Mutinerie au Congo, Chapitre 05

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Les mutins se répandent dans la campagne.
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Anne LeBlanc, sosie de l'actrice Ann Blyth, pleure parce que son père vient de la tromper avec Véronique. Les nègres se mettent en devoir de la consoler avec la chaleur de leurs bites qui se pressent autour d'elle. Le beau petit corps d'Anne va finir sous une épaisse couche de sperme congolais, au son des tam-tams. C'est le sort réservé aux plus belles Blanches de Camp Hardy en ce fatidique soir du 11 juillet 1960. Les années cinquante sont finies.

C'est sans compter les épouses des soldats congolais, qui finissent par venir nombreuses dans le quartier blanc pour venir invectiver les Blanches d'une voix rageuse, car elles sont jalouses de leurs beaux mâles et détestent voir les salopes blanches « prendre du bon temps » avec leurs maris, leurs frères ou leur père.

Elles viennent pincer les mamelons des Lucie, Nadine et Anne et compagnie, les engueulent et les frappent du poing. Il faut beaucoup de temps et d'efforts pour les refouler, et la plupart des hommes mariés sont au regret de devoir rentrer sagement dans leur résidence. Les jeunes étalons restent maîtres du quartier blanc; chacun va se coucher près d'une fille. Il y a assez de jeunes hommes chez les mutins pour « satisfaire » toutes les petites demoiselles, qui vont toutes dormir chacune dans les bras d'au moins deux jeunes amoureux, dont elles auront droit aux faveurs viriles le matin venu.

Certains mutins font l'arithmétique simple dans leur tête : seulement quarante filles blanches avec leurs mères pour trois mille soldats, c'est un peu mince. Il faut aller en trouver des fraîches ailleurs.

Des jeeps et des camions démarrent et s'élancent sur les routes de campagne. Le but de la mission est jugé suffisant pour justifier la dépense en essence. Beaucoup de maris parmi les mutins se glissent en douce hors de chez eux et se joignent à cette virée, qu'ils ne rateraient pour rien au monde.

Les mutins se lancent bravement sur la route entre Thysville et Léopoldville, où des troupes belges étaient présentes avec une surveillance aérienne il y a trois jours seulement, mais les mutins ont une veine inouïe : tout étant revenu au calme jusqu'au 11 juillet, le bataillon belge est revenu dans la capitale, où une brigade belge au complet achève de complètement désarmer les mutins. La seconde mutinerie de Camp Hardy, totale dans sa violence, prendra l'état-major belge par surprise quand on l'apprendra aux généraux le soir du 11. À Bruxelles, c'est l'horreur qui sera annoncée sur les unes des journaux le surlendemain.

La plupart des Blancs ont fui ou à tout le moins évacué femmes et enfants, surtout dans les environs de Thysville, si bien que les mutins en quête de joie charnelle doivent pousser beaucoup plus loin leur équipée nocturne, sauf pour ceux qui ont songé à retourner au couvent pour voir si les nonnes y sont toujours. Pour les autres, il reste certainement de jolies Blanches qui n'attendent qu'eux pour venir les tirer du lit.

Dans leur foi en Dieu, les missionnaires sont toujours là, avec leurs grandes cornettes blanches, symboles de pudeur et de modestie qui ne les ont pas protégées des viols le soir du 5 juillet. Ce ne sera pas plus efficace le soir du 11 quand deux jeeps et un camion remplis de mutins débarqueront.

Le lieutenant, sergent il y a peu, et la vingtaine de mutins font sauter les serrures, investissent le couvent et trouvent rapidement les religieuses dans leurs cellules, car les nonnes se couchent et se lèvent tôt. Elles sont en chemise de nuit, sauf celles qui sont de garde.

Les soldats vont de chambre en chambre, et dès qu'ils trouvent une chambre de novices, ils ferment la porte derrière eux et se jettent sur les jeunes filles. Les religieuses plus âgées sont épargnées, et beaucoup sont surprises de souhaiter voir des mutins venir pour elles pendant qu'elles prient en entendant les cris et bruits amortis de la tragédie morale qui se joue dans les deux chambres où les six jolies novices dormaient à poings fermés il y a peu.

C'est la rage post-coloniale qui déferle sur les malheureuses filles de bonne famille ayant pris le voile, et déjà honteuses d'avoir été violées six jours plus tôt. Dans chacune des deux chambres où se trouvent trois novices, c'est une meute hurlante de huit ou neuf nègres en colère qui se jette sur elles et s'attaque rageusement à leurs amples chemises de nuit, qui cèdent sous les mains sombres des soldats de la Force publique, dans un grand déchirement qui libère les jolies formes et les éblouissants mouvements de leurs seins d'adolescentes.

Chaque jeune nonne est ainsi dénudée et plaquée sur son petit lit de style médiéval, où un mutin lui maintient les poignets pendant qu'un ou deux autres luttent avec ses jambes en commentant la beauté de son sexe d'apparence vierge. Un caporal rappelle à ses hommes qu'elles ont déjà été déflorées la semaine dernière. Pas de bol!

Certaines des jeunes filles hurlent à la mort en gardant obstinément les jambes soudées l'une contre l'autre et en tortillant leur nudité dans un combat d'anguille dont elles ne font que retarder l'issue. Comme elles ont déjà été violées, elles cèdent rapidement, sachant que cette résistance ne fait que mettre les assaillants en colère, et ils risquent alors de les rouer de coups pour ensuite les violer de toute façon.

Il y a pourtant deux récalcitrantes, Joséphine et Richère, qui tentent de les griffer aux yeux et de les mordre. Les soldats font d'elles un exemple.

Les deux héroïnes reçoivent gifles et coups de poing redoublés, à profusion, et leur tête s'en trouve secouée dans les gracieuses vagues de leurs longs cheveux bruns, qui voguent libres sur cette mer de draps et d'oreillers soumis au cyclone tropical des soldats qui les frappent et font saigner leur bouche et enfler leurs arcades sourcilières.

Joséphine et Richère finissent par capituler et hurlent leur douleur et leur honte sans nom sous les coups de boutoir des Congolais qui les violent rageusement en les traitant de sales putes blanches. Chacune est ensuite enculée par un soldat bien pourvu, qui met beaucoup d'efforts dans son va-et-vient anal, histoire de bien montrer comment finissent les héroïnes.

Les autres jeunes filles gardent le silence, hébétées par l'énormité incompréhensible de ce qui leur arrive : violées encore, comme six jours plus tôt. Elles se résignent à leur sort et laissent faire les nègres, dont les visages sombres dessinent de terrifiants jeux d'ombres à la lumière des petites lampes de chevet, et leurs uniformes beiges ont l'air d'être en bronze terreux.

Avant leur départ d'Europe, on les avait mis en garde contre les serpents du Congo, mais nul n'avait songé à ces serpents-là; les soldats Congolais ont une façon bien à eux de leur rappeler la nature du péché originel. Ils sont aux antipodes du Saint-Esprit. Si des filles mères surgissent de leurs rangs, ce ne seront pas des mères vierges. Elles n'auront plus qu'à dire qu'elles ont été visitées par un démon incube.

Les jeunes qui coopèrent sont récompensées par des caresses et des coups de langue sur leurs seins et d'énergiques attouchements sur leur sexe, car les Congolais adorent mettre la main sur le sexe d'une Blanche pour sentir sa touffe intime et son excitation forcée. Ils prennent leur pied et les passent au montoir encore et encore.

C'est dans un sexe mouillé que ces nègres fortunés entrent et commencent à violer les novices restées silencieuses. Chacune de ces pucelles aux mains pures reste étrangement fascinée par toutes ces furieuses secousses d'énergie virile sous lesquelles elle sent ses seins se gonfler pendant que quelque chose de pas catholique se prépare dans les tréfonds de son innocence rompue.

Alice de Termonde, que les nonnes surnomment l'abbesse Alix, se trouvait à l'heure où elle est seule dans son bureau, qui devient sa bibliothèque privée pendant le soir et jusqu'aux petites heures. Elle est tellement captivée par ce qu'elle lit qu'elle en a oublié d'enlever sa large cornette blanche.

C'est une édition imprimée, annotée, d'une geste byzantine en grec ancien. L'abbesse en longue robe blanche, qui s'est fait violer sauvagement six jours plus tôt, est en train de relire un long passage où l'auteur décrit, avec force détails, la prise de Césarée par une grande armée musulmane en l'an 643.

L'auteur y décrit de façon très poignante comment la femme d'un général byzantin fut sauvagement violée avec ses trois filles par un grand nombre de soldats. Ses yeux parcourent les mots inscrits en caractères grecs; maîtrisant parfaitement la langue de Platon, la fille du Monde se sent dans la peau de l'aînée des filles, à qui elle donne mentalement 22 ans, l'âge de l'accomplissement.

C'est que l'auteur y décrit un viol complet, avec pénétration, sodomie et éjaculations au visage et aux seins, et les violeurs sont un groupe d'Africains noirs qui font partie d'un régiment de mercenaires venu d'Éthiopie.

Alice de Termonde se sent de plus en plus excitée, car elle connaît intimement les sensations, la douleur extrême, le plaisir extrême aussi, que la jeune fille ressent aux mains de ses violeurs éthiopiens. L'auteur insiste aussi sur le blanc pur de son teint de demoiselle et précise qu'elle était vierge parce que non mariée.

L'abbesse Alix est en train de sa masturber quand elle entend les clameurs suivies des hauts cris de ses sœurs religieuses. La troupe congolaise est arrivée.

Elle est à la fois remplie de crainte, d'horreur et d'excitation fascinée. Ils sont revenus pour elle!

Elle se lève tranquillement pour aller à sa chambre, mais elle ne se presse pas. À quoi bon essayer de se cacher? Elle entend déjà des pas précipités qui accourent vers la porte de son bureau. Ils sont là! Les nègres! Elle sent ses seins se gonfler d'excitation sous sa robe, elle-même ornée du crucifix qui monte la garde sur sa poitrine vêtue de bure blanche. La corde qu'elle porte pour ceinture met en évidence la gloire érotique de ses chastes hanches.

Ils vont la dégrader. D'abbesse au sang noble, ils vont la promouvoir au rang de pute au sang chaud.

La porte de chêne importé de France est là qui monte la garde de ses parois massives aux chaleureuses teintes brunes; elle est ouverte à la volée!

Ils sont là, tout souriants dans le pain d'épice brûlé de leur visage. Ils sont venus lui offrir leur café crème. La crème va toujours bien avec le café noir. Le café au goût âcre va de pair avec le brun chocolaté des Congolais.

Ils sont quatre, non, cinq! Ils vont vite vers elle, la cernent bientôt à la lueur chaleureuse des lampes. Elle reconnaît tout de suite les deux sergents au visage noir charbon qui l'ont enculée dans le réfectoire la semaine dernière. Celui qui marche à leur tête est un lieutenant au visage brun chocolat, environ trente ans, qu'elle n'a jamais vu. Les deux autres sont de simples soldats qui sont bouche bée devant sa tenue d'aristocrate intemporelle.

« Bonjour, ma petite dame! » fait le lieutenant nègre. « Mes deux potes ici m'ont beaucoup parlé de toi et de ton beau cul. Je suis venu ici pour m'en prévaloir! »

Les soldats en arrière-plan se hâtent de se dévêtir, la plupart se sentant très excités d'être nus devant la respectable abbesse. L'abbesse Alix reste stupéfaite, bouche bée d'effroi émerveillé. Son corps s'excite du ton très cavalier et peu respectueux dont l'officier use avec elle. Elle s'excite bien davantage à la vue des soldats qui s'offrent à elle dans leur nudité chaleureuse.

Les sergents lui saisissent les bras. Elle hurle et proteste...

« Noon! Laissez-moi! Nooooon!!! »

Les hommes perçoivent la pointe d'excitation dans ses cris tandis qu'elle se débat, mais sans réelle énergie. Elle a déjà mentalement capitulé et ils le savent. La seule vue de leurs membres en érection est suffisante pour garantir une chatte bien mouillée; l'abbesse sait qu'elle va être pénétrée et son corps en meurt d'envie.

« Hé, Fabrice! Elle nous reconnaît... » dit le premier sergent.

« Hé oui, c'est nous! Fabrice et André, les enculeurs... Pour vous servir! »

« Allons ma petite dame! T'as plus besoin de ton chapeau. Ôte-moi ça! » fait le lieutenant en lui enlevant sa large cornette d'un coup sec qui libère soudainement sa débauche de longs cheveux d'or : Alice de Termonde a les mêmes cheveux blonds, d'un doré pur, immaculé, que ses ancêtres représentées sur de magnifiques tableaux au château de son oncle. Son vieil oncle qui rêve d'elle nue.

Le lieutenant nègre lui caresse les cheveux en l'enlaçant; il plaque ses lèvres contre la bouche de l'abbesse, qui le laisse faire et sent la décharge d'excitation parcourir son corps noble tandis que les épaisses lèvres et la langue du Noir font connaissance avec les équivalents féminins qu'elle possède. Le lieutenant remarque qu'elle a les yeux d'un drôle de bleu qui porte des notes de vert d'eau.

Car elle le regarde. Elle les regarde, lui et ses hommes, pendant qu'elle se sent fondre sous ce baiser chaudement tropical; tropical, délicieusement chargé d'interdits coloniaux et religieux et ô combien prolongé... La jeune abbesse boit cette bouche a priori ennemie, qui lui enseigne que son corps d'Ève est fait pour recevoir les hommages des hommes, tous fils et amants d'Ève.

Les deux soldats du rang disent qu'ils ont hâte de la déshabiller et de la violer surtout, mais tous les cinq, ils prennent le temps de l'embrasser chacun son tour. Ce faisant, ils pressent ses seins au travers de sa robe, et elle ne peut s'empêcher de gémir en sachant que sa poitrine sera très bientôt nue et livrée à leurs regards et à leurs chaleureux attouchements. L'abbesse sent son sexe très mouillé sous sa robe blanc consacré. Elle a un beau crucifix à la poitrine, mais les hommes ne sont pas des vampires. Ils sont attirés par sa splendeur taboue.

Bientôt, elle glapit en protestations symboliques quand les sergents font table rase de son bureau de chêne et envoient tout valser par terre -- livre, stylos, feuilles, petits bibelots -- et la plaquent sur son bureau.

Le lieutenant sort un couteau de style baïonnette et lui ordonne de ne pas bouger au moment où il loge la pointe acérée juste sous l'ouverture de son col, haute et étroite. Il glisse un peu plus sa lame sous son habit de religieuse, le revers de sa main brun foncé glissant contre le menton parfaitement lisse et pâle de la jeune abbesse, qui proteste gentiment...

« Ohh, vous n'allez pas... Laissez-moi l'ôt... »

« Ta gueule, sale putain coloniale! À partir de maintenant, tu la fermes et tu t'appelles salope, compris? »

L'abbesse en émoi, éperdue, hoche la tête. Cette façon de la dominer augmente son excitation palpable. La phrase suivante du lieutenant lui fait pousser un gloussement sauvage...

« À présent, ma petite pouliche, on va voir si tu as les seins aussi blancs qu'on le dit! Allez, aaaahhhrrrr... Ooooohhh, par exemple! »

La lame de la baïonnette a tranché le débat et vaincu la bure dans un majestueux petit concert d'étoffe outragée, et les sergents ont saisi et brutalement abaissé chaque côté de son haut de robe entamé, et ils font apparaître ses seins à la lumière douce et chaleureuse, car elle ne portait rien en dessous...

Le lieutenant se jette avidement sur cette poitrine de jeune châtelaine, toute pâle, et il enfourne un mamelon dans sa bouche et fait vriller sa langue tout autour. L'abbesse gémit sous ces assauts qui lui font perdre la tête...

« Aaaahh... Aaaaaaahhh, aaaaahh, aaaahhh, les soldats congolais... Aaaaaaaaahhh, aaaahh... J'suis qu'une salope! Une salope blanch... AAaaaahh, non! Naaaooon! Aaaaaahh... »

C'est l'abbesse qui capitule et laisse sortir la chaleur de son corps par sa bouche dans ce concert torride, tandis que le lieutenant continue de lui sucer les seins en pressant son visage contre cette paire de promontoires souples et d'un satiné qui le remplit de joie exaltée. Il n'en revient pas, et là, là, il sait que cette Blanche sera vraiment très bonne à violer! Sa bite durcie pousse le devant de sa culotte d'uniforme; la sauvagerie demande à sortir, c'est son heure.

Resté au cou de l'abbesse Alix, un cou de cygne lisse et blanc, le crucifix sombre orne à présent la vallée d'ombre entre ses seins nus. Après leur lieutenant, les sergents et les deux troufions se relaient pour le plaisir de lui sucer les seins, d'une blancheur éclatante et follement excitante dans ce contexte d'explosion politique. La mutinerie fait que les doux et fermes mamelons d'une fille blonde goûtent l'impensable; les seins de l'abbesse Alix ont le goût concentré d'une sorte de vanille de rêve fou saupoudré de sel de liberté.

Sucer les seins de l'abbesse est un plaisir raffiné, inédit pour la bouche des Congolais. Les violeurs ont besoin de toute leur discipline militaire pour savourer ces délices sans verser dans la vulgarité en la violant sommairement. Une fille comme Alix, avec sa chatte bien mouillée, ça ne se boit pas cul-sec!

Mais bon, l'un des soldats n'en peut plus. Il demande à son pote de mettre l'abbesse à genoux, puis il lui agite sous le nez son gros boudin gonflé; de sa main, le nègre agite sa bite surexcitée et après quelque chose comme vingt secondes, le Congolais au nez épaté lâche une série de râles gutturaux et fait gicler trois gros traits de sperme, bien chaud et épais, qui dessine une gluante décoration sur les seins nus de l'abbesse, celle-ci poussant une sorte de cri suraigu quand elle sent cette petite mer africaine lui coller à la peau et à l'âme.

Elle a des torrents d'eau dans sa chatte et réalise qu'elle va très bientôt se faire sauter à répétition. Elle est certaine que ces hommes jeunes et fringants ont assez de munitions dans leurs cocotiers pour la bourrer chacun à deux reprises; elle fait l'arithmétique sordide et calcule qu'elle va se faire africaniser dix fois, dont probablement deux coups de bourre dans son cul en comptant les sergents enculeurs.

La bite raide et sortie, le lieutenant a goûté le spectacle de cette chaude décharge de sperme sur les seins de la Belge de haute naissance. À présent, lui et ses hommes la plaquent face en bas contre son bureau de lecture, et le lieutenant s'offre à lui-même la joie d'achever rageusement de déshabiller la blonde abbesse; il lui tire et déchire ce qui lui reste de robe blanche, tout d'un bloc, avec sa ceinture de supposée pauvresse, et il dévoile ses fesses -- son cul! Fascinant par sa vaste blancheur, qui fait écho à la douceur menue de sa taille d'adolescente.

C'est beau, c'est tellement beau et magnifique, le cul d'une Blanche! Magnifique de tabous. S'abstenir de l'embrocher serait un crime.

Tous les hommes, sauf celui qui vient d'éjaculer, sont gonflés à bloc et prêts pour la gloire qui africanise et décolonise; prêts pour fourrer la Blanche comme des taureaux à la face noire; elle sent cet hallali et en frémit d'excitation sauvage.

Alice de Termonde crie comme une chienne quand le lieutenant entre en elle comme dans du beurre; il la viole par derrière contre son bureau, avec une énergie animale; avec la fougue d'un démon, il la fait se sentir comme cette fille byzantine violée par des mercenaires éthiopiens.

L'austère décoration de la salle retentit des cris suraigus de l'abbesse qui jouit à peu près en même temps que le lieutenant à moitié nu. Suant et haletant, il beugle le feu de sa jouissance et lui lâche un gros paquet de son lait de coco. Elle crie d'un écho de jouissance en recevant la chaude décharge.

Il sort d'elle et fait gicler un dernier petit trait sur la blancheur de son cul tout lisse, et ce faisant, il lui dit qu'elle n'est qu'une salope blanche et une pute de Bruxelles. Son imagination à elle la transporte à Césarée au VIIe siècle, où elle se fait violer à chaudes décharges de sperme éthiopien. Elle en oublie qu'elle est au Congo.

Dans son délire, la docte abbesse affirme sa jouissance avec éclat en poussant de très byzantines exclamations en grec ancien : « Naí! Naí! Ooohhh... Naí! ... »

HBuff
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