Mutinerie au Congo, Chapitre 05

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Armand Kayumba, quarante-cinq ans, se délecte des seins de Charlotte pendant qu'il sent l'étroitesse de sa virginité brisée; ses gros seins, qu'il avait toujours vus sagement cachés sous ses bourgeoises tenues de lycéenne, lui sont à présent offerts dans leur générosité secouée des spasmes du désir enfin satisfait. Et là, Armand lâche un grand juron en lingala et balance toute sa sauce, enfin!

Les Verchères ne sont pas le seul ménage blanc à avoir droits aux hommages de la soldatesque en goguette. Des dizaines de femmes et de jeunes filles européennes sont violées en réunion, un peu partout dans la campagne entre Thysville, Matadi et la capitale Léopoldville, par cette nuit fraîche du 11 au 12 juillet 1960.

À l'aube, les jeunes nègres du village sont toujours en train d'humilier les filles Verchères et de violer quelques-unes des autres filles du quartier blanc après avoir grossi en nombre et s'être répandus dans d'autres maisons. La plupart des Blancs ont couru se réfugier dans le lycée, mais les moins chanceux ont le déplaisir, et le plaisir affreux, d'assister au viol de leurs épouses et de leurs filles. Une grand-mère déguste elle aussi.

« Tu es moins fière maintenant, hein? Espèce de salope! » crie Armand Kayumba à une jeune fille épuisée, aux yeux à demi clos, qu'on tient à genoux devant lui. C'est Maude Bonenfant, une autre fille du voisinage. Armand est tellement ivre de joie qu'il ne sait pas trop si elle est blonde ou brune, et après tout, il s'en fout.

Il se masturbe frénétiquement, tâchant de tirer quelque chose de sa bite épuisée par les deux viols qu'il vient de commettre. L'adrénaline du moment aidant, il y arrive enfin et la jeune fille reçoit deux traits gorgés de vengeance qui viennent napper ses jolis seins de pucelle blonde. D'autres Congolais suivent son exemple, et c'est une douche de sperme en règle que la « sale petite gourgandine » reçoit sur ses seins, précédemment mis à nus par l'arrachement du petit pyjama qu'elle portait la veille en allant se coucher dans son lit de fille vierge.

Les Congolais du village se déchaînent sur les filles du petit quartier blanc tandis que le soleil fait briller le jour de plus en plus haut. Il ne faut pas grand-chose pour rompre le fil de la civilisation. Demain sera un autre jour, mais demain, c'est déjà là et l'on ne sait pas quoi en faire. Dans le doute, ça continue de grogner malgré l'épuisement post-festif.

Mais soudain, c'est la panique!

Des camions kaki arrivent, chargés de parachutistes belges. Les soldats quadrillent le village et regroupent rapidement les coupables pendant que d'autres prodiguent les premiers soins aux filles violées. Les mutins venus de Camp Hardy sont déjà loin; ils rigolent en rentrant chez eux se faire engueuler par leurs femmes et copines congolaises. Plus tard, le colonel Bobozo leur passera un savon en disant que c'est par miracle qu'aucun d'entre eux n'a été fait prisonnier.

Des médecins et infirmières belges sont dépêchés sur les lieux, mais avant que tout ce beau monde arrive, le capitaine en colère a le temps de faire aligner une quinzaine de villageois congolais sur un grand mur blanc appartenant au magasin général. Sans procès, il les fait fusiller. Armand Kayumba et son fils Nestor sont du nombre.

Les dernières pensées d'Armand sont pour le magnifique cul de Jeannine Verchères, et Nestor songe à la prodigieuse éjaculation dont il a bourré Jeannine, puis Charlotte; les balles belges fauchent le père et le fils tandis qu'un soldat des Ardennes les recommande à Dieu; il s'improvise aumônier pour ne pas trop froisser sa conscience.

Pendant qu'au siège des Nations Unies, à New-York, le représentant du royaume de Belgique échangera des invectives et du fiel avec son homologue congolais, on assistera à une belle réciprocité sur le terrain. Dans ce village dont la tranquillité vient d'être troublée tragiquement, les soldats belges remettront de l'ordre.

Une nouvelle compagnie arrivera, avec un major grisonnant, qui fera comprendre aux familles congolaises que la politesse peut aller dans les deux sens. La veuve d'Armand Kayumba, à qui l'on viendra de remettre les corps sans vie de son mari et de son fils, subira des viols répétés, elle et ses filles, aux mains d'une dizaine de paras belges, fraîchement débarqués de Bruxelles et désireux de découvrir la chaleur des tropiques par un soir pourtant frais.

Deux infirmières belges sorties fumer sous le ciel étoilé du soir, amies depuis leur enfance, apprendront trop tard que le major grisonnant et ses vétérans buveurs de cervoise peuvent aussi violer des Blanches quand c'est possible.

************************

Revenons au matin de ce mardi 12 juillet, à Camp Hardy.

Le colonel Bobozo n'a rien su de toute cette folle équipée nocturne; c'est parce qu'il était allé dormir près de Juliette. Le gros nègre de quarante-cinq ans s'est endormi la face dans ses doux cheveux noirs en lui tenant tendrement les seins, couché contre elle en levrette. Sa femme n'est pas contente.

Le matin venu, il pilonne Juliette avec son érection du matin. Il la prend en levrette en lui caressant les seins, tandis qu'elle le reçoit à quatre pattes en gémissant de plaisir obligé. Juliette est certaine que plus aucun Blanc ne voudra jamais d'elle. Elle pleure en songeant à sa petite sœur. Ailleurs dans la maison, ses anciennes profs de musique et de français sont en train elles aussi de gémir et haleter aux mains de mutins ayant bien dormi.

Juliette jouit puissamment des coups de boutoir du gros colonel nègre, qui bientôt hurle son orgasme de gorille en lui laissant un gros paquet de crème tropicale. D'autres mutins sont là, nus avec leur érection matinale.

Juliette subit pareillement les hommages d'un grand soldat de première classe, Fabrice «le Baobab», surnommé ainsi pour la taille et la largeur impressionnantes de son artillerie. Elle jouit dans une honte plaintive, puis crie son plaisir quand tout explose, tandis qu'il la pilonne tel un vrai gorille alpha et il lui donne toute la chaleur conquérante de son sperme épais. Il trouve Juliette encore plus étroite que la femme du colonel blanc.

Deux maisons plus loin, Anne LeBlanc et Lucie de Vos sont dans la même chambre, celle d'Anne. Elles se font embrocher par huit ou dix mutins en grande forme matinale, pendant que Béatrice LeBlanc est obligée de faire à déjeuner pour tout le monde avec les seins nus.

Le quartier blanc se réveille à Camp Hardy.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Toujours aussi bien hâte de voir la suite

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a environ 1 an

Toujours aussi bon cette histoire, et cette Charlotte à gros seins…

Je me suis identifiée à elle

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