Piège Au Shooting Photo

Se redressant d'un coup, martine s'empara du couteau posé sur la table de nuit. Sophie eut une montée d'adrénaline en voyant l'arme dans la main de sa maîtresse mais n'eut absolument pas peur. Elle se savait à sa merci et avait passé le premier stade ou la peur dominait avant tout. Maintenant, elle était fébrile car à la recherche de nouveauté et de challenge.

- Tu as peur? lui demanda la femme en piquant son nombril puis en faisant glisser lentement la pointe sur son ventre

- Non, je suis à ta merci, fais ce que tu veux

- Tu ne veux plus que je te libère?

- Non...

La femme fit alors glisser la lame en les seins puis, elle s'amusa à exciter les tétons avec la pointe d'acier.

- Je pourrais les étêter?

- Mon corps a trop de valeur pour ton film...

- Mais, tu me nargues, tu es folle ou quoi?

Sophie ne répondit pas, se rendant compte qu'elle ne connaissait pas la femme et ne savait pas de quoi elle était capable. Elle retint sa respiration lorsqu'elle lui appliqua le coté tranchant sur la base du téton, mais fut étonnée de se rendre compte qu'elle n'avait pas peur. Pire, elle était curieuse de savoir si la femme allait avoir le cran de lui étêter le sein. Pourtant elle se garda bien de la provoquer à nouveau, voyant qu'il ne fallait pas grand chose pour la décider vraiment.

- Tu as du cran, finit elle par dire.

Tout en disant ça, elle retira le couteau et enfonça légèrement la pointe dans la base du sein, le faisant saigner.

La jeune fille poussa un léger gémissement ce qui fit sourire la jeune femme.

- Avec un petit peu d'entraînement, tu pourrais être prête pour une soirée

- Un entraînement?

- A condition que ce soit moi qui m'occupe de toi.

- Quel genre d'entraînement

- Tu fais tout ce que je t'ordonne de faire...

- C'est à dire?

- J'ai tous les droits sur toi, tu deviens en quelque sorte mon esclave....

Sophie se rendit compte que sa vie risquait d'être un cauchemar si elle acceptait une telle proposition. Mais elle avait été tellement loin depuis quelques jours qu'elle se dit qu'elle se devait de découvrir de nouvelles choses. Jamais elle n'avait pensait que son corps pourrait lui procurer autant de satisfaction car même dans la douleur, elle ressentait un certain plaisir. Pourtant, cette femme était une inconnue et à la manière dont elle l'avait fouettée, cela démontrait qu'elle n'avait aucune pitié et que son corps risquait vraiment de morfler. Ces dernières pensées auraient du la dissuader et c'est le contraire qui se passa. l'idée d'être mis à mal et longuement torturée excita la jeune femme qui finit par dire.

- D'accord, je veux bien être ton esclave et subir un entraînement pour une de ces soirées.

- Fantastique, s'écria la femme qui eut du mal à cacher sa joie. Je vais t'initier comme jamais une femme ne l'a été, car je ne te présenterai pas à une simple soirée, je te proposerai pour la curée.

- La curée.

- Une soirée très spéciale qui peut d'ailleurs durer plusieurs jours.

- Et je vais morfler?

- Oh oui, aucune femme n'a pu aller au bout. Mais il est trop tôt pour que je t'en parles.

Sophie n'osa pas en demander plus car elle se rendit compte que martine en avait déjà trop dit. Etre offerte à la curée ne présageait rien de bon. Malgré ça, la jeune femme ne se déroberait pas. Elle serait la première à résister même si elle ignorait ce que cela signifiait.

La femme utilisa alors le couteau pour couper la ficelle qui maintenait la jeune femme écartelée. Cette dernière fut un peu déçue d'être libérée car elle s'y était bien habituée.

- Suce moi, ordonna la femme qui s'allongea à son tour en écartant grand les cuisses.

Sophie fut parcouru par un frisson de contentement. Elle n'avait jamais fait ce genre de chose mais était pressé d'y goûter. Elle se glissa entre les jambes de la femme et constata que cette dernière rasait elle aussi son sexe. Délicatement, elle écarta les grandes lèvres, dévoilant une chatte rose des plus appétissantes et approcha sa bouche de cette moule qui ne demandait qu'à être bouffée. Martine gémit lorsqu'elle introduisit sa langue dans son intimité, appréciant la façon de faire de son élève. Même si elle était inexpérimentée, son entrain à la lécher montrer qu'elle aimait ça. Elle adora la saveur un peu aigre qui se dégageait du sexe, se sentant toute bizarre à ainsi s'occuper d'une autre femme. elle finit par perdre tout contrôle la léchant par pur gourmandise, se comportant comme une vrai chienne. Martine n'en revenait pas de l'attitude de la jeune femme qui lui faisait un bien fou. Elle avait vraiment l'air d'aimer sa chatte et elle la laissa faire, s'abandonnant à son tour à cette furieuse qui s'était mis à lui lécher le clitoris. Cela était tellement bon qu'elle ne tarda pas à avoir un orgasme, se cambrant sur le lit alors que la jeune femme continuait à lui lécher la moule. Malgré le plaisir qu'elle en tirait, martine du cesser le jeu et poussa la fille du pied.

- Bien, on va s'en aller, dit la femme.

- S'en aller?

- Oui, tu vas quitter ta maison un certain temps car je te veux toujours à ma portée

- Mais?

- Tu veux que je te dresse oui ou non?

- Oui...

- Dans ce cas, vas mettre une mini jupe et un tee short, cela devrait suffire

- Je prépare un sac?

- Tu ne pars pas en vacance, tu n'as pas besoin d'affaire. Tu n'auras que ce que tu porteras sur toi. Tout en disant ça, elle se leva et alla boire un verre dans la cuisine.

Sophie enfila une culotte puis mis une mini jupe qu'elle n'avait pas l'habitude de porter car elle la trouvait trop court puis enfila un soutien gorge avant de mettre un tee short sans manche. Elle était habillée lorsque martine revint dans la chambre. Elle la regarda un instant puis s'approcha d'elle et la gifla fortement. Sophie fut étonnée mais ne dit rien. Elle acceptait d'être dressée et elle ne devait rien manifester même si cela lui faisait mal.

- Est quez tu sais pourquoi je t'ai giflée.

- Non...

- Parce que tu m'as déçue.

- Comment?

- Je te veux toujours prête, retires ce soutien gorge et cette culotte, dit elle en relevant la jupe pour voir le petit bout de tissu

Sophie ne dit pas un mot et docile, elle fit glisser le string le long de ses jambes avant de retirer le tee short pour enlever le soutien gorge. Une fois qu'elle eut remis le haut, la jeune fille se sentit bizarre. C'était surtout de ne rien porter sous sa jupe qui la mettait dans un drôle d'état. Sortir comme ça lui donnait l'impression de sortir nue pourtant elle resta muette et suivit la femme lorsque celle ci quitta sa maison. Une fois installée dans la voiture, martine dit alors.

- Tu connais mon mari?

- Oui, il était à la séance de photos

- Pour ton dressage, tu devras lui obéir comme à moi. Je ne veux pas t'entendre discuter le moindre ordre ou tu seras sévèrement punie.

- Bien...

La jeune femme fut étonnée par la durée du voyage. Ils roulèrent plus de deux heures, quittant la ville pour s'enfoncer dans la campagne profonde. Son cœur se serra un peu lorsque la voiture s'arrêta devant une énorme grille en fer, laissant entrevoir un parc immense.

- Nous sommes arrivé au château, dit la femme, ton dressage va vraiment commencer

- Au château?

- Un héritage de mon mari...

Un homme d'un certain age vint ouvrir la grosse grille se qui étonna sophie. La femme voyant sa surprise dit en riant

- J'avais oublié de te dire que mon mari est un baron et que nous avons une dizaine de personnes qui travaillent pour nous. Certain d'ailleurs s'occuperont de ton initiation.

La voiture s'engagea dans l'allée et la jeune fille eut le souffle coupé en apercevant au loin l'énorme château qui laissait plané dans l'air un parfum de fantastique.

- Tu goûteras aux catacombes et a certaines tortures complètement oubliées de nos jours si tu n'es pas obéissante.

- je ne vous décevrez pas...

Sophie était tellement impressionnée, qu'elle se remit à vouvoyer la baronne. Elle n'avait pas pensé une seule seconde qu'elle allait se trouver dans un tel endroit et même si elle ignorait à quelle sauce elle allait être bouffée, elle n'avait absolument plus peur. Elle avait accepté ce dressage et ne voulait pas décevoir la femme. Elle voulait être celle qui serait donnée à la curée et quoi qu'il lui arrivera alors, elle voulait que les gens soient admiratifs en parlant d 'elle.

Etait elle devenu folle ou avait elle découverte sa vrai nature, toujours est il que lorsque la voiture s'arrêta devant l'énorme perron, elle sortit à la suite de martine sans aucune appréhension.

Trois mois plus tard, c'est une file de voiture qui se pressait devant la grille du château. Ils venaient des quatre coins de la planète, et se réunissaient pour assouvir leur goût prononcé pour le sadisme.

Ils avaient tous reçu des photos de la jeune femme qui allait les distraire durant les trois jours à venir et avait tous admiré sa plastique.

Et ils n'avaient qu'une hâte.... Que la curée commence