Rattrapée

BÊTA PUBLIQUE

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Elle se savait pas combien de temps l'ébat avait duré, mais il avait semblé ne jamais finir. Une grande chaleur émanait de son bas-ventre. Elle savait avoir joui plusieurs fois, et sa tête avait été vidée par les coups de pilon. Vers la moitié de l'acte, elle avait abandonné sa figure larmoyante bien malgré elle, et les mots doux que lui avaient chuchoté son colocataire lui suggéraient de ne plus se retenir. Elle avait alors empli la pièce de ses gémissements de joie et ses cris de plaisir, ondulant elle-même son bassin sur la poutre magique. Si il s'était retiré avant l'heure, elle l'aurait sûrement supplié de continuer. Mais tout cela n'avait plus d'importance à présent ; étendue sur le canapé, le corps luisant de sueur, elle sombrait dans les doux nuages du sommeil.

Marcus lui avait interdit d'en parler à qui que ce soit ni de l'écrire ; c'était leur secret. Les images lui trottaient dans la tête tous les jours. Le soir, en rentrant, elle se déshabillait, enfilait son collier muni d'une laisse, et, à quatre pattes, allait se présenter devant son « maître ». Il la félicitait alors de son obéissance, et elle se sentait alors véritablement heureuse. Ce sentiment qui suivait l'obéissance à Marcus lui était presque devenu addictif, et elle rencontrait de moins en moins de problèmes de conscience. Le petit rituel se répétait tous les soirs. Alors, il la prenait sauvagement et elle hurlait sa jouissance si fort que les voisins -- surtout ceux avec enfants -- se plaignaient régulièrement. Les jours de règles, elle se contentait de prodiguer à Marcus une gâterie, mais se voir procurer au jeune homme du plaisir était devenu presque aussi jouissif pour elle. Élise s'était résignée à obéir au maître, et à voir son plaisir primer sur tout.

Après plusieurs mois, Élise obéissait au doigt et à l'œil à Marcus. Elle ne voyait presque plus ses amies, et elle ne sortait de l'appartement que pour étudier -- elle était par ailleurs devenu major de sa promotion, grâce aux soins de Marcus qui l'avait entraîné à apprendre aussi vite qu'elle lisait -- ou bien avec Marcus, qui la faisait déambuler dans les rues en vêtements provocants, ou/et sans sous vêtements, la main fixée sur les jolies fesses de sa propriété.

C'était la veille des vacances d'été. On entendait Élise pousser de petit cris étouffés ; la tête enfouie dans l'oreiller, Marcus la prenait violemment par derrière en la fessant dans des claquements métalliques. Elle était au comble de l'extase quand il relâcha enfin son jet blanc en elle, et son orgasme, par le lien mental qui unissait les deux corps, se répercuta chez Élise, qui jouit à son tour. Il était resté en elle quand il s'allongea sur le dos transpirant de sa belle. Elle sourit quand il l'embrassa sur la joue.

« Quand tu te seras remis, séance d'hypnose ce soir! » lui murmura-t-il dans le creux de l'oreille. Élise fut un peu surprise, cela faisait des mois qu'il ne l'avait pas hypnotisé, et sa première pensée fut celle de la culpabilité ; si le maître voulait la corriger, elle devait avoir fait quelque chose de mal. Bien sûr elle acquiesça.

Élise n'avait pas pris la peine de se rhabiller et s'allongea près de lui, l'esprit ouvert comme un livre. La voix se fit entendre et elle s'y abandonna. Quand elle reprit conscience, Marcus avait deux doigts plongés dans son vagin. Le plaisir refit surface et elle s'y laissa emporter. Mais quelque chose n'allait pas.

« tu vas mettre du temps à t'y habituer, c'est inconfortable je sais, mais c'est difficile d'effacer des parties de mémoire » avait-il dit, percevant sa gêne.

Cette nuit là, elle dormait comme toutes les nuits avec son collier en cuir où étaient gravés les mots « propriété de M . H », à côté de son maître. Mais elle fut réveillée en pleine nuit par une sirène de pompiers. Nue, elle sentait la main froide de Marcus sur ses fesses rebondies. Elle décida de boire un verre d'eau car elle avait soif. En chemin, les images de la veille dansèrent dans sa tête. « effacer...mémoire » La perspective ne l'avait tout d'abord pas gênée, mais à présent, elle comprenait le sens d'une telle pratique... et trouvait cela assez monstrueux. Se fit alors entendre une voix qui n'avait pas eu droit au chapitre depuis bien longtemps ; la voix de sa raison. Progressivement, un vent de panique s'instaura en elle. Une telle sensation n'avait pas effleuré son cerveau depuis plusieurs mois. « il veut me... laver le cerveau...complètement...? » Élise resta ainsi dans l'obscurité durant une heure, à ressasser les dernières parcelles de lucidité qui lui restaient.

Alors une idée aussi folle que nécessaire fit son apparition dans le crâne d'Élise : fuir, elle devait fuir. Elle s'habilla des derniers vêtements à peu près décents qui lui restaient, saisit tout l'argent liquide qu'elle trouva dans le portefeuille de Marcus, c'est à dire guère plus de cinq cent euros, et s'enfuit par la porte.

Désarmée, seule au monde, elle prit le premier train en gare et fila droit vers l'inconnu. Elle pleura toutes les larmes de détresse et de malheur que son corps contenait pendant le long trajet du TGV. Quand le train eut atteint son terminus ; la ville de Nîmes, elle n'avait plus le cœur au regret, et elle se résigna à tout recommencer.

On entendit plus jamais parler d'Élise Parsefleur, la jeune fille de vingt ans que tout destinait à un brillant avenir.

~

~

~

Élise ouvrit la porte d'un coup sec, sans y penser. La tête ailleurs, elle venait de se disputer avec sa fille à propos d'une broutille... comme elle était turbulente ces temps-ci! Quand elle jeta enfin un coup d'œil à l'homme à sa porte, le temps cessa. Ses yeux s'écarquillèrent de terreur et ses muscles, soudain tétanisés, lui interdisaient tout mouvement. Elle aurait voulu hurler, mais le cyclone qui terrassait son esprit emportait toute sa volonté : c'en était fini d'elle, le destin l'avait retrouvée.

Elle pensa à sa fille, à son mari, à sa nouvelle vie... tout cela broyé. Sans prévenir, Marcus l'embrassa langoureusement. Incapable de bouger, elle se laissa faire, le cœur battant la chamade.

« Ça fait longtemps, dis-donc! Combien? Vingt, vingt-cinq ans déjà? » la questionna l'homme tout sourire. Ses cheveux s'étaient un peu grisés et avaient perdu leur brun si profond, mais son visage n'avait pas changé. Soudain, Élise pensa à appeler son mari à l'aide, mais elle se rappela que celui-ci était parti pour le week-end à cause d'un enterrement. Elle était seule. Non, pire, elle était seule avec sa fille.

« Comment... comment m'as-tu retrouvé? » eut-elle enfin le courage de prononcer. Son cœur battait toujours aussi fort, et le sang tapait comme un tambour sur ses tempes.

« Ah, tu as retrouvé la parole? » Marcus la fixait intensément « Et bien figure-toi que je ne t'ai jamais perdu de vue... » Elle ne comprit pas « ...je t'ai vu quitter l'appartement, tu sais? » Un bourdonnement paralysa les tympans d'Élise. « quoi? » Marcus repris de plus belle : « Ha ha ha! Croyais-tu vraiment que ta conscience avait repris le dessus? Non, j'ai délibérément mis ces doutes en toi et cette volonté d'émancipation, que j'avais précédemment annihilé. C'est moi qui t'ai fait partir. »

« Mais... mais pourquoi? » L'homme, les yeux toujours fixés dans les siens, poursuivit : « tout le monde sait qu'un individu bien conditionné ne peut pas perdre toute sa volonté, surtout s'il est né libre... Je devais t'anéantir complètement pour pouvoir t'acquérir vraiment. De plus, j'avais envie d'autres proies... tu sais ce qu'on dit ; il faut varier les plaisirs ; j'avais peur que tu finisse par m'ennuyer... »

Quelque chose au fond d'Élise semblait prêt à s'effondrer après ces révélations bouleversantes. C'est à ce moment qu'elle sentit une présence derrière elle ; elle tourna sa tête et aperçut l'éclat de la chevelure blonde de sa fille. Le regard de Marcus quitta les yeux d'Élise pour se poser sur la figure intriguée de sa fille. C'était une jeune fille qui ressemblait à s'y méprendre à sa mère, excepté sa couleur de cheveux, d'un blond qui tirait légèrement vers le roux.

« Maman, qui est-ce? » demanda la jolie voix. La mère paniquée semblait incapable de répondre, c'est donc Marcus qui prit la parole :

« Je suis un ami d'enfance de ta maman ; je m'appelle Marcus, mais certains préfèrent simplement m'appeler « maître » » Croyant au canular, la fille gloussa d'un petit rire poli. « Ne rigole pas, c'est comme ça que m'appellent ceux que j'ai aidé... ta mère par exemple ; regarde un peu : Élise, présente moi à ta fille. » Élise retrouva la sensation de lutte déjà perdue contre Marcus et, si elle réussit à rester muette pendant quelques dures secondes, elle ouvrit enfin sa bouche :

« Lou... Louise, voici Mar... M... je veux dire mon maître... » Sa fille, Louise, restait incrédule ; qu'est-ce que cela signifiait?

« C'est très bien » complimenta Marcus, et elle ressentit le même sentiment de joie après un compliment. Marcus lui tendit alors un objet qu'elle reconnut immédiatement : le collier! Y était déjà attaché la laisse, et, inconsciemment, Élise le mit à son cou. Porter le collier lui procura soudainement un bien-être fou, et un apaisement certain. Elle n'osait plus regarder sa fille et fixait le sol, les joues rouges écarlates. La fille avait l'air perdue et ne semblait rien comprendre à ce qui se déroulait sous ses yeux. Il décida qu'il devait l'éclairer :

« Tu vois, quand elle étudiait pour devenir professeur... » Louise n'en avait jamais rien su « ... elle rencontrait certains problèmes de diction, alors je l'ai hypnotisée pour l'aider. »

« hypnotisée » Louise, qui faisait les yeux ronds semblait comme happée par le mot...

« Et oui, hypnotisée!, enchaîna Marcus, Regarde donc moi faire : Élise, donne moi la laisse et met toi à quatre pattes! » Se sachant condamnée, elle s'exécuta, non sans une certaine tentative de résistance. Louise regardait, fascinée et bouleversée, le monsieur qu'elle venait de rencontrer tenant sa propre mère en laisse, comme un animal de compagnie. Élise quant à elle, retrouvait le doux plaisir d'obéir, et si elle faisait tout pour le cacher, elle se sentait apaisée et heureuse enfin. « Tu veux essayer? » demanda l'homme à Louise, qui n'avait toujours pas prononcé un seul mot. Elle s'approcha, prit la laisse que lui tendait Marcus -- celui-ci avait pris soin de murmurer à l'oreille d'Élise d'obéir à sa fille -- et se demanda quoi demander.

« Tire la langue, maman » finit-elle par dire, et sa mère s'exécuta « Miaule maman » et la mère miaula : « miaou, miaou » Louise trouvait cela très rigolo, mais le monsieur lui reprit la laisse et déclara :

« Ha Ha! C'est drôle, mais il y a mieux à faire quand on a le contrôle. Regarde un peu! » il murmura dans l'oreille d'Élise des paroles que Louise ne comprit pas, mais qui entraient dans sa tête. Cela faisait vingt-cinq ans qu'elle n'avait pas entendu le doux chuchotement de sa voix, et Élise chassa toute résistance au son de cette voix. Elle sentit comme un tremblement dans son esprit, et se mit enfin à obéir sans réticences. Élise commença donc par se relever, et se mit à ôter ses habits un par un, chaque vêtement enlevé lui procurant une chaleur intérieure et un plaisir inouï. L'effeuillage inquiétait plus en plus Louise dans la mesure où cette fois, maman ne s'arrêtait pas au pull ni au chaussures. Maman ne faisait jamais ça... Elle lui avait appris la pudeur, et voir ainsi sa mère lui faisait douter du caractère ludique de l'opération. C'est donc sous le choc qu'elle vit sa mère dégrafer son soutien-gorge et mettre à nu sa poitrine alourdie par un enfantement. C'est tout aussi bouche bée qu'elle la vit descendre sa culotte et dévoiler ses poils bruns.

« Tu veux toucher? » demanda malicieusement Marcus

« Non! Non! Pourquoi... pourquoi elle fait ça? » répondit Louise, décidément très inquiète face au monsieur. Il ne répondit pas à la question, mais plongea son regard dans le sien. Alors qu'elle était prise dans le bleu-vert de ses iris, il lui parla lentement mais d'une voix sûre. Elle n'arrivait pas à comprendre les sons qu'elle entendait, et regardait sa bouche produire ces paroles vides. Elle fut prise d'un bref moment de ce qui semblait une rêverie, et entendit ces mots : « tu veux toucher » cette fois-ci, ce n'était pas une question. Louise se surpris alors d'une envie irrépressible de tâter ce corps maternel. Inconsciemment, elle s'approcha et se mit à caresser doucement les lèvres humides. Quand Louise se rendit compte de son acte, elle sentit qu'il était anormal, mais ne parvenait pas à savoir pourquoi. Abandonnant toute volonté de compréhension, elle se mit bientôt à laper la vulve.

Pour Élise, ce fut l'éclatement final et définitif de toutes ses barrières morales et de sa propre volonté. Vide. Son esprit était désormais vide. Elle allait enfin pouvoir s'abandonner à la volonté du maître, mieux encore, elle allait pouvoir faire découvrir les joies de l'obéissance à sa fille. Laissant la place au plaisir que lui procurait le cunnilingus, elle se mit à gémir longuement. Louise ne s'étonna même pas des cris érotiques que poussaient sa mère. Elle avait les joues et le menton couverts de la cyprine de sa mère. Marcus lui ordonna de s'arrêter. Elle recula et s'assit, contemplative. Alors le monsieur défit son pantalon et sortit de son caleçon un sexe raide, qui capta immédiatement l'attention des deux femmes.

« Maître, prenez moi! Prenez moi je vous en supplie! Implora Élise, Je n'ai pas... Je n'ai plus... »

« Je sais Élise, je sais. Tu n'as pas ressenti d'orgasme depuis cette nuit où tu t'es enfuie, répondit calmement Marcus, Rappelle toi que c'est moi qui t'ai programmé ».

« Le maître sait, le maître sait tout » pensa alors Élise, et elle se mit à quatre pattes sur le sol, la fente bien visible. Sans prévenir, il l'enfourcha d'un coup, et la seconde où elle sentit la poutre en elle, elle fut submergée par un tsunami orgasmique, qu'elle avait contenu trop longtemps. S'ensuivit alors un concert de hurlements de joie et de cris de plaisir pour Louise, qui commençait à se masturber furieusement -- geste nouveau pour elle. Il semblait à Élise que chaque aller-retour provoquât en elle un orgasme instantané. L'ébat dura ainsi pendant trente extatiques minutes, et enfin, le jet du précieux nectar clôtura l'acte, laissant ses participants épuisés. Élise eut tout de même la force de lui avouer : « maître... je ne prend plus la pilule... » Il la rassura et la laissa s'endormir sur son torse. Il s'endormit alors à son tour, en jubilant. Ce fut enfin à Louise de venir se loger près de sa mère et de s'endormir profondément.

Louise se réveilla la première. Quelle ne fut pas sa surprise en se découvrant, elle à demi-vêtue, à côté de sa mère nue et d'un homme qui n'était pas son père, tout aussi nu. Prise de panique, elle secoua sa mère. « maman, maman, qu'est-ce qui se passe?! » Elle n'avait aucun souvenir de la veille. Sa mère, elle, s'en souvenait parfaitement et bénit le ciel en se réveillant près de lui. Avertie de l'affolement de sa fille, elle réfléchit rapidement et décida d'inaugurer le retour de son maître par un cadeau. Son rôle de propriété pris le dessus sur celui de mère, et décida de réveiller Marcus. Puis elle rassura sa fille :

« Ne t'inquiète pas Louise, ce n'est pas ce que tu crois... Viens je te montre. »

Louise la suivit, sceptique. Sa maman lui demanda d'abord de s'allonger, ce qu'elle fit, mais elle réalisait à présent que l'homme brun se levait. Paniquée, elle se tourna vers la mère, mais s'aperçut que celle-ci venait de lui attraper les deux mains et les tenaient fermement attachés. Elle voulut protester, mais l'homme lui enfourna rapidement un bâillon -- fait des draps encore trempés de la sueur de sa mère -- dans sa bouche impuissante. Alors elle comprit, mais c'était trop tard. Marcus écarta ses cuisses, et sa bouche eut vite fait de dévorer le jeune vagin à coup de langue. Louise, si elle pleurait la trahison de sa mère et qu'elle hurlait sa peur et son impuissance dans le bâillon, ne put ignorer la douce chaleur qui l'inonda alors. Mais, quand Marcus se mit à goûter la mouille dans la fente, il se retira, et approcha son sexe du sien. Les cris étouffés et les larmes de Louise reprisent de plus belle, et sa tête se secouait de répulsion, pendant que le sang battait ses tempes. Alors, Élise eut un flash-back et se vit elle, alors qu'elle allait être violée par Marcus, vingt-cinq ans auparavant. Comme elle se sentit fière de sa fille alors!

Finalement la verge entra, du même coup sec dont elle avait le secret, et l'hymen se déchira. Une larme de joie coula sur la joue d'Élise quand elle vit le pénis tâché de sang. Alors, plus vite que jamais, il pilonna la la jeune fente. Tout en continuant ses va-et-viens, il parlait doucement à l'oreille de Louise. Quand, après dix minutes à peine, elle surprit des bouffées de chaleur et de plaisir la consumer, elle savait qu'elle avait perdu, et s'abandonna ainsi aux mouvement frénétiques, les accompagnants d'ondulations du bassin de plus en plus volontaires.

Sa mère lui retira alors le drap de la bouche. « oh ouiii! Oh ouiii! » laissa-t-elle alors échapper encore et encore. « C'est bien ma fille » elle sentit alors les mains de sa mère se lier aux siennes « comme j'aimerais être à ta place » « hihi » Le plaisir montait, montait toujours plus « Pardon chérie, mais je n'en peux plus » elle sentit sa mère changer de place pour s'asseoir sur sa tête. Louise commença à lécher la vulve ruisselante, et retrouva le goût de la veille. Sa mère faisait face au monsieur, et elle entama des cercles autour de son clitoris avec sa main, en le fixant. « Uuuuh... Aaaaah... Aaaah » Le plaisir montait toujours. Elle sentit son vagin se contracter et bientôt, il fut l'épicentre d'un orgasme foudroyant qui lui fit perdre conscience. Quelques minutes plus tard, ce fut au tour de l'homme d'exploser. Il se retira et afficha un sourire satisfait, mais sitôt qu'il eut reculé, Élise se rua sur l'orifice, puis aspira et lécha tout ce qu'elle trouvait de nectar à l'intérieur. Trouvant la scène magnifique, Marcus vint introduire deux doigts dans le sexe affamé, tout en insérant son pouce dans l'anus. Il joua ainsi longtemps de sa pince, et enfin, Élise succomba à l'orgasme.

Mais Marcus n'en avait pas fini, et alors que Louise comatait, il continua de copuler bruyamment avec sa propriété retrouvée, dans chacune des pièces de la maison -- ils passèrent néanmoins la plus grande partie des ébats dans le lit conjugal, où Élise hurlait son plaisir face au cadre de son mari. Quand enfin les amants furent satisfaits, et que Louise fut réveillée, ils réalisèrent qu'il était 19h00 (on était alors un dimanche) et que le mari devait rentrer à 20h00. Ils s'habillèrent alors promptement -- les filles étaient d'ailleurs courtement vêtues -- et quittèrent la maison, sac au dos et collier au cou. Marcus n'avait sur lui que trois allers simples pour Madrid, et Élise quitta Nîmes aussi démunie qu'elle y était entrée.

Sur le chemin de la gare, Élise et Louise croisèrent un instant la Citroën C6 noire mate du père, monsieur Hugues Bahamontes, et n'éprouvèrent pas le moindre regret. Quand elles entrèrent dans le train, leurs fesses solidement agrippées par les mains de Marcus, leur têtes étaient vide de regret, mais pleines de désir. C'était la dernière fois qu'on eut entendu parler des femmes de la famille Bahamontes.

FIN

~

~

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Épilogue

C'était dans une petite ferme de la campagne espagnole. Il faisait chaud, très chaud. Derrière les stridulations des criquets, on entendait comme des cris. Dans l'étable, près des vaches, se tenaient enlacées deux femmes. Leurs ventres respectifs étaient bombés, et l'on pouvait affirmer dans trop de doutes qu'elles étaient enceintes. Devant elles se tenait un homme qui les encourageaient. Elle continuaient alors à se masser les seins et à agiter ardemment l'une en l'autre un jouet de bois de forme phallique. Les cris continuaient à emplir l'étable et à meubler le silence de la nature.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
une suite?

j'ai adoré mais ce fut trop court

CocuforeverCocuforeveril y a presque 7 ans
Magnifique histoire!

Quelle belle écriture. On s'y croit. J'ai rarement lu un si beau texte. Comme quoi pornographie et littérature font bon ménage quand on se donne la "peine" joie de l'écrire.

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans

Super ! ! !

Rudy

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