Nu à l'hôpital (01)

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Je me retrouve nu, baladé dans un hôpital.
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Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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J'ai 28 ans. Grand, mince, je suis plutôt un garçon normal et sans histoire. Autant dire que l'histoire qui m'est arrivé m'a plus que bouleversé.

Nous sommes lundi, il est 15h et je ressens une douleur dans le bas du dos, depuis le matin. Voyant, une masse apparaitre, je décide d'aller aux urgences de l'hôpital le plus proche. Arrivé sur place et après avoir été examiné, on m'annonce que je vais devoir subir une petite opération chirurgicale en ambulatoire. On m'emmène donc vers un box de chirurgie. Sur place, les assistants me demande de baisser un peu mon pantalon et de soulever mon polo pour dégager la zone. Le chirurgien arrive. Il saisit ses instruments, puis marque un temps d'hésitation. Il me dit « Vous êtes habillé tout en blanc ». Effectivement, tous mes vêtements étaient de ton blanc, y compris les sous-vêtements. Il m'explique alors qu'il va utiliser de la bétadine et qu'il serait dommage de tâcher mes vêtements. Il me recommande de tout enlever avant d'opérer. Machinalement, je m'exécute, remettant mes vêtements à une infirmière qui les range dans un sac plastique.

L'opération est assez rapide et semble assez bénigne. Pourtant, j'entends le médecin dire qu'il serait plus prudent de faire une échographie. L'équipe sort du box, me laissant nu sur le ventre, et ne prenant pas la peine de fermer la porte. Je me retourne en quête de mes vêtements mais impossible de retrouver le fameux sac plastique. N'osant bouger, j'entends les gens passés devant la porte, et je sens les regards posés sur moi. Au bout de quelques minutes, et ne voyant personne revenir, je me décide à me lever pour fermer cette porte. A peine ai-je saisi le poignée de la porte, que je tombe nez-à-nez avec un médecin et deux jeunes femmes, suivi d'un brancardier et d'un patient. D'un ton autoritaire, il me dit « Qu'est-ce que vous faites là, seul? ». Mon absence de vêtements ne semble pas l'étonner. Je lui explique donc que je viens de me faire opérer et que ceux qui m'ont soigné sont partis en parlant d'une écho. Agacé, il me dit « Nous avons besoin du box. Si vous avez été soigné, veuillez sortir et attendre dans le couloir ». Je panique et lui signale que je suis nu, que mes vêtements ont disparu et que je ne peux pas sortir ainsi. Il me saisit alors le bras, en me tirant hors du box, et en me disant « Monsieur. Vous êtes dans un service des urgences. Nous ne pouvons pas nous permettre de bloquer un box. Voyez une infirmière pour votre souci ». L'équipe rentre et je reste bête, nu dans un couloir bondé. Paniqué, devant trouver quelqu'un, ne trouvant pas mes repères, mon esprit ne fait qu'un tour. Aller chercher quelqu'un qui ne court pas, où et comment? Je me vois mal déambuler nu dans les couloirs d'un hôpital.

Retrouvant finalement mes esprits et voyant les regards posés sur moi, je mets immédiatement les mains sur mon sexe, et commence à interpeler le personnel, en tentant d'expliquer ma situation. Après plusieurs médecins me disant d'aller voir une infirmière, une infirmière vient finalement à ma rencontre. Sans doute quelqu'un l'aura-t-elle prévenu de ma situation. Un peu autoritaire, elle me demande comment j'ai pu finir nu dans le couloir. Je lui explique toute l'histoire. Sitôt fini, elle me saisit le bras, dégageant ma main de mon sexe et me traine avec elle, en disant « vous ne pouvez pas rester là. Traversant trois couloirs, nu, n'ayant qu'une main pour cacher partiellement mon intimité, nous arrivons devant un bureau. Il y'a certes moins de passage dans ce couloir, mais je croise quelques patients et visiteurs qui me dévisagent. L'infirmière et la femme dans le bureau, discutent à voix basse. Je vois l'administrative le regard fixé sur moi et l'air amusé. Le ton finit par monter et j'entends quelques bribes. Il doit passer une echo [...] il faut voir avec l'echo [...] ses affaires doivent l'y attendre. L'administrative passe ensuite des coups de téléphone, et me crie : « L'infirmière arrive avec vos vêtements. Votre calvaire est bientôt fini ». Ce à quoi l'infirmière autoritaire rétorque : « Calvaire, calvaire ... ça n'a pas l'air de lui déplaire ». D'abord choqué par sa remarque, je finis par baisser discrètement le regard. Je réalise alors que pendant cette longue attente, et dans un état second, les mains qui me cachaient le sexe, ont fait des mouvements de constrictions qui m'ont déclenché un début d'érection, ayant écarté mes doigts, sans que je m'en rend compte.

Bizarrement, et sans que je comprenne le pourquoi du comment, ce constat me provoqua une montée d'adrénaline qui renforça mon érection. Essayant de déplacer mes mains pour cacher mon intimité, je me rendis compte que l'exercice était plus que difficile.

Alors que j'essayais de trouver le meilleur moyen de masquer mon érection, une infirmière arrive avec le fameux sac, tant attendu. Dans un élan de soulagement, je lui arrache quasiment le sac des mains, laissant mon érection exposée. Elle ne réagit pas, semblant surprise, soit pas ma réaction ou par ma condition. Je me débats avec le sac et parvint à l'ouvrir quand une main vient le fermer. C'est l'infirmière autoritaire qui, tenant le sac fermé, commence à s'adresser à sa collègue : « Il a été opéré, et il va remettre les vêtements avec lesquels il est venu. N'y-a-t-il pas un risque de contamination? ». Sa collègue répond d'un haussement d'épaule. Elle m'arrache alors le sac des mains, en disant « Je ne prends pas cette responsabilité, sans l'avis du chirurgien ». Elle pose alors le fameux sac dans le bureau. Je suis consterné. Je demande si je ne peux pas au moins avoir une blouse, mais elle me répond sèchement : « Nous n'en avons pas ici. Il fallait en demander une en chirurgie! ». La nouvelle infirmière réagit en me disant « Vous devez passer une écho.

On en trouvera probablement une, là-bas ». Elle commence à avancer dans le couloir et me dit « Venez!! ». Je reste fixe, tétanisé, anéanti ». Elle me prend donc le bras et me tire avec elle. Je suis le mouvement machinalement. Je suis tellement secoué, que j'en oublie même de me cacher.Je continue à me faire trainer machinalement par l'infirmière sur des dizaines de mètres, jusqu'à arriver dans un grand hall avec les différents ascenseurs. Secoué par le monde présent, je reprend mes esprits et remet les mains vers mon sexe. Je tente de dégager le bras droit, mais l'infirmière le maintient solidement. Je n'ai plus la force de protester. Les gens me regardent tous d'un air amusé ou sévère. Nous finissons par monter dans l'ascenseur. Un médecin se poste à ma gauche et s'adresse à l'infirmière en me tirant le bras « Pourquoi est-il dans cet état? ». Le geste du médecin était sans force, et pourtant je ne me sentais plus de lutter. Mon bras accompagna son mouvement, dévoilant à nouveau mon sexe, encore gonflé par ma précédente érection. Sans pudeur aucune, les occupants de l'ascenseur dirigeaient alors spontanément leur regard vers la partie libérée. L'infirmière répondit, amusée et souriante : « On l'a retrouvé nu en chirurgie. Il avait égaré ses vêtements. Nous l'emmenons chercher une blouse et passer un écho ». Le médecin reste perplexe. Heureusement, nous sortons de l'ascenseur.

Arrivé devant l'écho, l'infirmière me lâche le bras et le demande d'attendre mon tour dans la salle d'attente. Je vois cette salle pleine de monde puisqu'elle sert à tout le service d'imagerie. Je dis à l'infirmière, défaillant : « Mais euh .... Je suis nu ... ma blouse ... ». Elle rit en disant « Ah, j'avais presque oublié. Ecoutez, je vais voir si on peut pas vous faire patienter dans les cabines (vestiaires). Attendez-moi ici ». Elle rentre dans la salle d'écho, me laissant nu, devant une salle d'attente bondée qui me dévisage. Elle y reste de nombreuses minutes et finit par sortir en s'enfuyant, tout en me criant « Quand la personne sort, vous pouvez prendre sa cabine ». Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle avait déjà disparu. J'attends et finit par voir une personne sortir en me dévisageant des pieds à la tête.

Sitôt dans la cabine, je ferme le verrou et ressens un profond soulagement. Je me sens protégé. La pression retombe et une puissante érection surgit. Je n'y prête pas plus d'attention, soulagé de ne plus être exposé. J'ai presque l'envie de ne jamais sortir de cette cabine. Cependant, assez vite, trop vite pour moi, l'autre côté de la porte s'ouvre. Une jeune médecin m'accueille amusée et me dit « il ne fallait pas tout enlever! ». Surpris, repris par mon calvaire, je bagaye « Je ... je ... c'est pas moi ... ». Elle me dit : « Ne vous inquiétez pas, je suis au courant. Installez-vous sur le ventre, je vais vous faire votre échographie ». Je m'exécute. Je sens mon érection pulsé, comprimée sous mon ventre. Elle me dit, tout en m'essuyant le dos, « Je ne vois rien d'anormal, mais par précaution, on va peut-être vérifier le bas du ventre. Retournez-vous ». Je me retrouve sur le dos, en érection.

La jeune médecin semble prendre un malin plaisir à déplacer mon pénis pour laisser passer la machine, au point qu'elle finit finalement par le maintenir dans sa main. L'effet d'une main maintenant et bougeant mon sexe, ne fait que renforcer l'érection. Je me surprends même à produire un petit gémissement qui semblait beaucoup amusé le médecin. Elle finit par lâché mon pénis et me dit : « C'est bon. Il n'y a rien du tout. Vous allez pouvoir rentrer chez vous ». Je lui dis « Mais mes vêtements? Est-ce que vous avez une blouse pour ne pas sortir nu? ». Très amusée, presque moqueuse, elle me dit « Ah non, ici, les gens n'en mettent pas ou arrivent avec. Nous n'avons pas ça en stock. L'infirmière qui vous a accompagné devrait revenir ». Elle ajoute en reprenant mon pénis en main « Et puis, ça n'a pas l'air de vous déplaire plus que ça ». Elle m'accompagne alors vers la sortie. Je lui demande si je peux attendre l'infirmière en cabine. Sur un ton moqueur, elle me dit « je sais pas si ça va être possible ... » avant de finalement céder à ma demande.

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Anonymous
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5 Commentaires
SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

Attendez la suite 😉

Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Il n’est pas assez humilié à mon goût. Il faudrait qu’il soit examiné intimement comme les femmes chez leurs gynécologues.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très plaisant mais pas assez humiliant à mon goût ......

SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

C'est romancé mais certaines parties sont réellement arrivées ;-). Bientôt la suite

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Très excitant j'adore. Un pur fantasme d'exhibitionniste

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