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Cliquez iciJe voulus me retourner mais mon patron me l'interdit.
— Patron : Qui c'est?
— Interlocuteur : Hermès le message divin.
— Entrez. Et toi reste ainsi.
L'inconnu restait derrière moi et ne disait mot. En fait Bernard reprit ses pénétrations musclées ce qui remplaça l'angoisse d'avoir un inconnu m'observant par un diffus plaisir. Il sortit de mon vagin quelques instants plus tard pour faire le tour du bureau et positionner son sexe devant mon visage. Je compris le message et ouvris ma bouche afin d'accueillir son membre raide. Pendant ce temps là, disons qu'Hermès le remplaça et me pénétra. Mais il ne resta que peu de temps dans mon con. Il préféra changer d'issue et donc me sodomisa quelques instants plus tard.
J'étais prise par deux hommes qui trouvèrent que leurs sexes ne suffisaient pas à ma déchéance. Ils se mirent avec leurs mains à l'un, triturer mes seins et l'autre, me doigter. Je haletais sous leurs pénétrations et attouchements et il ne fallut pas
longtemps avant que mon corps explose de plaisir.
Mon patron profita de cet instant pour éjaculer dans ma bouche tandis qu'Hermès prit un malin plaisir à tirer mon bas pour déverse sa semence sur ma cuisse. Affalée sur le bureau, les jambes écartées et tremblantes, j'avalais avec joie le cadeau de mon nouvel amant.
C'est alors qu'Hermès me fit face avec un sourire radieux. Hermès n'était autre que Nietzsche et d'une voix calme m'informa que désormais je pourrais jouir de mes penchants même dans le cadre de mon travail. Donc chaque semaine Bernard pourrait communiquer à Nietzsche ses désirs à mon égard. Libre à lui de me pousser ou non dans ses bras.
Quant au reste de la journée je finis sans sous—vêtement ce qui ne manqua pas
d'attirer l'œil de certains collègues qui ne savaient si leur vue leur jouait des tours.
On se demande comment Nietzsche a fait connaissance avec son patron même si on se doutait que les photos ne pouvaient venir que de lui.
OlivX
Magnifique comme d'habitude, j'adore vraiment cette série. La pauvre Laurence ne va plus avoir de liberté... Vivement la suite.
Merci à l'auteur.