Qui suis-je vraiment? 09

Informations sur Récit
Nietzsche continue de souffler le chaud et le froid.
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Partie 9 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/26/2013
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Preambule: ce texte tout comme les 9 precedents episodes contient des scenes de soumission, humiliation. Si ce type d*histoire vous derange ce qui est tout a fait comorehensible, je vous conseille de vous arreter a ce préambule.

pour celles et ceux qui sont attires, bonne lecture et s*il vous plait merci par avance pour vos commentaires ou avis.

Vacances en montagne:

Malgré les évènements et les demandes diverses et variées, je n'en restais pas moins choquée ou honteuse. Choquée en fait de ce qu'on voulait faire de moi, et honteuse de le faire sans plus de résistance.

Je me demandais pourquoi je ne disais pas non. Il ne reviendrait sûrement pas sur sa décision de m'abandonner définitivement si j'exerçais le moindre refus face à ses volontés. Mais je n'en étais pas sûr et je n'avais nullement l'envie de prendre un tel risque. Et puis ... j'aimais bien cette sensation d'être dirigée par un homme aussi sûr de lui.

Désormais, je jonglais entre des tenues plutôt sages mais fort féminines pour le

travail, et ultra—sexy voire provocatrices avec mon maître. Cela me convenait très bien et je ne souhaitais pas trouver dans mes escapades sexuelles des relations professionnelles ou des proches. Je pense que Nietzsche en était bien conscient et faisait tout pour éviter de jouer avec moi dans le quartier ou au travail.

Nous primes une semaine de congé début avril pour aller au ski. J'eus à cette occasion très peur car j'appris quelques jours plus tard que mon patron partait lui aussi dans cette station heureusement assez vaste pour ne pas nous y rencontrer. C'est ce qui arriva par bonheur pour ma double vie.

Ces vacances furent en tout cas très chaudes malgré le temps toujours hivernal en ce début de printemps. En effet, Nietzsche décida de me partager à nouveau avec ses compères Fabrice & Jean. Mais leurs exigences se firent attendre.

Pendant les 3 premiers jours je profitais alors à fond pour skier à ma guise. Ce qui était intriguant c'est qu'ils ne portèrent aucune attention à mon égard, ni geste ni regard.

Au cours de ces vacances ils décidèrent de pique—niquer sur les pistes. Idée fort

sympathique car ainsi on profitait au maximum de nos journées sans s'entasser dans les restaurants d'altitude.

Mais le quatrième jour après un déjeuner accompagné d'un petit bordeaux, ces

messieurs redevinrent grivois et graveleux.

— Nietzsche : Laurence, cela fait bien longtemps que tu ne nous as pas dévoilé ton anatomie. Je me trompe?

— Moi : Il ne faut pas exagérer, il n'y a que quatre jours de cela.

— Fabrice : Ils ont raison, on va finir par oublier qui tu es!

— Jean : Tiens, j'ai même oublié tes surnoms. J'aimerais vivement les entendre et de vive voix afin que les éventuels guetteurs puissent entendre.

— Moi : Je suis votre petite soumise, votre salope, c'est bien cela..

— Fabrice : Un peu rebelle et je trouve trop d'assurance dans le son de ta voix!

— Nietzsche : Ne t'inquiètes pas elle va vite perdre cette douce assurance pour

redevenir la fébrile soumise qu'on aime tant. Le petit dessein que nous avons à son égard est idéal en cela. 😉

— Moi : Mais qu'est ce que vous manigancez?

— Jean : Arrêtes de réfléchir et désape toi immédiatement en enlevant ce fuseau qui moule si bien ton petit cul.

—Fabrice : Oui et voyons ce quelle porte comme dessous quand on ne lui demande rien!

Comme exigé mais les joues pourpres je me levais et de manière maladroite en raison de la neige je défis mon pantalon de ski. Ils purent dés lors admirer mon Tanga en dentelle noir. Pour me mettre mal à l'aise, ils me sifflèrent comme les matelots le long des quais selon certains clichés cinématographiques.

— Nietzsche : Mets—toi à quatre pattes qu'on matte ton fessier avec sa guirlande noire.

—Fabrice : Et profites en pour te caresser l'entrejambe afin de te réchauffer le minou!

Mon assurance avait bel et bien disparu. Je me mettais en position inquiète par ce qu'ils avaient en tête et effrayée que des gens m'aperçoivent ainsi.

L'attente pour mon supplice ne fut pas longue. Sans prévenir Nietzsche prit ma culotte et la descendit brusquement jusqu'à l'inflexion de mes genoux. Puis d'une main il écarta les lèvres de mon sexe pour de l'autre y introduire de la neige.

Le froid me saisit au point de gémir, mais Fabrice m'ordonna immédiatement de me taire ce que je fis sur—le—champ.

— Fabrice : Au lieu de crier tu devrais te préparer pour la suite car cela n'est qu'un hors d'œuvre!

— Nietzsche Il a raison Laurence ... tu vois cette stalactite, et bien tu vas la sucer.

Comme cela, cela te fera oublier le froid qui secoue ton bas—ventre.

— Moi : Mais ce n'est pas de ma faute, c'est le froid qui m'a brûlée le sexe et puis je n'étais pas prête.

— Jean : Alors tu n'as pas fini de crier car je vais te remplir ton con de neige.

— Fabrice : Mais surtout tu as intérêt à bien sucer cet embout de glace et par—dessus tout en arrondir l'extrémité!

— Moi : Pourquoi cela?

— Jean : Parce que ce pieu va servir à enfoncer la neige dans ta chatte. Tu

comprends?

— Moi : Non s'il vous plaît, je vous ferais pleins de gâteries en échange mais pas cela.

Je suis frileuse et je vais prendre froid.

— Nietzsche : Quand on est chaude comme toi il n'y a que la neige pour calmer tes pics de chaleur.

La messe était dite, et Fabrice sortit son sexe raide de part l'excitation de ce scénario tandis que Nietzsche me caressait la tête tel un chien pour le féliciter de son comportement, et plus particulièrement de mon ardeur à préparer ce bâton de glace.

Au bout de cinq minutes, j'avais le vagin remplit de neige, quand Nietzsche me planta sans coup férir le mandrin glacé dans mon anus.

Excité, que dis—je surexcité, Jean sortit son sexe et me le fit lécher, alors que Fabrice investissait mon sexe avec sa verge afin comme il se plut à le dire, de faire fondre laneige. La sensation de brûlure laissa place à une douce sensation de chaud—froid.

Nietzsche, quant à lui, se mit à bouger le pic de glace pour activer mon plaisir. Je

commençais à haleter mais mes petits cris étaient étouffés par le bâillon de chair de Jean. Ce dernier céda sa place à Fabrice qui se précipita et me fit avaler sa chaude semence tandis que Jean au fond de mon vagin s'agitait fermement afin de prendre son pied.

Je finis par avoir des secousses et jouir en raison des multiples assauts. Mes muscles se comprimèrent autour du membre de Jean, ce qui eu pour effet de déclencher sa jouissance. Il sortit ensuite sa bite en berne de mon antre.

Quelques instants plus tard, perdue, le regard dans le vide, ne voyant plus mes

compagnons, je me relevais et voulus naïvement extraire le plug de glace, avant de rajuster ma culotte et mon fuseau.

Sans attendre plus longtemps mon maître d'un geste ferme m'empêcha d'ôter l'objet.

Au même moment Fabrice valida définitivement la décision en remontant le Tanga le plus haut possible jusqu'à faire rentrer le tissu dans ma raie. De fait, le pieu de glace coulissa de nouveau dans mon anus ce qui déclencha un éclair de plaisir tout au long de ma colonne vertébrale.

Je dus par la suite skier pendant une heure tout en étant sodomisée par cet engin. Ces messieurs ne se génaient pas pour m'obliger à plier les jambes ou à me courber afin que je profite à fond de ce membre. J'avais du mal à me concentrer, mon visage était rouge de honte d'anxiété... de plaisir aussi, mais où allaient—ils chercher des idées pareilles.

Après une heure de supplice, ils compatirent et me proposèrent de l'enlever mais pour se faire je dus, au cours d'une montée en œufs, baisser à nouveau mon pantalon de ski ainsi que ma culotte. Le reste de stalactite sorti, ils me forcèrent à coller mes fesses à la fenêtre afin d'être vue de tout skieur ayant la tête en l'air tandis que je leur taillais de pipes.

L'enjeu était de remonter mes affaires que si l'un des trois arrivait à éjaculer, tout en maintenant les deux autres queues excitées. Heureusement pour moi que ce remonte pente était long car ce n'est qu'au dernier pylône que Jean me récompensa à nouveau en déversant son jus sur mon pull. Je m'empressais de me rhabiller mais en contrepartie je finis la journée avec cette belle preuve de mon attrait pour le sexe.

Le reste de la semaine fut plus calme. Certes je fus obligée de préparer des repas nue ou servir en me déhanchant pour faire ballotter mes seins. Bien sûr les voisins étaient invités au spectacle puisque les rideaux étaient plus qu'entrebäillés, mais il semblerait que le ski fatigue car mes compagnons ne virent aucun « observateur » aux fenêtres.

Quant au reste, rien de plus classique que de partager mon corps avec trois hommes prêt à me soumettre à leurs envies les plus folles... voire tout simplement à me soumettre.

Et le travail dans tout cela:

Les vacances étaient finies, bien trop rapidement à mon goût, je retrouvai mon fils que j'avais envoyé en colonie. Quant à Nietzsche, je n'eus pas de nouvelle de luis pendant deux semaines. Mais je n'étais pas inquiète car il avait apprécié mon obéissance durant cette semaine au ski.

Un mardi soir donc, Nietzsche m'appela pour m'avertir que je devrais m'habiller de manière sensuelle demain pour aller travailler car nous irions manger ensemble le midi. J'étais mal à l'aise car je vous l'avais dit j'aimais bien séparer mes frasques sexuelles de ma vie professionnelle. Cette gêne, Nietzsche la ressentit, et pour me rabaisser un peu plus se moqua de moi et de mes manies de vieille fille alors que quelques instants plus tard je n'étais qu'une dévergondée.

— Nietzsche : Je veux que tu portes la robe que nous avons achetée ensemble dans la petite boutique

— Moi : Mais elle est transparente et si quelqu'un tire par mégarde sur la cordelette d'en haut, tout le monde va voir ma poitrine.

— Et tu oublies si quelqu'un tire sur la cordelette au niveau des hanches c'est ta

foufoune que tu va exhiber. De toute façon tu ne risques rien puisque ton abricot est tout lisse. N'est ce pas?

— Euh ... oui il est comme tu le souhaites mais je ne peux pas ... pas dans le cadre du travail.

— Non mais tu t'opposes à mes ordres ou quoi?

— Non mais c'est que mon chef n'est pas insensible à mes charmes et si je me montre ainsi il va vouloir me ... me ... me sauter.. voilà!!!

— Bon pour te faire plaisir je t'autorise à mettre des bas noirs et un porte—jarretelles noir comme cela le noir sur le noir cela se verra moins. Et comble de générosité, je t'autorise à mettre un soutien—gorge, mais je veux qu'il soit en dentelle pour souligner ta belle poitrine

— Mais c'est pire que tout, la transparence va faire qu'il va pouvoir voir quel type de dessous je mets. Et en plus comme je ne porte que des strings désormais voire des culottes Tanga il va considérer que je n'attends qu'une chose ... lui.

— Va te préparer comme je le veux sinon je risque de changer d'avis et ce sera avec porte—jarretelles mais sans string ni soutien—gorge. Et là, il verra que tu es une dévergondée première.

— D'accord maître mais ...

— Il n'y a pas de mais. Et puis tien tu m'as énervée. Donc pour la peine je t'appellerai dans la matinée, et tu auras cinq minutes pour ôter ton soutif et ta culotte. Pour m'assurer de ton obéissance tu devras prendre une photo avec ton mobile et me l'envoyer sur—le—champ.

— Mais je ne sais peux pas prendre une photo de moi en tenant l'appareil de ma main.

— Tu as un système retardateur ... donc tu poseras ton mobile sur la table et tu

montreras ce que donne ta robe sans tes sous—vêtements. Et puis tant qu'on y est tu tireras sur la cordelette pour relever celle—ci au niveau de tes hanches et montrer ton mont vénus.

Sur ces mots il raccrocha. J'étais anéantie, je n'osais plus rien dire de peur d'avoir à faire des choses pires durant cette journée. Je partis dans ma salle de bain telle une zombie et pour m'épiler le sexe. Je n'avais pas envie de me faire réprimander pour avoir une pilosité naissante. Qui sait ce que je devrais faire en plus?

J'appliquai donc de la cire sur mon pubis puis sur mes lèvres et autour de mon anus.

Je tirais d'un coup la cire une fois celle—ci refroidie. Passé la douleur, je regardais ma peau de nouveau imberbe et rougie. Pour finir je passai de la pommade pour apaiser le feu de mon bas ventre et allais me coucher pour tenter de dormir malgré l'angoisse de ce que j'avais à faire le lendemain.

Le mercredi matin donc je prenais ma douche puis allais dans ma chambre pour

prendre les dessous que je devais porter. Je commençais par les bas noirs. Je pris des bas coutures, je ne sais pourquoi. Dans ma tête c'était le classique avec des porte—jarretelles. Comme cela si un amateur de dessous voyait mes sous—vêtements grâce à la transparence de la robe, il pourrait croire que j'étais une vieille fille, une de ces filles qui aime les vêtements des années 30.

En clair j'essayais de trouver une histoire pour diminuer mon angoisse d'être vue dans une telle tenue. Les bas une fois attachés au porte—jarretelles en dentelle noir, je remontais mon string lui aussi en dentelle noire. La dentelle permettait d'apercevoir ma peau, mais difficile avec une robe par—dessus de pouvoir voire mon intimité ... enfin je l'espérais et n'avait pas envie de me regarder dans le miroir de peur d'être contredite par les faits.

Ensuite, j'agrafais mon soutien gorge dont les bouts rouges ressortaient de cette

satanée dentelle noire. Enfin, j'enfilais la robe maudite avec ces deux cordelettes que j'appréhendais tant. La transparence n'était pas aussi forte que je le craignais. En fait, le contre—jour était à proscrire car dans ce cas là effectivement elle était très transparente et dévoiler automatiquement tous les dessous.

J'arrivai donc au travail très tôt afin de pouvoir partir à la première heure, et ainsi

avoir à côtoyer mes collègues le moins de temps possible. Malheureusement pour moi, mon chef était déjà présent et semblait de forte mauvaise humeur. M'apercevant de loin il m'appela cinq minutes plus tard et me convoqua dans son bureau. J'étais tout bonnement terrifiée. Pourquoi voulait—il me voir? Qu'avais—je fait de mal? Allait—il s'apercevoir de la tenue que je portais? Cela tombait en tout cas au plus mauvais moment cet entretien.

J'arrivai donc dans le bureau de mon chef qui me demanda de fermer la porte puis de m'avancer. Son visage sévère ne laissait rein présager de bon.

— Patron : Avancez Laurence, venez devant mon bureau.

— Moi : Qu'y a—t—il Monsieur?

— Vous savez je suis quelqu'un de tolerant et ouvert, mais je n'aime pas les personnes qui mélangent travail et plaisir.

— Je comprends tout à fait ... mais je pense que je n'ai pas commis d'erreur Monsieur.

— Quand je vois la tenue d'aujourd'hui vous comprendrez que j'ai des doutes??? Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai demandé de venir.

— Pourquoi alors Monsieur?

— Penchez—vous au—dessus de mon bureau je vais vous montrer quelque chose.

— Mais c'est que je porte une robe et ce serait génant si quelqu'un arrivait.

— Ne vous inquiétez pas il est très tôt. Ce que je vais vous montrer mérite toute votre attention.

— Mais c'est qu'on va voir mes cuisses.

— Bon Madame je ne peux rien voir vu que je suis devant vous et personne ne viendra.

Rassurée par ces propos, mais aussi craintive car je sentais que je commençais à

l'énerver, je me penchais et sentis la robe remonter au niveau de l'attache de mes porte—jarretelles. Je fis comme si de rien n'était mais j'avais envie que le point se finisse vite.

— Patron : Vous voyez ce dossier sur mon bureau.

— Moi : Oui???

— Je viens de le créer vendredi suite à un courrier reçu. Et c'est le genre de dossier qui mérite d'être traité avec sévérité et énergie.

— Mais sur quoi porte t'il?

— Ouvrez le et vous comprendrez mieux!!!

Sans attendre j'ouvris la couverture carton. C'est alors que je découvris la photo de jambes gainées de bas et porte—jarretelles mais sans culotte dans un lieu ressemblant à l'identique à mon bureau. Certes mon anonymat était préservé mais on devinait clairement qu'il s'agissait de mon bureau et les chances d'une pure coïncidence étaient infimes.

J'étais blême, et je n'osais pas sortir mon regard de cette photo de peur de croiser celui de mon Patron.

— Patron : Vous comprenez mieux mon point Laurence.

— Moi : Euh! oui je peux comprendre ...

— Regardez—moi dans les yeux et parlez plus fort je ne vous entends pas très bien.

— Je... je ... ne ... ne sais quoi dire Monsieur.

— Et bien regardez la suite des photos.

Comme exigé je poursuivis la découverte des photos qui étaient de plus en plus

explicites. Je ne me rappelais pas avoir fait tout cela mais il n'y avait aucun doute

c'était bien moi lors de mes gages au début de ma relation avec Nietzsche.

Et puis tout d'un coup la dernière photo me montrant en train de pratiquer une

fellation, avec mon visage en gros plan.

— Patron : C'est bien vous, n'est ce pas?

— Moi : Oui patron.

— C'est bien de l'avouer. Bon j'ai deux solutions Madame. Soit vous démissionnez sur le—champ, soit nous nous arrangeons entre adultes consentants.

— Je ne le referai plus vous savez c'était une folie de ma part et ...

— Je ne peux pas prendre le risque Madame, donc si c'est cela j'attends votre lettre de

— Non!!! Je préfère que nous trouvions une autre solution.

— Mettez vos coudes sur le bureau.

— Comme cela Monsieur?

— Oui. Que voyez—vous là?

— Une règle en plastique.

— Et en dehors de faire des traits que peut—on faire avec?

— Donner des coups?

— Et bien c'est que je vais faire sur vos fesses. Bon remontez votre jupe que je vois votre petit cul.

Je fis comme demandé et relevais ma jupe afin d'exhiber mes fesses fendues du string dentelle.

— Patron : C'est ce que j'avais cru entrevoir, vous êtes vraiment une délurée ... que dis—je une salope.

— Patron : Je crois que je vais aller plus loin avec vous qu'une simple fessée? N'auriez vous pas un penchant pour la soumission Laurence?

— Moi : Ne dites pas cela Monsieur.

— Bon commençons la punition.

Sans plus attendre, la règle tomba sur mes fesses. La douleur était vive mais tenable et je pus me contenir. C'est alors que le téléphone sonna.

— Patron : Très amusant cela. Vous allez immédiatement répondre pendant que je continue de vous fesser.

— Moi : D'accord Monsieur Bernard

— Et bien répondez!

— Bonjour.

— Interlocuteur : Bonjour Laurence, c'est ton maître. Il est l'heure de faire ton strip-tease.

— Mais c'est que je suis ...

— Pas question tu as cinq minutes pour envoyer la photo. Bip Bip Bip ...

— Moi : Monsieur Bernard j'ai une faveur à vous demander.

— A oui et laquelle?

— En fait je suis soumise à un homme qui me demande d'ôter mes sous—vêtements et de lui envoyer une photo témoignant de cela. Puis-je le faire.

— De mieux en mieux, une belle salope soumise. Bon je suis d'accord mais après je vais me rembourser en nature.

Je me relevais et aussi vite que je pus, j'ôtais mon string et mon soutien—gorge.

Bernard me les confisqua immédiatement disant que j'étais plus belle ainsi. Voyant les deux cordelettes et soupçonnant la mine d'or qu'il avait devant lui, il me demanda de tirer sur les cordelettes. J'étais au fond du puits sans aucune autre échappatoire que de montrer à mon chef que j'étais une femme des plus soumise et dépravée qui soit.

Je tirais donc sur les cordelettes l'une après l'autre ce qui eût pour conséquence de dévoiler mes seins puis mon abricot tout lisse. Bernard était aux anges et après avoir photographié le beau tableau puis envoyé la preuve à mon maître, me demanda de reprendre ma position accoudée sur le bureau afin qu'il me prenne par derrière.

J'entendis sa fermeture éclaire s'ouvrir et son corps être tout proche du mien. C'est alors que son sexe dur et chaud se présenta aux abords de mes lèvres en feu. Il traîna son membre le long de mon sexe puis sans avertissement s'enfonça d'un trait. J'en eus le souffle coupé, mais cela ne l'empêcha pas d'aller et venir avec vigueur dans mon vagin. Mon bas ventre était en émoi et je n'arrivais plus à cacher mon plaisir, quand tout d'un coup quelqu'un frappa à la porte.

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