Piège Au Shooting Photo

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu as vraiment un corps fait pour la baise, montres moi ou es ta chambre.

Sophie prit ces paroles pour un compliment et ne dis pas un mot, se contentant de l'emmener à sa couche. Inconsciemment, elle aimait assez d'être ainsi commandée, et elle s'allongea sur le lit alors que l'homme se déshabilla. Elle n'était plus la même, se rendant compte qu'elle allait coucher pour du fric. Pourtant, elle écarta naturellement les cuisses, attendant que l'homme vienne s'y placer pour la prendre sans état d'âme.

Le photographe ne fit pas dans la dentelle. La fille l'excitait tellement qu'il n'y eut aucun préliminaire. Il s'allongea sur elle et la pénétra aussitôt. Il fut satisfait de constater qu'elle mouillait, preuve qu'ils avaient choisi le bon numéro. Sophie poussa des gémissements de plaisirs, se laissant complètement aller. Elle s'était découvert un penchant pour le sexe qu'elle ignorait, elle, qui n'avait jamais été heureuse en amour. Trop belle, elle intimidait les hommes et les quelques aventures qu'elle avait eut n'avaient jamais été bien loin. Finalement, pour prendre son pied elle n'était pas obligée de tomber amoureuse et cela lui faisait voir la vie d'une façon nouvelle. Le photographe ne lui plaisait pas pourtant elle jouissait comme jamais. Ce dernier éjacula rapidement ce qui frustra un peu la fille qui aurait bien aimé se faire baiser un peu plus longtemps. L'homme s'en rendit compte et lui dit

- Si tu aime faire l'amour longtemps et qu'un homme ne te suffit pas il y a une solution.

La fille fut gênée car elle ne voulait pas mettre les compétences sexuelles de l'homme en cause

- Non, c'était très bien...

- Ne mens pas, je ne suis pas vexé, certaines femmes ont besoin de plus de sexe que d'autre et un seul homme ne leur suffit pas

Sophie allait protester tout en étant troublée par les paroles de l'homme. Et si il avait raison?

- C'est quoi cette solution?

- Il y a des soirées ou des femmes peuvent faire l'amour avec plein d'hommes

- Des partouzes?

- Pas vraiment. Parfois il n'y a qu'une femme qui subit des tas d'assauts, tous différents.

- Une seule femme?

- Oui, une femme qui n'a pas froid aux yeux.

- C'est bizarre votre truc, je ne pense pas que ce soit pour moi.

- Comme vous voulez.

L'homme resta sur le dos alors que sophie pensait à ce que venait de lui dire l'homme.

- Vous dites qu'il s'agit de soirées? redemanda elle

Elle ne vit pas l'homme sourire, sachant qu'il avait presque gagné.

- Des soirées ou des gens très fortunés viennent assister à des scènes de sexes ou une jeune et jolie femme fait l'objet de toutes les attentions.

- Ces soirées sont nombreuses?

- Hélas non. Très peu de femmes ont le courage de s'offrir ainsi.

- Et qu'est ce qu'ils lui font?

- Un peu tout.

- Ils peuvent lui faire mal?

- Seulement si elle est volontaire. Par contre, une fois la soirée commencée, elle doit aller au bout quitte à être forcée.

La jeune fille n'en croyait pas ses oreilles. Ca paraissait sauvage et immoral, pourtant, cela l'intriguait. Elle resta un moment silencieuse, n'osant plus poser de questions. Comme l'homme restait sur le dos, elle bougea histoire d'amener sa bouche au niveau du membre mou et l'enfourna avec gourmandise. L'homme se dit qu'ils avaient vraiment trouvé l'oiseau rare et ne bougea pas alors qu'elle se mit à lui tailler une pipe, cherchant à le refaire bander alors qu'il venait juste d'éjaculer. Les propos de l'homme l'avait excitée et elle en redemandait. Elle avait vraiment changé car elle était devenu accroc du sexe. Elle réussit à faire durcir le membre et lorsqu'elle l'estima assez gros, elle arrêta sa fellation pour grimper telle une cavalière sur le photographe sans s'être auparavant empalée sur la queue. L'homme fut surpris par la façon dont elle le chevaucha, le faisant avec hargne tout en gémissant de bonheur. Elle prenait vraiment son pied et avait vraiment besoin de se faire bourrer le minou. Elle était splendide car même ainsi, il s'en dégageait une féminité doublée d'une certaine sauvagerie qui ne pourrait qu'emballer les futurs clients si ils réussissaient à la faire participer à quelques soirées.

ls pourraient toujours la kidnapper et la donner en pâture contre son gré à quelques cinglés lors d'une soirée. Ils l'avaient déjà fait mais la fille ne pouvait servir qu'une seule fois car ils l'achevaient souvent le soir même.

Avec une volontaire, ils pourraient y aller progressivement et faire des choses plus subtiles. Surtout que les millionnaires qui assistaient à leur soirée payaient toujours plus cher lorsqu'ils assistaient a un acte de courage de la part de la fille même si il n'y avait pas la même barbarie que pour une fille emmenée contre son gré. Cette fille était prometteuse mais ça n'était pas encore gagné. Il allait falloir l'éduquer un peu plus et lui faire connaître progressivement les possibilités que son corps pouvait offrir. Tout en pensant ça, il se rendit compte d' »un coup que l'orgasme arrivait et il se cambra tout en éjaculant de nouveau. Sophie s'immobilisa et laissa les jets de spermes inonder son vagin. Elle ne se décida à bouger que lorsqu'elle sentit la queue en elle ramollir et quitta alors sa monture pour s'allonger à coté de l'homme

- Ces filles qui viennent à vos soirées, qu'est ce qu'on leur fait.

Décidément, il l'avait vraiment bien ferré

- Pleins de choses... répondit il

- Elle se font baiser par plusieurs hommes à la fois?

- Ca arrive

- Elles se font sodomiser?

- Ca arrive

- Elles se font violenter?

- Ca arrive

La fille était curieuse et l'homme vague, ce qui fait qu'un jeu venait de naître entre eux. Sophie lui disait ce qui lui passer par la tête et l'acquiescement du photographe à chaque question l'excitait de plus en plus.

- Supposons que je participe à une de ces soirées, je serais attachée?

- Possible

- Fouettée?

- Possible

- Vous êtes pas très bavard

- Ces soirées permettent aux gens d'assouvir leurs fantasmes

- Et jamais il n'y a de filles blessées?

L'homme parut gêné par cette question. Il se dit que si il disait la vérité il risquait de la perdre aussi répondit il.

- Rarement, du moins gravement...

- Mais ça arrive?

- Il peut y avoir des accidents en traversant la route ou faisant cuire une casserole d'eau.

L'homme réfléchit quelques secondes pui rajouta

- Personne n'est à l'abri d'un accident mais on s'arrête toujours avant que ça n'aille trop loin.

Sophie ne savait plus quoi penser. Elle aurait bien assistée à une soirée en tant que spectattrice mais n'osait pas demander car elle connaissait la réponse.

- Les filles sont payées?

Enfin, la fille posait la bonne question.

- Normalement non, elles sont volontaires pour assouvir leurs fantasmes ou parce qu'elle aiment être offertes. Mais parfois, on peut payer une femme très chère si on n'a pas de volontaires. Par contre, elles doivent se plier à toutes nos exigences et se donner à 100 %

- Des prostituées?

- Non, des femmes tout simplement. Mais offrir son corps sans rien en échange et bien plus beau encore.

Sophie n'en revenait pas. Elle était loin de s'imaginer que ce genre de chose pouvait exister et pire, qu'elle en soit mêler de loin ou de près.

- Si un jour tu as envie de mieux te connaître et t'offrir à des inconnus, tu peux me contacter à tout moment. Mais si tu veux le faire pour de l'argent, il n'y a pas de problème...

- Vous avez dit que les femmes payées morflaient plus

- Normal, les gens en veulent pour leur argent et les filles qui s'offrent contre des sous sont mal vues donc...

- Donc ils s'acharnent sur elles...

Sophie était toute retournée. Non pas qu'elle était outrée mais qu'au contraire elle aurait bien essayée de s'offrir. Mais il lui manquait le courage de se proposer.

Le photographe était aux anges. Jamais encore une aussi belle femme n'avait été offerte lors d'une soirée, surtout de son plein gré. Il quitta le lit et s'habilla en silence, laissant la jeune femme réfléchir. Juste avant de la quitter, il lui dit

- Demain soir, je fais une séance de photos pour un catalogue porno. Si ça t'intéresse, passe-moi un coup de téléphone avant demain midi.

- Quelle genre de photos

- Une femme, deux hommes et des poses sans tabous

L'homme n'attendit pas de réponse, quittant la maison de la fille rapidement. Si elle lui téléphonait, c'est qu'ils ne s'étaient pas trompés.

La fille resta allongée encore un moment. Elle se caressa un peu, se demandant se qu'on pouvait ressentir en faisant l'amour avec deux hommes. Elle avait envie d'accepter la séance mais hésitait par mauvaise conscience. Elle ne voulait pas être cataloguée comme salope ou pute mais il avait raison en disant qu'elle aimait le sexe et qu'un homme n'était peut être pas suffisant.

Toute la journée elle pensa à la proposition de l'homme pour le lendemain, mais surtout, elle était obsédée par les soirées dont il avait parlé. Là, elle ne savait pas grand chose et cela l'énervait. Le soir venu, elle avait pris sa décision, elle téléphonerait au photographe le lendemain pour savoir combien la séance serait payée. Elle prendrait sa décision à ce moment.

Le lendemain matin, elle n'attendit pas midi pour appeler. Elle fut un peu paniquée en se rendant compte que personne ne répondait et c'est là qu'elle se rendit compte qu'elle avait envie d'y participer. Lorsqu'à la troisième tentative, elle réussit enfin à l'avoir, elle fut soulagée mais essaya de ne pas le montrer au téléphone

- Bonjour, c'est sophie. Je vous appelle pour la séance photo de ce soir

- Vous venez?

- Je voulais savoir combien c'était payé

- Mille euros

- Mille euros? mais c'est moins payer que jusqu'à présent.

- Au contraire, pour ce genre de photos c'est très bien payé. Si je comprends bien vous n'êtes pas intéressée

- Si, s'écria t'elle, essayant vite de se reprendre demandant l'heure.

L'homme sourit en constatant qu'elle était accroc et que même moins payée, elle ne se dérobait pas

- Vingt heures, ne soyez pas en retard.

- Pas de problème.

Une fois l'appareil raccroché, elle mangea un petit peu puis se décida à se préparer. Elle se fit couler un bain dans lequel elle resta très longtemps puis passa une bonne partie de l'après midi à s'épiler, que ce soit les jambes, les aisselles et même le sexe qu'elle laissa aussi lisse qu'à sa naissance.

Elle se fit les ongles et se parfuma pour finir. Elle avait passé tout l'après midi nue et aurait bien été à la séance ainsi. Mais elle allait devoir s'habiller pour ne pas choquer les gens qu'elle risquait de croiser sur la route.

Lorsqu'elle sonna à la porte du studio, elle était aussi énervée qu'à un premier rendez vous. C'est vrai que pour elle c'était une première. Elle allait s'offrir à deux hommes et ce, sous l'objectif du photographe. C'est d'ailleurs ce dernier qui vint lui ouvrir et c'est alors qu'elle prit une résolution.

Elle voulait l'impressionner et ferait tout ce qu'on lui demandera durant cette séance. Elle voulait se tester et montrer qu'elle aussi pouvait être courageuse. Elle suivit l'homme jusque dans le studio ou trônait toujours l'énorme lit et eut un petit serrement au cœur en découvrant le monde qui s'y trouvait. Sur le lit, il y avait déjà Bruno, nu, qui attendait tranquillement alors que le deuxième homme l'impressionna vraiment. Il s'agissait d'un noir vraiment très musclé dont le sexe énorme était presque inhumain.

Autour du lit, une dizaine de personnes œuvrées et malgré sa résolution, sophie faillit renoncer.

- Je te présente les propriétaires de la revue, dit le photographe à la fille en la présentant à un couple d'une quarantaine d'année.

Ils la saluèrent froidement, la jaugeant comme ils le feraient avec n'importe quelle marchandise.

- Il y a un petit changement de programme. Pour que cela soit plus spontané, on tirera les épreuves photos à partir du film

- Du film?

- Oui, tu seras filmée pour que cela fasse naturel, mais tu peux refuser si tu ne t'en crois pas capable.

-

La fille parut vexée par les propos de l'homme. Ca n'était pas une peureuse aussi essaya t'elle de dire le plus naturellement possible.

- Pas de problème. C'est pour ça qu'il y a autant de monde.

- Oui, c'est une équipe de tournage. Maintenant déshabille toi et rejoint tes partenaires.

Ca devenait sérieux. Tous ces gens qui allaient la regarder se faire prendre par ces deux hommes la paniquait. Mais pour elle c'était un challenge et en étant filmée, il n'y aura pas de temps mort, elle devra vraiment se donner sans arrière pensée.

Elle se déshabilla lentement, essayant de ne pas penser à tous ces gens qui la fixaient. Alors qu'elle retirait sa culotte, elle croisa le regard de la femme et eut froid dans le dos. Elle la fixait avec un drôle de regard, paraissant apprécier son corps tout en paraissant avoir des idées sadiques. Une fois nue, elle alla sur le lit rejoindre ses deux partenaires de jeux alors que deux hommes avaient saisis des caméras pour filmer les ébats du trio. Un homme, qu'elle ne connaissait pas prit la parole. Sophie en conclu que ce devait être le réalisateur.

- La fille à quatre pattes. Je veux qu'elle taille une pipe à Bruno pendant que siouf la prend par derrière.

Ca y est, elle ne pouvait plus reculer. Alors que le blanc se mettait sur les genoux, sophie sut qu'il fallait y allait. Elle se mit à quatre pattes face à l'homme et approcha sa bouche du sexe déjà tendu. Elle tressaillit en sentant les grandes mains du noir la prendre par les hanches et en même temps qu'elle emprisonnait le sexe entre ses lèvres, l'énorme queue s'enfonçait dans sa chatte complètement offerte. Des applaudissements se firent alors entendre dans la pièce et des commentaires sur le corps sublimes de la jeune femme lui parvinrent à ses oreilles. Elle avait du mal à réaliser qu'elle était en train de se faire filmer avec ces deux hommes. Surtout que le noir s'enfonçait en elle en forçant pas mal, lui élargissant son petit minou et lui procurant un plaisir inouï.

Elle garda le sexe dans sa bouche sans bouger, ne commençant la fellation qu'une fois le noir entièrement enfoui en elle.

- Bien, suces le lentement, montre que tu aimes ça.

Petit à petit, sophie se prenait au jeu, oubliant les gens autour d'elle pour ne se consacrer qu'aux deux hommes et bien obéir au réalisateur. Docile, elle se donnait à cent pour cent, se cambrant pour mieux s'offrir au noir et s'appliquant pour faire une fellation comme jamais elle n'en avait fait.

- Stop, fit le réalisateur, Bruno, tu t'allonges sur le dos, La fille, tu le chevauche à l'envers en t'enculant sur sa queue avant de t'allonger à son tour sur lui en prenant soin de bien écarter les cuisses.Siouf, une fois la fille bien positionnée tu lui prends la chatte. Je veux une double pénétration et je veux l'entendre gémir.

Sophie, docile, libéra le sexe de Bruno alors que le noir la lima encore un peu, attendant que l'homme soit sur le dos. Il se retira de la fille pour la laisser se positionner à son tour. Elle allait de plus en plus loin et n'avait pas envie d'arrêter. Elle ne savait pas que tous étaient en train de lui faire passer un test car elle était tellement obsédée de bien faire qu'elle ne voyait rien autour d'elle. Elle ne fint nullement la douleur lorsqu'elle s'empala sur le sexe de Bruno, s'enculant lentement sous l'œil de la caméra. Tous regardaient avec envie cette superbe jeune femme se positionnait comme le désirait la réalisateur, ne cherchant même pas à discuter de la posture désirée. Millimètre par millimètre, elle glissa sur la colonne de chair et, lorsque cette dernière fut enfoncée à fond dans son cul, elle s'allongea sur l'homme qui en profita pour lui saisir les seins. Lentement, elle fit passer ses jambes à l'extérieur de celle de Bruno, offrant ainsi sa chatte au noir qui n'avait plus qu'a finir le boulot.

Sophie était fière d'elle car elle ne reculait pas devant les demandes du réalisateur. Son cul lui faisait un peu mal mais elle l'oublia lorsque le noir vint s'allonger sur elle, la prenant en sandwich. Il y avait une caméra de chaque coté du lit qui prenait son corps sous tous les angles. Elle sentit un frisson la parcourir et ne put s'empêcher de pousser un long râle de plaisir lorsque l'énorme queue s'enfonça dans son sexe. De sentir les deux membres enfouis en elle la mettait dans tous ses états. Surtout que les deux hommes commencèrent a s'agiter, la limant en même temps. Même si Bruno était le plus mal placé, il devait avoir l'habitude de ces positions car il parvenait à faire des vas et viens, même si ils étaient moins amples que ceux du noir qui se régalait en la limant sans retenue.

- Moins vite, siouf, prends ton temps, disait le réalisateur.

- Elle est trop bonne, répondait le noir avec une voie essoufflée.

Pourtant, il réussit à calmer la cadence, se calquant sur le blanc qui allait beaucoup moins vite. Sophie ne feignait pas et poussait des râles en continu tant c'était intense. Tout en la prenant par les deux trous, les mains de Bruno, malgré siouf par dessus, lui malaxés ses deux seins toujours emprisonnés. Elle subissait la double pénétration sans bouger, n'espérant qu'une chose, que cela ne cesse pas.

- Lorsque tu es sur le point d'éjaculer, tu te retire de son sexe et tu te finis sur son visage.

- Oui, répondit le noir.

- Quand à toi, Bruno, tu cesses tes vas et viens pour ne pas jouir trop vite...

- sophie, lorsque siouf envoie la purée, tu ouvres la bouche et tu ne bouges surtout pas.

La fille entendit et comprit ce que voulait le réalisateur mais elle était incapable de répondre. Surtout que ce dernier avait accéléré, trop excité pour temporiser. Sophie adorait cette sensation d'abandon, de n'être qu'un corps offert qui servait à donner du plaisir. Les jambes écartées, elle se laissait posséder par deux hommes bien montés, ce que peu de femmes pouvaient se vanter d'avoir vécu.

D'un seul coup, le noir se retira du sexe de la fille et passa par dessus les cuisses pour positionner son sexe prés du visage de la fille. Cette dernière sut immédiatement ce que cela voulait dire et ouvrit en grand la bouche alors que le noir se finissait à la main. Un caméraman s'était rapproche pour bien filmer le visage de la fille et la bite du noir. Lorsque ce dernier poussa un cri, un premier jet vint s'écraser sur le joue, puis le nez avant d'éclabousser une lèvre. Cela était chaud et puissant et le sperme entra finalement dans la bouche ou de longs jets vinrent la remplir.

- ne bouge surtout pas sophie, toi Bruno, lâche lui les seins et prends lui les mains pour lui maintenir les bras écartés.

L'homme obéit alors que le noir finissait de se déversait sur le visage de la fille, ne cherchant plus a viser la bouche. Elle sentait la semence chaude un peu partout sur sa face mais se contenta de déglutir et de n'avaler que celle se trouvant dans sa bouche.

- Bien, siouf tu peux quitter le lit pour récupérer un peu. Je veux des gros plans de la fille.

Alors qu'elle avait bras et jambes écartées et surtout le sexe de Bruno profondément enfoncé dans son cul, les deux caméramans s'en donnaient à cœur joie en la filmant sous tous les angles. C'est alors que la femme vint s'asseoir sur le bord du lit sans que personne ne lui dise rien.

- Tu es très belle dit elle à voix basse.

C'est alors qu'elle approcha son visage de celui de sophie et que sans que personne n'intervienne, elle se mit à lui lécher la joue, la débarrassant de son sperme. Une fois cela fait alors que la jeune fille avait gardée la bouche entrouverte, elle lui lapa le nez et remonta jusqu'au front, la nettoyant lentement avant de redescendre et de lui lécher les lèvres. Sophie n'était pas lesbienne mais de se faire ainsi pourlécher était génial. Surtout que la femme avait glissée une main entre ses cuisses écartées et que ses doigts s'étaient enfoncées dans ses chairs pour la masturber devant l'objectif.