Qui suis-je vraiment? 08

Informations sur Récit
Laurence se découvre au sens propre comme au figuré.
3.9k mots
4.68
6k
0

Partie 8 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/26/2013
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le feu et la glace:

Une fois dans la voiture, j'étais toujours saisie de cette appréhension qui se mêlait de plus en plus souvent à l'excitation de l'imprévu. Nietzsche sûr de lui se pencha derrière mon siège et sortit un sac plastique.

- Nietzsche : Voici la tenue que tu vas porter. Tu t'habilleras pendant que je te conduirai à notre second rendez-vous.

Sans rien dire je déballais donc les vêtements qui se trouvaient dans le plastique, et que j'allais porter par la suite. Je fus tout d'abord surprise de voir qu'il n'y avait pas de porte-jarretelles mais un collant. Cela me fit penser que j'avais vitre pris l'habitude de porter ce sous-vêtement qui auparavant me paraissait si désuet et inconfortable. Après cette brève réflexion j'étais tout de même très intriguée par un tel changement dans les choix de mon amant. Que cela signifiait-il?

A cela s'ajoutait une jupe plissée bleue, telle celle que je portais quand j'étais collégienne, et un haut moulant couleur bordeaux. Les couleurs étaient bien assorties mais bien voyantes, c'était de toute évidence voulu par mon maître afin que les regards se fixent sur moi. Je fouillais le fond du sac mais je ne trouvais rien d'autre, c'est-à-dire ni soutien gorge ni culotte pour cacher ma nudité sous ses fins vêtements. Sans dire mot, je m'habillai le plus rapidement possible mais la voiture me ballottait pas mal.

Du fait de la route mais aussi en raison de la conduite de mon amant. Il faut dire qu'une de ses mains n'était plus trop sur le volant mais plutôt positionnée pour me palper l'entrejambe. De ses doigts il écartait mes lèvres pour mieux plonger son majeur dans mon vagin ou caresser mon œillet. Pour cela j'écartais délibérément les jambes sans penser à la vue que je pouvais offrir aux passants. Il poursuivit sa séance en me titillant les seins lorsque je m'apprêtais à passer le collant. J'étais en ébullition.

Je me relevai pour lui permettre d'accéder plus aisément à ma poitrine. Il ne se fit pas prier et tira sur la pointe de chacun de mes seins. La douleur était certes là mais moins forte que le plaisir honteux que j'éprouvais d'être malmenée ainsi.

Sans pause ses doigts abandonnèrent mes tétons pour se poser sur mon visage. Il me fit comprendre sans dire un mot d'ouvrir ma bouche pour simuler une fellation sur son index et majeur. Je n'y opposai aucun refus bien au contraire j'aimais de plus en plus ce petit jeu.

- Nietzsche : A peine je te mets quelque chose devant la bouche que tu ne peux t'empêcher de le sucer. Je me trompe?

- Moi : Si, Non j'y prends goût et j'ai de moins en moins peur de le faire.

- Ne t'inquiètes pas ce qui va suivre va sûrement raviver ta gène que dis je ta honte.

- Ne soyez pas trop dur avec moi quand même.

- Tu fais ta mijaurée, toi qui aime te faire sodomiser ou montrer ton sexe lisse à n'importe qui! Tu n'as même pas réagi au fait que ton collant est ouvert au niveau de ta chatte.

Automatiquement j'écartais mes jambes pour vérifier ce qu'il venait d'affirmer. Il avait raison, et d'un coup toute l'assurance que j'avais gagnée avait disparu. Avec un collant sans fond et l'imagination fertile je craignais la suite des évènements, mais aussi je sentais une certaine excitation travailler mon bas ventre. Je poursuivais mon habillage en faisant coulisser le top moulant sur ma poitrine nue.

Quelques minutes plus tard, il se gara. Nous étions dans la grande banlieue de Paris mais où exactement je n'en avais pas la moindre idée. Il m'invita à sortir de voiture pour finir le chemin à pied. Curieuse mais effrayée je demandais à mon amant :

- Moi : Où allons-nous s'il te plait?

- Nietzsche : Mais faire du sport ma petite chienne.

- Dans cette tenue?

- Tu parais étonnée. Tu aimes montrer tes fesses à n'importe qui alors ce n'est pas gênant. Et puis si tu es habile cette tenue est des plus correctes. Par contre ... si tu es gauche tu risques d'être purement indécente... mais cela ne te gène guère je crois.

- Mais pourquoi vous m'humiliez comme cela?

- Parce que tu aimes cela. Plus on te rabaisse plus tu prends ton pied.

Il n'avait as tort. Jamais je n'avais pris autant de plaisir avec un homme que menée ainsi. Coupant court à mes réflexions, il poursuivit son commentaire.

- Nietzsche : Regarde je te traite de bouche à sperme ou de garage à bite et qu'est ce que je constate.

Brusquement, il soulève ma jupe sans se soucier du voisinage et passe sa main par derrière vers ma vulve. J'ai honte et pique un fard. Non pas par l'exhibition inattendue mais par ce qu'il va me démontrer.

- Nietzsche : Pas besoin de parler, regarde ma main elle prouve bien que tu as bel et bien envie d'être soumise à mes ordres et que tu aimes qu'on te rabaisse...

- Moi : Dites moi au moins où vous m'emmenez?

- Je t'emmène ... ici!!!

En joignant le geste à la parole il me montra un bâtiment imposant sur lequel était inscrit en grosses lettres « PATINOIRE ». J'allais donc devoir patiner avec une petite jupe volant au facilement au vent et donc au moindre geste brusque.

- Moi : Mais je ne sais pas patiner!

- Nietzsche : C'est ce qui est excitant car tu vas passer ton temps à tomber ou l'éviter de justesse ce qui signifie que tu oublieras par là même de cacher ton intimité aux voyeurs présents ici.

- Mais je vais avoir froid avec ce que je porte ou plutôt je ne porte pas.

- Je suis sûr du contraire ... à force de tomber tes fesses vont être rouges et te brûler avec la glace. Et puis cela calmera tes ardeurs.

J'étais vaincue, et il ne s'empêcha pas de me le faire comprendre en insérant l'arrière de ma jupe dans ma raie. Vaincue mais mes seins dardaient ostensiblement prouvant que je souhaitais poursuivre la séance.

Aidée de mon amant je mis donc les patins et j'entrais sur la patinoire le cœur palpitant.

Nous commençâmes doucement. Je m'accrochais à son bras et me laissais glisser. Je prenais un peu d'assurance, et donnais quelques coups de patins. La jupe se souleva immédiatement révélant le haut de mes cuisses.

C'est alors que Nietzsche en profita pour me lâcher. J'étais désormais seule et tétanisée car je savais ce qui m'attendait si je faisais le moindre faux mouvement. Mais quand on débute il y a peu de chance d'être parfaite. Et quelques instants plus tard voulant prendre le virage je me mis à faire un tête à queue qui se paracheva par une chute.

Les fesses collées à la glace, les jambes écartées j'exhibais à un homme d'une quarantaine d'année médusé mon collant sans fond, ou plutôt ma chatte. Quant à mon maître avec un large sourire il sortit son appareil photo et immortalisa le spectacle. Je fermais mes jambes et baissais la tête gênée par l'image que je donnais. Mais je ne pouvais rester là, je tentais donc de me relever. A peine debout, mes jambes s'emballèrent sans que je puisse les maîtriser. Je m'étalais donc mais cette fois-ci sur e ventre avec la jupe retombée sur mes hanches. Malgré un reflex éclair l'homme de la quarantaine ainsi qu'un groupe de trois vingtenaires profitèrent de la scène. Quant à mes seins la glace les électrisa faisant du même coup ressortir les extrémités du haut moulant mouillé.

Je ne savais plus où me mettre. Nietzsche revint alors pour m'aider à patiner à nouveau, mais aussi à calmer les éventuelles ardeurs de certains voyeurs. Cela ne priva néanmoins pas les spectateurs de nouvelles chutes où j'exposai ma croupe ou mes fesses involontairement. Ces dernières comme prévues me brûlaient de plus en plus avec le feu de la glace.

Sachant un peu patiner, mon homme m'abandonna pour me laisser glisser quelques tours. Malgré l'assurance je n'arrivais pas m'arrêter, je m'écrasais donc sur la balustrade pour ne pas tomber au milieu de la patinoire. C'est à ce moment là que deux des jeunes m'entourèrent. Sans attendre ils passèrent leurs mains sur mes cuisses. Je pris peur et voulus immédiatement quitter la barrière. Mais j'en fus empêché par l'arriver d'une troisième personne derrière moi. Le troisième larron venait de bloquer ma seule issue de secours, et je pris panique.

L'homme collé à mon dos me susurra alors :

- N'ai pas peur c'est moi Nietzsche. Ils avaient envie de mieux de connaître et je leur ai dit que tu te ferais une joie de bien les accueillir.

- Moi : D'accord mais peut-on aller ailleurs?

- Nietzsche Non, tu vas te faire tripoter ici. Allez lève le devant de ta jupe pour qu'il puisse te masser ton sexe.

Rassurée de savoir mon amant à mes côtés je relevais donc le pan de ma crinoline. Les mains des mes agresseurs se ruèrent sur mes cuisses puis sur mon sexe. Leurs doigts allaient et venaient avec avidité sur mes lèvres et dans mon vagin me faisant tourner la tête

- 1er jeune : Regarde, elle n'a plus peur de montrer sa chatte toute lisse.

- 2ème jeune : Oui et les seins ne sont pas en reste. Ils pointent tellement qu'on dirait qu'ils vont percer le tissu

- Nietzsche : pincez les! les elle adore cela .

Sans ce faire prier, il vint pincer et rouler mon téton afin de me faire crier ... de plaisir. Car la peur avait bel et bien laissée place au plaisir. Et pour assurer ma jouissance totale, mon maître insinua son majeur entre mes deux globes fessiers pour forcer ensuite mon anus. Bien que les doigts ne remplacent pas les sexes, leur agilité dans la masturbation me firent défaillirent.

Après avoir repris mes esprits, Nietzsche m'obligea à remercier mes deux tortionnaires. Pour ce faire, nous partîmes dans les toilettes heureusement spacieuses où je m'agenouillai devant deux sexes tendus vers mon visage. Quant à Nietzsche, il était à côté d'eux, affublé de son appareil photo, pour conserver une trace de ma soumission à la patinoire.

La fellation du premier fût plutôt brève car son excitation était telle qu'il s'épandit dans ma bouche seulement deux minutes après le début de la gâterie. Je n'attendais même pas l'ordre de mon maître et avalais son liquide chaud.

Le deuxième par contre su mieux se contenir. Je lui offris tout mes talents en suçant son membre avidement, puis en titillant son gland par de petits coups de langues. Sentant l'explosion proche, il se masturba alors et éjacula sur mon haut moulant. Peut être souhaitait-il m'asperger le visage de sa semence mais il était encore imprécise et fougueux pour réussir.

Nietzsche ne se priva pas de m'obliger à rendre les patins et repartir de la patinoire sans nettoyer cette tache. Une nouvelle fois je pris sur moi pour faire face aux regards interrogateurs ou plus souvent ardents des hommes que je croisai.

De retour à la maison, Nietzsche s'invita dans ma chambre et me fit l'amour de manière sensuelle. Un peu comme s'il souhaitait me remercier pour le spectacle et l'audace que j'ai eu. J'étais décidément amoureuse de cet homme capable de me transformer en objet sexuel puis d'être si doux avec moi.

Le lendemain, il n'y avait plus personne à mes côté. Seul un mot sur la table indiquait que la nuit que je venais de passer était bien réelle.

*******

A votre service:

Le texte était fort simple : « Laurence, je te remercie pour la soirée d'hier. Je ne pourrais te voir d'ici un certain temps. Mais tu vas me rendre un service. En tant que soumise, tu vas samedi soir prochain aller à XXXXXX. J'ai un ami qui organise une soirée et qui aurait besoin pour son image de marque d'avoir une serveuse pour une soirée chez lui. Pense à t'habiller sexy cela lui fera plaisir ainsi qu'à moi, car ils me jalouseront. Mais je te fais confiance. ...A ma douce soumise »

Comment dire non, j'étais curieuse mais aussi pleine d'anxiété une nouvelle fois. Sans ordre clair, je me vêtis de la robe à bouton que j'avais achetée au début de notre relation épistolaire. Dessous c'était classique mais déjà très sexy avec des bas noirs accrochés à un porte-jarretelles finement dentelé. Le soutien gorge était assorti au bas et string c'est-à-dire noir et très ajouré de par la dentelle.

De toute façon le but était de servir pas de montrer ses sous-vêtements.

Je me rendis donc au lieu dit. C'était un immeuble sans charme de trois étages. Je montais donc les escaliers bien étonné que pour des questions de standing je m'occupe du service dans un tel lieu. J'avais gravi les deux étages et me retrouvait en face de l'une des deux portes sur le palier.

Il était 20H00, l'heure exacte à laquelle je devais me présenter pour préparer la soirée. J'appuyais sur la sonnette et entendit des pas venir vers la porte. Cette dernière s'ouvrit sur Fabrice, le pervers du restaurant.

D'un large sourire il me fit entrer chez lui. J'avais le souffle coupé mais j'étais incapable de faire demi-tour. Cet homme était pervers mais avec Nietzsche prés de moi je me sentais en sécurité, tandis que là rien ne l'empêcherait de m'avilir.

Mon cerveau était embrumé, faire demi-tour, entrer, m'enfuir ... et quelles conséquences pour la suite de mes relations avec mon amant. Je n'avais qu'un mot en tête : au secours quel choix faire?

En fait la poussée de Fabrice vers l'intérieur fit pencher la balance. Il me fit alors passer devant lui et j'arrivais dans le salon pour retrouver le serveur.

- Fabrice : Nul besoin de présentation, je crois que tu connais jean le serveur du restaurant

- Jean : Bonsoir comment allez vous depuis notre périple sur l'A10?

- Moi : Bien, bien, ... mais Nietzsche n'est pas avec vous?

- Fabrice : Non mais il m'a laissé un courrier que vous devez lire. Le voici!

Apeurée peut être car ayant déjà dans l'idée ce que pouvait contenir cette lettre j'ouvris l'enveloppe.

- Moi : Chère Laurence, je t'avais demandé de venir dans cet appartement pour t'occuper du service, en fait j'ai un peu menti. C'est toi qui va devoir être au service des caprices de ces deux hommes. Comme tu vas le voir ils ont avec eux la caméra qui a servi lors de nos premières relations. Ils filmeront toute cette soirée afin que je ne manque rien de tes obligations. Il va de soi que tu devras faire tout ce qu'ils te demandent sauf si cela met en jeu ton intégrité physique. Si tu leur désobéis c'est à moi que tu désobéis. Alors soit bien servile et profites bien de ta soirée ma petite chienne.

- Fabrice : Je crois que c'est clair Laurence vous allez faire tout ce que l'on vous demande. Vires moi cette robe alors!

Jean avec un large sourire se mit à filmer avec la caméra. J'avais quant à moi peur, peur de faire ce qu'ils allaient me demander mais surtout peur de ne pouvoir refuser au risque de décevoir mon amour.

Je pris donc une longue respiration et souleva les plis de ma robe. Une fois au niveau de mon porte-jarretelles ils exigèrent que je reste ainsi avec les jambes plus écartées. - Fabrice : Ce qui est bien avec toi Laurence c'est ton aptitude à respecter les ordres. Je suis sûr que si je te demandais de nettoyer le sol avec ta langue tu le ferais.

- Moi : Non pas cela!

- Fabrice : N'aies pas peur on va s'occuper de toi autrement. En tout cas je constate que même quand Nietzsche ne te le demande pas tu t'habilles comme une salope. Ca tombe bien tu vas être traitée comme tel.

- Jean : Laurence, qu'est ce qui te fait le plus honte?

- Moi : Je ne sais pas, euh ...

- Fabrice : Et alors, réponds on ne va pas passer la soirée.

- Jean : Elle a besoin qu'on l'aide ... ce qui t'humilies le plus, c'est te foutre à poil dans la rue, mouiller alors qu'on te dit des mots crus, prendre plaisir à faire des choses avilissantes, ou te forcer à faire des choses que ta conscience bourgeoise t'interdit. Baissant la tête en signe d'acquiescement, je répondis telle une accusée qui avoue ses fautes devant le jury.

- Moi : En fait il y a un peu de tout ... vous me forcer à faire des choses que je n'aurais jamais osée faire, et vous pousser l'abaissement à me traiter de salope ou chienne. Cela devrait me faire réagir mais la seule chose que cela crée en moi c'est un nouveau plaisir que je voudrais tant réprouver.

- Fabrice : Enlèves ta jupe et ta culotte. Pour cette dernière tu vas te l'introduire dans ta chatte toute lisse. Car je présume qu'on continue à s'épiler le minou pour son homme?

Tout en ôtant mes vêtements, puis en insérant la fine dentelle dans mon sexe humide, je répondais à la question.

- Moi : Oui Nietzsche trouve que c'est comme cela que doit être une soumise.

- Fabrice : Il a bien raison. Mets toi à quatre pattes et vient quémander nos bites petite garce.

Abandonnant toute velléité de contestation, c'est donc vêtue des mes escarpins noirs, mon soutien-gorge, mes bas et porte-jarretelles que je m'avançais vers eux. Ils me scrutaient avec un large sourire signe de leur victoire sur mon corps.

A leurs genoux, ils baissèrent leurs braguettes respectives et sortirent leurs sexes bien raides. Je commençais donc à leur prodiguer une fellation. Mais Fabrice trouva cette scène trop classique, et il se mit à balader son pénis sur mon visage afin de me soumettre psychologiquement. Je ne réagis pas et le laissait à nouveau se branler dans ma bouche.

Pendant ce temps Jean vint se placer derrière moi. D'un coup bref, il extirpa le string et le remplaça par son sexe. Il ne ménagea pas mon sexe, les va et vient étaient vigoureux et s'assortissaient de claquements lorsque son pubis venait claquer mes fesses.

Les commentaires graveleux sur ma position et mon goût pour les queues dans tous mes trous ne firent qu'alimenter mon excitation.

Fabrice se mit à extraire mes seins de mon soutien-gorge puis il me pinça les bouts des seins afin de décupler mon plaisir. J'étais en chaleur et mon corps allait à l'encontre des deux sexes afin de me procurer le plaisir le plus rapidement possible. Au moment où Fabrice se déversa dans ma bouche je ressentie cette décharge électrique avec délectation. Jean quant à lui se masturba, puis tira sur l'élastique de mon bas afin d'épandre son précieux liquide dedans.

- Jean : Tu garderas mon sperme sur toi toute la soirée car tu es une dévergondée qui ne pet se passer de sperme. Demain tu nettoieras cela avec ta langue.

- Moi : Mais cela aura séché.

- Jean : Tu n'auras qu'à d'abord l'humidifier avec ta salive et après tu l'avaleras avec plaisir j'en suis sûr. Dis-moi que tu le feras!

- Moi : Oui Jean.

- Fabrice : En attendant ta soirée n'est pas terminée. Tiens prends ce tablier mais auparavant vire ton soutif. Tu vas aller voir mon voisin et lui proposer de lui faire la cuisine.

- Moi : Mais dans cette tenue il va vouloir me baiser.

- Fabrice : Et alors tu n'attends que cela ouvrir tes cuisses au premier venu.

- Jean : Puisque tu rechignes à le faire tu va avoir un gage.

Il partit à la cuisine et revint avec une main dans le dos. Clignant de l'œil, Fabrice comprit instinctivement ce que Jean avait en tête. Avec fermeté, il me prit d'une main par la nuque et m'obligea à me ployer.

Jean riant bruyamment m'exposa l'objet qu'il cachait. C'était une magnifique carotte, mais vu la situation un monstrueux objet sexuel. Il pénétra le légume gelé car sortant du réfrigérateur dans mon sexe. Mais Jean trouva sûrement cela pas assez honteux, il sortit donc la carotte de mon vagin pour la planter dans mon anus.

Pour aider à l'intromission, il me claqua le postérieur et exigea que j'écarte avec mes mains mes deux globes fessiers. Certes il ne pût l'introduire entièrement, le voulait-il d'ailleurs, mais l'effet en était que plus vexant car de face on voyait juste un tablier, mais légèrement de côté on apercevait aisément les seins libres de tout mouvement. Vu de derrière, la vision était tout bonnement obscène.

Abattue, ils me dirigèrent vers le palier. La porte légèrement entrouverte ils m'observèrent et me filmèrent me diriger vers la porte du voisin. Je sonnais et quelques instants après un homme de soixante-dix ans m'ouvrit. Comme demandé je lui proposais mes services mais il ne comprit pas le double sens et ne tenta pas de découvrir ce qu'il se cachait derrière le tablier.

J'étais soulagée mais alors que je revenais vers le logement de Fabrice, ce dernier sortit et exigea que je retourne sonner à la porte. Je le fit mais cette fois avec la certitude que le voisin allait pouvoir me contempler de manière plus approfondie.

12