Mutinerie au Congo, Chapitre 01

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Pendant un moment suspendu dans l'action, son soutien-gorge couvrit encore ses seins de taille modeste, mais ô combien aguichants. Un nègre s'empara du soutien-gorge, et tira bien fort, faisant apparaître ses seins nus, tout pâles et mouvants au milieu de cette tempête de vêtements qu'on déchire, d'hommes qui ricanent bruyamment en lui annonçant qu'ils vont tous se la faire!

Et la colonelle qui n'arrêtait pas ses cris perçants tandis qu'on la déshabillait de force.

Plus Léonie leur rappelait qu'elle était la femme de leur colonel, plus ils s'excitaient autour d'elle de leurs rires gras. C'était de l'huile sur le feu! Ses seins nus étaient constamment enterrés sous une masse de mains d'ébène; tous ces nègres avaient tellement fantasmé sur elle! Et là, ils allaient tous la violer, et à la fin, elle jouirait dans leurs bras comme une chienne en chaleur!

Ils se mirent à l'appeler « Madame la colonelle » systématiquement, ponctuant toutes leurs actions de cette marque de courtoisie.

Cette forêt mouvante de forcenés achevèrent de lui arracher brutalement tout ce qui lui restait de vêtements. Mise toute nue par la troupe, la jeune fille fut plaquée et maintenue sur son lit, ses bras encadrant sa tête blonde. Les soldats avaient pris un immense plaisir à faire glisser son short et sa petite culotte tout le long de ses jambes de déesse, jusqu'à ses pieds de petite demoiselle!

Sa peau, pâle et satinée, présentait un doré très subtil comme on en voit sur certaines filles blondes.

Sur son mont de Vénus agité dansait son buisson intime de poils dorés; elle se tortillait comme une anguille en panique au milieu de cette jungle de bras sombres, de ce tumulte de vociférations chargées de vindicte raciale, mais surtout du désir de violer une Blanche aussi belle et convoitée!

« Sale petite blanche! Tu vas voir ce que c'est que des bites de nègre! »

« Tu vas voir comment on va te violer, Madame la colonelle! »

« On va tous te passer dessus, Madame la salope blanche! »

Ils lui criaient bien d'autres injures et quolibets en lingala, mais la jeune fille ne comprenait que le français. Les mots et les jurons de la troupe marquèrent sa fierté au fer rouge : la honte! La honte qui tue! Violée par des nègres, elle! Violée par les hommes de son mari!

Léonie criait à fendre un miroir tandis qu'elle luttait pour se dégager avec l'énergie du désespoir! Mais ils étaient bien trop nombreux, chacun bien trop fort de toute façon.

Un adjudant d'un certain âge lui écarta les jambes sans douceur. Il avait déjà baissé le pantalon de son uniforme beige de la Force publique. Les yeux écarquillés de terreur, la femme du colonel avait le regard fixé sur la grosse bite noire et sillonnée de veines que l'adjudant pointait vers elle et son sexe blond! Ce pénis d'Africain était bien dur! Au garde-à-vous, et prêt pour honorer la colonelle!

La jeune fille blanche cria un « Non! » si fort et perçant que des hommes eurent mal aux tympans; elle suppliait et renouvelait ses refus, car il ne lui restait que cette défense symbolique.

L'adjudant, deux fois son âge et des poussières, railla sa détresse en illuminant son visage de mauvais nègre d'une débauche de dents ivoires, tandis qu'il s'allongeait sur elle et poussait son gland contre l'entrée de sa grotte à moitié mouillée.

La colonelle râla de douleur, de honte et d'horreur, ses membres solidement maintenus par les mutins, tandis que la bite de l'adjudant se frayait un douloureux chemin dans son vagin à moitié prêt. Léonie ressentait tout de même une certaine excitation secrète de se savoir désirée par tous ces hommes dont elle sentait la jeune vigueur. L'odeur de leur sueur aussi l'excitait malgré elle.

Le nègre aux tempes blanchissantes poussa bien fort, impitoyable, et lâcha un grand grognement de triomphe lorsqu'il se sentit en elle! Encouragé par ses jeunes subordonnés, l'adjudant Ilunga commença à pilonner la jeune colonelle, qui continuait de crier et de protester, plaquée le dos contre son lit grinçant, pendant que son vagin profané recevait de sauvages coups de boutoir!

Les yeux grand ouverts d'exaltation, l'adjudant fou de plaisir la violait à grands coups de sa puissante bite congolaise. Les soldats lui criaient après, lui demandant comment elle aimait ça, se faire sauter par la troupe. L'adjudant l'enfilait en lui pressant les seins, bien fermes, sentant son gourdin grossir et durcir encore plus en elle de savoir qu'il jouait avec les seins de sa colonelle pendant qu'il lui défonçait le vagin! Ah, que c'était bon de violer Léonie!

Elle hurlait de douleur sous l'assaut! Il lui faisait mal en lui pressant les seins aussi fort. Les puissants va-et-vient de sa bite lui meurtrissaient le vagin, mais le pire, c'était la destruction systématique et totale de sa dignité! La jeune fille blanche braillait, les larmes luisant sur ses joues, la tête constamment secouée, et ses seins avec, sous les secousses du viol collectif, tandis que l'adjudant la pilonnait en grognant comme un babouin en rut.

Bientôt, l'adjudant Ilunga lâchant un cri dont Tarzan eût été jaloux et il explosa dans Léonie, arrosant ses parois vaginales de puissants traits de son sperme congolais.

La jeune Blanche poussa un long cri plaintif, digne d'une louve hurlant à la lune, lorsqu'elle sentit toute cette sauce se répandre en elle et la souiller à jamais. Un de ces sales nègres venait d'éjaculer en elle! Impensable! Elle n'acceptait pas cette énormité qu'elle était incapable d'imaginer dans son esprit de Bruxelloise de bonne famille.

Le pire, c'est qu'elle connaissait de vue cet adjudant depuis deux ans! L'adjudant extirpa du paradis sa verge satisfaite, dégoulinante de sperme frais, et il se leva de sur le corps meurtri de Léonie, et fut aussitôt remplacé par le sergent, dont les galons étaient bien visibles sur sa chemise beige d'uniforme qu'il portait encore, nu partout ailleurs.

Léonie fut tout enveloppée de l'odeur âcre et virile de cet homme, plus jeune et vigoureux, et tellement fort quand il la saisit et l'embrassa en lui avouant qu'il la voulait depuis deux ans! Elle se sentit tout excitée malgré elle! Elle sentit son vagin bien mouillé et presque impatient de recevoir le sergent congolais! Elle fut choquée contre elle-même.

Les poignets solidement maintenus par les mutins hurlants, la colonelle sentit le sergent l'éperonner en la prenant avec une fougue qui la fit sangloter de honte tout en attisant encore son plaisir involontaire! Léonie, pleurant et braillant, fut secouée sans merci sous les coups de bélier du sergent, qui grognait son plaisir en lui baisant le cou, le souffle brûlant contre sa joue baignée de larmes.

Elle fut labourée sans ménagement par la grosse bite du sergent, qui faisait durer son plaisir le plus longtemps possible, savourant ce moment rêvé depuis deux ans. Son corps de fille réagissait, baignant ses parois vaginales de généreuses sécrétions, obligeant l'épouse déshonorée à ressentir un plaisir sauvage et interdit.

Léonie tressaillit et cria en jouissant fort, son esprit brouillé et corrompu de se savoir violée sauvagement par les soldats congolais, un fantasme qu'elle n'avait jamais voulu s'avouer à elle-même. Toute la troupe rit et se moqua d'elle en la traitant de salope blanche, en lui disant que toutes les Blanches rêvaient en secret de recevoir de grosses bites africaines bien tropicales.

Quand le sergent jouit à son tour, elle sentit son âme devenir un miroir brisé pour sept siècles de malheur. Plus rien ne recollerait les éclats brisés. La Léonie Van Cutsem qu'elle connaissait, de son nom de jeune fille, était morte en ce soir fatidique du 5 juillet 1960, dans les bras d'une horde de mutins congolais.

Ils la violèrent dans les règles de l'art militaire, c'est-à-dire en ordre de grade. Au sergent succéda un caporal-chef qui devait compter une quinzaine d'années de service. Puis ce furent les caporaux, puis les soldats de première classe, ainsi de suite jusqu'à la plus jeune recrue. Tous la violèrent à tour de rôle, en la possédant dans son vagin pour bien marquer leur conquête de cette Blanche et sentir l'humiliation du mari absent.

Ils l'essayèrent dans différentes positions. Mettre la colonelle à quatre pattes pour la prendre par derrière fut un jeu populaire dans la troupe. Les hommes bandaient bien dur en voyant les courbes gracieuses de son cul tout blanc.

Un soldat de première classe, surnommé le Baobab en raison de sa bite gargantuesque, la fit crier de douleur, puis finit par la faire jouir en la tenant bien serrée par la taille, admirant ses belles fesses de pucelle tandis qu'il la pilonnait triomphalement, comme une chienne belge!

Perdant tout contrôle, Fabrice « le Baobab » hurla comme le gorille alpha qu'il était et fit sentir à la colonelle toute la chaleur conquérante de son sperme épais. Il sortit d'elle en lui promettant d'éjaculer plus tard sur son visage, pour que madame la colonelle goûte au lait de coco du régiment!

Les mains des soldats parcouraient sans cesse les jambes et les pieds de la jeune fille, qui aurait pu être une « pin-up » américaine aux traits européens, voire une actrice à succès, par la seule beauté de ses jambes, sublimes, qui excitaient à la folie toute cette forêt de nègres qui l'encerclaient de leurs bites.

Souvent, un soldat la violait jambes en l'air pour avoir ses jolis pieds près du visage tandis qu'il la possédait. Il jouissait avec délice, les narines toutes pleines de cette suave odeur de pied de fille. La plante des pieds de Léonie produisait une folie érectile lorsqu'elle se posait sur le visage ou la poitrine de certains mutins.

Léonie ne comptait plus le nombre des viols. Son corps de jeune bourgeoise était devenu une décharge à sperme congolais tandis qu'elle était toujours sur le lit à se faire secouer ferme, recevant la jouissance crémeuse et chaude d'un soldat après l'autre tandis que ses seins meurtris de caresses forcées battaient la mesure et que ses cuisses fuselées étaient obligées de frotter les flancs de ses violeurs quand ils la prenaient en missionnaire; et parfois, ses pieds de fille blanche allaient donner contre les fesses du violeur noir.

Elle connut la joie forcée de jouir dans les bras des mutins, plus d'une fois. La colonelle était renversée, possédée comme une putain par cette révolte qui emportait tout et brisait les frontières de l'impensable.

À présent épuisée, elle ne hurlait plus; elle ne poussait que des halètements de fille soumise. On n'avait même presque plus besoin de la tenir. Elle les laissait se servir d'elle. À quoi bon lutter. Quapropter? Un petit mot latin ressorti du lycée vint se poser à la surface de sa conscience détraquée par les secousses et les va-et-vient incessants.

Pendant que les viols n'arrêtaient pas et que la nuit d'horreur avançait, Léonie se souvenait d'avoir lu Salammbô et d'avoir joui bien fort en s'imaginant comme une noble phénicienne violée à répétition par les mercenaires impayés une fois Carthage tombée dans leurs mains; cela n'arrivait pas dans le roman de Flaubert, mais advint dans son imaginaire à elle!

Les commentaires de la troupe l'excitaient malgré elle, et de plus en plus fort, car ses inhibitions capitulaient.

« Elle a un vrai beau p'tit cul, madame la colonelle! »

« Et elle aime ça! Non mais écoutez-là! »

« Dommage que son mari ne soit pas là pour admirer le spectacle! »

« Et elle est serrée avec ça, cette gourgandine de la Métropole! »

« Allez, ma colonelle! Tiens! Tiens! Tiens! Prends-en de la bite! Ça ne te fera pas de mal! Ah, oui! Ça y est! Ah, c'est bon! Oh oui, la sève arrive! Aahhhrrrrrrrrrr!!! »

« Ha! Ha! Ha! Ha! En voilà encore, de la crème congolaise! Allez, c'est mon tour! Et écoute-moi bien, salope : je veux que te m'entoures de tes bras et jambes, et que tu me dises que tu aimes te faire enfoncer par la troupe pendant que je te donne de ma grosse bite bien chocolatée! »

« Ha! Ha! Ha! Ha! Elle obéit! Ah, quelle salope! Si le colonel voyait ça! »

On finit par réaliser que la colonelle était trop terrifiée pour songer à leur mordre le pinceau, et c'est ainsi que les mutins commencèrent les fellations forcées. Oh, que c'était bon de prendre sa jolie bouche de Bruxelloise!

Chaque fois qu'un soldat lui ordonnait d'ouvrir la bouche toute grande pour accueillir son membre bien raide, la jeune fille obéissait et lui suçait le gland et la verge en pleurant silencieusement, son petit corps agenouillé faisant le délice visuel des autres mutins, qui à présent célébraient et buvaient de la bière de banane. Ils dévalisèrent le garde-manger de leur colonel, mangèrent de bon appétit. Ils trouvèrent aussi du vin d'Alsace, un pinot gris, qui ne fit pas long feu face aux mutins assoiffés.

Les mutins prirent grand plaisir à la regarder prendre le sergent dans sa bouche; il avait la bite grosse et longue, parcourue de veines méandreuses, le tout dans une teinte sombre d'acajou africain.

Léonie étant très belle de visage, le grand sergent -- celui-là même qui lui avait dit qu'ils voulaient mieux la connaître -- prit son pied avec un grand P, P pour pénis bandé, à regarder la belle jeune fille blonde, nue et agenouillée devant lui, qui tenait sa grosse bite de nègre, la tête prise du constant va-et-vient de la fellation forcée.

La colonelle suçait la bite du sergent avec une expertise qui dénotait une solide expérience, et lui valurent des éloges et commentaires crus des mutins, tandis qu'elle faisait au sergent exactement ce qu'elle faisait tous les deux jours à son mari régimentaire. C'est qu'elle connaissait ça, la discipline!

Le sergent lui caressait doucement la chevelure tandis qu'elle rendait ainsi hommage à sa virilité. Il n'en revenait pas de voir son gourdin tout luisant de salive bruxelloise! Léonie agenouillée devant le sergent congolais et le servant de sa bouche était devenue la personnification de la puissance coloniale renversée par la mutinerie et soumise à la soldatesque.

Sa soumission fut bien vite récompensée par le sergent, qui hurla son plaisir et lui lâcha un gros paquet de sperme bien fumant que la jeune colonelle fut obligée d'avaler; puis il sortit de sa bouche et râla encore un coup en faisant gicler une nouvelle offrande qui lui doucha le visage de cette crème congolaise qu'elle commençait à bien connaître.

Elle fut surprise de trouver le goût pas si mauvais que ça, mais moralement, la jeune fille était plus que dégoûtée d'elle-même. Quelle salope elle faisait!

Les mutins commentèrent sa prestation.

« Oh, mais c'est qu'elle suce bien, madame la colonelle! »

« Elle a une vraie petite gueule à sucer les bites de nègre! »

« Elle a le physique de l'emploi; voyez comme elle est gracieuse, avec ses jolis petits seins pendant qu'elle se fait badigeonner de sirop! »

« Allez, adjudant, dis-lui de bien polir ton casque! Ha! Ha! Ha! Ha! »

« Une vraie belle tête à queues de nègres! »

« Ouh-ouh-ouh... Un ban d'honneur pour madame la colonelle! »

« Mademoiselle la colonelle; mademoiselle... Elle est bien trop jeune et jolie pour être une madame! »

« Pourtant, son alliance fait très bien sur son annulaire pendant qu'elle tient la bite de l'adjudant! »

« C'est vrai. Elle ne manque pas de glamour, la colonelle! Ha! Ha! Regardez-la! »

Pendant qu'elle prenait la bite noir charbon d'un caporal après avoir reçu et avalé le sirop de l'adjudant grisonnant, Léonie se demandait comment elle allait faire pour être encore capable de se regarder dans un miroir, pour soutenir le regard de son mari et des membres de sa famille sans mourir de honte. Elle ferait tout pour que personne ne sache rien de cette nuit! Pourvu qu'elle ne tombe pas enceinte! Là, elle se tuerait!

Bientôt, le caporal sortit de sa bouche et se masturba en râlant, tirant à bout portant une immense décharge de semence bien crémeuse, dont il lui badigeonna les seins et une partie du visage. La colonelle reçut cet honneur en pleurant doucement.

Un autre caporal prit la relève avec sa longue bite courbée vers le haut. C'est tout le peloton qu'elle dut prendre dans sa bouche, des sous-officiers jusqu'aux jeunes recrues. La jeune bruxelloise reçut ou avala décharge après décharge de sperme africain en se faisant sans cesse qualifier de « salope blanche » et de « gourgandine de Bruxelles ».

Elle s'habitua au goût, subtilement âcre, et son visage et ses cheveux furent bientôt couverts d'une couche gluante de sperme offert gratuitement par les mutins de la Force publique. Ils lui versèrent aussi de bonnes rasades de bière de banane sur la tête et lui en frictionnèrent les seins, pour ensuite lui lécher les mamelons. Le vin d'Alsace sur ses seins de fille blonde fut déclaré sélection gagnante.

Quand elle arriva aux bites des jeunes recrues, Léonie fut surprise de ressentir une grande excitation de faire la fellation à ces gamins plus jeunes qu'elle, de sentir leurs mains de garçon lui caresser les cheveux tendrement pendant qu'elle goûtait à leurs pénis aussi durs que foncés. Elle n'avait jamais osé se l'avouer, mais les bites des moins de vingt ans l'attiraient follement; elle s'en était toujours voulu de ne pas s'être envoyée en l'air avec son jeune cousin.

Pendant qu'elle suçait tous ces nègres, Léonie entendait tout plein de commentaires sur sa beauté et les charmes de son corps menu; elle faisait un mètre cinquante-huit. Malgré l'horreur, malgré cette mise à sac de son honneur d'épouse et de femme, la jeune fille ressentit secrètement une vile fierté d'entendre tous ces hommes de troupe lui faire leurs commentaires crus.

Ils la connaissaient tous de vue. Ils l'avaient tous vue marcher devant eux aux côtés de son mari, leur colonel, si belle dans sa robe d'été, ceinturée à la taille et se terminant aux genoux, ses jambes et les formes de ses seins narguant leur désir sauvage par cette splendeur toute européenne; une splendeur qui leur était formellement interdite. Que de fois ils étaient restés au garde-à-vous en la regardant passer du coin de l'œil!

À présent, ils l'avaient déshabillée et violée, et elle devait poursuivre l'orgie en suçant toutes leurs bites. Quelle joie de tirer son coup et de lui offrir une douche de sperme en plein visage! Ça lui apprendra à se sentir supérieure!

Ah, ces fumiers de Blancs! Ça se pavanait fièrement au bras de sa femme, l'exhibant tout habillée à leurs regards de nègres, les narguant de ces douces courbes cachées sous les robes d'été, mais gare à eux, nègres qu'ils étaient, s'ils osaient seulement penser à des rapprochements! Ah, ça non! Leurs chères épouses et leurs filles bien aimées étaient des chasses gardées.

C'est pour cela que certains soldats s'étaient écriés « Allons prendre leurs femmes! Allons violer leurs filles! » dès que la mutinerie avait éclaté. La troupe s'était ruée sur le quartier des officiers.

Par bonheur, la grande majorité des Blancs avaient fui juste à temps et arrivaient à soutenir le siège au mess des officiers, aidés d'assez nombreux soldats restés loyaux. Anne pleura de terreur toute la nuit, dans les bras de sa mère, tandis que Juliette restait assise dans un coin, hébétée, silencieuse, avec le sexe secrètement mouillé de penser à tout ce que les mutins lui feraient, à elle et à sa sœur cadette, s'ils réussissaient à prendre le mess d'assaut.

Il ne leur arriva rien, mais Léonie et quelques autres femmes d'officiers eurent moins de chance. Toutes les femmes et jeunes filles blanches attrapées par les mutins furent sauvagement déshabillées et « passées à la bite chocolatée ». Ce fut leur baptême de sperme congolais. Plus d'un soldat rit en leur disant que ce chocolat était spécial et qu'on n'en trouvait nulle part ailleurs qu'au Congo.

Elles furent violées à répétition jusqu'à l'aube. Les soldats congolais n'enculaient généralement pas les filles, car ils trouvaient cela très sale et vulgaire; pour eux, culturellement, tout était dans la prise de possession vaginale. Aucun mot n'aurait pu décrire l'indicible plaisir que le soldat nègre ressentit quand son pénis explosait dans la femme ou la fille du Blanc! C'était ça, prendre possession.