Projet de fin d'étude (Partie 02)

BÊTA PUBLIQUE

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Sous le coup de l'excitation, Martin ouvre la bouche et Clémence grimpe sur son visage. Sans même réfléchir il lèche avec vigueur les lèvres de cette dernière et ne semble même pas s'occuper de la présence de sa propre jouissance. Il est exactement dans l'état d'esprit souhaité : Capable de jouir sans effort et prêt à tout pour avoir le droit de lécher une chatte!

Clémence le laisse le lécher pendant quelques instants, puis elle redescend vers la cage. Elle place la cage contre sa chatte et frotte sa vulve contre celle-ci. Les gémissements de Martin ne se font pas attendre. Même s'il a eu un orgasme (ruiné ou complet? Je n'en suis pas certaine), sentir cette douce chatte si près de lui le fait bander de nouveau dans sa petite cage. Tout en se caressant contre lui elle dit :

- Tu me plais beaucoup! Si ce n'était pas de ce défi dans lequel tu t'es embarqué, c'est certain que je t'aurais laissé me baiser toute la nuit. Tu pourrais sentir mes lèvres humides se serrer contre ton gland avant de gigler profondément en moi. Malheureusement pour toi, c'est tout ce que tu as droit d'obtenir!

Après avoir dit cette phrase, elle se relève et c'est la fin de cette très intense séance sexuelle. Je suis trop épuisée pour en faire l'analyse, mais j'ai beaucoup à apprendre de cette soirée des plus excitante!

Je détache Martin et Clémence fait glisser son bodysuit déchiré et plein de semence au sol. Elle enfile d'autres vêtements qui se trouvaient dans son sac et elle quitte. Avant son départ, elle me fait promettre de ne pas le libérer tout de suite... C'est beaucoup trop amusant de l'avoir dans cet état!

Jour 43

J'ai besoin d'un petit moment pour me remettre de mes émotions de la veille. Martin semble être dans la même situation.

À tête reposée, je réfléchis à l'aventure de la veille. Voici mes constatations :

- Il est entièrement possible de déclencher un orgasme chez l'homme de façon uniquement psychologique. Une longue période de déni aide à l'obtention des conditions parfaites. Je devrai étudier si je peux obtenir le même résultat dans les jours suivants un orgasme.

- Le contrôle de l'orgasme n'empêche pas l'homme de prendre énormément de plaisir et de « jouissance », même si son sexe n'est pas stimulé. Plus la période de déni est longue et plus le plaisir psychologique est intense.

- La chasteté à long terme semble beaucoup moins le déranger que de ne pas m'occuper de lui sexuellement.

- Je fais la constatation que plus mon soumis est frustré positivement, plus je suis excitée de le voir dans cet état.

Jour 44

Lors de mon réveil en pleine nuit, je suis terriblement excitée. Je crois avoir rêver à un scénario semblable à celui d'avant-hier. Plutôt que de me soulager en solitaire, je me dirige vers la chambre de Martin et discrètement je grimpe dans son lit. Immédiatement il se réveille et se demande ce qui se passe.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, je grimpe au dessus de son visage et il commence à me lécher tout en se réveillant. Il revient à ses sens en quelques instants et sa langue s'enfonce dans mon intimité.

Lorsque je jouis, je me retire de son visage avant de le remercier pour ce plaisir. Puis je retourne dormir paisiblement dans mon lit.

Martin semble un peu confus!

Jour 45

17e jour de chasteté consécutif. Martin se trouve dans une nouvelle phase d'excitation. Bien qu'il n'avoue pas que c'est ce qu'il pense, je sais qu'il apprécie maintenant ce très fort besoin de jouir et cette impossibilité de pouvoir bander.

Après 17 jours sans orgasme par stimulation, sa frustration approche de son apogée. Je suis persuadée que je peux le faire patienter encore plusieurs jours. De toute façon, même s'il s'objecte, je suis celle qui possède la clé. Est-ce qu'il pourrait s'objecter assez fort pour me demander d'arrêter l'expérimentation et se soulager comme bon lui semble? Absolument pas!

Dans son état actuel, il recherche par tous les moyens à obtenir toute forme de contact physique et les actes érotiques l'excitent terriblement. Je n'ai pas besoin de faire lécher ma chatte par Clémence pour le rendre fou de désir! Le simple fait de porter une petite nuisette, de me placer derrière lui et de lui caresser les cheveux en lui murmurant à l'oreille à quel point j'aime le voir dans cet état est suffisant pour le faire gémir.

Je ne peux le libérer tout de suite et le faire jouir de façon classique, ce serait détruire une partie importante de mon expérience et j'aurais besoin de beaucoup de temps et d'efforts pour qu'il se retrouve à nouveau dans un tel état.

Alors que je lui caresse les cheveux, je lui murmure à l'oreille de façon douce et gentille :

- Tu ne vas pas sortir de ta petite cage avant plusieurs jours. Pour l'instant, je vise un minimum de 30 jours. Qu'en dis-tu?

Plutôt que de me répondre ou de s'objecter, il a commencé à gémir profondément. Puis, comme si je n'avais rien dit, j'ai continué de lui masser les cheveux et lui mordiller les oreilles.

Jour 46

Dans ma tête la décision est très claire, il ne va pas sortir de sa cage (sauf à des fins de nettoyage) avant d'avoir atteint 30 jours de chasteté consécutive. Si son état évolue encore positivement, je crois que cette période pourrait être prolongée indéfiniment!

Jour 47

Je fais des recherches et rapidement je constate que plusieurs hommes sont gardés bien chastes pour des périodes beaucoup plus longues que 30 jours. Je ne sais pas si Martin pourrait supporter plus que ça, mais je suis curieuse de le savoir.

Pour l'instant, je cherche des idées pour l'exciter sans retirer sa cage. Mes recherches sont fructueuses et j'ai beaucoup d'inspiration pour le taquiner.

Aujourd'hui il a droit à une toute petite activité érotique. Nue sur mon lit, il me prodigue un long massage et je l'oblige à demeurer professionnel!

Jour 48

Je fais une expérience qui pourrait le pousser à la jouissance. Pour l'instant, je suis beaucoup plus intéressée par le fait de le garder dans sa cage que d'empêcher toute forme de jouissance. De toute façon ce type « d'orgasme » semble rapidement décupler sa frustration après leur obtention.

Il se couche sur le lit et je commence à attacher ses couilles avec une corde. Il semble vraiment se demander quel est mon but. J'attache ses boules biens pleines de manière à les éloigner de son corps. Une fois mon travail terminé, je me positionne nue au dessus de sa cage.

Tout doucement, je frotte ses couilles contre ma vulve et Martin gémit de désir. Je continue un moment, puis je commence à faire entrer celles-ci en moi. Je fais quelques mouvements pour simuler que je baise ses couilles, mais le résultat est le même à toutes les fois : Elles sortent.

Je décide de plutôt les faire demeurer immobile à l'entrée de ma chatte et je caresse mon clitoris. Poussé par l'excitation, du liquide coule sur le ventre de mon soumis. Il n'arrive pas à jouir ainsi et j'ai beaucoup de plaisir à le voir se tortiller de frustration. Je n'ai pas d'orgasme, mais j'ai eu tout le plaisir que je voulais à l'observer.

Jour 49

Surprise pour Martin. Je ne suis pas certaine s'il va apprécier ou détester mon intention. Nous ne sommes pas un couple, donc nous ne sommes pas exclusifs. J'ai réfléchi depuis un moment à la manière d'intégrer un homme qui serait autorisé de jouir, mais j'ai longtemps hésité. Je sais qu'il veut garder la chasteté une facette privée de sa vie et j'ignore sa réaction en présence d'un autre homme.

J'ai trouvé un homme sur un site de rencontre qui semblait très intéressé par moi. Je lui ai expliqué que mon copain (je ne voulais pas devoir tout lui expliquer) et moi on pratique un jeu de chasteté et que je veux me faire baiser pendant qu'il regarde sans rien pouvoir faire. L'homme a accepté, après tout l'opportunité de me baiser semblait trop belle pour lui. Une baise gratuite et aucun effort pour entrer dans sa culotte? Quel homme pourrait refuser une telle offre!

On se dirige à l'hôtel, Martin ne semble pas comprendre pourquoi nous allons dans un hôtel alors que l'appartement est à quelques rues de là. Je lui explique ce qui va se passer et je lui dis que j'ai réservé un hôtel pour ne pas que son identité ne soit en danger. Je lui dit qu'il va porter un masque et que de cette façon l'homme n'aura aucune façon de savoir qui il est.

Hésitant, mais excité, il accepte.

Lorsque cet homme entre dans la chambre, Martin est nu en cage et porte un masque au coin de la chambre. Pour ma part, j'ai un superbe ensemble de lingerie rose et un peignoir bien ouvert pour l'accueillir. Par respect pour mon colocataire, je porte un petit masque bien discret au niveau des yeux, mon identité est ainsi dissimulée.

L'homme me dévore du regard dès qu'il me voit, mais semble surpris en voyant Martin silencieux, masqué et en cage dans le coin de la pièce. C'est un grand brun d'environ 1M90, musclé d'environ 26-28 ans selon mes estimations.

Au début il semble hésitant face à la présence de Martin, bien que l'entente était très claire dès le départ. Je lui dis de ne pas s'en occuper et qu'il ne sera qu'un simple spectateur. On discute quelques minutes, mais ce que je veux est passer aux choses sérieuses!

Je me dirige tout d'abord vers Martin et je fixe ses poignets derrière son dos. Je lui murmure à l'oreille qu'il peut se déplacer dans la pièce et observer de l'angle de son choix. Il doit seulement ne pas entrer en contact physique avec nous et demeurer en silence.

Je vais ensuite vers l'inconnu et je retire lentement ses vêtements. Quand je retire ses sous-vêtements, je vois qu'il a un très gros membre déjà bien dûr. On se dirige vers le lit et il commence à me caresser et retirer ma lingerie. Une fois nue, il descend entre mes jambes et commence à me prodiguer un cunnilingus.

Martin est au coin du lit et fixe la scène avec les yeux biens ouverts. Il semble déjà avoir de la difficulté à garder une respiration lente. Le voir dans cet état augmente le plaisir de cette langue contre mon intimité. Après 5 minutes, mon excitation est grande et je m'approche de l'orgasme. Malheureusement pour moi, l'homme impatient cesse le cunnilingus et veut me baiser. Après avoir enfilé un condom, il se place derrière moi et commence à me baiser par derrière.

Je gémis et Martin observe sans trop savoir à quel endroit se placer. Il reste à la hauteur de ma tête et je constate qu'un long filet d'excitation coule déjà de sa cage. Après une minute de pénétration, je change la position.

L'homme se retrouve couché sur le lit pendant que je grimpe sur sa verge pour baiser au rythme de mon choix. On continue dans cette position environ deux minutes, mais l'homme semble sur le point de jouir. Je me retire et je décide de lui faire une fellation.

Il s'asseoit au bord du lit et je suce sa queue bien dure. Je dois avouer que j'apprécie particulièrement pouvoir faire ça, surtout que je n'ai pas à devoir faire preuve de grande prudence pour ne pas qu'il ait un orgasme. Cette fois, je n'en ai rien à faire! Je suce profondément sous le regard excité de Martin qui est au loin et donne de petits coups de bassin dans le vide, je suppose qu'il s'imagine dans la position du chanceux.

Après quelques minutes de fellation, les gémissements m'indiquent qu'il va jouir. Je sors sa verge de ma bouche et je le branle avec intensité. Sa semence sort en jets et recouvre mes petits seins. Je regarde l'homme en souriant et je lui dis que mon copain aurait vraiment voulu être à sa place.

Il ne semble pas savoir quoi répondre et la présence d'un homme masqué en cage de chasteté semble maintenant vraiment le déranger. Il a jouit, son intérêt disparaît. Je lui demande de m'apporter une serviette et je nettoies sa jouissance.

La dynamique change et l'homme ne semble plus apprécié se trouver dans cette pièce. Il est inconfortable et pour lui signifier qu'il peut partir je le remercie pour cette belle petite baise. Il comprend le message et quitte dans les minutes suivantes.

Je prends une bonne douche et je discute avec Martin. Les conclusions sont les suivantes.

- Pendant l'acte, la situation était excitante. Martin voulait vraiment s'imaginer à la place de l'homme et il était jaloux. Non pas jaloux car il est en moi, mais jaloux car il voudrait me baiser.

- Il a vraiment été très excité et pense que si je lui aurais donné un peu d'attention physique, il aurait jouit dans sa cage.

- L'introduction d'un homme qui veut seulement me baiser et ne comprend pas la dynamique n'était peut-être pas la meilleure idée. Si l'expérience devait se reproduire, ce serait avec un homme qui participe activement à cette dynamique. Je ne crois pas vouloir refaire l'expérience nécessairement, dans tous les cas, pas dans ces conditions.

Après la douche, on décide de coucher à l'hôtel. De toute façon elle est déjà payée. On se couche dans le lit complètement nu. Martin semble en vouloir plus et veut vraiment jouer avec moi. Après une telle expérience, je décide qu'il mérite un petit quelque chose.

Il est derrière moi, en position de la grande cuillère. Il prend mes seins dans cette position et sa main se pose contre ma chatte. Je lui dit qu'il n'a pas le droit de bouger et que sa main ne doit pas descendre plus bas que mon pubis.

Je commence à bouger mon bassin, mes fesses se frottant contre sa cage de chasteté. Il gémit de plaisir, s'imaginant probablement être celui qui me baise. Je continue de bouger mes fesses et ses gémissements continuent de s'accentuer. Après quelques minutes de frottements, il me dit qu'il va jouir. Je cesse de bouger alors que sa queue prisonnière est contre mes fesses, puis je sens de très puissants jets de sa chaude semence contre sur mon cul.

Après un autre orgasme en cage, il continue de gémir pendant plusieurs secondes. Je me retourne et j'observe la quantité de jouissance qui coule de mes fesses vers le lit. Je dis à Martin de nettoyer.

Après cette soirée très spéciale, on s'endort tous deux dans le lit. C'est la première fois qu'on passe la nuit ensemble et ses mains baladeuses en profitent aussi souvent qu'il le peut!

C'est une soirée de première. On dort ensemble pour la première fois et pour la toute première fois de ma vie, je reçois la jouissance de deux hommes sur moi dans une seule nuit. L'expérience a été intéressante, divertissante et m'a permis d'analyser une autre dynamique de la chasteté. Cependant, je crois que ce sera la première et dernière fois que deux hommes jouissent sur moi dans la même journée!

Jour 50

Pour Martin, je crois que l'évènement marquant de la veille n'a pas été de me voir me faire baiser. C'est d'avoir eu la chance de venir sur mon cul et de me tripoter toute la nuit!

L'introduction d'un homme qui me baise l'a excité, mais je comprends très rapidement qu'une nuit avec moi et Clémence aurait eu un effet beaucoup plus fort sur sa « frustration positive ». Il sait comment me prendre par les sentiments et utilise ce terme probablement dans l'objectif de me convaincre d'inviter Clémence de nouveau! C'est bien joué, mais ça ne fonctionne pas ainsi!

Jour 51

Bien confortableme sur le comptoir de la cuisine, j'invite Martin à venir prendre son repas. J'ouvre les jambes et il se retrouve à genoux la tête entre mes deux cuisses à me lécher jusqu'à l'orgasme.

Une petite surprise bien agréable, puis on se dirige respectivement à nos cours.

Jour 52

Sachant qu'il n'est pas autorisé à sortir de sa cage, le cunnilingus semble être son principal plaisir. Il insiste pour me faire jouir. Je crois avoir atteint le stade ou il prend sa jouissance dans ma propre jouissance.

Je l'encourage dans cette voie. Sur mon lit, je grimpe sur son visage pour recevoir un puissant orgasme. Le facesitting alors que ma chatte est contre sa bouche et mes fesses exposées à sa vue semble lui procurer un fort effet aphrodisiaque!

Jour 53

Je lui laisse croire en la possibilité que dans moins d'une semaine je vais le faire sortir de sa cage. Ces simples mots arrivent à l'exciter terriblement.

Jour 54

Je décide de vraiment taquiner sa cage aujourd'hui et je n'ai aucune intention de le laisser jouir.

Je débute pas un gentil massage de ses boules biens pleines tout en le remerciant de faire tout ça pour moi. Je lui dis à quel point j'aime le voir dans cet état et comment sa chasteté va aider dans mes recherches. Je passe ensuite aux choses sérieuses.

Du bout des doigts je caresse toute la peau exposée qui sort de sa cage. Son pauvre sexe n'en peux plus! Je continue le dirty talking à la recherche des paroles qui vont le plus l'exciter.

- Pauvre petite queue. Coincée dans cette minuscule cage depuis 26 jours. Près d'un mois sans pouvoir bander et sans avoir droit à la vraie jouissance. Tu voudrais baiser ma petite chatte n'est-ce pas?

Je me déplace pour placer ma chatte contre sa cage. Assise sur ses cuisses, le tube se retrouve contre ma vulve. Je prends sa cage et tout doucement je la déplace contre ma vulve. Il gémit en signe de supplication.

- Tu voudrais pouvoir jouir sur ma petite chatte? Cette simple petite barrière physique qui t'empêche de donner quelques vigoureux coups de bassin pour venir profondément en moi. Qu'est-ce que tu ne donnerais pas pour pouvoir venir dans ma chatte!

En disant ces paroles, j'ouvre mes lèvres et avec beaucoup de précautions je fais entrer sa cage en moi. Le sens le métal à l'intérieur de moi et tout le tube n'est plus visible.

- Ça, c'est le plus près que tu es autorisé de me baiser. Coincé dans une minuscule cage à voir ta queue totalement en moi, mais sans la douce sensation qui vient normalement avec.

Je commence à faire de très doux mouvements et immédiatement les gémissements de Martin s'amplifient. Il semble déjà près d'une jouissance non prévue, mais j'ai encore le contrôle.

- Oh. Je vois que tu apprécies! Tu veux venir comme ça dans ma petite chatte?

Je continue mes mouvements et les gémissements de frustration sont de plus en plus insistants.

- Tu vas venir n'est-ce pas? Allez! Vas-y! Tu peux venir dans ma petite chatte, viens pour moi! Allez, viens pour moi!

Il gémit et je sais que l'orgasme est très près de devenir inévitable! D'ici une dizaine de secondes il va jouir en moi. Puis, lorsque je sais que je dois arrêter immédiatement ou il sera trop tard, je me retire subitement avec un sourire très cruel.

- Tu ne croyais tout de même pas que je te laisserais venir aussi facilement dans ma petite chatte? Tu as jouit sur mon cul il y a seulement quoi? Cinq jours? Tu pratiques la chasteté, pas l'orgasme à volonté!

Je me lève du lit sous le bruit des supplications désespérées de Martin. Je l'invite à prendre une douche bien froide pour réussir à se calmer!

Jour 55

En me levant je lui demande à quel point il veut jouir. Je lui dis que s'il est prêt à tout, je pourrais le faire jouir comme jamais! Il semble intrigué.

- Est-ce que tu es prêt à tout pour pouvoir jouir?

- À tout? Ça dépend!

- Oui ou non, c'est la seule réponse que je veux...

- Oui, je suppose...

Aujourd'hui je décide de réaliser une pratique que je n'ai jamais fait par le passé et qui me rends un peu nerveuse. Cette pratique semble liée très fortement à la chasteté et je crois que mes recherches ne seraient pas complètes si je ne le fais pas.

Je lui donnes des instructions très claires pour se préparer et je lui dit que ce soir, je le veux bien propre et prêt à jouir par son cul! Il veut s'objecter, incertain qu'il veut le faire. Je lui dit que s'il refuse, je ne le ferai pas. Cependant, la cage va demeurer en place encore un bon moment.

Il accepte. Selon moi, il prétend ne pas vouloir le faire, mais je suis certaine que dans sa situation actuelle, il est très intéressé par tout type de stimulation!

Le soir, il arrive bien propre et parfaitement rasé dans ma chambre tel que demandé. Je lui dis de se placer sur le lit en levrette. Dans cette position vulnérable, il m'observe avec un certain doute dans son regard.