Brigitte et Les Migrants

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Ma femme est un vide-couilles
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Nous nous sommes mariés il y a bientôt 40 ans, et à cette époque j'étais déjà cocu depuis 3 ans, c'est-à-dire depuis que j'ai rencontré celle qui allait devenir mon épouse chérie. Quelques jours après notre rencontre, elle m'a raconté comment elle avait été dépucelée : un quasi-viol, à même la terre, dans un bois envahi d'ordures. Peu de temps après, je connaissais tous les mecs qui l'avaient saillie, saillie étant l'expression qui convient car elle se faisait monter comme une jument, de préférence par des étalons de toute couleur et toute nationalité.

C'est d'ailleurs ce qui m'avait séduit chez elle, et j'adorais, j'adore toujours, assister aux "séances" que nous organisons depuis toujours. Je suis toujours excité de la voir sous plusieurs hommes en même temps, et si je ne participe pas directement je suis à quelques centimètres de l'orgie. Elle me regarde sans rien dire, pendant que deux ou trois mâles gorgés de testostérone la besognent sans aucun ménagement. Je lis dans le regard de ma tendre moitié le plaisir qu'elle éprouve à être prise comme une chèvre et à être copieusement insultée, traitée de ce qu'elle est.

Depuis quelques années, l'augmentation de la communication sur la crise des migrants a eu sur notre couple un effet que certains qualifieraient de dévastateur, mais que ma chérie est moi prenons comme un don du ciel. Il y a longtemps de cela, alors que nous étions mariés depuis une dizaine d'années, je décidai un jour de l'emmener visiter un camp de migrants à quelques kilomètres de chez nous. À cette époque, c'étaient essentiellement des hommes d'un âge bien mûr qui arrivaient des pays de l'ex-bloc communiste, de la Yougoslavie à l'Ukraine en passant par la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Belarus, la Biélorussie etc. La plupart étaient de solides et rudes bûcherons, pour qui les femmes n'étaient qu'un lot de trous dans lesquels ils se purgeaient les testicules lorsque la pression à l'intérieur était trop forte.

La première fois, je l'ai laissée tout l'après-midi dans une cabane de chantier squattée, dans laquelle se trouvait pour tout mobilier un matelas qui avait dû faire tous les foyers et squats de la banlieue nord de Paris depuis des décennies. Mon épouse a toujours eu horreur des préservatifs, et je dois dire que cette première fois m'a paru très longue. Pas pour elle, en revanche, puisque quand je l'ai récupérée, vers 19 heures, une dizaine de messieurs faisaient encore la queue, et d'après ce qu'elle m'a dit en rentrant, une bonne trentaine était venue se soulager dans ses divers orifices. Elle était encore souriante, malgré le sperme séché qui la recouvrait intégralement, de la pointe des cheveux aux ongles des orteils. La première chose qu'elle m'a dite dans la voiture, c'est "Quand me ramènes-tu ici?"

Le week-end suivant, nous avons fait presque 200 kilomètres pour aller sur une ZAD où une centaine de zonards et de SDF montait la garde autour d'un dépôt d'ordures que la préfecture voulait évacuer pour construire une centrale nucléaire. Nous y sommes restés deux jours, et mon petit amour a servi de vide-couilles sur les tas de déchets et de gravats de toutes sortes. Les salopards la pilonnaient à la chaîne dans tous les trous, à même le sol, sur des parpaings, des barres de fer ou des tas d'ordures ménagères en état de putréfaction, et tout ça évidemment sans capote. Elle était aux anges.......

Depuis le début des années 2020, les migrants d'Afrique et du moyen orient ont largement submergé en nombre ceux des pays de l'Est. Inutile de dire que nous avons voulu, mon épouse chérie et moi, tester ce nouveau cheptel et nous n'avons pas été déçus. Combien de fois l'ai-je livrée à une cinquantaine de jeunes blacks privés de femmes depuis des mois?

Le spectacle est captivant. Certains sont tout jeunes, 18 ans à peine, et les plus vieux ont passé le cap de la soixantaine depuis longtemps. Tous sont armés de sexes monstrueux, de toutes les formes et les dimensions. Il est arrivé que mon épouse, pourtant habituée depuis longtemps à être ravagée, hésite à encaisser ce qui lui est présenté. Mais sa soif de plaisir est telle qu'elle franchit à chaque fois les limites qu'elle croyait avoir atteint. Je suis alors aux premières loges pour voir ce qui ressemble à une corrida : les premiers plantent des banderilles, de plus en plus grosses et dévastatrices. Viennent ensuite les gros calibres, qui travaillent la bête pour l'assouplir et l'élargir. Enfin, les matadors, dotés d'épées indescriptibles, viennent achever la fragile blondinette dont l'abdomen enfle sous les coups du Priape qui veut l'éventrer. Je suis alors tétanisé sur ma chaise, mon sexe endolori dans mes mains pleines d'ampoules.

à suivre...

cocuavie
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3 Commentaires
swing76swing76il y a 30 jours

Ce récit pourrait être bien plus excitant avec davantage de détails et puis... on attend la suite !

AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Au moins c'est une bonne idée de répandre des maladies sexuelles dans les camps de migrants ça leur apprendras à venir dans des pays où ils ne sont pas désirés lol

AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Je suis curieux de lire la suite, je l’avoue. J’aimerais beaucoup avoir un peu plus de détails sur ces orgies et surtout le point de vue de l’épouse pendant cette débauche de sexe

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