Mutinerie au Congo, Chapitre 02

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Puis, ce fut le sergent qui lâcha un juron victorieux en déversant une formidable quantité de sperme bien chaud dans Laurence. La vierge devenue femme lâcha un long braillement en recevant cet hommage à sa jeune beauté.

Un autre soldat la prit de la même manière. Il conclut l'affaire en peu de temps. Laurence gémit en recevant sa semence. On la mit par terre, puis plusieurs hommes se succédèrent rapidement, l'enfilant en missionnaire à petits coups de bite rageurs. Elle fut ensuite mise à quatre pattes, violée de nouveau par le sergent, puis enculée par un caporal, qui fit ce qu'il avait annoncé plus tôt.

La jeune fille cria de douleur comme une âme perdue pendant qu'il la sodomisait en la traitant de salope bourgeoise et en lui répétant qu'elle devait payer pour quatre-vingts ans de violence coloniale.

Les Congolais prirent un immense plaisir à regarder son cul si blanc tandis que ses courbes se faisaient profaner par la bite noire du caporal, qui lâcha un râle soudain en lui balançant un gros paquet de foutre dans le rectum.

Laurence continua ainsi de prendre une longue succession de verges africaines dans le cul ou la chatte. Elle aperçut son père et Roger, à genoux et menottés, les pantalons baissés et leurs deux pénis saisis d'une érection majestueuse. Le père regardait par terre, mais ses yeux revenaient sans cesse à la scène du viol prolongé de sa fille.

Un peu plus loin, sa mère et Sophie étaient nues et agenouillées, obligées de lécher et sucer les bites des soldats, devenus nombreux à mesure que l'attroupement grossissait. Ils riaient comme des fous toutes les fois qu'un trait de sperme arrosait l'une ou l'autre au visage.

Laurence gémit comme une brebis saisie par les crocs d'un loup quand on obligea son père à avancer sur elle. Elle continua de gémir tout le temps que son père la posséda, temps qui fut heureusement de courte durée, car le père fut bientôt foudroyé d'un plaisir qui le força à hurler au visage de sa fille, qui pleurait sous lui en recevant ce sperme qui menaçait de la faire mère et sœur d'un même enfant.

Les soldats rigolèrent comme au cirque en buvant de la bière, que quelqu'un avait eu la bonne idée d'aller chercher. Les soldats au sexe repu fumèrent des cigarettes en regardant les épouses et la fille se faire embrocher à la sauce congolaise jusqu'au matin blafard. Nuit d'horreur pour les unes, nuit de réjouissances pour les autres.

Le sergent eut envie de fourrer Sophie, qui avait la jolie trentaine. Elle fut forcée de le prendre au sol, jambes pliées et bien ouvertes. Sophie sentit tout de suite à quel point cet homme était plus fort et vigoureux que son mari; il la prit sans ménagement, la secouant jusqu'à la moelle par ses coups de bélier tandis que ses seins amples bougeaient en fortes saccades sous ce déchaînement.

Sophie jouit en couinant comme une chienne, deux fois plutôt qu'une, avant que le sergent lui envoie sa grosse vinaigrette pour la réchauffer sous le ciel de l'aube.

Pendant ce temps, Joséphine était à quatre pattes, en train de se faire emboutir par Roger, le mari de Sophie, épousée en secondes noces. La troupe trouvait amusant d'obliger l'officier à faire de son ami un cocu. C'était d'autant plus drôle que la femme et épouse n'arrivait pas à s'empêcher de gémir de plaisir en sentant la bite de Roger l'explorer intensément.

Le mari trompé reçut compensation : sa fille dut venir s'agenouiller devant lui. Elle prit sa verge dans sa bouche et, obéissante, elle suça, lécha et massa cette verge paternelle jusqu'à ce qu'elle entende l'homme brisé hurler d'un indicible chagrin mêlé d'un prodigieux cri de jouissance. L'explosion fut gigantesque; la fille reçut une douche de sperme sur les seins, le tout sous les applaudissements nourris des mutins.

Plus tard, les deux officiers pris en flagrant délit de fuite, le visage tuméfié des coups de crosse reçus, furent traînés tout sanglotants au bureau du colonel Bobozo. Le colonel nègre leur dit d'un ton calme qu'ils étaient dégradés, à quoi les deux capitaines, en qui une morgue naturelle subsistait, répondirent avec hauteur que seul le roi Baudouin avait le pouvoir d'autoriser une telle mesure, car leur commission émanait du monarque.

« Mauvaise réponse! » leur hurla le colonel.

Il fit signe aux gardes les escortant, et les deux officiers blancs furent de nouveau roués de coups de crosse et de bottines fournies par la puissance coloniale déchue.

« Bon! Caporal, allez me chercher deux jeunes employées de l'administration et dites-leur que le colonel souhaite les voir. Prenez deux hommes et amenez-les-moi ici de gré ou de force; au trot! »

Le caporal et deux gardes partirent tout de suite s'acquitter de cette mission simple. Le colonel se tourna vers les deux officiers captifs. Il saisit leurs pattes d'épaule et arracha les insignes de leur grade, puis les gifla tous deux.

Le caporal et les deux autres revinrent bien vite avec deux jeunes filles. Les deux blanches étaient blêmes de terreur, mais tâchaient de garder leur calme. Le colonel les considéra du regard, les passa en revue de la tête aux pieds; la plus jeune commença à pleurer en silence.

« Allons », lui dit le colonel d'une voix qui se voulait paternelle, « comment t'appelles-tu, ma petite demoiselle? »

Il s'approcha d'elle, lui caressa doucement le menton, qu'elle avait bien lisse.

« C... Clothilde. J'm'appelle Clothilde. J'viens de Bruges... S'il vous plaît, ne me faites pas de mal! »

« Oh, comme tu es belle! » fit le colonel, ignorant les paroles de Clothilde et lui caressant doucement les cheveux, qu'elle avait longs et bruns. Elle sanglotait convulsivement, mais n'osait ni reculer, ni résister.

« Mais qu'est-ce que c'est que ces manières? » fit sa collègue, une secrétaire d'à peu près 25 ans. « Alors, reprit-elle, parce que le pays est devenu indépendant, ça se croit tout permis!? »

Le colonel la regarda d'un œil amusé. Cette fille-là, châtaine, avait les cheveux mi-longs, attachés en chignon pour le bureau et portait un joli petit tailleur dont la coupe ajustée laissait resplendir ses formes de petite demoiselle. Il remarqua son alliance.

« Ah, Madame est mariée! » fit le colonel nègre.

« Oui, mariée, et je puis vous assurer que mon mari vas vous... Hé! Mais... Mais qu'est-ce que vous faites!? Non! Lâchez-moi... Non! Ôtez vos sales pattes de nègres de sur moi! C'est un ordre! » protesta la secrétaire en panique.

Les deux gardes qui venaient de la saisir sur l'ordre non verbal du colonel rirent de bon cœur en entendant la jeune fille prétendre leur donner des ordres. Se faire traiter de sales nègres les excitait encore plus. Ah, que ça allait être bon d'enfiler cette fille-là! Elle allait goûter au Congo profond!

Deux autres gardes encadraient les deux prisonniers belges, hier officiers, aujourd'hui menottés et impuissants. Les trois autres gardes, dont le caporal, se joignirent au colonel, qui embrassa de force la jeune fille nommée Clothilde.

« Tenez-la bien vous autres! Je vais lui frotter un peu les seins, à cette fille de Bruges! » renchérit le colonel Bobozo, qui se tourna vers les deux capitaines qu'il venait de dégrader officieusement :

« Vous faites une belle paire de joyeux drilles! Non contents d'avoir cherché à vous échapper, vous avez voulu encore faire les fanfarons avec moi. Eh bien, ce sont ces deux filles qui vont payer votre faute! Vos femmes et votre fille ont trop servi cette nuit, et celles-ci sont bien fraîches! Et puis, faut que j'avoue, ça faisait longtemps que j'avais envie de m'offrir une jolie petite Blanche. J'attendais seulement l'occasion, et pour vous remercier, je vais vous laisser les violer à votre tour quand on aura fini de les fourrer! »

Les deux « ex-capitaines » savaient trop bien que protester ne servirait qu'à rendre la punition plus dure pour les filles. Ils regardèrent donc la scène en silence, non sans excitation secrète, surtout quand ils virent les grosses mains noires du colonel saisir le blanc chemisier de Clothilde, qui sanglotait dans son silence terrifié.

En arrière-plan, la jeune femme mariée criait à tue-tête pendant que les deux gardes, en ricanant, la plaquaient face première sur le bureau du colonel. D'une main rageuse, ils lui baissèrent sans cérémonie et la jupe et la petite culotte, faisant apparaître son cul, assez large et magnifique par sa blancheur. La jeune secrétaire continua de les traiter de sales nègres tandis que le premier garde, qui avait déjà sorti sa verge bien bandée, la pénétra sauvagement et commença à la violer par derrière tandis que son coéquipier la tenait plaquée contre le bureau d'acajou.

Clothilde Marais, 19 ans, lâcha un cri perçant, mais bref, quand le gros colonel déchira brutalement son chemisier en faisant voler les boutons. Il saliva quand il vit ses beaux petits seins gardés par un soutien-gorge, qui tint une demi-seconde contre sa puissante main. Il poussa un grand râle de satisfaction barbare lorsqu'il vit la jolie paire de nichons s'offrir à sa vue dans leur splendeur lactée, enjolivée de petits mamelons surmontant de roses aréoles à la rondeur aussi parfaite que le galbe de cette poitrine de lycéenne.

« Vous... vous serez tous...fusillés! Sales macaques! Sales bâtards! Fumiers! Fumiers! » faisait la secrétaire au beau cul pendant que son visage lisse glissait en leitmotiv sur la surface du bureau, tout son corps étant agité des secousses nerveuses du soldat qui la prenait par derrière à coups de bites donnés en furieuses rafales. Il finit par pousser un râle primitif et libéra son sperme, dont elle sentit la chaude honte se répandre en elle. Puis, l'autre garde lui donna le même traitement d'honneur.

« Aahhrr! Oui! Ahh, que c'est bon! » fit le colonel Bobozo, sa voix lourde de son accent lingala tandis qu'il se jetait sur les petits seins de Clothilde et se délecta de cette pâleur de chair tout européenne. Les deux officiers belges eurent une érection incontrôlable en regardant cette scène surréaliste. Clothilde, qui avait les mamelons bien sensibles, commença à haleter et à couiner de plaisir malgré elle tout en pleurant. Les autres gardes la tenaient ferme. L'un d'eux l'embrassa amoureusement tandis que le caporal lui ôtait sa jupe, ses jarretelles et ses bas de soie; il se prosterna à ses pieds, qu'il se mit à couvrir d'ardents baisers sitôt que la jeune fille fut pieds nus.

Le colonel était incapable d'arrêter de sucer et caresser les seins de Clothilde. Le caporal en profita pour lui retirer sa petite culotte, découvrant un joli buisson étroit, d'un brun foncé aux accents de noisette chocolatée, qui accentuait le blanc de sa peau lisse; il toucha cette touffe allongée, entendit Clothilde soupirer sous les embrassades du garde, puis commença à la rendre folle en passant un doigt expert dans son vagin; il vit que les Blanches avaient le clitoris exactement au même endroit que les Congolaises.

« À propos, caporal, » lui dit le colonel tandis qu'il léchait le sein de Clothilde, « je viens de recevoir un télégramme de l'état-major. Tu es promu sous-lieutenant. Toutes mes félicitations! Et oh, as-tu envie de goûter ses seins? Moi, j'ai bien envie de goûter à la touffe d'une Blanche! »

Le colonel et le caporal promu sous-lieutenant échangèrent leurs rôles. Les seins de Clothilde reçurent la bouche et la langue du nouvel officier congolais, puis la fille sentit bientôt la puissante langue du colonel lui titiller le clitoris. Et le garde qui l'embrassait toujours; elle sentit une main congolaise lui empoigner les fesses et en tressaillit. Elle qui était vierge, la voilà avec trois hommes en même temps, sans compter les autres gardes qui attendaient leur tour.

Bientôt, Clothilde jouit très fort pendant que sa collègue râlait de colère en se faisant défoncer par derrière sur le bureau du colonel.

La secrétaire mariée se faisait pilonner en règle. Lassés d'attendre pour Clothilde, deux autres collègues prirent le relais après que la jeune femme eut reçu sa deuxième ration de crème africaine. Ils la retournèrent comme une crêpe pour qu'elle leur fît face, puis déchirèrent brutalement son chemisier et arrachèrent immédiatement son soutien-gorge; ils admirèrent ses tétons aux gros mamelons bruns, encadrés des restes de sa blouse éventrée et de son chic veston de tailleur gris.

La femme portant alliance continua de vociférer des menaces tandis que le premier soldat la violait à grands coups de boutoir, lui faisant face et adorant admirer la détresse que résumait le branlement de ses seins, qui furent vite recouverts des attentions buccales du garde lui tenant les poignets en ignorant ses vaines menaces, à présent ponctuées de pleurs, car la Belge capitulait. Bientôt elle lâcha rageusement un cri de jouissance juste au moment où son violeur rugit de plaisir en lui déversant son sirop.

Le colonel admira avec ravissement sa prodigieuse érection, brune et dure, lorsqu'il se mit à poil pendant qu'on plaçait Clothilde, à présent nue comme Ève, par terre à quatre pattes, prête à recevoir les offrandes de la soldatesque.

Clothilde, jeune fille obéissante, reçut la grosse bite du colonel Bobozo en poussant un cri de douleur. Il l'avait fait jouir avec la bouche; elle était mouillée, mais son étroitesse virginale peinait à accommoder ce pilier de chair. Le colonel Bobozo prit la petite stagiaire en poussant un grand cri de victoire; il empoigna sa taille fine et commença à lui faire subir la chute coloniale, à grands coups de bite, la secouant en profondeur pendant que les gardes regardaient le spectacle en souriant, leurs bites impatientes d'essayer cette jolie Blanche qui avait de si belles fesses, toutes resplendissantes de jeunesse.

Clothilde, sa beauté innocente, son petit cul de lycéenne et le contraste fou entre ses cheveux marron et la blancheur éclatante de son dos, sans oublier la grâce féminine de ses jambes... Ce fut trop pour le colonel congolais, un homme de 44 ans s'offrant une fille de 25 ans sa cadette.

Le colonel Bobozo, vaincu par les charmes de la jeune fille de Bruges, poussa un énorme rugissement suivi d'un grognement de gorille alpha; il explosa en elle et lui déversa toute sa cargaison de crème chaude et épaisse. Lorsqu'il se retira, il lui lâcha une ultime coulée, que les mutins virent avec plaisir se répandre sur le cul sublime de cette fille; le gros pénis encore bandé du colonel la surplombait de sa noirceur africaine. L'impensable avait lieu. Les Européens avaient bien raison de fuir. Les épouses et les filles de Belgique apprenaient à braire et à jouir dans les bras de ceux qu'elles étaient habituées de traiter comme des moins que rien.

Puis, ce fut le tour du sous-lieutenant Banza, nouvellement promu, qui eut l'insigne privilège de sentir la jeune belge jouir sous ses coups de bélier, qu'il continua de lui offrir en barrage jusqu'au feu d'artifice final. Lui qui avait violé Laurence pendant la nuit put faire la comparaison; il estima préférer cette Clothilde, qui lui avait semblé plus serrée, mais il faudrait qu'il viole Laurence encore pour en avoir le cœur net.

Presque toute la section des sept gardes passa sur Clothilde, qui jouit plusieurs fois malgré elle en recevant ce cortège de verges d'ébène dont ils lui faisaient bénéficier. Au tout début, elle avait eu très mal tandis que le colonel lui prenait sa virginité. À présent, son corps aimait recevoir la chaleur de leur semence tandis que sa tête lui ordonnait de pleurer et de protester. Un garde lui mit sa bite dans la bouche en la menaçant de lui fracasser les dents une par une si l'envie lui prenait de mordre.

Le garde lui empoigna les cheveux et faillit l'étouffer en violant sa bouche jusqu'aux amygdales. Enfin, elle reçut l'éjaculation et eut droit à ses premières gorgées de sperme congolais. Les gardes n'osant pas s'aventurer dans la bouche de la secrétaire mariée, ceux à qui il restait encore de la sève se succédèrent par ordre de grade, et Clothilde, assise sur ses petits talons, agenouillée dans sa beauté virginale, dut tous les contenter de sa jolie bouche, obéissant au doigt et à l'œil quand ils lui demandaient de leur prendre et masser la bite dans sa main menue.

La jeune fille avala ou reçut au visage une décharge après l'autre en entendant le soldat râler sa jouissance, lui arrosant parfois les cheveux aussi.

Violées, forcées de jouir, et obligées de sucer les bites dans le cas de Clothilde, les deux employées de bureau finirent étendues en position fœtale, muettes d'épuisement et d'opprobre, chacune avec sa rivière de sperme ennemi qui s'écoulait de sa chatte.

« Et estimez-vous chanceuses qu'on ne vous ait pas violées dans le cul! » leur lança le colonel en se rhabillant. Puis, il se tourna vers les deux officiers prisonniers, dont les érections bien senties étiraient le devant de leur pantalon d'uniforme. Il gloussa de plaisir un humiliant ces officiers à qui il obéissait encore avec déférence une semaine plus tôt.

« Bon, Messieurs les capitaines, vous vous êtes bien conduits et n'avez pas trop gueulé. Vos bites sont bien dures de nous avoir vu nous amuser avec ces deux pouliches. Allez, je suis certain que vous avez déjà songé à vous en offrir une, à moins que ce ne soit déjà fait. Allez, ôtez votre pantalon et prenez votre plaisir; on va les tenir pour vous! »

Les jeunes filles de l'administration n'eurent pas vraiment besoin d'être tenues au sol. Elles étaient complètement épuisées. Le père de Laurence fut le plus rapide, et sauta sur Clothilde, qui le reçut en silence et lui passa les jambes autour du corps! Pendant l'étreinte, elle lui murmura qu'elle avait toujours voulu faire l'amour avec lui; elle n'était pas sincère, elle disait cela pour l'exciter et abréger le viol en le faisant aboutir plus vite.

L'autre capitaine, le mari de Sophie, dut donc se contenter de la secrétaire de 25 ans, les gardes ne lui laissant pas le luxe d'attendre pour la jeune Clothilde, dont il avait assisté au viol prolongé en devenant fou de désir pour elle. Mais tandis qu'il pénétrait la femme mariée, sa main se posa sur la sienne et il sentit son alliance, ce qui l'excita énormément. Dès lors, il posséda la jeune femme et eut le plaisir de l'entendre haleter sous lui, jusqu'à ce qu'il crie sa jouissance sauvage en la martelant frénétiquement; il sentit alors la brûlante salve de sperme se perdre en elle.

Le père de Laurence continua de violer Clothilde sur le tapis, une ou deux minutes encore, puis il lui râla sa virilité en plein visage et l'embrassa fougueusement tandis qu'il était foudroyé de plaisir et lui répandait sa marée de semence, lui apportant le faible espoir d'un bébé blanc en cas de grossesse.

Puis, les deux officiers déchus furent remis debout, menottés de nouveau, et il leur fut interdit de remonter leur pantalon, ce qui les obligea à marcher par petits pas, comme des pingouins.

Le colonel donna ses ordres aux deux filles de bureau, dont le maquillage était détruit.

« Bon, les filles... C'était bien! C'était vraiment bien. Merci pour la bonne baise, rhabillez-vous en vitesse et allez vous refaire une beauté -- vos sacs à main sont juste là -- et prenez donc congé aujourd'hui; je vais vous écrire un billet. Pas un mot de tout ceci à personne, sinon ce sera une nouvelle punition, et cette fois vous serez toutes les deux enculées par une vingtaine d'hommes. Allez, ouste! Je vous ai assez vues! »

Une fois les filles en pleurs sorties sous escorte, les deux officiers captifs apprirent que leur calvaire n'était pas fini. Le colonel Bobozo lui annonça la nouvelle mesure disciplinaire.

« Quant à vous deux, moules à gaufres, vous avez essayé de vous échapper, et il faut que je fasse un exemple! Vous comprendrez que je n'ai pas le choix. Vos femmes et votre fille Laurence vous attendent au cachot. Elles vont bien; le médecin est passé les voir. Vous allez vous-mêmes les déshabiller de nouveau toutes les trois et les faire s'allonger par terre, et là, une compagnie entière viendra se masturber au-dessus d'elles. J'ai interdit qu'on les viole encore, mais foi de colonel Bobozo, elles vont recevoir une longue douche de sperme congolais, et vous allez y assister aux premières loges! »

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