Projet de fin d'étude (Partie 02)

Je m'avance vers ses fesses et je commence à l'embrasser. Ma bouche se retrouve contre ses couilles, puis je remonte son scrotum jusqu'à son anus. Il échappe un petit gémissement. Je commence à lécher ses fesses tout doucement avec ma langue. Ses gémissements s'intensifient. Je lui dis que contrairement à l'habitude, il peut jouir dès qu'il le souhaite.

Positionner près de son torse, je baisse la tête au dessus de ses fesses pour continuer à lécher son anus. Je ne croyais pas l'entendre gémir à ce point, je pense que cet acte sexuel est une belle surprise pour lui. Après plusieurs minutes à le lécher, j'enfile une paire de gants de latex noir et gentillement j'insère mon majeur en lui. La sensation semble le déstabiliser et le surprendre au début, mais les gémissements recommencent rapidement.

Je fais de petits vas et viens et j'étudie ce qui semble lui procurer le plus grand plaisir. Je continue plusieurs minutes et il gémit de plaisir, je ne crois pas arriver à le faire jouir uniquement de cette manière.

Tout en continuant les mouvements internes, avec mon autre main je masse tout doucement son scrotum. Ça semble vraiment intensifier son excitation. Je continue tout en l'encourageant à jouir. Puis quelques instants plus tard, il me prévient d'un puissant gémissement qu'il va jouir. Je continue la stimulation et de puissants jets de sperme sortent de sa cage un peu partout sur les draps.

La position vulnérable et cette nouveauté combinée à une longue chasteté arrive à lui procurer un plaisir qu'il ne croyait pas possible. Une expérience à refaire.

Jour 56

L'effet de cet orgasme de la veille semble avoir des effets très positifs sur mon expérience. Martin est excité comme jamais et il ne me lâche pas de la journée! Cette éjaculation de la veille n'a pas du tout fait diminuer son niveau d'excitation, il semble vouloir me baiser plus que jamais!

Est-ce uniquement l'effet de la veille ou c'est parce qu'on approche de la fin des 30 jours de chasteté? Je n'en suis pas certaine. À voir ses agissements, je n'ai vraiment pas envie de mettre fin à sa chasteté forcée!

Après mon bain, on inverse les rôles de la veille. Je me retrouve en levrette sur le lit et il lèche mon cul jusqu'à l'obtention de ma propre jouissance. Martin semble affamé!

Jour 57

Martin veut me baiser? Je vais lui donner «exactement » ce qu'il souhaite! Je lui fais enfiler le strap-on qu'on a déjà utilisé à quelques occasions. Sa cage est située juste sous ce dernier. Je me positionne en levrette devant lui et je l'autorise à me baiser tout doucement. Une seule règle :Si ce plaisir psychologique devient trop fort, il a l'interdiction de jouir.

Avec douceur, il me baise avec cette extension de son corps en caressant mes fesses. Lorsque je jouis dans cette position, je demande à Martin de se retirer puis je me couche sur le dos. Je lui demande de se fermer les yeux et de commencer à se branler.

Discrètement, je prends une bouteille de crème à main blanche et j'en fais couler sur mes seins pour donner l'illusion que c'est sa jouissance. Les yeux fermés, il se branle au dessus de mon ventre sous mes encouragements. Après quelques minutes, je lui dis qu'il est temps de jouir.

Il commence à simuler un orgasme. Dès qu'il a « jouit » je l'autorise à ouvrir les yeux pour observer toute sa jouissance sur mes seins! Il gémit en guise de frustration. Je masse ensuite mes seins pour étendre cette fausse jouissance. L'effet psychologique est puissant.

Jour 58

Officiellement il n'est pas sorti de sa cage, sauf à des fins de nettoyage, depuis 30 jours. Toute la journée il semble attendre quelque chose, exactement comme si je lui avais fait la promesse de le libérer au bout d'un mois de chasteté.

Je le vois agir et j'en profite pour l'observer tout en m'assurant de ne rien lui offrir de sexuel. Bien que j'observe ses agissements, je suis plutôt celle qui se sent regardée toute la journée! Il ne me quitte pas du regard, croyant vraiment que je vais le libérer. Il ne dit cependant rien, peut-être de peur que j'utilise cette demande contre lui?

Au moment de me coucher, je vais dans le cadre de porte de ma chambre et je regarde Martin droit dans les yeux sans parler pendant plusieurs secondes. Il se lève et se dirige vers moi, comme si c'était une invitation. À ce moment, je lui dis bonne nuit tout en fermant la porte de ma chambre. Je l'entends soupirer de déception, ce qui me fait immédiatement sourire.

Jour 59

Au réveil, Martin me regarde et semble attendre que je lui explique quelque chose. Malheureusement pour lui, je fais semblant de ne pas comprendre les signaux qu'il m'envoie.

En soirée il m'observe de nouveau et ses espoirs semblent grands. Je m'assure que la clé de sa cage soit toujours en évidence et je joue avec elle aussi souvent que possible. Pour lui, mes intentions sont claires. Voyant que je n'agis pas, il décide de prendre son courage à deux mains.

- Ça fait 31 jours que je suis en cage. Tu te souviens? Je croyais pouvoir être libéré au bout de 30 jours.

- Pauvre petit. J'imagine que ta grosse queue voudrait avoir le droit à une petite sortie?

- Oui, je crois que j'en aurais bien besoin après tout ce temps...

Je le regarde droit dans les yeux, j'enlève la clé de mon cou et je la dépose sur le comptoir.

- Je vais laisser la clé de ta cage juste ici. Si tu veux, tu pourras la retirer et faire tout ce que tu souhaites pendant la nuit. Cependant, si tu fais le choix de la prendre, tu retournes en cage pour 30 jours dès demain matin. Si tu préfères demeurer encore un peu dans ta cage et me rendre la clé, tu pourras avoir une « petite » récompense très bientôt.

Je le vois hésiter plusieurs secondes. Plusieurs choses contradictoires semblent se passer dans sa tête. Il prend la clé, la regarde plusieurs secondes et se dirige vers moi pour me la rendre. Je le récompense d'un large sourire.

- Tu as pris la bonne décision, pour te récompenser je t'invite dans ma chambre.

Martin fait un large sourire, il comprend que c'était vraiment la bonne décision. Je retire ses vêtements et je l'attache aux sangles de mon lit. Pour ma part, je ne retire absolument rien. Je porte une petite camisole sans soutien-gorge et des pantalons de yoga noir. Je me penche au dessus de sa cage, la clé dans la main. De cet angle, il est capable d'admirer mon décolleté et mes petits seins qui pendent au dessus de sa petite cage.

Je fais entrer la clé dans la serrure et il commence tout de suite à gémir. Tranquillement je retire le tube et pour la première fois depuis un mois, il a droit à une libération dans un contexte sexuel. Avant de le toucher, je lui dis que les règles n'ont pas changées et que comme toujours il doit me prévenir si un orgasme est en approche. Je vois son sexe gonfler rapidement sous les gémissements de soulagement de mon soumis.

J'applique une bonne quantité de lubrifiant dans mes mains et je caresse ses cuisses, son ventre et son pubis. Il gémit et attend avec impatience que je touche enfin sa verge. Je fais couler une quantité supplémentaire de lubrifiant sur son gland et du bout de mon index j'applique la substance sur son membre. Un gémissement ou devrais-je dire un hurlement se fait immédiatement entendre!

Tout doucement je laisse mon index parcourir sa verge très lentement. Ses réactions me laissent croire qu'il pourrait jouir avec très peu de stimulation. Je continue la stimulation avec un peu de dirty talking.

- Tu veux jouir n'est-ce pas? Ta grosse queue rêve de faire sortir cette jouissance prisonnière de ton corps depuis beaucoup trop longtemps.

Il me répond par de puissants grognements. Du bout du doigt, je titille son gland avant d'enlever mon doigt et de le soulever quelques centimètres au dessus de ce dernier. Cela amplifie les grognements bestials de mon pauvre jouet tellement excité. Je refais ce petit jeu à de nombreuses reprises. Mon doigt titille son gland et quand les gémissements m'indiquent qu'il prend trop de plaisir, j'arrête.

De façon très prudente, je dois faire ce simple geste à au moins cinquante reprises avant d'atteindre l'objectif souhaité.

- Pitié! Continue, je veux jouir!

Je place mes deux mains contre le haut de ses cuisses et je me relève au dessus de sa verge que je place à la verticale. Ma chatte se trouvant à quelques centimètres au dessus de lui.

- Tu veux me baiser? Faire entrer ta belle grosse queue dans ma petite chatte et pouvoir te soulager après une si longue attente entre mes hanches.

- Oui! Dit-il en gémissant.

Je fais descendre ma chatte contre son gland et tout doucement je m'enfonce, lui laissant croire qu'il va me baiser. Dès qu'il est entré de quelques centimètres, immédiatement je me retire et son sexe retombe sur son ventre. Il fait un grognement de désespoir, sachant qu'il n'a aucun contrôle sur la situation.

Dans cette position je me caresse tout doucement en le regardant dans les yeux.

- Tu crois mériter de me baiser?

- Oui, s'il te plaît

- À quoi bon? Dans ton état tu ne pourrais jamais durer assez longtemps pour me faire jouir!

- Oui, mais je peux recommencer encore et encore!

- J'en suis persuadée, mais te faire jouir deux... Trois... Quatre fois en moi ce serait vraiment contre productif n'est-ce pas?

- Pitié, je n'en peux plus!

- C'est exactement ce que je voulais entendre!

À ce moment je m'installe au bord du lit et je lui annonce qu'il n'est pas autorisé à jouir et doit demeurer en cage. Pour la première fois depuis le début de mon expérience, j'ai vraiment pitié de lui. Il n'est pas seulement déçu de ne pas pouvoir jouir ou me baiser, il semble désespéré. Il me supplie d'une voix faible et brisée. Je crois qu'il est presque sur au point de pleurer. Le voir dans cet état arrive presque à me convaincre de faire entrer sa queue en moi et de lui donner le plus bel orgasme de sa vie.

Cependant, je sais que tous les efforts jusqu'à présent ont servis à créer ce moment. Je dois analyser l'évolution de cette nouvelle forme de frustration et de désespoir. Je crois que c'est des données importantes pour mon projet.

Je caresse tout doucement son visage en lui murmurant à l'oreille qu'il est autorisé à rester en érection aussi longtemps qu'il le souhaite. Quand il sera prêt, je vais gentillement mettre sa cage et lui dévoiler une surprise innatendue.

Son érection continue pendant quelques minutes, mais voyant que je n'ai pas l'intention de jouer avec lui, sa frustration prend le dessus et son érection retombe beaucoup plus rapidement que prévu. Je place son sexe dans la cage et je lui annonce la surprise.

- J'ai une surprise pour toi, une surprise qui risque de te faire oublier ta frustration.

- Ah oui? Je ne crois pas que c'est possible d'oublier ma frustration...

- Dans quelques jours, je vais devoir quitter pendant trois jours pour une réunion de famille. Je ne veux pas te laisser seul dans cet état, tu comprends? J'ai donc eu une idée que tu devrais apprécier.

- Quelle idée?

- J'ai parlé à Clémence, tu te souviens d'elle n'est-ce pas? Je lui ai expliqué que je devais quitter quelques jours et que je ne voulais pas vraiment te laisser seul. Elle m'a immédiatement proposé de venir te « garder » pendant mon absence. Elle dit vouloir en profiter pour faire quelques expériences. J'ignore de quoi elle parle précisément, mais si je me souviens bien son projet de fin d'étude parle d'accessoires sexuels?

La frustration négative de Martin semble disparaître immédiatement, son humeur était au désespoir il y a quelques minutes et maintenant il me fait un sourire. Je constate que son sexe gonfle dans sa petite cage, je suis heureuse que cette frustration négative soit devenue une frustration positive en si peu de temps. Je savais que cette annonce lui procurerais une joie immense.

Il sourit en ce moment, mais je suis persuadée que Clémence va accentuer sa frustration pendant sa présence!

Jour 60

Mes constatations du deuxième mois :

- Le sujet est très réceptif aux stimulis. Plus la période de chasteté est grande et plus il apprécie toute forme de stimulation.

- Il supporte très bien la chasteté. 31 jours en cage sera le record à battre. Je me questionne à savoir si prolonger la période sans libération aurait vraiment un effet positif. Nous sommes déjà à la moitié de l'expérience, je devrai faire des choix.

- L'évolution des plaisirs en fonction de la période en cage de chasteté est très marquée. Il apprécie de plus en plus les plaisirs axés sur le psychologiques

- Après une longue période de cage de chasteté, la frustration d'un déni d'orgasme semble être beaucoup plus intense et affecter le sujet.

Période d'encagement la plus longue : 31 jours

Période la plus longue sans éjaculation : 14 jours

Période la plus longue sans orgasme complet : 32 jours

Nombre d'orgasmes ruinés totaux: 7

Nombre d'orgasmes ruinés lors du deuxième mois : 3

Nombre d'orgasmes complets totaux:2

Nombre d'orgasmes complets lors du deuxième mois : 0

Je suis curieuse de voir comment la présence de Clémence dans les premiers jours du troisième mois va influencer la frustration de Martin. Une chose est certaine, je ne crois pas qu'elle voudra le faire jouir et influencer négativement mes recherches!