Piège Au Shooting Photo

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Jamais sophie ne se serait doutée qu'elle irait aussi loin en venant ce soir là. Cette femme était diabolique et elle en vint à oublier vraiment le membre enfoncé dans son anus. Lorsqu'elle plaqua sa bouche contre la sienne et qu'elle l'embrassa longuement, introduisant sa langue pour en augmenter le plaisir, sophie ferma les yeux et répondit avec fougue à la femme. Lorsqu'elle se redressa, la jeune fille fut presque décue mais la femme préférait laisser la place au réalisateur qui n'en avait pas terminé.

- Bien, maintenant que cet entracte est terminé passons aux choses sérieuse. Bruno, tu roule avec la fille sans sortir de son cul et ensuite, une fois sur elle tu la besogne sérieusement.

L'homme lui lâcha les mains pour qu'elle resserre les bras le long du corps et lentement, ils roulèrent sur le coté jusqu'à ce que sophie se retrouva face au lit.

- Vas y, encule là avec hargne.

La jeune fille poussa un cri car maintenant qu'il était sur elle, il avait plus de facilité pour la sodomiser. Il se mit à la prendre avec force, la faisant gémir alors que lui même poussait des cris de bûcherons à chaque plongée entre ses fesses.

Cela ne dura pas bien longtemps car il éjacula très vite. Pourtant il resta de longues minutes sans bouger, le sexe bien au chaud avant que le réalisateur soit prit d'impatience, lui demandant de ressortir.

Sophie crut que la séance était terminée lorsque le réalisateur lui demanda de se remettre sur le dos et de bien écarter les cuisses. Maintenant, elle se retrouvait seule sur le lit et crut que l'homme voulait faire quelques prises de vue avant de terminer.

- Quelqu'un de l'équipe veut la baiser pendant qu'elle est chaude.

Sophie n 'en crut pas ses oreilles et une montée d'adrénaline l'envahit. Mais il la prenait pour qui? Ca n'était pas une pute et ils ne pouvaient pas agir avec elle comme ça.

Elle eut envie de se révolter pourtant, pas un muscle de son corps ne bougea. L'envie de faire l'amour était plus forte que la considération qu'elle pouvait avoir d'elle même. Elle ignorait qu'elle était à nouveau testée et son manque de réaction était encore une victoire sur elle. Un des caméraman posa son appareil et quitta son pantalon. Sophie était paniquée de constater la manière dont on la traitée pourtant elle resta immobile lorsque l'homme s'allongea sur elle et qu'il la pénétra. Elle oublia très vite ses scrupules et se mit à jouir rapidement. Elle dut d'ailleurs subir les assauts de trois autres hommes avant que finalement on ne la laisse tranquille. Elle était épuisée mais heureuse car elle venait de découvrir des choses fantastiques sur elle.

La salle se vida petit à petit il ne resta plus que le couple et le photographe. Sophie était épuisée et heureuse. Elle se reposait sur le lit, essayant de reprendre ses esprits. La femme vint s'asseoir sur le lit et se mit à lui caresser la hanche.

- Tu as été très bien, dit elle d'une voix douce. Finalement, on va peut être faire plus que tirer quelques photos. Ce qu'on a filmé ce soir a sa place dans une cassette porno.

- Vous ne pouvez pas...

- Pourquoi, tu as été filmée de ton plein gré et en plus tu as été payée.

Faire des photos été une chose mais se retrouver sur une cassette effraya la fille.

- Mais si des gens que je connais me voient

- Il y a autant de risques qu'avec les photos, à moins que tu ne tournes d'autre scènes plutôt crash pour compléter le film ce qui fait que seul, quelques exemplaires très privés seront en circulation chez des collectionneurs.

Sophie ne comprenait plus rien. Tout se passait très vite. En début de soirée, elle n'était venue que pour poser pour quelques photos, et elle ne comprenait pas comment ça avait pu déconner ainsi

- Crash? c'est quoi

- Ce sont des films interdits car comprenant des scènes que l'on a pas le droit de tourner. C'est pour ça que si tu veux, personne a part quelques initiés ne verront ta prestation.

La jeune fille ne comprenait plus grand chose. Elle était trop fatiguée et demanda alors

- S'il vous plait, laissez-moi rentrer chez moi.

- Bien sur. Rentres chez toi mais décide-toi vite. Sinon ce que tu as vécu ce soir sera vendu à un producteur qui glissera la scène dans un de ses films et tu es sur que la cassette sera en diffusion dans pas mal d'endroit.

La femme se releva, laissant la jeune femme digéré l'espèce de chantage qu'elle lui faisait subir. Une fois le couple parti, elle se rhabilla et prit congé du photographe. La nuit était bien avancée mais en rentrant chez elle, la jeune femme eut tout de même le courage de prendre une douche avant de se coucher. Elle décida de rompre tout lien avec le photographe et tant pis si une cassette d'elle était en circulation, ses proches avaient peu de chance de tomber dessus.

Ce fut la sonnerie de la porte d'entrée qui réveilla sophie. Regardant son réveil, elle constata qu'il était presque onze heures. Elle enfila une robe de chambre pour cacher sa nudité, elle qui dormait toujours nue, et alla ouvrir la porte. Quel ne fut pas son étonnement en découvrant la femme, seule, un grand sourire aux lèvres. elle allait refermer la porte lorsque cette dernière s'écria

- Ne faites pas ça, j'ai à vous parler c'est très important.

- Je ne veux pas vous voir,

- Dommage... Surtout que je sais ou habite vos parents, ils seraient content de voir leur petite fille en cassette

- Salope, vous ne pouvez pas...

- Tu m'ouvre oui ou non.

Sophie ignorait que l'on jouait avec elle pour la tester. La phase confiance du photographe était terminée et on voulait aller plus loin.

- Entrez mais des que vous aurez dit ce que vous avez à me dire partez

La femme entra et alla, sans y être invité, s'asseoir dans le canapé du salon.

- Je boirai bien quelque chose...

- Pas moi

La femme regarda sophie en souriant et lui dit

- Pourquoi ne voulez vous pas tourner d'autres scènes. Se serait la garantie que votre cassette ne serait pas diffusée et en plus, vous toucheriez beaucoup d'argent.

- Qu'est ce que vous voulez boire, se décida t'elle tout de même

- Un whisky

Elle alla chercher deux verres et une bouteille et après les avoir remplis demanda.

- Qui me dit que ça n'est pas un piège

- Les pornos crash sont interdits. Toute personne avec un de ces films en sa possession risque la prison. Ca n'est pas une garantie?

- Mais c'est quoi les films crash.

- Des prises de vue sans tabous ou tout est filmé

- Comme dans vos fameuses soirées.

La femme se mit à rire. Elle dit alors

- Henri, le photographe est décidément trop bavard. Maintenant que vous en parlez, vous seriez très appréciée durant une de ces soirées.

- Vous n'avez pas répondu...

- C'est vrai. D'un coté, c'est du cinéma et c'est écrit à l'avance. Certaines scènes sont scabreuses ou douloureuses pour la femme mais ça s'arrête là. Nos soirées, c'est la réalité et là, tout peu arriver...

La femme n'en dit pas plus, laissant ses mots imprégner les neurones de la jeune femme.

- Vous avez déjà participé en tant que ...

- Que femme offerte?

- Oui

- Ca m'est arrivé mais je ne suis pas très courageuse et je n'ai jamais été trop loin. J'ai trente sept ans et je n'ai plus l'age pour ça. D'ailleurs, Vous verrez si un jour vous vous offrez à une de nos séances, Il n'y a pas beaucoup de femmes.

- Et pour le film crash, combien je serais payé.

-

Sophie ne voulait pas que ses parents voient la cassette. Finalement, c'était peut être la solution car même si elle était en colère, le souvenir de la soirée la laissait encore pantelante.

- Pour deux ou trois scènes vraiment crash, ce qui permettrait de finir un film, vous toucheriez dix mille euros.

Sophie faillit s'étouffer avec son whisky. Elle ne s'attendait pas à une telle offre et du coup, elle oublia son différent avec la femme

- Quinze mille et j'accepte tout de suite, osa t'elle dire malgré ça.

Ce fut au tour de la femme de faillir s'étrangler. Elle ne pensait pas que la jeune femme ait pu avoir l'intention de discuter une telle offre pourtant, elle n'avait pas besoin de réfléchir longtemps, aussi dit elle

- D'accord mais on a tous les droits et vous ne pourrez pas refuser de scènes.

La jeune fille se rendit compte que cela pouvait être dangereux pour elle mais elle finit par dire

- D'accord, vous aurez tous les droits.

- Bien, maintenant que l'affaire est conclu, j'aimerai goûter à nouveau au plaisir de ta chair.

- Maintenant?

- Considère qu'il s'agisse d'un casting. On va aller dans la chambre et tu enlèveras cette horrible robe de chambre qui cache un corps aussi adorable que le tien.

Sophie hésitait entre foutre cette femme dehors et lui obéir. Ce furent ses pulsions sexuelles qui eurent le dessus et après avoir fini son verre cul sec, elle se leva et se dirigea vers sa chambre sans attendre la femme. Elle n'était pas lesbienne mais avait été mises dans tous ses états la veille lorsqu'elle s'était un peu occupée d'elle. Après tout, si elle avait envie de jouer avec son corps, pourquoi pas. Elle jeta sa robe de chambre et nue, alla s'allonger sur son lit, attendant sa futur partenaire qui prenait son temps pour finir son verre.

Lorsque cette dernière entra, elle s'immobilisa un instant pour admirer le corps de la jeune fille qui paraissait impatiente d'en découdre. Finalement, le photographe ne s'était pas trompé en la découvrant. Lentement elle se dévêtit, et sophie découvrit que la femme, malgré son age, avait un corps qui n'avait rien à envier au sien. Elle était superbe et sophie fut pressée qu'elle vienne la rejoindre. Cette dernière prit son temps et se dirigea vers la robe de chambre que sophie avait jeté avant. Elle la ramassa et défit la ceinture.

- Tu veux que je t'attache au montant métallique du lit?

- Pourquoi pas, répondit la jeune femme qui découvrait une nouveauté.

La femme demanda alors.

- J'ai envie de t'écarteler pour mieux te posséder, tu n'aurais pas d'autres ceintures.

- Il y a une grosse bobine de cordelette dans le cellier à coté de la cuisine.

- Ne bouges pas je vais la chercher.

Sophie était toute excitée à l'idée d'innover. Attachée, elle serait à la merci de cette femme splendide. Cinq minutes plus tard, elle revenait avec la bobine et un gros couteau de cuisine. Elle coupa deux morceaux assez longs et monta sur le lit. Elle posa le rouleau et le couteau sur la table de nuit et saisit un des poignets de la fille qu'elle plaça contre une tige métallique du montant. La jeune fille dut descendre un peu pour que son bras soit tendu vers le haut. La femme lui ligota minutieusement et passa de l'autre coté du corps pour en faire de même avec l'autre bras. Sophie était passive, se laissant attacher sans rien dire. Elle crut que la femme avait fini mais elle se trompait. Elle reprit la bobine et coupa deux morceaux beaucoup plus long. La ficelle n'était pas très grosse, mais elle était d'une solidité à toute épreuve.

- Je vais t'écarteler, tu n'y vois pas de problème

- Fais ce que tu veux

Elle se positionna au niveau des pieds et attacha à une extrémité une cheville, serrant très fort pour faire mal à la jeune fille qui ne disait rien, puis tendant la cordelette au maximum en écartant bien la cuisse, elle attacha l'autre extrémité à un tube du montant de bas. Elle fit la même chose avec l'autre jambe immobilisant sophie qui se retrouva attachée, jambes et bras écartés.

- maintenant tu es à moi, au fait, je m'appelle martine

- enchantée...

La femme rigola en disant

- Tu seras peut être moins enchantée tout à l'heure

Sophie n'avait pas peur. Elle était attachée et savait que la femme était sadique mais elle entendait parler de sévices depuis plusieurs jours et elle voulait essayer. Si cette femme avait envie de lui faire mal, elle saurait alors ce que l'on peut ressentir. Martine caressa alors le sexe de la fille comme elle l'avait fait la veille. Cela aussi plaisait beaucoup à sophie. Surtout qu'une fois le sexe bien détrempé, elle se glissa entre les cuisses écartées et approcha sa bouche de la chatte sans défense. Martine donna un coup de langue entre les lèvres et attaqua les chairs roses avec gourmandise. Sophie se cambra de bonheur, loin de penser que la femme allait commencer par ça. Elle se mit à lui brouter le minou, mordillant les bords du sexe et le clitoris. La jeune femme ne put retenir des gémissements de plaisir car jamais encore on ne lui avait fait ça. Lorsqu'elle cessa, se fut pour glisser sur le corps de la fille, se plaquant contre elle en écartant les cuisses pour qu'elles reposent sur celles de la jeune femme. Cela faisait tout drôle à sophie de sentir la poitrine de l'autre femme sur la sienne. C'était doux et voluptueux, surtout que les deux femmes avaient toutes les deux d'adorables seins bien en chair. Elle l'embrassa alors et sophie, comme la veille lui rendit son baiser fougueux. Tout en faisant cela, la femme se mit à frotter son pubis contre celui de sophie qui était aux anges. Elle s'attendait à souffrir alors que c'était tout le contraire. Elle était loin de penser que deux femmes puissent se donner autant de jouissance.

Alors que la jeune femme était sur le point d'avoir un orgasme, martine cessa d'un coup et roula à coté du corps. Elle quitta le lit et demanda alors

- J'ai envie de t'entendre hurler, surtout que ta maison isolée est bien pour ça

- Fais ce que tu veux, répondit sophie à l'idée de connaître de nouvelles choses.

La femme commença à fouiller dans la chambre, ouvrant tous les tiroirs lorsqu'elle poussa un cri de satisfaction. Elle venait de trouver une fine ceinture en cuir que la jeune fille n'utilisait plus depuis longtemps. Elle la fit claquer plusieurs fois dans le vide, appréciant le bruit qu'elle faisait.

Ecartelée sur le lit, sophie paniqua un peu en comprenant ce qu'avait l'intention de faire la femme. Là, ça devenait concret et la jeune fille se rendit compte que la douleur ne serait pas minime.

- les cuisses, le ventre ou les seins?

- Hein?

- Quelle partie je frappe en premier, insista martine.

- Aucune, détache moi... Je ne veux plus

- Quelle partie? A moins que tu ne sois trop lâche?

Sophie n'était pas lâche. Elle avait peur mais ne voulait pas qu'elle croit que ce soit une lâche.

- les cuisses, dit elle alors.

Elle s'attendait à ce que martine prenne son temps et fut surprise en constatant que le femme abattait immédiatement la ceinture sur ses cuisses immobilisées. Cela fut horrible et elle ne put s'empêcher de pousser un hurlement de douleur tant la femme avait frappé fort.

- Arrête, libère moi, s'écria sophie que ce coup avait déstabilisée.

La jeune femme se croyait plus forte et elle avait tellement eut mal qu'elle n'avait pas pu s'empêcher de hurler. Martine s'assit sur le lit mais ne toucha pas aux liens de sa victime.

- Pourquoi veux-tu que je te libère?

- Mais tu m'as fait mal

- Je croyais que c'était ce que tu voulais.

- Plus maintenant...

Martine se mit à rire et se releva

- Maintenant, ventre ou seins?

- Hein, mais je ne veux pas continuer

- Ventre ou seins?

- Ni l'un ni l'autre...

A peine eut elle dit ça que la ceinture de cuir vint frapper à nouveaux ses cuisses ce qui fit à nouveau pousser un hurlement à la jeune fille.

- Pitié, détache-moi

- Ventre ou seins

- Arrête.

- Tu n'as pas compris les règles du jeu.

Tout en disant ça, elle fit à nouveau claquer la ceinture sur les cuisses déjà bien marquées. Cette fois, la jeune fille cria moins, se mettant à pleurer.

- Ventre ou sein, insista martine

Sophie se rendit compte qu'elle devrait y passer, espérant juste que la femme la libère tout de suite.

- Ventre, dit elle dans un sanglot.

- Bien, je ne veux pas t'entendre crier, prends ça comme un challenge.

Sophie venait de goûter a plusieurs reprises du cuir et était étonnée de sa faiblesse. Jamais elle ne se serait crue aussi faible et elle eut honte d'elle. Elle qui avait songé s'offrir a une de ces soirées, criait au moindre coup. Lorsqu'elle vit le bras de la femme partir, elle retint sa respiration et durci son ventre. Le claquement fut puissant car martine tapa le plus fort possible, cinglant son ventre au niveau du nombril. Cela fit horriblement mal mais vu qu'elle s'y était préparée, elle réussit à garder le silence malgré l'envie de hurler qui l'avait envahie.

- Bien, tu as réussie, maintenant, il ne me reste plus que tes seins.

Sophie n'en revenait pas d'avoir résistée et surtout, de ne pas avoir pousser le moindre gémissement. Elle avait eut mal mais d'avoir pu se maîtriser lui donner envie de réessayer malgré la souffrance.

Voyant qu'elle ne disait rien, martine insista

- Est tu prête pour le prochain coup au niveau de ta poitrine ou préfère tu me supplier que j'arrête

- Vas y, frappe, demanda sophie qui savait qu'elle allait le regretter aussitôt, a moins que la femme ne renonce à aller aussi loin.

Lorsque le cuir mordit ses adorables seins, la jeune femme crut qu'elle allait tourner de l'œil. Elle retint de justesse un cri qui allait lui échapper, ne voulant plus paraître pour une faible aux yeux de sa tortionnaire.

Finalement, elle parvenait à amadouer la souffrance et eut une certaine satisfaction en prenant sur elle la douleur qui était pourtant plus intense que lors du premier coup sur ses cuisses. Voyant que la jeune femme était restée silencieuse, elle se dit qu'ils avaient fait un grand pas dans le dressage et par pur plaisir, redonna un coup de ceinture sur la poitrine, visant de telle façon que la lanière morde bien les tétons bien dressés de la jeune femme. Ce dernier coup surpris sophie qui avait relâché ses défenses. Elle poussa un petit cri qu'elle stoppa rapidement.

Etrangement, plus elle recevait des coups, plus elle prenait un certain plaisir à résister et démontrer sa force de caractère. Certes, elle n'aimait pas la douleur, elle prenait juste du plaisir à se dépasser.

Martine posa sa ceinture sur le lit et admira le corps écartelé. Les zébrures causées par le cuir rendaient le corps superbe de la jeune femme encore plus désirable. Malgré son mutisme, elle pouvait voir qu'elle avait souffert car par expérience elle savait qu'un coup porté sur une poitrine faisait abominablement mal. Elle s'assit sur le lit et se pencha sur la jeune fille. Cette dernière poussa un gémissement lorsqu'elle posa sa langue sur son téton marqué par le cuir. Sophie n'avait plus envie d'être détachée surtout en constatant qu'elle aimait vraiment être à la merci de cette femme cruelle. Cette dernière lapa le téton avant de s'attarder sur les zébrures. Elle les lécha une par une, soulageant sophie qui soufrait malgré son silence. Une ceinture était autrement plus douloureuse qu'un simple fouet et bien utilisé cela pouvait être très dangereux.

Tout en la léchant, elle infiltra ses doigts entre ses cuisses maintenues écartées et constata que la jeune fille mouillait. Elle se mit à la caresser ce qui fit gémir la jeune femme qui aima vraiment cela. Martine adorait avoir cette sensation de puissance en pouvant ainsi tout faire à ce corps attaché. Elle était à sa merci et avait tous les droits. Elle pouvait être douce comme être la pire des tortionnaires. Elle avait adorait fouetter ce corps splendide et le voir se tordre de douleur. Surtout que là, elle était un peu jalouse de la beauté de la jeune fille tout en étant attirée par ce corps parfait.

Tout en continuant à lui massait le clitoris, elle cessa de la lécher pour lui mordre un téton. A la crispation du corps, elle comprit que cela lui faisait mal mais sophie ne poussa aucun cri, ce qui excita d'avantage martine qui mordit plus fort le petit bout de chair.

Sophie se mordit la lèvre pour ne pas gémir ce qui incita l'autre femme a y aller franco, se mettant à mâcher le téton. Elle lui faisait très mal tout en continuant à la masturber. La jeune femme se demanda comment elle avait pu vouloir abandonner peu de temps avant alors que maintenant elle appréciait vraiment d'être ainsi offerte.