Mon Mari et Moi Avons été Forcés

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Comment nous avons été amenés à la prostitution.
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Je m'appelle J. J'ai 57 ans, un mari, P, et trois enfants (qui n'ont rien à voir avec cette histoire et qui vivent leur vie de leur côté).

Mon mari et moi avons toujours eu des rapports sexuels satisfaisants.

Mais bien sûr, après de longues années de mariage, et quand la maison se vide des enfants, la routine devient plus pesante.

Un jour, je me suis inscrite sur un site pornographique, pour lire des choses obscènes. J'ai remarqué que les mots m'excitent encore plus que les images. Je me connectais régulièrement en cachette de mon mari et je dialoguais avec des inconnus qui me racontaient leurs fantasmes. De mon côté, je parlais un peu des miens, surtout de celui qui me sert lors de mes branlettes : être forcée par une bande de mecs, devant mon mari obligé de regarder. Dans mon rêve, je finis par prendre un plaisir coupable.

Ce fantasme, je l'ai décrit des dizaines de fois lors de mes échanges.

Et puis un jour tout a basculé.

Ca a commencé par un email. On me contactait sur ma boîte personnelle en m'expliquant détenir les enregistrements de mes conversations sur le site pornographique. J'ai été tout d'abord sidérée. Je ne savais pas comment des inconnus avaient pu faire le lien entre mon compte et mon email.

Puis, j'ai réfléchi et compris que c'était très embarrassant. A partir de cet email, on connaissait mon nom et mon prénom. J'eue la confirmation de mes craintes quand ces inconnus ont commencé à interagir avec mon compte Facebook. Là, ils connaissaient toute ma vie! Mes proches, mes amis, des collègues du travail ... J'ai compris qu'ils pouvaient désormais me retrouver, simplement à partir de mon nom et des pages jaunes.

J'ai vécu quelques jours d'inquiétude extrême. Je ne savais pas ce que ces gens voulaient.

Un peu après s'être discrètement signalés sur Facebook, ces inconnus se sont à nouveau manifestés par le mail. Ils me disaient qu'ils allaient me faire plaisir et me faire réaliser mon fantasme. Cela me fit froid dans le dos. Je ne savais plus comment m'en sortir, comment éviter un scandale, avec mon mari mais aussi avec toutes les personnes identifiables sur mon compte Facebook. Leur message était assez explicite : si je ne me soumettais pas à leur volonté, ils s'arrangeraient pour publier l'intégralité de mes obscénités sur leur page Facebook, désormais liée à la mienne et à celle de notre famille et de tous nos amis.

Il y a eu une bonne semaine de silence, sans doute pour me laisser le temps de réaliser ce qui m'attendait si je n'obéissais pas.

Puis, le samedi soir après dîner, alors que nous étions à la maison mon mari et moi, on a sonné à la porte. P. est allé ouvrir. Le visiteur lui a expliqué qu'il devait le laisser entrer et que j'allais l'éclairer. Tout cela paraissait bien mystérieux pour P. qui m'appela.

Je ne suis pas entrée dans les détails mais j'ai dit à mon mari qu'il fallait effectivement laisser entrer cet homme et que j'allais tout lui expliquer. Je savais à cet instant que je devrais au moins mettre mon mari au courant et j'espérais que les dégâts s'arrêteraient là.

L'homme n'était pas seul. Il était accompagné de trois autres personnes qui étaient restées en retrait pendant nos explications.

Nous nous retrouvâmes tous les six au salon. Mon mari était très intrigué, essayant de comprendre le lien entre moi et ces quatre hommes. De mon côté, j'imaginais son désarroi. S'il y avait eu un seul homme, il aurait pensé à un amant. Mais quatre?

Celui qui semblait le chef fit les présentations. Il disait s'appeler Jean. C'était un type plus jeune que nous, dans la trentaine, et d'allure assez sportive. Ses amis étaient Simon, Bernard et André. Jean m'invita à dire à P. qui ils étaient et pourquoi ils étaient là. Ca m'a estomaqué. Je fus sidérée de voir qu'ils voulaient que je dise les faits tels qu'ils se présentaient, sans plus de faux-semblants.

Je fus hésitante au début de mes explications. Mais Jean intervenait régulièrement, soit pour confirmer, soit pour compléter, soit pour me corriger quand je ne disais pas tout à fait la vérité.

Mon mari ne disait pas un mot. Il était devenu livide. Les trois autres hommes pendant ce temps s'étaient dispersés dans la maison. Nous ne savions pas ce qu'ils faisaient. Il y avait un peu de bruit, en provenance de notre chambre à ce qu'il m'a semblé.

Quand tout a été dit, il y a eu un silence qui m'a paru long. Puis mon mari a demandé à Jean ce qu'il attendait de nous. Il répondit posément, nous expliquant son scénario, qui correspondait peu ou prou au mien. Il invita P. à ne pas faire d'histoire et à se laisser faire. Les trois autres hommes sont revenus de la chambre et ont invité P. à se laisser bâillonner et ligoter. Ils n'ont pas été violents une seconde. Cela ne fut pas nécessaire. Bien que mon mari fut réticent au début, Jean le persuada qu'il n'avait pas le choix, ce qu'il finit par admettre.

Jean nous invita à tous passer dans la chambre. Les rideaux avaient été tirés. A côté du lit se trouvait un fauteuil Voltaire aux pieds duquel on avait attaché des liens. Jean demanda à mon mari de s'asseoir et il fut immédiatement ficelé. Puis, ce fut mon tour. On me demanda de me déshabiller. Tout comme mon mari, je savais que je n'avais pas le choix et j'obéissais. Quand j'ai été nue, ils m'ont liée au lit, sur le dos, les bras tendus et écartés de part et d'autre du matelas et les jambes relevées avec les chevilles nouées aux poignets. Vous imaginez bien que dans cette position, j'étais entièrement exposée, pour ne pas dire offerte.

Les quatre hommes se sont mis nus à leur tour. P. semblait terrifié. Il devait se sentir totalement impuissant et il devait redouter plus que tout ce qui allait se passer. Evidemment, il se doutait que j'allais être violée mais il ne savait pas si ça n'irait pas plus loin.

Pour ma part, j'avais surtout un peu froid. Ce n'est pas que la température de la chambre ait été trop basse -nous aimions notre confort- mais c'était sans doute dû à l'inquiétude. Moi non plus je ne savais pas comment tout cela allait se terminer.

Jean est monté sur le lit, sur ses genoux, bandant déjà, et il est venu m'embrasser. Il m'a baisé tout le visage, y compris l'intérieur des oreilles, pour finir par mes lèvres. Il voulait entrer sa langue mais je n'ouvrais pas la bouche et je gardais les dents serrées. Il a alors simplement pincé mon nez jusqu'à ce que sois forcée de respirer. Il en a profité et m'a embrassée longuement. En même temps, il me caressait les seins. Ce n'était pas aisé étant donnée ma position mais il avait accès aux tétons et il les titillaient ou les étiraient.

Pendant ce temps, ses trois complices nous filmaient, avec deux caméras et un téléphone portable. L'un se tenait en retrait pour capter toute la scène, avec mon mari assis, attaché et bâillonné, avec Jean et moi sur le lit. Un second cadrait apparemment ma chatte et mon anus et le troisième prenait mon visage. Ils étaient en train de faire un reportage complet sur mon viol mais aussi sur ce que nous allions ressentir mon mari et moi.

J'ai remarqué qu'ils ne s'étaient pas masqué le visage. Cela s'expliquait par la façon dont ils s'étaient introduits dans la maison. Cela signifiait qu'ils ne redoutaient pas les suites de leurs actes. Comme vous le voyez, la situation ne m'empêchait pas de réfléchir.

Jean continuait à s'occuper de moi. Il semblait vouloir me faire passer du refus à l'acceptation, en employant la douceur et de longs préliminaires. Je pensais être restée en état de résistance mais quand il a touché ma chatte, il a montré a ses copains que je mouillais. Il présenta son majeur tout sec à la caméra de Bernard qui était en gros plan sur mon cul et le fit entrer sans peine dans mon vagin. Il le ressortit avec un filet de jus qui s'étirait au fur et à mesure qu'il levait sa main. André, qui tenait la seconde caméra en plan large, venait de zoomer pour capter la stupeur sur le visage de P. Quant à Bernard, il ne ratait rien de mon embarras.

J'ai regardé mon mari d'un air suppliant. Je voulais lui dire que c'était malgré moi, que je n'y étais pour rien. Il baissa les yeux.

Jean a approché son visage de ma fente. Il m'a dit "Tu sens bon. Tu sens la femelle qui a besoin du mâle. Je vais me régaler parce que j'aime ce parfum et ce goût."

Il a respiré mon odeur. Ca devait être fort parce que nous étions en fin de journée. Il inspirait a pleins poumons. Je sentais son souffle sur mes fesses. Puis il m'a léchée. Sa langue partait du bas de mes reins et remontait jusqu'à mon pubis. Puis il recommençait. Il marquait une pause sur mon anus, sur ma vulve et sur mon clitoris. Au niveau de l'anus, il léchait en cercle et de temps en temps pressait sur ma rondelle, comme pour la forcer. Je sentais qu'elle s'ouvrait de plus en plus, lui permettant de me pénétrer avec la pointe de sa langue. Sur la vulve, il semblait vouloir boire, comme font les chiens, en lapant. Il s'aidait de ses doigts pour recueillir du jus et le goûter. Pour mon clitoris, il avait tous les égards. Il ne le touchait pas directement avec sa langue, mais il stimulait le pourtour du bouton. Puis, il repartait d'en bas pour remonter en passant par mes deux trous.

Mon mari gardait la tête baissée. André, Bernard et Simon continuaient de filmer. J'imaginais ce que donnerait le plan sur mes fesses et sur Jean en train de me faire perdre contrôle. Je ne pouvais pas empêcher mes sécrétions, je ne pouvais pas masquer que mon cul s'ouvrait plus largement à chaque passage. Tout cela serait bien visible sur l'enregistrement.

Jean m'a pénétrée. Je n'ai pas eu mal parce qu'il l'a fait doucement et que j'étais très lubrifiée par sa salive mais aussi par mon propre jus. J'avais conscience d'être dans un état où mes muscles vaginaux n'étaient plus suffisamment contractés pour faire obstacle à la pénétration. J'ai vu que mon mari avait observé Jean entrer en moi. Il semblait accablé mais il ne pouvait pas détacher son regard de sa femme qu'un autre homme prenait devant lui.

Jean était appuyé sur le dos de mes cuisses relevées. Il donnait des coups de reins amples, entrant et ressortant la totalité de son sexe. Il me pelotait les seins et il me regardait dans les yeux. "Tu aimes qu'on te force n'est-ce pas? C'est toujours ce que tu disais dans tes conversations coquines." Je soutenais son regard. Le mien devait refléter toute l'ambiguïté de mes pensées. A chaque fois que Jean ressortait, il marquait une pause avant de replonger en moi en pressant mes seins avec ses mains. De cette façon, j'en suis arrivée à ressentir un manque quand il était sorti de moi et l'envie qu'il me reprenne. Ca devait se voir sur mon visage. Je devais avoir une expression de plus en plus implorante.

Mon mari, lui, épiait alternativement le va-et-vient de Jean et mon visage. Il semblait très triste. J'aurais dû essayer d'avoir une attitude rassurante, en montrant mon refus ou au moins ma passivité, mais inexplicablement, sa mine avait pour effet de réduire encore ma défense.

Progressivement, Jean a accéléré la cadence et à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, je ne pouvais m'empêcher de souffler, en faisant comme un "hhhhan" de bûcheron. Je me rendais compte que cela devait donner l'impression que j'avais du plaisir. Ce n'était pas le cas, enfin pas tout à fait. Disons que je ressentais de plus en plus fortement qu'on me forçait et que je pouvais de moins en moins m'y opposer. C'était ce sentiment d'impuissance et de domination qui en un sens m'excitait et enlevait toute opposition de ma part.

Jean me pilonnait. Il savait tenir une cadence régulière. Il me regardait toujours, intensément. Il malaxait mes seins. Et puis soudain, je n'ai pas pu me retenir. J'ai senti que je faisais pipi. L'expression est assez inappropriée parce qu'elle évoque un petit filet alors que là, il s'agissait d'un jet. J'ai tout de suite pu m'arrêter mais j'étais terriblement gênée d'avoir perdu le contrôle à ce point. Personne n'avait rien vu sauf Jean qui avait dû sentir gicler sur son sexe. Il a souri puis m'a embrassée. J'en ai honte mais je n'ai pas refusé son baiser. Il m'a dit : "Ne sois pas embarrassée. Laisse aller ton plaisir. Je te baise et tu ne peux rien faire pour m'en empêcher. C'est ça qui t'excite."

Il a mis ses doigts dans mon vagin, les a agités comme un piston et s'est mis à m'appuyer sur le ventre. Il voulait me faire encore pisser, ce qui n'a pas tardé. La caméra filmait chacun de mes jets. Pour n'importe quel futur spectateur, je jouissais et il serait difficile de faire admettre le contraire. D'ailleurs, mon mari lui-même semblait en être convaincu tellement cela se lisait dans ses yeux qui exprimaient l'incrédulité autant que la désapprobation. Quant à moi, je dois l'avouer, je jouissais. Ce n'était pas maîtrisable. L'orgasme se prolongea jusqu'à ce que ma vessie soit vide. Je n'avais sans doute pas été silencieuse.

Jean m'a laissée souffler quelques minutes puis il m'a de nouveau embrassée. Il m'a sucé les tétons, puis la chatte. Cette fois, il frottait franchement le bouton de mon clitoris, l'aspirant ou l'écrasant avec sa langue. Visiblement, l'urine qui devait encore inonder mon vagin et mes lèvres ne semblaient pas l'incommoder. Il a recommencé à me pistonner avec ses doigts. Puis il m'a prise à nouveau. "Maintenant je vais jouir en toi. Tu vas me regarder quand je vais décharger." Il n'a pas été long à éjaculer. Quand c'est arrivé, il a eu un coup de rein plus intense, m'a quasiment broyé les seins et son regard est devenu vitreux. J'ai fait ce qu'il m'a dit et je l'ai fixé pendant qu'il se vidait au fond de mon utérus. Il a eu une dizaine de saccades et dans mes pensées, j'avais l'impression de m'ouvrir un peu plus à chaque coup, pour qu'il puisse aller plus profond encore. Je l'ai vu sur le film par la suite, mes yeux semblaient le supplier. Mon mari a été témoin de tout cela.

Jean s'est retiré. Simon lui a donné la caméra. "A moi maintenant. Je vais t'enculer parce que l'autre trou est plein." Il est sorti de la chambre puis est revenu avec une plaquette de beurre. Il est monté sur le lit, à genoux lui aussi et m'a directement léché l'anus. "Le drap est trempé. Qu'est-ce que tu as pissée ma salope!" Il s'est enduit l'index de salive et l'a entré dans mon rectum. Il l'a fait aller et venir sans ménagement ce qui m'a sans doute assoupli le sphincter. Il a continué à entrer ses doigts. "Il faut que je t'en mette trois dans le cul. C'est le diamètre de ma bite." Puis il a étalé du beurre sur mon petit trou et s'en est badigeonné le sexe. "Quand je vais commencer à entrer, je te conseille de pousser, comme si tu voulais chier. Ca facilite le passage et ça t'évitera d'avoir mal." Donc, plus ou moins, soit je l'aidais à me sodomiser, soit j'aurai mal.

Il a placé son gland sur ma rondelle et a appuyé. Il tenait son sexe entre ses doigts pour le guider. Le beurre n'aidait pas vraiment, compliquant le maintien en bonne position. La bite glissait. Mais quand le bout du noeud a réussi à forcer le passage, le graissage a joué son rôle et Simon s'est assez vite retrouvé avec ses couilles contre mes fesses. Il est ressorti. "Bernard, prend moi ce magnifique cratère que madame nous offre. P., vise un peu comme elle est accueillante du cul ta femme." Apparemment, mon trou était béant. Simon s'est essuyé les mains sur les draps, s'est aggripé à mes hanches et s'est planté en moi. Il m'a littéralement labourée. A l'opposé de Jean, il n'y avait aucun sentiment dans son acte, juste un assouvissement. Là, j'étais vraiment violentée. Ses coups me faisaient souffrir. J'aurais voulu fermer mes fesses comme on ferme la bouche mais j'étais obligée de subir chaque intromission. Je gémissais, je serrais les dents, je fermais parfois les yeux. Mais ce qui s'apparentait maintenant à un châtiment, c'était ce que j'avais dit souhaiter quand je décrivais mes fantasmes sur internet. J'étais abusée, sans protection, pas même celle de mon mari et qui en plus assistait à ma sodomisation. La douleur allait de paire avec le plaisir cérébral. J'étais sans doute masochiste à cet instant.

Mon mari, pour sa part, était inquiet. Il ne voyait que ma souffrance et ne pouvait imaginer la jouissance qui l'accompagnait. Mais il ne pouvait ni bouger, ni protester.

Simon a continué à me défoncer jusqu'à ce qu'il jouisse. Lui aussi a écrasé mes hanches en se ruant en avant. J'ai senti son jet dans mon intestin. Il a eu un cri animal, a continué à aller et venir en moi, envoyant une giclée de foutre à chaque fois que je sentais ses couilles taper contre mes fesses. Puis il est ressorti.

"Maintenant on va s'occuper du mari. On ne va pas le laisser se morfondre sur sa chaise. Tu vas participer, vieux." Bernard s'est approché du fauteuil et a retiré le bâillon et défait les liens. P. aurait pu exprimer sa haine, soit en criant, soit en frappant, mais il avait atteint un stade de résignation. Il était debout, les bras ballants, plus ou moins inerte. Bernard lui a dégrafé son pantalon sans qu'il s'y oppose. Il l'a déshabillé entièrement, P. soulevant la jambe pour laisser passer le blue-jean et le slip ou pour qu'on lui enlève ses chaussettes. Il leva aussi ses bras pour faciliter le passage du t-shirt. "André, viens filmer la bite et le slip de monsieur P. Regarde, il a tâché son calbar. Ma parole, mais c'est que ça l'a excité de voir sa femme se faire baiser!" Je regardais mon mari nu, soumis, et je vis au bout de son sexe un filet qui s'en détachait et s'allongeait. Comme moi, ses sécrétions le trahissaient. Il ne bandait pas, mais il avait été excité, cela ne faisait plus de doute. Et la caméra immortalisait ce fait.

"Bien, tu vas aller sur le lit et tu vas nettoyer ta femme. Elle est pleine de foutre dans ses deux trous. Je veux que tu lui redonnes l'éclat du neuf." Il pris mon mari par le bras et le poussa vers le matelas jusqu'à ce qu'il grimpe dessus. Puis il lui indiqua comment il voulait qu'il se place, à quatre pattes, le nez entre mes fesses. Il lui ordonna de me lécher la chatte, qui devait être maculée du sperme de Jean en train de sécher. Mon mari le fit à contre-coeur. Mais progressivement, il substituait sa salive à la semence.

Il releva la tête, croyant en avoir terminé. Mais Bernard était impitoyable. Il lui commanda de me vider le vagin puis le rectum avec ses doigts et de consommer le résultat de son curetage. Je pensais que mon mari ne pourrait pas le faire sans vomir mais je fus surprise de constater qu'il s'acquittait de sa tâche sans trop rechigner. Moi, je savais par expérience que d'une manière générale le sperme frais a plutôt bon goût, mais de là à ce que mon mari l'apprécie ...

Pendant que P. me vidait, Bernard lui a caressé les couilles par derrière et mon mari a eu une érection. Lui non plus n'y pouvait rien. C'était plus ou moins instinctif à cause des attouchements. Mais surtout, il n'essayait pas de se soustraire au pelotage. "Mais c'est qu'il bande! On ne va pas le laisser comme ça, ça ne serait pas charitable." Bernard m'a détachée. Je me suis mise à genoux et j'ai massé mes poignets et mes chevilles, endoloris pas les liens. Il a forcé mon mari à se mettre en levrette, le cul relevé et la tête dans les draps toujours humides et il m'a dit de me tenir assise en face de lui. Il a proposé à André de venir se faire sucer et lui-même s'est placé derrière mon mari.

André a mis sa queue devant ma bouche. Le gland était luisant de liquide pré-séminal. J'ai toujours beaucoup aimé cela et j'ai léché délicatement pour ne pas diluer le goût dans celui de ma salive. Je tenais le sexe dans ma main, je touchais le méat de la pointe de la langue et je formais un fil avant de le couper avec mon autre main pour le déguster. Quand il n'y en a plus eu, j'ai pris toute la bite, jusqu'au ras des couilles. Mon mari me regardait. Il ne semblait pas comprendre pourquoi j'étais devenue si participative. Son trouble n'était pas communicatif. Au contraire, je dois avouer qu'il m'excitait.

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