Mutinerie au Congo, Chapitre 05

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Le papa Verchères pleure comme un enfant, son membre pourtant en érection, quand il voit la troupe pétrir les seins des filles -- amples et généreux pour Charlotte, modestes et fermes pour Jeannine -- et faire main-basse sur leurs deux touffes luxuriantes en s'émerveillant du blanc satiné de leurs cuisses de demoiselles comme il faut. Le lieutenant se rince l'œil, bandé comme un étalon noir. Dieu que c'est bon, de déshabiller ces filles en pyjama!

Brune, Charlotte a les mamelons assez bruns au milieu de larges aréoles qui couronnent des seins de taille respectable, que lui envie sa sœur, châtaine, et dont la chatte triangulaire est d'un brun chaleureux, moins foncé que le buisson touffu de Charlotte.

Le lieutenant, qui s'amuse des sanglots étouffés du père, choisit la petite châtaine et use de son privilège de grade pour se poster entre les deux jambes lisses de Jeannine, que quatre hommes au regard amusé maintiennent sans peine par les chevilles et les poignets. Le caporal-chef fait de même pour Charlotte, qui bientôt hurle d'une douleur suraiguë tandis que le brutal caporal la pénètre sans aucun préliminaire et pulvérise sa virginité.

S'estimant plus raffiné, le lieutenant admire le joli minois de la petite châtaine en panique, et note la joliesse de ses cheveux mi-longs qu'elle secoue en belles vagues ondulées dans ses sanglots et ses supplications, puis il se baisse et porte son visage contre le triangle intime de sa chatte brune, qu'il embrasse avec une joie indicible : il pose ses grosses lèvres de Congolais sur le sexe d'une Blanche, dont la chaleur et l'odeur l'emplit d'une suavité inimaginable. Ah, ça va être bon de violer cette fille-là!

Pendant que la troupe s'amuse des gros nichons de Charlotte, qui hurle sa cuisante douleur sous les puissants coups de bélier du féroce caporal, qui la déflore en haletant et râlant comme un marathonien en fin de course, le sous-lieutenant Nkongolo se met à lécher les grandes lèvres et les petites lèvres du sexe de Jeannine, qui crie à tout rompre en poussant une grande ruade contenue par la poigne collective des mutins. Elle crie et se lamente, honteuse de sentir son sexe qui se mouille et ses seins qui enflent sous l'effet de cette langue de nègre...

« AAAAAAHH! NON! NON! ARRÊTEZ ÇA! ARRÊTEZ ÇA! NOOOOOHHOON... AAAAAA NAAAOOON... »

Le papa voit Jeannine, près d'où il est assis, Jeannine qui crie et se tortille d'un plaisir croissant tandis qu'elle reçoit le cunnilingus et que Charlotte se fait violer juste à côté. Les cris, hurlements, rires et quolibets sont assourdissants pendant que papa est en forte érection, le regard fixé sur les mouvements amples et désordonnés des nichons de Charlotte, parfois aussi sur les petits seins de Jeannine, des seins fermes qui disparaissent sans cesse sous les mains congolaises qui pressent et pétrissent sa pâte de jeune fille blanche; et le sous-lieutenant continue de savourer le goût de levure belge de son entrejambe.

La fascination des nègres est si forte qu'elle transpire de leurs mains, de leurs bouches, et communique l'excitation aux seins et à l'abdomen de Jeannine, qui devient folle en sentant cette chaude marée de mains noires lui parcourir le torse, et ses seins tout sensibles, pendant que l'officier lui broute la touffe. Elle panique! Elle sait qu'elle va jouir! Elle sait qu'elle va jouir encore plus fort parce que papa est juste là, et il la regarde.

Le caporal-chef triomphant dans son extase, rugit à tout rompre en remplissant Charlotte de sa semence, Charlotte qui pleure à chaudes larmes, pendant que Jeannine tourne la tête à droite et aperçoit... le gros pénis bandé de son père, sorti raide de la fente de son pyjama tandis qu'il est assis tout près, pieds et poings liés à la chaise coloniale. Malgré lui, il regarde sa fille Jeannine se faire violer par les Congolais, et l'humiliation mouvante de ses seins nus.

Elle jouit! Jeannine Verchères jouit à grands cris aigus; elle jouit dans les bras des soldats congolais. Son jus de chatte arrose la bouche et le menton du sous-lieutenant, qui se lève debout, sort sa bite et entre en elle. Et vingt secondes plus tard, toute secouée sous les coups furieux du lieutenant, Jeannine jouit de nouveau, encore plus fort -- à cris encore plus aigus -- sous le feu nourri des rires congolais, les soldats faisant cercle dans la cuisine, tandis que Charlotte est prise par un autre caporal, le caporal Bukasa, plus jeune celui-là, et que la marée noire de mains n'arrête pas de lui frotter les seins. Les Congolais s'amusent ferme. Quelle aubaine, ces filles!

Maman est violée dans le salon après avoir été rapidement dépouillée de sa robe de chambre; elle ne portait rien en dessous. Elle s'est retrouvée pressée entre les trois jeunes nègres, les seins léchés et sucés par Louis et Théo, et son magnifique cul blanc parcouru par les mains et la bouche licheuse de Patrice. Tout en braillant et en criant le nom de ses filles, dont elle entend les cris stridents provenant de la cuisine, la Blanche sent sa chatte se mouiller malgré elle sous l'effet de ces bouches, de ces mains chaleureuses, les mutins devenant affectueux et torrides dans leurs attentions sans cesse renouvelées.

Bientôt, la maman Verchères est étendue sur le tapis du salon, en train de gémir de honte et de plaisir forcé sous les fringantes secousses de Patrice, dont elle sent la toute jeune étreinte; il est à peine plus âgé que ses filles. À Patrice succédera Louis, puis Théo, dont la large bite joufflue la surprendra et la contraindra à pousser de puissants cris de jouissance qui parviendront aux oreilles de son mari et alourdiront d'autant son humiliation.

Dans la cuisine, le sous-lieutenant Nkongolo s'en donne à cœur-joie; il viole la fille châtaine avec délice, et lui demande comment elle s'appelle tout en l'embrochant de sa puissante verge. La jeune fille, haletante sous le plaisir et l'opprobre, est tout excitée, sans s'en rendre compte, par les regards de son papa; elle répond machinalement, « Jeann... ine... » pendant que ses petits seins gonflés continuent de battre la mesure de son viol, sa virginité anéantie par la bite de l'officier qui l'africanise profondément.

À présent, sous les encouragements de ses hommes, il lui presse les seins et sent les doux mamelons pointer gentiment contre ses paumes; il lui envoie deux rudes coups de bélier, les derniers d'une longue succession, et lui balance son chargement de sperme en lui hurlant son délice au visage. « AAAAHHRHRR... C'est bon de, hhrr, violer les petites, s... salopes blanches! »

« Toi et ta Belgique, vous l'avez bien cherché, sale petite chipie! » ajoute-t-il en retirant sa verge toute dégoulinante de sa victoire mêlée des jus de sa défaite à elle.

Ensuite vient un autre soldat, le soldat Khonde, le serrurier de tout à l'heure, âgé d'une quarantaine d'années, et qui a une fille à lui du même âge qu'elle. Il a honte, mais c'est trop délicieux. Il la fourre, pendant qu'un autre soldat viole la sœur aux gros nichons.

Pour oublier sa honte, le soldat et père d'une jeune se met à injurier Jeanine pendant qu'il la prend en lui tenant fermement les cuisses contre ses flancs...

« Aahh! Sale petite garce! Tiens! Tiens! Tiens! Prends ça, petite garce! Pute à nègres! C'est à ça que tu sers à présent... Juste bonne à prendre les bites de nègres! Han! Han! Haaa, ça, c'est de la vraie bonne petite putain de Belgique... Elle a les vrais tétons, d'une hrrr, salope blanche... De la crème fraîche, ses p... p'tits nichons! De la vraie petite pâte de huhh, fille à pétrir! »

Bientôt, l'homme ne parle plus et conclut le viol en grognant comme un sanglier. Jeannine pleure en recevant ses puissants jets; Dieu fasse qu'elle ne tombe pas enceinte! Un bébé brun l'achèverait.

Étendues sur la table, le dos sur les ruines déchirées de leurs pyjamas d'adolescentes, les deux sœurs regardent le plafond de leurs yeux sans vie pendant que se succèdent les viols, les grognements et les injures, ponctués de leurs halètements et de leurs gémissements. C'est toute la troupe qui leur passe dessus.

De petites flaques de sperme écoulé se forment entre leurs jambes; Charlotte a saigné quand elle s'est fait déflorer, mais pas Jeannine. Un soldat a sorti des bières belges du frigo. Sur l'étiquette, une jolie fille belge aux cheveux blonds est assise, bouteille à la main; désormais habitués de voir une Blanche nue, les mutins mettent un temps avant de se rendre compte que cette fille dessinée porte un maillot de bain, mais elle est assise en tailleur et ses jolis petits pieds sont magnifiques. La fille de la réclame personnifie bien la puissance coloniale déchue.

Jeannine sent le froid sur ses seins et l'odeur houblonnée quand on l'asperge de bière en riant. Ses pieds sont pris d'assaut par le sous-lieutenant Nkongolo, qui lui suce les orteils et savoure cette délicatesse salée au parfum concentré de lycéenne.

Charlotte se fait malaxer les gros nichons; un soldat qui se masturbait lâche un long râle accompagné de traits de semence qui tracent des lignes bien droites et cochonnes sur les seins de Charlotte, qui se fait ensuite retourner par un soldat lui ayant saisi les jambes; l'homme la tire à lui et la plaque contre la table, face en bas, avant de lui embrasser le cul, dont il admire l'amplitude des courbes; puis, il lui saisit la taille et la pénètre de sa seconde érection. C'est le caporal-chef Mpanga qui la viole de nouveau, cette fois en levrette.

« Riche idée, caporal! » fait le sous-lieutenant Nkongolo, qui était toujours à savourer les petits pieds de Jeannine tandis que d'autres soldats léchaient la bière répandue sur ses seins. La jeune fille est bientôt retournée à son tour; les restes de son pyjama lui sont retirés, et on l'agenouille toute nue sur une chaise à coussin, la face plaquée contre la table et son beau petit cul en parfaite position pour rendre les mutins fous d'elle pendant que son père pleure en sentant la raideur de son érection aussi insoutenable qu'immorale.

« Allons, Mademoiselle Beau-Cul, avoue que tu en meurs d'envie! » lui lance le sous-lieutenant tout souriant tandis qu'il lui tapote les fesses de sa bite gorgée d'un nouvel accès de folie, nourrie par la vue de son cul d'adolescente, ferme et d'un blanc richement lacté, dont les courbes fascinantes se poursuivent gracieusement le long de ses jambes de gamine. La fine barre de son cul descend en bas et offre une vue plongeante sur le revers de sa chatte, tandis que ses cheveux châtains descendent sur son dos, formant de douces vagues éclairées d'un brun noisette sur le blanc de ses petites épaules.

« Allez, la Blanche! Dis-le que tu adores te faire baiser par les soldats congolais! Dis-le, sinon tu vas voir ton père se prendre une balle dans la tête! Dis-le! Dis-le! » tonne le lieutenant, usant soudainement d'un ton méchant...

« S'il vous plaît... Non... arrêtez... J'en peux plus... » gémit la fille entre ses geignements redoublés, mais le lieutenant n'en démord pas. Pendant qu'il continue de lui tapoter le cul de sa bite bien durcie, pendant que le caporal-chef balance sa sauce dans Charlotte en poussant un rugissement bienheureux, il ordonne encore et encore à Jeannine de dire combien elle adore la grosse bite congolaise, que c'est sa raison de vivre.

Surmontant l'humiliation écrasante, la jeune fille balbutie... « J'ad... J'adore. Les bites. »

« Plus fort et plus clair, ma petite pouliche des Ardennes. Tu adores quoi? »

« J'adore... J'adore me faire défoncer par les soldats congolais! Je trouve, je trouve leurs bites bien chaudes et grosses... Aahhhh... S'il vous plaît... Allez-vous-en! »

Le papa, toujours ligoté à sa chaise, ressent une énorme excitation quand il entend Jeannine dire « par les soldats congolais » et tout ça pendant que Charlotte continue de se faire emboutir en levrette, la face glissant sur la table dans un va-et-vient qui répond à celui des coups de bélier qu'elle reçoit au plus profond de sa chatte. Elle fait la joie d'un autre nègre, puis du suivant.

Jeannine elle-même ressent son sexe frémir d'une excitation sauvage lorsqu'elle s'entend dire qu'elle adore se faire défoncer par les Congolais avec leurs bites chaudes et grosses.

Le sous-lieutenant Nkongolo la pénètre sans crier gare et la secoue comme un prunier sous un barrage de très furieux coups de boutoir; elle gémit haut et fort, son petit corps de fille tout agité de ce débordement de fureur virile. Le viol est brutal, cru et arrache de profonds râles aux deux êtres qui font ainsi la bête à deux dos, le Congolais avec la jeune Belge; le nègre révolté avec la fille du Blanc.

Le sous-lieutenant Nkongolo tient convulsivement sa taille fine et souple tandis qu'il la viole comme un forcené avec un long filet de bave s'écoulant de sa bouche entrouverte; il contemple son magnifique cul de jeune fille et ses cheveux d'un châtain soyeux, tout secoués sous l'empire du viol sauvage qui abolit tout; il n'y a plus de loi, ni plus rien qui protège les jeunes filles de la furie des mutins...

Arrivant au point suprême, le sous-lieutenant Nkongolo s'excite dans une bruyante litanie de joie triomphante qui fait honneur à la beauté des Européennes...

« Ah oui... OUI! OUI! AHH C'EST BON! ON S'EST RÉVOLTÉS! ON A GAGNÉ! OUI... OUI, ON A GAGNÉ! ON A GAGNÉ... ET LÀ... ET LÀ... ON VIOLE LEURS FILLES! AAAHH, LEURS FILLES... AVEC LEURS SEINS TOUT BLANCS, LEUR CUL TOUT BLANC... AAAHHH C'EST BON! OUI! C'EST BON!... AAH, AAAHH, AAAAAAHHH, AAAAAAAAHH, AAAH! OUI! ON LES VIOLE! ON LES VIOLE! ON LES VIOLE... ON VIOLE LEURS BELLES PETITES ÉTUDIANTES...

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH... LES PETITES ÉTUDIANTES!!! AAAHHH... C'EST TROP BON! NNNYYAAAAAARRRHHH... NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNGGGHHH!!! »

Dans ce puissant concert de sons inarticulés, le sous-lieutenant Nkongolo lance quatre puissants jets de sperme pendant que Jeannine, l'étudiante, gémit en jouissant intensément, toute pleine de semence congolaise et s'entendant encore dire qu'elle adore se faire défoncer par les soldats congolais. Elle trouve que ces lascars ne font pas les choses à moitié. Elle est violée et bien violée.

Le sous-lieutenant Nkongolo sort d'elle, tout haletant. Il n'en revient pas de cette intensité qui lui coupe bras et jambes. Quel cul! Non mais, quel cul! C'est ainsi qu'il rêvait de violer une Blanche, et c'est ainsi qu'il a violé Laurence Desjoncs en après-midi. Et demain, demain il ira violer Anne LeBlanc ou la petite Lucie De Vos. Le lieutenant aime les filles menues aux airs de jolie adolescente. Il y en a dans l'ex-Congo belge.

En attendant, le lieutenant boit une bière bien méritée, la dernière, qu'on lui a gardée au frais, et il admire le spectacle pendant que ses hommes, du moins les deux tiers, violent les filles une seconde fois, en levrette.

Soumises à cet incessant barrage de coups redoublés, les pauvres filles se demandent si le déluge de sperme va bientôt finir par cesser. Dans le salon, la maman trouve que ses trois amants d'une nuit sont aussi jeunes qu'infatigables; ils finissent par la convaincre de sucer leurs queues, et elle se fait récompenser par de chauds torrents de crème africaine au visage et sur ses seins, pleins et bien formés, qui se situent à mi-chemin entre la grâce menue de Jeannine et les généreux nichons de Charlotte.

Enfin, quand tout est fini et que les deux sœurs ne savent même plus où elles sont, l'horreur sans nom arrive et surpasse toutes les autres.

« Je suis sûr que le papa a envie de monter sa fille pour qu'elle sente comme sa bite est chaude et raide! » fait le lieutenant d'un ton qui n'admet pas de réplique.

On ordonne d'emmener la mère dans la cuisine pour qu'elle puisse jouir du spectacle pendant qu'on soulage le père de ses liens. Il s'est pissé dessus en sent l'urine à plein nez, mais il s'en fout. Ses yeux fous sont remplis par la vue complète du cul de sa fille la plus proche; le cul de Jeannine, qu'il empoigne de ses mains, sans parvenir à contenir la voracité de son désir fou, forcé de surgir à la surface de son visage, sous les regards fascinés des mutins.

« Jérôme! Jérôme! »

Les cris et les pleurs de maman font rire les soldats. Charlotte éprouve une sorte de jalousie dégueulasse en voyant son papa saisir le cul de sa grande sœur plutôt que le sien.

Jeannine gémit d'un gloussement de honte mêlé d'une sorte de plaisir fasciné quand elle reçoit son père en elle, sous les cris et les hurlements de sa mère qui enterre les sifflements fatigués des Congolais.

« Pardon... Pardon, mon petit trésor... Pardon! Oohh... Oohh... Pardon ma petite pouliche... » se lamente le père en sanglots pendant qu'il viole sa fille, qui gémit doucement en sentant la bite paternelle frotter ses parois vaginales, tout ça pendant que maman traite papa de sale fumier et de verrat abject.

Car le papa lâche de chauds grognements qui trahissent toute l'étendue de son plaisir coupable. Ses mains courent sur les fesses de sa fille tandis qu'il la pilonne de plus en plus fort, en haletant et en contemplant cette nudité qu'il désirait au plus noir de ses secrets. Jeannine ouvre grand la bouche, et pousse une salve de geignements suraigus en jouissant très fort sous les yeux horrifiés de sa mère, puis papa lâche un long râle guttural et conclut la sordide affaire... Sa verge palpitante prend possession de tout son être...

Papa jouit à gros traits épais dans sa fille.

« Aaahhh... Aaaahhh... Aaahh, non! Pardon... Pardon, ma belle petite Jeannine... Tu sais que papa t'aime... »

Papa est tombé à genoux, foudroyé par son plaisir immoral, il pose le front contre la croupe satinée de sa fille, sous les rires gras des soldats, et caresse doucement ses jolies fesses d'adolescente, sans se rendre compte qu'il est maintenant en train de lui couvrir le cul de chauds baisers paternels sous les applaudissements nourris des mutins, qui à présent se rhabillent. La Force publique a frappé au plus profond.

« Bon! On vous laisse en famille! Et merci de nous avoir prêté vos deux filles. C'était vraiment chouette! » leur crie le sous-lieutenant Nkongolo en ricanant avec ses hommes.

« Tiens! Voilà ton joujou! » ajoute-t-il en laissant le vieux tromblon sur la table souillée de sperme congolais.

Une fois la vingtaine de violeurs partis, toute la famille éclate en sanglots et la maman martèle les épaules de son mari comme une folle en braillant comme une hystérique.

« Mes filles! Mes deux belles grandes filles! Aaaahhhaaaahhaaaahhhaa... aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... AAAAAAAAA HHAAAA AAAA AAAAAA HHAAaaaaaaa... RRRrraaaaaahh-aaaaaaaa aaaaaa aaaaaaaaaaaa... »

Mais d'autres ombres au visage profondément chocolaté viennent d'envahir la maison des Verchères. Armand Kayumba et son fils Nestor, avec une poignée d'autres hommes du quartier noir, font leur entrée en scène. Les panthères parties, les hyènes viennent chercher leur pâture.

Les deux filles accueillent les nouveaux-venus d'un regard presque indifférent et chargé d'un lourd silence; quelques viols de plus ne changeront pas grand-chose dans cette horreur infinie. La mère crie convulsivement pendant que le père est roué de coups à l'aide du vieux tromblon dont on s'est saisi.

Madame Verchères est humiliée dans la cuisine par deux jeunes hommes qu'elle connaît depuis toujours. Elle est violée de nouveau, sur la table à la place de ses filles, tandis qu'elle entend les autres grogner et hurler d'un plaisir sauvagement satisfait en passant sur ses filles, qu'ils ont transportées dans leur chambre pour les violer plus à l'aise dans leurs lits respectifs.

Les lits aux draps blancs grincent pendant que Nestor et son père prennent leur plaisir dans ces jeunes filles blanches qui avaient l'habitude de toujours passer sans les voir.

« Tiens! Tiens... Sale petite snobinarde! Tiens, petite salope! Han! Han! Ça t'apprendra! » crie Nestor à la douce Jeannine, qui subit ses coups vengeurs en se laissant porter par les secousses, le corps tout mou, les yeux indifférents, regardant le plafond gris dans la nuit qui touche bientôt au point du jour.