacula sur les fesses.

- Bon les gars à vous, mais vous avez vingt minutes, après il faut passer aux choses sérieuses.

Il la font mettre à quatre pattes. Ses gros seins laiteux traînent par terre et cela les amusent beaucoup...

C'est alors la curée, les hommes se jetant sur le premier trou de libre pour la pénétrer sauvagement. A un moment, elle a deux bites dans le sexe pendant qu'elle en suçait une troisième, et qu'un quatrième l'encule. Et ce n'est pas fini... Plusieurs la sodomisèrent à la suite, on voit ses orifices ouverts débordant de sperme.

La scène a une bestialité monstre, les hommes se succédant les uns aux autres quand ils avaient jouis, soit dans un des trous, soit sur le corps de la femme.. Quand ils eurent terminé, une demi-heure après le début, ils la laissèrent pantelante, les fesses en l'air et la tête dans le matelas, son anus et son sexe dégoulinant de liquide séminal, la directrice jadis fière, gît maintenant dans un état lamentable, totalement épuisée.

Puis on voient des hommes emmenant une meute de chiens, de type Doberman et Rottweiller. Il y en a cinq. Leurs pattes avant sont enveloppées de bandes. Deux hommes saisirent la directrice par les aisselles et l'emmenèrent sur la table. Ils la positionnèrent la poitrine collée au dessus de la table, les bras attachés aux pieds avants et les jambes aux pieds arrières, de sorte qu'elle présente obscènement sa croupe, les jambes écartées.

Les hommes emmènent le premier chien, qui est un molosse d'au moins 45kg. Il commence à renifler la vulve et à laper les coulées de sperme et de cyprine mélangés qui s'en dégagent. Puis le chien se soulève, pose ses pattes sur la table et commença à donner des petits coups de hanche dans le vide. Son sexe, qui commence à sortir du fourreau, est pointu et rouge foncé, long et pas très épais. Un des hommes s'en saisit et le présente à l'entrée de l'orifice vaginal. Le coup de rein fût plus violent et le sexe canin pénètre d'un coup celui de la femme. On peut voir le membre de l'animal se mettre à gonfler et d'un coup deux grosses boules se former à l'intérieur des lèvres de la femme. Elles semblent ne pas s'arrêter de grossir et atteignent un diamètre d'une dizaine de centimètres, distendant les chairs d'une manière obscène. la femme pousse de grands râles qu'on peut facilement assimiler à de la douleur. La bouche grande ouverte, elle semble chercher de l'air pour pouvoir mieux crier. Le chien s'immobilise et resta collé pendant quelques minutes. Puis il se retire dans un grand bruit de succion et des blacks recueillirent dans un vase l'abondant liquide qui s'échappa du sexe de la femme.

Un autre chien remplace le premier, mais cette fois son sexe fût guidé dans l'anus de la directrice qui, réussit lui aussi à se distendre quand le nœud se mit à gonfler. Là encore la semence animale fut récupérée dans le vase. Les 3 derniers chiens se succédèrent, soit dans son vagin, soit dans son anus, et à chaque fois elle poussa des râles de jouissance, inondant deux fois d'une éjaculation féminine le vase positionné sous elle. Marijke à force de viols, de coups et de tortures, est en train de devenir folle. Elle délire, elle pense que c'est son amante qui la prend ainsi. Oubliant dans sa folie, que jamais aucune de ses maîtresses ne la prise ainsi. La drogue qui lui ont fait prendre un peu plus tôt, explique aussi la jouissance que ressent la femme. Quand le cinquième chien eut monté la femme on aurait pu croire que son humiliation sont finie.... quand un autre amène un âne.

Les blacks le guident vers le côté de la table où se trouve la tête de la femme. Ils commencent à lui caresser le sexe qui se met à grossir de manière démesurée, longue tige dont le bout triangulaire est percé d'un trou. Ils l'approchent alors de la bouche pulpeuse de la directrice pour le lui introduire. Elle se laisse faire et s'applique même à mettre de petits coups de langues. Puis ils amènent la bête derrière elle et, lui posant les pattes sur la table, la laissent s'accoupler bestialement avec la femme, à chaque coup de croupe le bout du sexe animal heurtent sa matrice et lui provoque des orgasmes à répétition. Le coït est brutal, intense et court. Quand la bête se retire, un flot ininterrompu de semence s'échappa du sexe béant de la femme, semence qui est elle aussi récupérée dans le vase.

Puis les hommes se regroupent autour du vase et se masturbent tous un à un dedans. La femme fut alors retournée, allongée sur le dos sur la table et ils versent le vase rempli de sperme sur son corps, en insistant sur son visage, ses cheveux et sa bouche, l'obligeant à en avaler une bonne quantité. Pour finir, en cercle autour d'elle, ils lui urinèrent dessus, poussant l'humiliation jusqu'au bout.

Ensuite, ils font sortir la directrice dans la cour qui servait jusque à présent à la promenade des prisonniers. Ils ont amené trois petits chevaux, du genre poney...

Ils font asseoir la directrice sur un tabouret devant le sexe énorme d'un poney de bonne taille qui commence à bander. A coté d'elle se trouve un gardien qui lui tient les mains autour du sexe de la bête. Elle a du effectivement retrouver ses esprits car elle rechigne à branler le quadrupède. Voyant cela, le gardien la soulève et s'assoit sur le tabouret et il la fait asseoir sur lui.

Il brandit fièrement son phallus revigoré par la scène et sans qu'elle ait eu le temps de protester se l'enfile sur le bout de la queue pour une fois de plus... la violer.

Marijke se secoue et elle essaya sans beaucoup de conviction de s'échapper. Mais le gardien la tient fermement. Il lui caressait alternativement les seins et le clitoris. Peu à peu, l'excitation, ou la drogue, ou l'alcool qu'ils lui avaient fait boire... et le désir prirent le dessus... Elle cessa de s'agiter sauf pour mieux s'empaler sur son violeur. Excitée par le gardien et les recommandations qu'il lui prodigue à l'oreille, c'est elle seule qui timidement attrapa le phallus du poney à deux mains et commença à le masturber. Le poney avait la taille d'un petit cheval avec des attributs plus que représentatifs. La femme ne sait pas vraiment y faire avec les bites, mais la chance du débutant... La bête est maintenant en pleine érection. Son sexe doit mesurer au moins 60 centimètres de long, pour un diamètre de sept à huit centimètres. Les autres gardiens maintiennent la bête qui essai de grimper sur la femme comme sur une jument.

La directrice se faisait toujours usiner par son amant. Il lui parle à l'oreille, elle ouvre la bouche en grand et présente le gland du poney sur ses lèvres. « Bravo » crièrent les mecs, heureux d'arriver à leurs fins « Quelle truie à bite celle là, c'est la première fois que je vois une salope pareille » dit l'un. « T'as raison, quel panard cette nana » répondit l'autre. Elle fit lentement pénétrer la bête dans sa cavité buccale et constatant que cela ne lui posait pas de problèmes, enfonça le pénis animal plus loin dans sa gorge. Elle englouti une bonne dizaine de centimètre et commence un long va et vient, sa bouche est complètement remplie. Rapidement le poney eu des soubresauts et éjacule dans la gorge et sur le visage de la femme.

Ne pouvant avaler assez rapidement, le sperme gicle à la commissure des lèvres et coule sur le menton. « Y sont rapides ces bestiaux » dit l'un des hommes. Elle avale le plus de sperme qu'elle peut, il est beaucoup plus abondant que le nôtre et semble beaucoup plus liquide. Elle a l'air de beaucoup aimer cela et ne veut plus lâcher la bite du bourrin. Elle n'est pas loin d'un autre orgasme, la sentant venir, le gardien se retire de sa chatte et dit : « Attend ma belle, soit pas si pressée, on a une, enfin, deux autres surprises » Pendant que les autres acolytes emmènent le poney vidé, Plusieurs attrapèrent la directrice et la posèrent à quatre pattes sur le bout de la table. Le gardien, e sexe toujours en érection, monte sur la table devant elle, se met à genoux et présente sa bitte.

La directrice s'en saisit d'une main et lui administre une pipe magistrale, surtout pour une lesbienne comme elle. Un second poney est amené et un autre gardien le masturbe pour le durcir. Une fois la bite bien raide, un jeune prisonnier vient lui donner un coup de main. Il attrape le poney par la crinière et l'approche lentement. Il lui fait mettre les sabots avant sur la table, les pattes avant de chaque côté de la femme

Le gardien frotte le gland du poney contre la vulve ouverte de la femme. Sentant le sexe tout prêt, elle donne de petit coup de rein en arrière pour en profiter. La croupe de la directrice est offerte, elle creuse le dos et écarte grand les cuisses. le gardien écarte les lèvres ruisselantes et roses qui ne demandent qu'à se refermer sur le phallus du petit cheval. Il frotte à nouveau le gland gorgé de désir sur la vulve, Il joue avec la femme et le cheval sentant que chacun d'entre eux veux appartenir l'un à l'autre. Il place le gland bien à l'entrée, entre les deux lèvres tout en continuant à branler le phallus. Puis petit à petit, à chaque fois qu'il masturbait le poney vers le vagin, il enfonce d'un centimètre le sexe monstrueux de la bête. La femme essaie d'écarter encore plus les cuisses mais elles sont vraiment au maximum, elle recule de plus en plus sa croupe. Les hommes eux se sont regroupés devant son visage et ils lui remplissent la bouche à tour de rôle en la tripotant et la malaxant de partout. Ses seins furent malaxés, pétrit, sucés, aspirés. « Et si on allait chercher les autres femmes pour qu'elles profitent un peu du spectacle » dit un des gardiens « Oh! oui » répondirent les autres.

Laurence et Jennifer qui assistent au viol de Marijke en direct, voient un groupe d'hommes entrer dans l'infirmerie. Ils prennent Jennifer et l'emmènent dehors, jusque à ce qu'elle soit à côté du poney. Le gardien lâche alors la bite du cheval pour la mettre dans sa main. « Fais gaffe, si tu ne le guides pas par le sexe, il va la perforer » lui dit-il en lui parlant du cheval.

Elle attrape donc le sexe de la bête pour que la directrice ne soit pas blessée. La directrice ne s'est même pas aperçu que c'est la jeune stagiaire qui guide maintenant l'opération, forcé par les mâles. Le poney bougeait beaucoup et elle a dus le contenir afin qu'il n'entre pas d'un seul coup dans son nid d'amour. Quinze bons centimètres sont maintenant enfoncés, quinze centimètres qui sortent et entrent au rythme du poney. La femme est comme folle, elle dégouline tant elle mouille, ses sécrétions lui coulent le long des cuisses, tous sentent que le plaisir va la submerger dans peu de temps.

Le poney la baise et donne la cadence. Ils ont obligé la stagiaire à caresser les seins de la directrice tout en tenant la bite du poney.... Contre toute prudence, elle lâche le cheval qui s'engouffre totalement dans le sexe de la femme ... Marijke hurle...

Le cheval part le premier, d'un coup de rein qui fit avancer la directrice, il remplit la femelle de sa purée. La quantité lui gonfle la chatte et déborde de chaque coté. Les hommes enlèvent rapidement le second poney et en présentent un troisième. Ils l'ont déjà excité et il est prêt à l'action.

Il prend la place de son prédécesseur sur la table. Ils obligent Jennifer à prendre le sexe de la troisième bête avec une horreur non dissimulé.

Avec le sperme récupéré dans le vagin de la femme les gars lui enduisent le sexe et l'avancent vers le cul de la directrice.

Ils écartent les fesses de la femme et l'infirmière-stagiaire présente le gland à entrée de l'anus. Elle procède par petites touches, attentive au moindre cri et à la moindre crispation de la femme. Son but est de lui procurer le moins de douleur possible, en cachettes de tout ces mâles avides de sexe et de souffrances. Au bout de quelques minutes, la directrice a plus de vingt centimètres de bite dans le cul et d'après sa réaction, se faire enculer par un cheval lui déplaît énormément. Au bout d'un moment c'est le cheval qui dicte sa cadence, On a l'impression qu'il s'enfonce de plus en plus dans le cul de la femme.

Il éjacule avec un bruit nasal et de nombreux soubresauts.....

Puis on a enlevé le cheval du cul de la directrice....

Maintenant tous les gardiens et les prisonniers sont dans la cour de promenade, y compris Laurence et le gardien-chef. Tous sont super excités par le spectacle auquel ils ont assistés... Tous sauf Laurence et Jennifer, bien entendu.

Ils ont à nouveau installé la directrice à plat ventre sur un banc... Laurence, et Jennifer se retrouvent elles aussi sur un banc, de chaque côté de Marijke.

C'est alors un véritable déchaînement de sexes et de violences qui éclatent. Pendant que certains massacrent avec des manches d'outils, des battes de base-ball et des objets divers les orifices de la pauvre directrice, et des deux autres malheureuses, deux autres files interminables se forment.

Une pour la médecin et une autre pour le jeune stagiaire...

Tous les hommes présent défilent dans les les orifices de l'une et de l'autre, quelques-uns dans la bouche, mais le plus souvent dans le vagin ou dans l'anus...

Lorsque l'un a fini ses affaires avec l'une des femmes il va vite reprendre la file pour profiter de l'autre......

Et cela a duré longtemps, longtemps... très longtemps... On ne compte plus en heures d'ailleurs, mais en jours... Trois jours de violences abject pour être exact. Les hurlements du quartiers pour femme ne cessent pas, jamais, à aucun moment de la journée. Cinq mille touaregs du désert, vivant entre la prison et la ville d'Anabia sont venu. Ils sont là pour profiter des prisonnières étrangères, mais aussi des gardiennes et des membres administratif ou autres de la prison. D'autres arrivent encore. Eux aussi se sont rallié au général Abdou, mais ils n'ont pas dut combattre. Mais le général leurs offre quand même une récompense avec les prisonnières d'Anabia, dont le sort est au moins aussi dur que ceux de Marijke, de Laurence et de Jennifer.

Les trois femmes sont totalement inconscientes après ce qu'elles ont subies... Plus évanouies qu'endormies. Leurs bourreaux aussi mais eux dorment d'un sommeil sans cauchemar. Du sommeil de l'homme satisfait, de l'homme vidé. Seul cinq hommes restent pour surveiller les trois putains. Des gardes de deux heures. Au bout de dix heures de repos, les bourreaux se réveillent. La plupart bandent déjà, les autres se mettent à durcir en regardant les trois femelles nues, couvertes de bleus et de spermes.

Alors ils se dirigent vers les trois chienne, le gardien-chef en premier. Sur son accord les prisonniers et gardiens se jettent sur Laurence et Marijke, qui se réveillent en hurlant, une bite dans la chatte. La directrice qui n'est plus sous l'emprise de la drogue, recommence à vivre son viol avec douleurs, révulsions. Son esprit à même occultés les événement avec les poneys, les chiens. Jennifer se réveille en entendant ses amies hurlées. Le gardien-chef, et les dix prisonniers les plus dangereux la surplombe. Ils l'empoignent, ils lui font boire une sorte de mixture... Ils la force à tout boire.

Puis après avoir un peu attendu une quinzaine de minutes, en lui massacrant les seins de leurs mains caleuses, deux immenses noirs s'emparent d'elle.. Ils la font levée, ils lui présentent leurs queues démesurées érigées et palpitantes, à branler.

A son comportement, on voit bien que Jennifer est complètement droguée et saoule. Elle titube, elle rit bêtement tout en caressant leurs engins, elle a du mal à tenir debout....mais c'est vrai qu'avec ce que la jeunette a déjà pris... C'est un peu normal ...

La stagiaire sent dans sa main et voit distinctement leurs sexes battre au rythme de leurs pulsations cardiaques. Ils lui disent de les sucer. Jennifer devine que ce ne sera pas facile de les sucer sans qu'ils ne lui explosent à la figure. Néanmoins, l'infirmière se met à genoux devant eux.

C'est donc avec les plus grandes précautions qu'elle a entrepris avec l'un, puis avec l'autre sa fellation. Dans l'état où ils sont, elle n'ose pas mettre sa main sur leurs queues même pour les faire patienter...

Elle commence avec le plus excité des deux. Sa langue parcoure son membre de bas en haut, puis de haut en bas. Avec tout ce qu'elle a subit, une pipe lui paraît presque un cadeau. Quand elle arrive au gland, elle en fait le tour en lui taquinant délicatement la pointe, pour l'enfouir ensuite aussi profondément que possible dans sa gorge.. Elle sent le liquide pré-spermatique sortir de son membre, et elle se dit qu'il est grand temps d'arrêter si elle ne veut pas déclencher l'irréparable... Jennifer redresse sa tête et son regard croise celui de l'homme. Il semble comprendre. Un sourire au coin des lèvres, il a laissé la place à son collègue qui commence à s'impatienter.

Mais la bite du second n'est pas à deux doigts de l'explosion... Elle peut donc la gratifier d'un traitement approprié...

De sa main droite elle lui a pris les couilles et elle les a soupesées. De sa main gauche, elle a saisi son sexe. D'un revers du poignet, elle a tentée sans succès de le plier. Elle s'extasie devant sa rigidité.. Sans qu'elle ne s'en rende compte, la drogue puissant aphrodisiaque, donnant en outre une envie folle de sexe à la plus pure des vierges, fait son travail. Alors que le mec a déjà bien baisé avant, elle bien sur mais aussi la médecin et la directrice. Elle voit sur le visage de l'homme un profond sentiment de fierté masculine.

Elle prend son sexe en bouche, tandis que les hurlements de Marijke et Laurence ne la gêne même pas, à peine si elle les entends. Elle l'a ensuite sucé comme s'il s'agissait d'un sucre d'orge. Son gland se gonfle, enfle, comme s'il va éclater . Dans le creux de sa mains, ses couilles semblent se mettre à durcir .

Sans arrêt, sa langue passe et repasse sur son gland et elle ne quitte pas des yeux son méat, par où à tout moment le sperme risque de jaillir.

Le black a jugé qu'il est grand temps d'arrêter ce petit jeux dangereux.

Il l'a empoignée par les cheveux et il lui a retiré sa tête en arrière, sortant ainsi son sexe de la bouche de la jeunette.