Nu à l'hôpital (02)

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Je me retrouve nu, baladé dans un hôpital.
1.7k mots
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Partie 2 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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A nouveau nu et en érection, dans cette petite cabine, je reprends mes esprits. Mon cerveau va à du cent à l'heure. Je me dis que ce n'est plus possible. Il faut que je trouve une solution! Impossible de me retrouver plus longtemps exposé ainsi aux yeux de tous! ...

Soudain, j'entends frapper à la porte. Je suis tétanisé. Je continue à penser : Et si on voulait me sortir de là? Et si je devais libérer la cabine? Et si je ne savais plus d'endroit où me cacher? Et si ... J'entends alors tambouriner à la porte. Je suis pétrifié. Je ne bouge pas, comme si, en me faisant discret, j'allais pouvoir éviter l'inévitable. J'entends alors « Monsieur, vous êtes là? ». Je reconnais la voix de l'infirmière qui m'avait accompagné dans tout l'hôpital. Une main sur mon sexe, j'entrouvre la porte, décidé à lui dire que cette situation ne peut plus durer.

Toutefois, à peine l'ai-je entrouvert qu'elle saisit la poignée et dans un geste violent, l'ouvre entièrement. Elle s'esclame ensuite « Mais, vous êtes encore nu!? ». Sa voix retentissante, toute la salle d'attente se retourne vers moi. Timidement, je tente de répéter ce texte que j'avais préparé, mais j'arrive tout au plus à bafouiller qu'on n'a rien pu me donner pour me couvrir. Sitôt, elle me saisit le poignet libérant ainsi mon sexe devenu visible à tous les patients attentifs à nos échanges. Elle me dit alors « Ce n'est pas grave. On a vu le médecin, vous pouvez vous rhabiller et rentrer chez vous ».

Voyant mon interrogation à voir ses mains vides, elle tire mon poignet tentant de me faire avancer, tout en me disant qu'il fallait aller récupérer mes vêtements, là où on les avait laissés. Cette annonce me provoqua une bouffée d'adrénaline qui me réveilla de ma torpeur. Je résiste alors à sa tentative de me sortir de ma cabine et lui dit, avec des sanglots dans la voix : « Non! Je ne veux plus être vu comme ça par tout le monde. Je ne veux pas traverser l'hôpital, nu, encore une fois! ». L'infirmière lâche mon poignet que je remets aussitôt sur mon sexe. Elle me dit « Ok. Je comprends » et s'en va.

Je referme la porte de la cabine, tout en laissant un entrebâillement, curieux d'un potentiel retour de l'infirmière. Deux minutes plus tard, elle revient, rouvrant la porte avec la même violence que la première fois. Elle me tend une blouse de médecin : « Voilà, ça devrait convenir pour aller en bas ... mais il faudra la rendre. Normalement, on n'a pas le droit ».

Je me jette sur cette blouse et l'enfile à toute vitesse, comme s'il s'agissait de ma vie. Je sors de la cabine et suis l'infirmière qui me reconduit jusqu'au bureau où mes vêtements m'attendent. Certes, je suis toujours dévisagé et je vois bien qu'on réalise que je suis nu sous cette blouse. Toutefois, après mes différentes épreuves, je ne m'en soucie guerre.

Arrivé devant le bureau fermé, l'infirmière entrouvre la porte et fait visiblement un signe à la secrétaire. Elle referme la porte, en me disant « Elle est au téléphone. Il faudra encore patienter un peu et elle vous accueillera ». Elle me sourit, en disant : « c'est bientôt fini ... ».

Alors que je fixe cette porte, obsédé par son ouverture et ma chance de salut, je sens l'infirmière passer dans mon dos et ses bras glisser vers l'avant. D'un geste brusque, elle arrache les boutons à pression et tire le tissu vers elle. Sentant mon vêtement s'enlever, j'ai à peine le temps de dire « Mais euh... » qu'elle m'interrompt : « Je dois retourner travailler et rendre la blouse. Ne vous inquiétez pas. Personne ne passe par ici et vous aurez bientôt l'occasion de vous rhabiller ». Je ne trouve pas quoi répondre. J'aurais voulu protester mais comment? Je me sens de nouveau exposé et je n'ai pas forcément envie que la secrétaire me voit nu à nouveau ... mais avant que je trouve mes mots, la voici déjà partie.

La porte du bureau s'ouvre enfin. La secrétaire semble surprise de me voir, à nouveau, nu. Sitôt son visage en face du mien, je m'exclame « Mes vêtements!? ». Elle me répond « Ah ... euh ... mais je ne les ai plus. On les a envoyés aux admissions ... A l'heure qu'il est, ils doivent être arrivés au service de chirurgie... ». Comme si elle avait rempli sa mission, elle se retourne vers son bureau. Sentant les larmes montées à nouveau, je dis, confus : «Mais, je sais pas où c'est... Je peux pas y aller nu ... C'est pas possible ... Faites quelque chose ». Prenant un air perplexe, elle finit par me répondre « Hum. Je ne peux pas beaucoup vous aider ... Mais si vous voulez, j'ai des documents à leur amener. Je vous emmène par les couloirs de service. Vous ne croiserez pas grand monde et ceux que vous croiserez doivent être habitués à voir des gens nus ».

A peine ai-je le temps d'emmagasiner sa proposition qu'elle me lance une caisse à papier dans les bras, en me disant « Vous allez m'aider à porter cela ». Elle ferme alors la porte de son bureau à clé et commence à avancer d'un pas décidé. Je la suis machinalement, essayant de positionner la caisse de façon à cacher mon sexe. Peine perdue. La caisse est si lourde que je n'arrive pas à la maintenir les bras tendus. Après différentes tentatives, je me résigne, maintenant la caisse contre mon ventre, mon sexe ballottant de gauche à droit au rythme de la marche soutenue.

Honteux et croisant des personnes en uniforme, je garde le regard baissé. Je vois cependant des pieds qui s'arrêtent sur mon passage et sent les regards posés sur mon corps. Je continue à avancer, surpris par les silences. Je n'entends personne questionner la secrétaire, ni elle donner d'explications. J'en viens même à me demander si tout le monde n'est pas déjà au courant.

Nous prenons un ascenseur de service qui heureusement est vide et arrivons au service d'hospitalisation en chirurgie. Je relève brièvement la tête et voit quelques patients, en promenade, surpris. Par chance, le passage est rapide grâce à la marche rapide de la secrétaire. Nous arrivons dans le bureau des infirmières. Celles-ci semblent tout aussi surprises qu'amusées. La secrétaire me débarrasse de la caisse, la pose sur une table et s'adresse à l'équipe : « Monsieur a eu des petits soucis et est à la recherche de ses vêtements. Je lui laisse vous expliquer. Je dois retourner travailler ».

Je vois toute l'équipe me fixer, me regardant des pieds à la tête, semblant curieuse d'écouter mon récit. Stressé, je commence à tout raconter, avec un débit de parole incroyablement rapide. Quand, je finis mon récit, une infirmière me prend par l'épaule et me dit « Calmez-vous. Ca va aller. Vous voulez un petit café? Allez, asseyez-vous ». Elle m'emmène vers une chaise et me sert un café. Je lui demande alors si je ne peux pas avoir une blouse ou quelque chose pour me couvrir. Une autre infirmière, assise à côté de moi, pose la main sur ma cuisse, envoyant une décharge dans mon pénis. Elle me répond en me disant « Ce n'est pas nécessaire. Vous êtes un beau jeune homme. Vous n'avez pas à avoir de complexes... et puis, on a l'habitude ».

L'ambiance est bienveillante, les regards et sourires sont rassurants. Les infirmières semblent vouloir me mettre à l'aise, et je ne ressens pas le besoin d'insister. Pendant quelques minutes, elles discutent avec moi, me rassurent, plaisantent. J'en oublie presque ma nudité.

Toutefois, très vite, un sentiment de malaise réapparait. Je capte le regard glaçant d'une infirmière en bout de table. C'est une femme d'une quarantaine d'année, petite et un peu boulotte, l'air et le visage sévère. Elle me fixe de trois quarts, ne disant pas un mot, ne participant pas aux échanges. La façon dont elle me regarde est glaçante mais indescriptible. Quelque chose qui se partage entre le mépris et la colère, quelque chose de pesant et planant.

Après quelques minutes où elle reste dans cette position, l'une des infirmières dit « Ce n'est pas tout ça, mais nous avons du travail ... Quelqu'un peut aller voir où sont ses vêtements? ». L'infirmière antipathique prononce alors ses premiers mots sur un ton très sec « J'y vais ». Je ne saurais dire pourquoi mais sa conduite me glace le sang. Elle se lève et part. D'autres suivent son mouvement et partent dans d'autres directions. Je me retrouve quelques instants avec deux infirmières. Ma voisine est toujours là. Elle repose la main sur ma cuisse comme pour me rassurer sur le fait que ça soit bientôt fini. Elle me caresse ensuite la cuisse, et je sens mon sexe réagir. Je me tétanise, ce qu'elle semble ressentir puisqu'elle retire aussitôt sa main. Malgré cela, le mal est fait, je n'ose regarder mais je sens bien que mon sexe a grossi.

L'infirmière antipathique revint en disant « Je n'ai rien trouvé! ». Ma voisine reposant la main sur ma cuisse dit « Tes vêtements doivent être en chemin. Ne t'inquiète pas. Tu peux attendre ici. Ca ne devrait plus être long ». Prenant appui sur ma cuisse, elle se lève et part à son tour, suivi par la seconde. Cette dernière se tourne vers l'infirmière antipathique et lui dit « Tu ne viens pas? ». Elle répond « Non. Nous avons des stagiaires qui doivent arriver. Je les attends ». Je reste donc seul avec elle, mal à l'aise. L'impression d'être comme un enfant qui a fait une bêtise et qui attend sa punition ou du moins qui espère se faire oublier. Les secondes me paraissent longues. Elle reste en silence, passant dans mon dos, et moi n'osant bouger d'un cil.

Finalement, je la sens s'arrêter dans mon dos. Je vois, du coin de l'œil, son visage passer à proximité du mien, son regard semblant être dirigé vers mon sexe. D'une voix très calme et très sèche, elle me dit « Il se pourrait que je puisse vous rendre vos vêtements... ». Cette annonce me glace le sang, le personnage me glace le sang. Je suis pétrifié. Un long silence s'installe. Restant dans la même position, elle reprend « Vous pourrez les récupérer mais il faudra me rendre un service ». Un long silence s'installe à nouveau et elle me lance « A vous de faire les bons choix ».

Je ne saisis pas tout, je ne vois pas où elle veut en venir mais je ne suis pas sûr de vouloir savoir. Son attitude et ses mots me glacent le sang.

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4 Commentaires
SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

La suite vient de sortir dans la catégorie "Non consentement"

Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Entierement d’accord avec Aurailiens. Il est temps qu’il subisse ce qu’il refuse encore d’admettre. La soumission totale de sa personne ......

SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

Spoiler de la partie 3 : Oui, l'infirmière déploie son jeu ;-)

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Toujours aussi excitant. Je suis partagé... J'aime ce côté réaliste, ordinaire mais j'ai envie que les choses maintenant aillent doucement vers une perversité assumée... et je crois qu'on y arrive !?

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