Mutinerie au Congo, Chapitre 02

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Le sergent-chef Banza viola Anne en la tenant jambes en l'air. Fou de joie, il lui enfonçait avec urgence son pieu en mouvements répétés, convulsivement, tout en flairant l'odeur de ses pieds, qu'il tenait tout contre son visage brun terre. Il éjacula bientôt en lâchant un juron en lingala. Le sergent-chef Banza annonça haut et fort qu'Anne LeBlanc avait la chatte encore plus étroite que Laurence Desjoncs!

Une autre assemblée de nègres, plus petite que pour la fille, s'était formée autour de Béatrice. On lui déchira le haut de sa robe et son soutien-gorge fut vite pulvérisé. Les soldats découvrirent la paire de seins qui avait naguère allaité ses deux filles devenues grandes. Ils lui léchèrent et sucèrent les mamelons, qu'elle avait d'un brun intime au milieu d'aréoles bien rondes. Tandis qu'on la déshabillait, elle continuait de se lamenter en criant le nom d'Anne, parfois aussi de Juliette. Pas besoin d'être grand clerc pour savoir que les mutins étaient en train de violer tout le quartier blanc.

Avant longtemps, Béatrice fut toute nue au milieu des soldats, qui la violèrent un peu, mais la plupart des hommes attendaient leur tour pour violer Anne. Ils s'amusaient avec la mère pour patienter, mais gardaient leur sperme pour la fille. Béatrice les suppliait de la prendre, elle, et de laisser sa fille tranquille. Elle refusait de s'avouer à elle-même que c'était déjà trop tard pour Anne.

Anne était déshonorée, secouée sur la table, ses seins nus offerts dans toute leur pureté aux regards, aux mains et aux bouches charnues des soldats nègres. Ses seins arrosés de bière de banane, mouillés de salive aussi, luisaient d'un magnifique éclat sous la lumière naturelle, bougeant en leitmotiv sous l'effet des viols répétés.

Quand ce fut enfin son tour, le caporal Thierry Kasongo viola Anne en lui disant que sa grande sœur s'était laissée sauter comme une pute la nuit d'avant et qu'elle avait pris son sperme en couinant comme une salope confirmée. Il la secoua à lui donner mal à la tête pendant de longues minutes, jusqu'à lui tirer ses puissants jets chauds. Il sortit d'elle en lui disant qu'elle hurlait bien et qu'elle faisait une meilleure pute que sa grande sœur, mais le mieux serait sans doute de les engager à la paire comme forfait.

La troupe des soldats en liesse la viola comme des forcenés. Anne LeBlanc fut forcée de recevoir tous les mutins qui l'entouraient, en descendant les grades et l'ancienneté jusqu'à deux jeunes recrues qui avaient son âge. Le soir tombait déjà. Le coucher de soleil fut aussi majestueux que d'accoutumée; les nuages vieux rose comme en juin se foutaient éperdument du chemisier d'Anne et de son vieux rose déchiré.

Pendant que des soldats dévalisaient le garde-manger des LeBlanc, le major Ilunga fit escorter Anne pour une pause-salle de bains. Il ordonna ensuite la même chose pour Béatrice.

Ensuite, la jeune fille fut plaquée de nouveau contre la table de la salle à manger, mais cette fois elle tournait le dos à ses violeurs. On plaqua son visage sur la table et on lui annonça qu'il était temps d'africaniser son beau petit cul de fille belge.

Tous les soldats s'émerveillèrent des fesses d'Anne, bien rondes. On vint lui lécher cette beauté aussi lisse que saisissante. On alluma le lustre, mais l'éclat de ce cul de petite femme éclairait puissamment les viols.

Le major Ilunga entama l'enchère avec son gros pénis, bandé de nouveau et rechargé à bloc. Après avoir jonglé avec l'idée de la violer dans le cul, il opta pour l'étroitesse de son vagin meurtri et la monta comme un étalon pendant qu'on la tenait face contre la table.

Tandis que la peau lisse de son beau visage glissait sur la table sous le puissant va-et-vient du Congolais, ses beaux cheveux noirs brillaient sous le lustre à présent illuminé. La troupe était tout hypnotisée par ses fesses et ses jambes de lycéenne. Ils étaient bandés comme des taureaux en la regardant se faire monter par le major Ilunga.

Soumise à des coups de boutoir de plus en plus forts, la taille enserrée par l'étreinte du major, Anne lâcha une salve de ses petits gémissements suraigus; elle jouit en s'imaginant qu'un colonel coréen la violait contre son bureau.

Ce fut l'autre major qui initia Anne aux plaisirs de l'amour anal. Il la fit hurler de douleur en riant bien fort tandis qu'il lui défonçait le rectum en s'extasiant de l'étroitesse de son conduit. Il avait trouvé de l'huile d'olive pour lubrifier sa flamberge, et ça facilitait grandement la défloration anale, mais Anne n'en hurlait pas moins de douleur, car l'officier supérieur la violait sans retenue ni vergogne.

Ce furent ensuite les trois officiers subalternes qui la violèrent dans le cul. Deux d'entre eux sortirent d'elle et lui arrosèrent les fesses de leur crème épaisse. Les soldats trouvèrent amusant de la badigeonner ainsi de leur sperme congolais.

Les nègres lui frictionnèrent les fesses de ce sperme encore chaud. Le sergent-chef Banza commença à s'inquiéter pour la santé d'Anne, soumise à des viols répétés depuis des heures. Il persuada la troupe de cesser les pénétrations vaginales et anales et annonça que le moment était venu pour Anne de boire ses premières gorgées de sperme congolais. Les mutins applaudirent à tout rompre.

Le major Ilunga approuva. Il fit venir Béatrice et lui ordonna de dire merci au sergent-chef, faute de quoi les viols reprendraient et la fille serait peut-être violée à mort. Le major tâcha de se faire convaincant, car il n'avait aucune intention d'aller jusque là, car dans le fond, il adorait Anne. La mère obéit, par crainte et par souci d'alléger les souffrances de sa fille déshonorée sans retour.

« M... Merci, sergent. » balbutia-t-elle, le visage baigné de larmes.

« C'est sergent-chef, » lui répondit Banza, « mais j'accepte quand même le remerciement. Après tout, j'étais caporal il y a peu. »

Il fut ordonné à Anne de s'agenouiller pour recevoir les pénis congolais dans sa jolie bouche de Bruxelloise. Toute nue depuis longtemps, elle offrait aux mutins le spectacle inouï de sa beauté encore adolescente.

La jeune sosie d'Ann Blyth fut vite entourée d'une forêt de bites équatoriales. Les nègres lui désignèrent d'abord le pénis bien joufflu de l'adjudant de cinquante ans. Elle devait sucer tous les membres du rang par ordre de grade. Cet ordre produisit une agréable vague de surexcitation, dont elle sentit l'apaisante chaleur dans son giron pendant que sa jeune bouche accueillait la bite de l'adjudant nègre.

Anne fut prise d'un haut-le-cœur au contact de cette chair masculine. Le goût bien âcre la frappa comme un coup de poing, mais le bon adjudant posa doucement la main sur sa belle chevelure et lui parla d'un ton paternel, lui disant de prendre son temps, qu'elle s'habituerait vite au goût et à l'odeur.

La jeune fille suivit les autres instructions de l'adjudant. Tout obéissante, elle saisit sa verge d'une main et la lui massa doucement tandis qu'elle caressait de sa langue tout le pourtour de son gland. Quelqu'un fit observer qu'Anne LeBlanc apprenait vite, qu'elle était une suceuse née.

La jeune fille engloutit le gros pénis bandé dans sa bouche et offrit à l'adjudant la chaleur de sa salive. L'adjudant se mit à râler en lui caressant les cheveux. Elle continua sa fellation de novice et sentit bientôt la forte excitation qui tendait toute cette verge brune et chaleureuse; elle sentit aussi la main de l'homme lui caresser convulsivement les cheveux tandis que sa langue à elle glissait dans un ample va-et-vient sur toute la longueur de cette bite impressionnante.

L'homme lâcha un cri guttural, dit quelque chose en lingala et saisit la tête d'Anne en lui enfonçant son pénis jusqu'aux amygdales.

Anne reçut une prodigieuse éjaculation, et fut forcée d'en boire le plus gros pour éviter l'étouffement. Charitable, l'adjudant se retira. Tandis qu'elle recrachait une partie de cette impressionnante coulée, le vieil adjudant vint lui embrasser le front, comme un père à une fille, et la félicita d'avoir si bien fait à ses débuts.

Ce fut ensuite le sergent-chef Banza qui vint se faire lécher la bite par Anne LeBlanc, qui dut bientôt prendre toute sa longueur dans sa bouche, une bouche qui au matin du même jour n'avait jamais embrassé aucun garçon.

Pendant que la fille cadette suçait les bites des mutins, la mère fut félicitée de son obéissance par des soldats qui avaient un faible pour les femmes d'expérience. Béatrice fut étendue sur le plancher du salon et complètement déshabillée.

On vit avec plaisir qu'elle avait le même buisson noir que ses filles. Un soldait qui revenait de chez Martine en donna la confirmation officielle : toutes les femmes chez les LeBlanc avaient une magnifique toison noire et soyeuse. De nombreuses mains flattèrent la toison en question.

Un sergent nègre enfourna sa tête entre les cuisses de Béatrice pendant qu'un autre lui suçait les seins, qu'elle avait de taille moyenne et encore fermes malgré sa quarantaine. Béatrice fut bientôt obligée de jouir par une langue insistant sur son clitoris. Les lèvres charnues du sergent furent toutes enduites de sécrétions de femme blanche, ce qui l'excita beaucoup. Sa femme ne sentait pas du tout pareil.

Le sergent allongea Béatrice sur le tapis du salon, et prit un indicible plaisir à la violer. Elle le reçut comme folle et l'entoura de ses bras et jambes pendant qu'il la défonçait et lui haletait sa fougue en plein visage. Perdant la boussole, Béatrice laissa partir un long râle de jouissance juste avant que le Congolais lui lâche sa crème tropicale.

Béatrice ignorait qu'elle venait de se faire violer en présence de son mari. En effet, le colonel Bobozo était parti de chez Martine et avait jugé bon d'aller chercher le capitaine-commandant dans sa cellule. Gilles LeBlanc fut ainsi mené sous bonne escorte jusque chez lui, pour qu'il voie par lui-même à quel point les hommes du régiment aimaient ses filles.

Le capitaine-commandant Gilles LeBlanc, menottes aux poings, arriva dans le salon juste à temps pour voir sa femme, nue, râler sa jouissance sous l'étreinte d'un sergent congolais qu'il connaissait de longue date.

Béatrice se mit à sangloter comme une âme perdue quand elle vit son mari, habillé en civil et magnifique dans son complet veston. Elle fut bientôt violée par un groupe de trois soldats.

On passa dans la cuisine. Le capitaine-commandant Gilles LeBlanc vit le spectacle qu'il s'attendait trop bien à trouver : Anne, déshonorée à jamais.

Les salauds! Ils l'avaient soumise à un barrage de viols répétés; ses yeux experts prirent note de la grosse flaque de sperme séché qui gisait en bordure de la table, qu'on avait tassée contre le mur pour faire plus de place au festival de fellations forcées, dont Anne était l'étoile obligée.

« Espèce de sale fumier! Je vais t'étriper! » cria Gilles en tentant d'attaquer le colonel malgré ses menottes et les soldats l'escortant. Ceux-ci furent la cause suffisante qui empêcha Gilles de tuer le colonel Bobozo de ses mains, ce qu'il eût pu faire sans trop de problème dans son état actuel de rage alimentée par un paroxysme d'adrénaline.

Mais son regard était irrésistiblement attiré par le corps agenouillé de sa fille, toute nue, qui avait la bouche toute pleine d'un gros pénis bandé et se trouvait cernée par des dizaines de bites congolaises. Il assista au moment où la bite, bien chocolatée, sortit de sa bouche et arrosa généreusement ses seins d'un jet crémeux et bien tropical. Gilles sentit une érection incontrôlable se former sous son pantalon. Il avait toujours un peu trop aimé Anne.

Le colonel Bobozo, amusé, remarqua le brusque changement d'état chez son ancien officier. Il lui ordonna d'aller vers sa fille et de s'accoupler avec elle, afin qu'on voie que les Belges étaient tous de gros cochons immoraux.

Gilles protesta haut et fort, mais son regard allait toujours vers sa fille nue, qui le regardait tout droit dans les yeux à présent. Son corps le poussait à obéir; il osa se l'avouer, noyé dans l'opprobre du moment : il avait très envie d'Anne. Le mois d'avant, en vacances à La Panne, il l'avait photographiée sur la plage dans son petit maillot de bain à l'ancienne -- qui était en fait un vieux maillot de Béatrice. Il s'était mis à fantasmer sur elle. Une fois, il lui avait même posé une main sur la taille, non pas une main paternelle, mais une main chargée de désir; elle l'avait regardée toute gênée, mais un peu excitée. Il aurait pu l'entraîner dans un petit sentier et se retrouver seul avec elle, mais sa conscience morale l'avait retenu. Ce soir-là, il avait baisé Béatrice très intensément en pensant à Anne et à son petit corps de jeune fille. C'est vrai qu'elle ressemblait à Ann Blyth.

Le silence était palpable dans la salle à manger. Tous sentaient que quelque chose de monstrueusement immoral aller se passer. Anne avait les yeux fixés sur son père, qui se laissa déshabiller par les soldats de son escorte après que le colonel lui eut ôté les menottes. Le colonel observait la scène pistolet au poing, au cas où.

Anne se savait nue devant son père. Ça l'excitait follement dans l'état extrême qui était le sien; l'adrénaline effaçait sa fatigue pour l'instant. Elle se sentait toute honteuse que son père la voie faire la fellation aux soldats. Elle justifia son désir incestueux en construisant une nécessité de se faire pardonner.

Quand Gilles fut nu devant elle, la jeune fille agenouillée le regarda, lui et son pénis, qu'elle voyait pour la première fois. Gilles sentit sa fille l'inviter du regard. Il entra dans le cercle des soldats et s'agenouilla près d'elle.

« Papa... pardonne-moi... Je n'ai rien pu empêcher... Embrasse-moi et dis-moi que tu m'aimes encore... » murmura Anne, tout en larmes, d'une voix qui tonna dans le silence pesant.

Gilles ne dit rien. Il succomba à ce désir longtemps refoulé. Il embrassa sa fille, non pas en père, mais en homme amoureux. La langue d'Anne trouva la sienne. Il sentit toute la différence entre deux femmes qui se ressemblaient : Béatrice au même âge ressemblait à Anne comme une sœur jumelle, mais Anne n'embrassait pas du tout comme Béatrice.

Béatrice embrassait langoureusement sans vraiment jouer de la langue, mais Anne lui titillait la bouche de coups de langue secs et passionnés. La fille nue lui passa les bras autour du cou et ils s'embrassèrent longuement sous le regard aussi ravi qu'étonné des soldats, dont la plupart étaient en train de souper d'une collation rapide.

« Allez, ma jolie, » lui ordonna le colonel Bobozo avec une tendresse paternelle, « allez, dis à ton père de s'étendre et monte à cheval sur lui. Fais-lui ce plaisir. La plupart des pères en rêvent sans se l'avouer quand ils ont une fille aussi jolie. »

Obéissante, Anne dit à Gilles de s'étendre. Il lui obéit. Quand elle fut étendue, elle saisit son membre raide dans sa main et lui embrassa tendrement le gland, qu'elle lui lécha amoureusement. Elle se souvenait de ce moment, à la plage, où il lui avait posé la main sur la taille. Elle n'avait pas voulu se l'avouer, mais elle aurait accepté de faire l'amour avec lui, peut-être plus par curiosité qu'autre chose. Oui, il était beau, son père. Pour se justifier face à sa conscience, Anne se dit que faire l'amour avec son père valait mieux qu'être violée par une troupe de soudards.

La plupart des hommes bandèrent bien fort quand ils virent la jolie fille enfourcher son père et prendre son érection bien profond en elle.

« Gilles! Gilles! Arrête! C'est affreux! »

On était allé quérir Béatrice pour qu'elle profite du spectacle. La pauvre femme gémit et tomba à genoux, prise de sanglots convulsifs, pendant qu'Anne commençait à gémir d'aisance en sentant le pénis de Gilles la pénétrer avec force et expansion.

Lui se sentait tout honteux, sachant que sa femme était là et voyait tout, mais c'était plus fort que lui; il prit la taille souple de la jeune fille et contempla ses seins offerts à son regard. Les petits seins d'Anne étaient avantagés par cet angle en contre-plongée. Il écouta les gémissements de sa fille qui se pilonnait elle-même sur sa forte érection. Il admira le gracieux mouvement de ses hanches et la belle touffe de son sexe, qu'elle avait noire et soyeuse comme sa mère.

Anne se mit à bondir d'elle-même en sentant cette bonne bite la pénétrer profondément, la faisant presque défaillir à chaque secousse renouvelée. Elle prit elle-même les mains de Gilles et les posa sur ses seins gonflés d'excitation.

« Laisse tes mains sur mes seins, Gilles, j'adore ça! Vas-y, Gilles, saute-moi comme tu as eu envie de le faire le mois passé! »

Béatrice n'en croyait pas ses oreilles. Anne appelait son père par son prénom! Elle évoquait quelque chose qui se serait passé entre eux! Oh, le vieux cochon! L'homme abject! Au milieu de ses sanglots, la mère meurtrie considéra son mari avec un indicible dégoût! Et Anne... Quelle salope quand même!

La fille nue, devenue rivale de sa mère, se faisait défoncer par le gros pénis de son père, qui lui pressait les seins en sentant arriver le point suprême.

Anne surmontait la cuisante irritation de son vagin usé par la troupe. Elle se laissa emporter par le raz-de-marée de son volcan intérieur, imaginant qu'elle était seule avec lui sur la plage et qu'ils faisaient l'amour au son des vagues. Anne était une femme maintenant.

Portant son regard vers le haut, cherchant un ciel ensoleillé, malheureusement absent, la jeune fille lâcha une longue litanie de gémissements suraigus tandis qu'elle explosait de jouissance dans les bras de son père.

Gilles emplit la pièce de son cri primal en récompensant l'étroitesse de sa fille par une massive éruption de sperme, du sperme belge cette fois-ci.

À suivre.

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2 Commentaires
HBuffHBuffil y a plus d’un anAuteur

Merci pour votre commentaire. C'est ici le versant masculin de ce fantasme où toutes les barrières sociales tombent. Je suis en train de travailler sur le chapitre suivant.

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a plus d’un an

Je suis attentivement ce récit, et je dois bien l'avouer, le viol est un fantasme très courant chez nous les femmes, pas de cette façon, bien-sûr, mais plutôt en viol simulé, pour beaucoup de femme, savoir que nous ne sommes qu'une chatte qu'ils ont envie de bourrer, c'est très excitant

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