Nu à l'hôpital (03)

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Je me retrouve nu, baladé dans un hôpital.
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Partie 3 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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Les minutes passent. Cette femme qui continue à évoluer dans mon dos me met profondément mal à l'aise. Je n'ose pas me retourner, je n'ose pas poser de questions. Je reste statique fixant le mur face à moi. Je réalise qu'elle détient le contrôle sur moi mais j'ignore ce qu'elle me veut.

Soudain, je sursaute, en l'entendant parler : "Bonjour mesdemoiselles. Je vous attendais. Aujourd'hui, vous avez de la chance dans votre stage. Il est important que vous puissiez maitriser l'art de la toilette. Il est toutefois parfois compliqué de vous superviser dans cet exercice, tout en respectant l'intimité du patient. Aujourd'hui, le jeune homme ici présent se porte volontaire pour cet exercice".

Je baisse la tête, n'osant les regarder. L'infirmière m'attrape l'épaule, enfonçant ses ongles. Elle me dit "N'est-ce pas, Monsieur, que vous êtes volontaire?". Glacé par ce jeu malsain qu'elle semble lancé, je dis "oui" timidement, sans réflechir, ni oser regarder les deux jeunes stagiaires. Elle conclut en disant "Allons-y". D'un geste de la main, elle indique la sortie du bureau aux stagiaires avant de me saisir brutalement le bras pour me faire lever. Les stagiaires sortent. Je reste immobile, tétanisé. Elle me bouscule alors comme pour montrer son agacement. J'avance, en remettant les mains sur mon sexe, mais elle me donne une claque violente sur les mains. Naturellement, comme un automate, comme sa marionnette, je pose les bras le long du corps renonçant à ma pudeur.

Nous avançons dans un couloir où les infirmières s'affairent. Certaines portes de chambres sont ouvertes et parfois des visiteurs sont présents. Je constate leur surprise, en me voyant passer ainsi. Je vois les deux stagiaires gesticuler face à moi, se disant des mots à l'oreille et semblant amusées d'être là.

Nous arrivons dans une chambre vide et je suis poussé faire la salle de main. Installé sous la douche, je me fais mouillé. L'infirmière saisit un gant de toilette et commence à détailler ses gestes qu'elle exécute sur moi : "Vous le savez. La toilette est un acte important. A plus forte raison, si elle est pré-opératoire. Il y'a un ordre à respecter. D'abord, le visage et les cheveux. N'oubliez pas les oreilles et à l'arrière des oreilles. Ensuite les bas, des mains aux aisselles. Le torse, il faut bien insister et puis le dos. Nous passons ensuite aux jambes de l'aine aux pieds. Pensez à bien écarter le pénis et les testicules pour ne pas négliger l'aine. Nous voici maintenant dans la dernière zone mais probablement la plus importante. C'est souvent ici que la toilette est négligée. Il y'a beaucoup de zones de plis et il faut tout couvrir, parfois insister. D'abord les bourses, il faut bien les soulever, les déplacer pour couvrir toute la zone. Ensuite, le pénis. Monsieur n'est pas circoncis. Vous devez donc bien veillé à couvrir toute la peau. Au niveau du frein que vous voyez ici... Regardez de plus près, vous devez être particulièrement attentives. J'ai personnellement un petit truc. Je saisis le pénis avec le gant dans sa longueur en frottant bien, insiste sur le gland. Une fois fait, je laisse le prépuce frotter contre le gland pour être sûre que le savon pénètre toutes les zones ...". A ce stade, bien qu'elle présente les choses comme un acte médical, je réalise qu'elle n'est ni plus ni moins en train de me masturber, mais je n'ose rien dire. Je tente de me concentrer pour ne pas réagir, mais je sens malgré moi, l'érection monter. Comme si cette nouvelle exposition ne suffisait pas l'infirmière continue à commenter "Là, Monsieur a une érection. Cela arrive parfois chez les jeunes hommes. Vous devez rester professionnelles et continuer la toilette, sans en tenir compte". Elle continue. Elle recommence à décrire "Cette zone est bien nettoyé. Reprenons un gant pour la dernière zone, les fesses. Encore une fois, les plis sont importants, n'hésitez pas à écarter. Il convient d'insister sur l'anus. Au besoin, forcez un peu l'entrée avec votre index. Ensuite, nous rinçons abondamment. Mesdemoiselles, je vous propose à votre tour de tenter la toilette. Nous allons nous limiter aux dernières zones qui sont les plus complexes, les deux dernières étapes. Nous allons commencer par vous!"

La première des deux stagiaires s'attaque donc au savonnage de mon intimité. Si au début, ses gestes sont timides et délicats, l'approbation de l'infirmière l'amène vite à des mouvements plus sûrs et vigoureux. Comme lui a montré son enseignante, elle insiste et n'hésite pas à pratiquer ce mouvement de masturbation, censé aider à répartir le savon. Malgré la gêne, mon érection ne faiblit pas et je commence à ressentir même une certaine excitation. Lorsqu'elle passe à la partie postérieure, je suis soulagé qu'elle délaisse la première zone, source d'une excitation que j'avais peur de ne plus pouvoir contenir.

Sitôt rincé, l'infirmière indique le tour de la deuxième stagiaire. Celle-ci semble pleine d'assurance, presque compétitive. Comme si, elle essayait de montrer son aise et de surpasser sa camarade. Ses gestes, tout sauf délicats, sur mon intimité réveilla dangereusement mon excitation. Sans que je puisse m'en rendre compte, je poussais un gémissement qui me traversa tout le corps. La stagiaire s'arrêta nette et j'entendit l'infirmière reprendre sa formation "Ca, mesdemoiselles, c'est une goutte de liquide pré-séminale. Cela arrive chez certains patients qui semblent prendre du plaisir à un acte qui ne devrait pas en donner. Quand ça arrive, vous devez rester professionnelles et continuer votre opération. Montrer que vous êtes déstabilisées ne donnerait que plus de plaisir à ce genre de pervers". Humilié par ces paroles, je baisse la tête, laissant la stagiaire terminer ma toilette. L'infirmière m'essuya ensuite vigoureusement, faisant vibrer tout mon corps.

La toilette finie, nous sortons de la salle de bain. D'un ton autoritaire, l'infirmière me dit "Attendez-moi là!" tout en indiquant le lit de la chambre. Je m'y assois, tentant de me rassurer. Je me dis que je me suis laissé faire, que j'ai fait tout ce qu'elle me demandait. Je la visualise, revenant avec mes vêtements qu'elle me rendrait. Je m'imagine, me rhabillant et rentrant tranquillement chez moi. J'en viens à me convaincre que tout est fini. Enfin!

L'infirmière revint. Je constate qu'au-dessus de son uniforme, elle a enfilé une blouse blanche. Elle me jette un regard froid et me dit "Allongez-vous", puis rentre dans la salle de bain. Je m'exécute sans réfléchir. Une fois, allongé nu, sur le dos, mon érection à peine moins forte, je m'interroge : Pourquoi est-ce que je semble obéir à tous ses caprices? Est-ce par peur du personnage? Est-ce par peur de prolonger mon calvaire?

La réflexion est vite coupée par son retour. Je constate qu'elle a de toute évidence enlever son pantalon qui ne dépasse plus de la blouse. Elle s'approche du lit, active le mécanisme pour baisser le lit au plus bas. Elle place ensuite sa main droite à hauteur de mon pénis et commence à lui donner des petites claques, tout en me disant "Je vous avais demandé de jouer le jeu. Mais comme tous les hommes dans votre genre, il vous est visiblement impossible de vous contrôler".

Arrêtant ses gestes qui alimentaient mon érection, elle se tût. Dans un geste qui me stupéfie tant qu'il parait improbable et déplacé, elle enjambe mon corps et s'assoie sur mon bassin. Sans un mot, elle saisit mon sexe et l'insère dans son vagin dissimulé, avant de faire des mouvements saccadés avec son corps. J'en suis stupéfait : comment est-ce que ça a pu dérapé ainsi? Regardant son visage, j'étais troublé. Elle ne semblait pas montré d'émotions ou de plaisir. Ses gestes n'accompagnaient pas son visage, toujours aussi dur.

Au bout de plusieurs va-et-vient, je commence à gémir ce qui la pousse sitôt à interrompre son mouvement de va-et-vient. Elle me pinça alors violent le flanc, en me disant "Vous avez intérêt à vous contenir!". Aussitôt, elle reprit ses mouvements.

Plus apeuré qu'excité, je n'en sens pas moins le plaisir monter et au bord de l'extase interdite, je me mis à paniquer. Tentant de demander une pause mais tétanisé par cette femme, je pris la parole haletant : "Stop... Je ... je ...". Elle s'arrête alors net, l'air en colère. Elle se retire et saisit mon pénis qu'elle se mit à masturber à toute allure. L'orgasme est atteint en cinq secondes à peine. Toutefois, elle ne semble pas y faire attention, maintenant le rythme. Elle ajoute au geste une forme de sermon "Les hommes comme vous me dégoute. Vous vous sentez tout puissant et ne pensez qu'à votre propre plaisir. Vous voyez les femmes comme des objets et ...". Au moment où elle prononce sa dernière phrase, la masturbation qu'elle continuait à m'asséner vigoureusement après l'orgasme me fit tressaillir de douleur. Dans un geste réflexe, je repousse sa main, la forçant à lâcher mon pénis endoloris.

Ce geste effectué, elle s'interrompit tant de parler de pratiquer une quelconque geste sur moi. Elle me lança un regard plein de colère et de mépris, retourna s'habiller dans la salle de bain et disparu de la chambre...

Après cette désapprobation de sa part, mes espoirs sont vains. Je réalise bien qu'il y'a peu de chance que mon calvaire s'arrête ici.

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Anonymous
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3 Commentaires
SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

Ne compatis pas trop. Il est loin d'être au bout de ses peines 😆

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Je compatis tellement avec ce jeune homme que j'en éprouve les même réactions...

J'espère que ce n'est pas fini !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

C'est toujours aussi bien ! Vivement la suite !

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