Mutinerie au Congo, Chapitre 01

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Des soldats, nombreux, partirent de Camp Hardy en jeep ou en camion. Ils répandirent la terreur dans tous les environs. Un couvent de missionnaires fut mis à sac par une centaine de mutins, qui violèrent la plupart des religieuses, choisissant surtout les plus jeunes, notamment l'abbesse, dont les longs cheveux blonds se répandirent sous les yeux émerveillés des futurs violeurs lorsqu'ils lui enlevèrent sa coiffe blanche.

Descendante d'une ancienne famille noble de Flandres, l'abbesse fut mise nue et devint la putain de cette soldatesque qui hurla des slogans anti-blancs en la violant sur une table du réfectoire, avec plusieurs autres qui poussaient de hauts cris pendant que les nègres profanaient leur virginité consacrée à Dieu.

Beaucoup des religieuses finirent par jouir très fort, cédant aux envies secrètes de leur corps aux courbes pâles et gracieuses qui éclairaient les regards des mutins. L'abbesse, quant à elle, eut droit au traitement d'honneur que lui réservèrent deux sergents particulièrement vicieux.

Contrairement à l'usage qui préconisait le viol vaginal, chacun des sergents la sodomisa contre la table en la faisant hurler de douleur, puis d'un plaisir aussi sauvage que péché mortel! Ce fut comme une compétition pour savoir lequel des deux sergents l'enculerait avec le plus de barbarie et la ferait crier le plus fort.

Le deuxième sergent sortit sa bite au moment suprême et déversa son sperme épais sur les fesses lisses et pures de la jeune aristocrate. Il frictionna son beau cul de vestale assez large par rapport à sa taille fine, pour bien égaliser cette gluante couche d'opprobre.

Ensuite, les sergents, applaudis par le reste de la troupe, obligèrent l'abbesse à s'agenouiller et la firent sucer leurs bites, afin qu'elle puisse goûter sa propre merde de sa bouche d'ange.

Les mutins étaient lâchés dans la campagne et les villages.

Ils trouvèrent plus d'une maison de Blanc où faire une « inspection surprise » dans le but de « trouver des armes ». Les pères de famille furent passés à tabac et ligotés à une chaise de cuisine, les pantalons et la petite culotte baissées pour qu'on puisse voir s'ils banderaient quand ils verraient leurs femmes se faire violer, et ce fut le cas la plupart du temps.

Parfois, une fois que l'épouse avait été bien bourrée de leur semence et que la troupe était épuisée, quelque sergent charitable ordonnait qu'on détache les liens du mari, puis il ordonnait à la femme de montrer aux Congolais comment une Blanche suçait son mari. Ça finissait généralement avec le sergent ou un autre mutin qui s'agenouillait derrière l'épouse et la violait de nouveau pendant qu'elle suçait son mari en pleurant à chaudes larmes. Souvent, l'épouse était trahie par son corps, qui la faisait jouir pendant l'orgie.

Lorsqu'on trouvait des jeunes filles chez un Blanc, les soldats délaissaient les autres maisons et accouraient tous. Devant les parents horrifiés, la ou les filles étaient déshabillées par les mutins, qui les sifflaient et les chahutaient en faisant fi des cris de détresse et des hurlements de colère du père, impuissant, forcé de regarder le viol de ses filles, et subissant souvent la honte d'avoir une érection, ce qui parfois survenait dès qu'elles étaient déshabillées et qu'on voyait apparaître leurs jolis seins, tout blancs, tout frais de jeunesse, livrés à cette violence politique.

Puis, les jeunes filles étaient sauvagement violées par tous les soldats, qui restaient alors jusqu'à l'aube, histoire d'essayer ces belles petites sémillantes dans toutes les positions et de leur explorer le corps dont la blancheur européenne ne lassait pas d'émerveiller leurs regards. Ils aimaient aussi les forcer à jouir ou à leur crier qu'elles adoraient se faire sauter par les Congolais.

Trop souvent, on déliait l'infortuné père et on l'obligeait à violer sa fille. Il s'exécutait à regret, mais non sans plaisir secret, et pénétrait la jeune fille aux yeux écarquillés d'horreur, tandis que la troupe le traitaient de gros porc belge. Le père pleurait, braillait pendant qu'il pilonnait sa fille, puis râlait de honte en éjaculant puissamment pour consommer l'inceste forcé.

Il était ensuite récompensé de son exploit par le spectacle de sa ou ses filles obligées de sucer toutes les bites des mutins victorieux, dont certains crièrent « vengeance! » en éjaculant, en référence aux quatre-vingts ans de règne colonial.

De nombreuses familles s'enfuirent sur la route de Léopoldville, en pleine nuit. La grande majorité arriva à bon port, mais certaines voitures belges tombèrent sur un barrage routier de mutins avec camion caché derrière des arbres pour leur couper la fuite s'ils essayaient de faire demi-tour. Les nègres en révolte laissaient passer les couples âgés, mais quand ils stoppaient un jeune couple ou une famille avec une ou deux jeunes filles, le passage se payait avec l'honneur des épouses et des filles aînées sous le regard impuissant du mari et père, tenu en joue par deux soldats pendant que les autres s'amusaient.

Les soldats s'en donnaient alors à cœur-joie. Ils extrayaient sans ménagement la maman et ses filles de la Peugeot ou de la Citroën, puis c'était l'hallali! À la lueur des phares, l'épouse et les jeunes filles avaient les vêtements déchirés par les forcenés, qui bientôt les violaient sur le sol, l'urgence et l'adrénaline provoquant des éjaculations très fortes et rapides, mais aussi des orgasmes aussi soudains qu'inattendus chez les victimes.

Un pharmacien fut ainsi matraqué à coups de crosse en voulant défendre ses filles jumelles, deux beautés menues aux longs cheveux noir de jais qui portaient un chandail rayé marine et blanc pour l'une, vieux rose et blanc pour l'autre, avec jupes identiques descendant aux genoux, jambes nues, et leurs jolis petits pieds d'étudiantes abrités dans des chaussettes blanches et chaussures de selle noires et blanches, comme de vraies petites Américaines sirotant un lait frappé devant un juke-box jouant une chanson d'Elvis Presley.

Les jeunes filles hurlèrent de terreur quand les nègres leur saisirent les poignets et les tirèrent hors de la voiture.

« Allez, les petites noiraudes! » leur cria un adjudant. « C'est l'heure de payer les comptes! Finie la Belgique! Finie la colonie! Maintenant, c'est nous, le pouvoir! C'est la grosse bite de nègre qui prend tout! Allez, vous autres, déshabillez-moi ces petites salopes blanches! »

Les deux jumelles cessèrent de hurler. Hébétées d'horreur, elles se firent arracher leurs chandails rayés, puis leurs jupes, en silence. Chaussettes et chaussures de selle furent brutalement arrachées par la soldatesque, dont les bites durcirent bien vite en découvrant leurs jolis pieds nus.

Bientôt, les étudiantes belges furent toutes deux allongées en bordure de la route, et les soldats, ivres de joie, fous de désir, pulvérisèrent leurs sous-vêtements, découvrant leurs seins menus et admirant leurs touffes intimes, aussi noires que triangulaires. La blancheur laiteuse de leurs petits corps nus éclairait la nuit africaine à la lueur des phares et de l'aube naissante.

Deux soldats prirent le temps de les faire jouir d'un doigt expert au clitoris; c'étaient des hommes mariés qui avaient de l'expérience, et ce n'était pas leur premier viol, mais c'était leur première fois avec des Blanches. Ils leur effleurèrent donc le clitoris, s'amusant des menaces meurtrières du père, jusqu'à ce que les deux jumelles hurlèrent leur jouissance forcée.

« Elles sont prêtes, mon adjudant! »

L'adjudant et le caporal-chef, deux types bien robustes, avaient enlevé leur uniforme et se masturbaient depuis un moment en regardant les filles obligées de jouir. De leurs verges bien tendues, ils les pénétrèrent sans problème, leurs chattes étroites étant à présent bien mouillées, et ils les violèrent à quatre pattes, par derrière, tenant avec joie leurs tailles menues en regardant leurs petites fesses blanches donner contre leurs corps en sueur nocturne.

Terrifiées et silencieuses, haletantes sous l'étreinte des sous-officiers, les deux jeunes filles se laissèrent faire, estimant peut-être qu'il serait moins douloureux de se soumettre sans résistance; elles pleuraient en subissant les gros coups de boutoir qui pulvérisaient leur virginité.

Enfin, l'adjudant poussa un long cri guttural et lâcha son sperme dans la fille belge, celle qui avait porté le gilet marine et blanc, et il continua de l'emboutir comme un forcené pendant que ses couilles et sa bite se vidaient à gros traits épais. La jeune fille regardait le sol congolais d'un regard vide. Elle décida de se faire religieuse.

Le caporal-chef suivit l'exemple et éjacula dans la sœur jumelle, mais lui, il émit un grognement farouche et resta immobile, savourant la caresse serrée de ce vagin de jeune fille, et lui empoignant le contour des fesses, tandis qu'il était foudroyé de plaisir, plaisir grandement augmenté par la situation -- jeune fille blanche violée par des soldats congolais à un barrage routier, sous le faisceau des phares et le regard du père tenu en joue.

Puis, les six autres soldats violèrent les jumelles à leur tour, et on les laissa enfin partir. Les soldats les aidèrent même à se rhabiller avec leurs gilets tout déchirés et leurs jupes à peu près intactes; ils les embrassaient de leurs grosses lèvres tandis qu'elles se rhabillaient dans leur silence hébété.

Ce fut seulement une fois le cauchemar fini que les filles éclatèrent en sanglots et se mirent à hurler comme des hystériques. Le père se promit de ne rien dire à sa femme, en visite chez ses parents en Belgique. Quinze kilomètres plus loin, il arrêta la voiture, prit Laurence, celle au gilet blanc et marine; celle qu'il préférait, la fit sortir de la voiture et la viola sous le regard muet de la sœur. Quand il jouit en elle, ce fut la plus énorme éjaculation de sa vie. Soulagé, mais en proie à des pensées suicidaires, le bon pharmacien bedonnant reprit sa route vers Léopoldville. Non, il ne fallait pas que sa femme sache ce qui s'était passé cette nuit-là! Il fit jurer le secret à ses filles, et les embrassa tendrement, tentant en vain de les consoler.

Des flots de réfugiés commencèrent à arriver à Léopoldville -- à seulement deux heures de route -- et ils racontaient des récits d'horreur aux citadins du quartier blanc, qui bientôt commença à se vider de sa population. C'était la panique. On se précipita sur les traversiers pour passer la rivière et aller se planquer à Brazzaville. De très nombreux Blancs appelèrent leur famille en Belgique; ils allaient prendre le premier vol pour Bruxelles. Il fallait fuir. L'État congolais ne pouvait pas garantir leur sécurité.

À Bruxelles, le haut commandement réagit très vite. La Métropole n'allait pas laisser ses ressortissants dans un enfer pareil! Le lendemain, 6 juillet, commença l'évacuation des civils blancs apeurés; la flotte Sabena avait été mobilisée et reliait Brazzaville et la capitale belge par un pont aérien ininterrompu. Bientôt, chaque avion quadrimoteur « Super Constellation L-1049 » qui se posait à Bruxelles chargé de cent réfugiés retournait aussitôt à Brazzaville avec autant de soldats belges à son bord.

À Camp Hardy, le capitaine-commandant Gilles LeBlanc, le major qui commandait et tous les autres officiers, aidés de soldats restés loyaux, avaient soutenu le siège toute la nuit au mess des officiers. Le matin venu, on négocia enfin.

Les soldats réclamaient le départ des « mauvais officiers » et promirent solennellement d'obéir sans broncher aux « bons officiers », qui devraient rester au Camp avec leurs familles. Ils jurèrent sur leur honneur que les « bons Blancs » n'avaient rien à craindre.

À Léopoldville, les gendarmes et soldats restés loyaux finirent par restaurer l'ordre, tout relatif, dans les rues de la capitale. Ils réussirent à convaincre les mutins les plus violents de rentrer dans leurs casernes.

Le major Lambert, celui qui commandait Camp Hardy en l'absence du colonel, reçut un appel d'un général de Léopoldville, qui lui offrit de lui envoyer en renfort des troupes belges stationnées à Port Matadi. Sur le conseil du capitaine-commandant Gilles LeBlanc, le major déclina l'offre en disant que cela rendrait toute la garnison furieuse et qu'alors ils ne seraient plus capable de défendre le mess des officiers; pire, les soldats restés loyaux pourraient même se retourner contre eux, et alors ce serait la fin.

Le bilan restait léger. Aucune mort d'homme à déplorer; quelques femmes violées. Les officiers dans leur mess et les assiégeants noirs avaient passé une nuit blanche à s'épier mutuellement, sans tirer un coup de feu. Et maintenant que les négociations allaient bon train, l'arrivée de troupes belges risquait de mettre le feu aux poudres. Les soldats auraient peur et toute la garnison se soulèverait dans un assaut généralisé -- et impossible à stopper -- contre le mess des officiers, qui serait saccagé de fond en comble.

On négocia tout l'avant-midi. Pendant ce temps, certains des mutins recommencèrent à violer les quelques femmes blanches capturées la veille au soir.

L'épouse d'un jeune sous-lieutenant fut ainsi de nouveau plaquée contre le comptoir de la cuisine et labourée par un caporal obèse qui trouvait complètement irréel de tenir cette fine taille blanche de ses grosses mains de nègre. Il éjacula en elle avec une force triomphante; le jeune officier au visage tuméfié de coups entendit le cri de jouissance emplir la cuisine pendant que sa nouvelle épouse, 19 ans seulement, recevait le sperme du caporal obèse.

« Aaaahhhhrrrr... Voilà pour madame la lieutenante! Encore du sperme de la troupe! Ton mari adore te regarder te faire violer par des nègres. Regarde comme il bande! »

La jeune épouse fut ensuite soulevée et couchée nue sur la table, tout près de son mari ligoté. Là, un mutin lui mit deux doigts dans le vagin et lui titilla le clitoris jusqu'à ce qu'elle se mette à haleter de plaisir imposé; les soldats rirent bien fort quand elle poussa une salve de cris suraigus, jouissant sous les yeux de son mari, dans les bras d'hommes qu'il était censé commander.

Puis, se furent de jeunes recrues aux pénis bien vigoureux qui la violèrent sur la table en la qualifiant de jolie petite pouliche, sous le regard hébété du sous-lieutenant, hypnotisé par le spectacle de ses seins qui bougeaient en vitesse, marquant la cadence du viol forcené. Chaque recrue prit son pied et jouit bien fort en la faisait couiner avec sa grosse bite cracheuse de sève.

La lieutenante couina encore plus fort quand le gros adjudant la viola rageusement par derrière, fonçant à coups répétés dans ses fesses bien rondes tandis qu'il la tenait penchée sur la table grinçante, secouant la petite femme en faisant la bête à deux dos avec elle. Il éjacula enfin et se sentit libéré de l'oppression coloniale.

Léonie, toujours séquestrée chez elle, fut violée encore et encore sur la table de sa cuisine par une bonne quinzaine de mutins! Elle reçut leurs offrandes diurnes à moitié inconsciente. Même l'adjudant commença à s'inquiéter et ordonna qu'on arrête de la violer. Elle fut tout de même gardée nue et exhibée sur la table, et subit toutes sortes d'humiliations comme de la bière sur les seins et bien sûr, de grandes quantités de sperme lâché de long en large sur ses belles courbes, de la tête aux pieds, par des soldats qui se masturbaient en rangs serrés autour d'elle.

Les négociations finirent par aboutir, vers midi, et un calme relatif fut rétabli à Camp Hardy. Léonie Deschamps et les quelques autres femmes d'officier qui avaient fait les frais de cette nuit d'horreur sauvage furent enfin transportées à Léopoldville, où elles reçurent les soins médicaux dont elles avaient grand besoin, avant d'être évacuées à Bruxelles où parents et amis les attendaient.

Jamais aucune d'entre elles ne dirait quoi que ce soit sur ce qui leur était arrivé au Congo. La lieutenante passerait deux ans en institution psychiatrique, puis dès qu'elle fut sortie, elle irait dans un quartier mal famé et se ferait sauter par une bande de romanichels; elle jouirait très fort dans leurs bras. Léonie se masturbera souvent en repensant aux jeunes recrues; elle se sentira coupable chaque fois qu'elle en jouira. Son mari finira par apprendre la vérité et en aura une crise d'angine. Il finirait par s'y faire et prendrait un grand plaisir à la forcer en la traitant de salle mangeuse de bites noires.

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Anonymous
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8 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

J’ai jamais autant joui sur un récit. Bravoooooooooooo !

HBuffHBuffil y a plus d’un anAuteur

Merci beaucoup pour tous ces commentaires. Je tiens à préciser que je ne fais jamais d'histoires sur des événements trop actuels. Le plus près que je suis allé est une histoire de journaliste française violée par des soldats serbes en 1999. (C'est en anglais seulement, sur un autre site.)

Je suis en train de travailler sur le chapitre suivant, qui est vraiment long; il se passe pas mal de choses qui finissent par déclencher la vraie grosse mutinerie, et je me dois de conclure le chapitre en revenant sur les personnages principaux, sans quoi on perdrait le fil de l'histoire.

Merci de me lire. Bonne journée du Québec!

LucasDehiLucasDehiil y a plus d’un an

Pas mal du tout, la suite !

liviolheureliviolheureil y a plus d’un an

Hello, vraiment bien ton histoire. Je l'ai lu également en anglais sur Ravishu, comme tes autres titres sur ce site, mais je dois dire qu'elle gagne en profondeur en français. En tout cas, tu écris tout aussi bien dans les deux langues, c'est vraiment un plaisir de te lire. Merci.

HBuffHBuffil y a plus d’un anAuteur

Merci pour vos commentaires. C'est la première fois que j'adapte une de mes histoires de l'anglais au français; je dis bien adapter, car j'ai amélioré certaines scènes, et pafois j'en ai même ajouté.

J'ai trouvé tout naturel d'adapter en français ce récit qui se déroule au Congo, où notre langue est une langue officielle. Dans le récit original (sur un autre site) il y a parfois des répliques en français suivies d'une traduction anglaise. J'ai trouvé les scènes de viol vraiment excitantes en français. On dirait que les seins goûtent différent des "breasts" et des "boobs".

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