Mon initiation dans la sororité 01

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le cours me sembla durer une éternité, mais il finit tout de même par s'achever. On se leva pour quitter la salle, et c'est à ce moment que ça me frappa ; se lever et marcher me donnait une envie de pisser comme je n'en avais jamais connu. Avec Amy, nous sommes restées ensemble l'une contre l'autre jusqu'à pouvoir quitter l'établissement et s'asseoir sur un banc. On discuta alors de ce que l'on allait faire. Notre objectif principal était d'éviter de tomber sur une de nos connaissances hors cadre de la sororité. Puis, je demandais à Amy ce qu'elle avait ressenti en mouillant sa couche, et si sa couche-culotte était vraiment humide. À ma surprise, Amy m'expliqua que de se laisser aller l'avait soulagée d'un tel poids qu'elle se sentait libérée. Je lui demandais comment elle avait été capable de se faire pipi dessus volontairement. Là-dessus, elle me donna quelques conseils :

« Tu t'affales contre le dossier du banc, et tu relaxes tes muscles. » Je fis comme elle me le dit. J'essayais de ne laisser sortir qu'un tout petit peu de pipi, mais comme j'avais une envie très pressante, je sentis mes barrières exploser! Une fois commencé, je ne pouvais plus m'arrêter. Je restais les jambes légèrement écartées et mon dos collé au banc. Je sauçais ma couche sans aucun contrôle. Je m'inquiétais immédiatement qu'on le découvre, ou que ma couche-culotte ne puisse retenir tout mon pipi. C'était une sensation en même temps effrayante et formidable! Je ne m'étais jamais souillé volontairement, et même si j'avais eu des "accidents" comme toutes les gamines en grandissant, cela ne m'était jamais arrivé quand je portais une couche! Alors que la pisse continuait à couler, une sensation de chaude humidité sembla remplir toute la couche. J'étais submergé de soulagement et de fébrilité. La sensation était si intense que je n'étais pas loin d'avoir un orgasme. Amy me tint la main pour me soutenir pendant que j'ouvrais les vannes. Elle me dit « Ce n'était pas si désagréable, non? » Je ne pouvais pas lui cacher mes émotions et lui répondis que je me sentais comme sur un nuage.

Mais il restait un problème, ne pas se faire choper toute mouillée. Il était onze heures passées, on décida de marcher lentement jusqu'à la sororité. Amy affirmait qu'à chacun de ses pas, elle parvenait à relâcher un tout petit jet de pipi. On ne pouvait s'empêcher de rigoler à mesure que nos couches-culottes prenaient du poids, nous avions l'impression plus de nous dandiner que de marcher. L'on croisa un groupe de nos consœurs et des membres de la fraternité de Chris. Un des garçons nous dit : « Faites gaffe de ne pas vous mouiller, il risque de pleuvoir. » Et ils se mirent tous à ricaner. Il y avait un soleil brillant, son commentaire n'avait pour but que de nous taquiner et nous humilier. L'on arriva finalement devant la sororité. Il y avait une note sur la porte nous demandant d'attendre dehors jusqu'à ce que tous les "bébés" soient revenus.

Une par une, les bizutes revenaient à la maison. Lorsque notre camarade Heather se montra enfin, on lui posa la question que tout le monde posait :

« Alors, tu as réussi à rester sec? » Heather murmura qu'elle avait mouillé sa couche, mais l'avait retirée dans les toilettes. Elle devait faire un exposé pour son cours de communication et ne pouvait prendre le risque d'être prise sur le fait. Elle avait pensé s'acheter une autre couche-culotte pour cacher le fait qu'elle avait retiré sa couche trempée... mais, finalement elle avait pensé qu'il valait mieux venir ici et expliquer les circonstances. Entre temps, toutes les bizutes/bébés étaient arrivées. Une des filles, Linda, semblait comme danser autour de nous, tentant de contrôler sa vessie, elle était la seule à être parvenu à rester sèche. On rigolait à la voir, ses mains serrées entre les jambes et effectuant de petits bonds. Je ne sais pas comment l'idée circula, mais l'on se jeta toutes sur Linda pour la plaquer au sol. On n'allait pas lui laisser passer l'occasion d'avoir le plaisir de se retrouver dans une couche humide! L'on n'eut aucune pitié. Nous la tenions contre le sol, et on lui chatouillait les pieds, l'estomac, le cou. La bizute se roulait par terre prise de fou-rire. Tout d'un coup elle arrêta de se débattre, et on arrêta de la chatouiller. Devant nous toutes, ses mains toujours coincées entre ses jambes, Linda trempa sa couche. Elle n'arrêtait pas de hurler : « oh mon Dieu! Oh mon Dieu! » On avait l'impression qu'elle n'allait jamais arrêter de se pisser dessus! C'était vraiment cocasse à regarder et on riait gaiement de sa déconvenue. Du coup, on ne remarqua pas que la porte d'entrée s'était ouverte et nous fûmes assez surprises quand une voix sévère nous ordonna d'entrer et nous mettre en ligne!

« Vous vous souvenez des marqueurs que vous avez achetés? » nous dit Nicole.

« Cet après-midi chacune de vous recevra un de ces marqueurs. »

« Je vous demanderai de recueillir trois signatures provenant des membres de notre fraternité "frère". » Je me disais qu'accomplir cette tâche habillée en petite écolière serait assez gênant, mais enfin, ce n'était pas non plus si terrible. Comme j'avais tort! Notre présidente ajouta :

« Je veux que ces trois signatures soient faites sur le dos de vos couches jetables. »

« Vous éviteriez des embarras si vous obtenez ces signatures quand vous êtes encore sèches! »

On se mit alors à paniquer, mais on savait aussi ne pas avoir le choix. On nous demanda de s'allonger par terre, et chacune de nous eut droit à un changement de couche avant que l'on puisse remettre notre culotte plastique par-dessus. Cette fois, on nous scotcha un du ruban adhésif tout autour de notre couche, il n'y avait aucun moyen pour retirer notre couche-culotte et la remettre.

« Soyez de retour à quatre heures précises si vous comptez utiliser les toilettes avant de la fête de ce soir. »

« Ah, j'oubliais... avant de vous laisser partir, je tiens à ce que vous buviez une bonne grosse tasse de café et une bouteille d'eau. »

« Je reste pour m'assurer que ce soit bien fait! »

« Dépêchez-vous où vous serez en retard pour vos cours. »

La première chose que je fis après avoir bu mon café et ma bouteille d'eau fut d'appeler Chris pour lui demander son aide. J'y avais bien réfléchi, et il n'y avait pas moyen d'y couper, j'avais besoin de lui pour collecter les trois signatures. Je pensais que j'aurais un peu moins honte si lui et deux de ses amis de la fraternité signaient ma couche-culotte. Au téléphone, je ne le prévins pas des raisons qui me poussaient à vouloir le voir. Chris me dit de venir le retrouver à l'espace étudiant sur le campus. Il était déjà là quand j'arrivais. On s'installa dans un recoin du restaurant et, avant que je ne puisse lui dire que je n'avais pas soif, il commanda deux grandes boissons. J'avais du mal à mettre le sujet sur la table... Comment dire à un garçon dont on est amoureuse que l'on porte une couche-culotte et que : « tiens, pendant que j'y pense, tu pourrais signer dessus avec deux amis de ta fraternité? » Chris n'arrêtait pas de me dire qu'il me trouvait ravissante et que je ne lui avais jamais paru aussi sexy. Avant que je ne parvienne à lui demander de l'aide, je sentis son pied me toucher sous la table. Il avait retiré ses chaussures et commençait à remonter le long de ma jambe. J'étais vraiment inquiétante qu'il ne découvre le pot au rose. Mon visage devait avoir tourné au cramoisi. Son pied montait de plus en plus haut, jusqu'à parvenir à mon entrecuisse couverte de la culotte en plastique.

« Qu'est-ce que je sens? » Il frottait ma culotte en plastique de son pied, ce qui me rendait toute humide, et pas à cause de ma vessie... Justement, un serveur arriva avec nos boissons, ce qui n'empêchait pas Chris de continuer de jouer avec moi sous la table. J'avais eu l'impression que nos relations s'approfondissaient par le passé, et là, je sentais qu'un moment crucial était en jeu. Chris brisa la glace en disant : « Alors tu as besoin de quelques signatures? » Il savait déjà ce que je voulais lui demander... que savait-il d'autre?

Nous sommes restés dans notre coin une bonne heure, partageant des choses que nous n'avions jamais dit à personne. Je me sentais tellement proche de lui... Au point que sans penser aux conséquences, je bus le grand soda qu'il m'avait commandé. Ce que je regrettais vite, ma vessie finit par se réveiller et je sentais qu'elle était pleine. Enfin, je n'étais pas encore en danger immédiat, je pouvais patienter un peu. Chris paya l'addition et l'on partit vers sa fraternité.

Durant notre promenade, Chris ne pouvait s'empêcher de coller sa main sur mon derrière et mon rembourrage de couche-culotte. Il semblait se moquer qu'on le voit avec sa main sous ma jupe! Arrivé à la maison, Chris eut alors une bonne occasion de voir ce que je portais. Je me tournais lentement en face de lui tout en soulevant bien haut ma jupe. En réaction, il me serra tout de suite dans ses bras et me serra très fort. Dommage qu'à cause de mon envie de faire pipi son étreinte fût plutôt embêtante. Je lui demandais s'il pouvait m'avoir les signatures rapidement, et il me dit que oui. On alla dans sa chambre avec deux gars qui était dans le secret des pratiques initiatiques de ma sororité. Je n'avais jamais été aussi humiliée. Je me penchais sur le lit de Chris et descendait ma culotte en plastique sur les genoux. Chaque garçon se mit à apposer une signature sur la couche-culotte couvrant mon popotin. Je m'apercevais aussi que, plus je me faisais humilier, plus je me trouvais excitée. En fait, jamais je ne m'étais dans un tel état... Mais je fis un gros effort pour ne pas le montrer devant les gars de la fraternité. Une fois leur tâche accomplie, Chris demanda à ses confrères de partir et il referma la porte.

Nous ne pûmes nous contrôler. On se retrouva sur le lit à s'étreindre et s'embrasser. Il était sur moi, et son poids mettait une pression si forte sur ma vessie que je sus que j'allais avoir un « accident. » Il me laissa passer sur lui, ses mains passèrent en dessous de la culotte en plastique, et il pressa ma couche-culotte avec fermeté. Il avait des mains si puissantes... mais cela ne m'empêchait pas de me tortiller comme si j'étais en chaleur. Chris murmura à mon oreille que je pouvais me laisser aller et pisser lentement dans ma couche. Normalement ç'aurait été impossible pour moi, mais après quelques minutes et avec la pression qu'il exerçait je n'allais bientôt plus pouvoir me retenir. Chris continuait à me masser les fesses à travers la couche-culotte, et cela faisait aussi bouger le rembourrage entre mes jambes... La sensation des mains de Chris sur mes fesses, le mouvement des couches entre mes cuisses, les murmures qu'il m'adressait comme quoi il était fou amoureux de moi et mon humiliation absolue, tout ça était trop à gérer. Je perdis tout contrôle et commençais à mouiller ma couche. J'essayais de prendre mon temps, de ne pas tout lâcher d'un coup afin de faire durer ce moment le plus longtemps possible. Toute la durée où je me laissais aller à l'incontinence, Chris continua à me masser. Pendant que je me faisais pipi dessus, il ne cessait de me dire combien il m'aimait. J'explosais dans un énorme orgasme. Chris et moi n'avions jamais couchés ensemble, et là, je me soulageais de pipi et de cyprine au-dessus de lui sans arrêter de frétiller.

Plutôt que d'être embarrassée, j'avais l'impression d'avoir connu une expérience unique dans une vie. Je savais que je ne pouvais pas retirer ma couche sans avoir des ennuis avec ma sororité, mais il était hors de question que je laisse Chris avec l'érection sans m'en occuper. Celle-ci était si forte, qu'elle était sur le point de faire un trou à travers son slip. Je me tournais de sorte que ma culotte plastique pèse sur le visage de Chris et je baissais la tête sur son caleçon. Après le lui avoir retiré, je mis son pénis dans ma bouche et lui donnait une bonne « séance d'entraînement. » Pendant que ma bouche s'occupait de son sexe, Chris feignait de pratiquer un cunnilingus à travers ma culotte plastique. Tout ce qu'il faisait me chauffait, même ça. Chris finit par exploser dans ma bouche et j'avalais le tout. En quelques minutes nous avions accompli plus de « premières fois » que bien des couples dans toute leur vie.

Il allait être quatre heures et je devais retourner à la sororité. Debout, je demandais à Chris qu'il se presse contre moi pour que je puisse une nouvelle fois me laisser aller dans ma couche-culotte. Il me taquina « si tu n'avais pas ses couches sur toi, je te placerais sur mes genoux pour te fesser comme une vilaine fille. » je répondis « La prochaine fois, j'espère bien! » (Secrètement, j'ai toujours voulu recevoir la fessée.) Un nouveau problème se faisait jour. J'avais trempé mes couches deux fois dans la chambre de Chris et elles avaient atteint leurs limites. Je sentais même quelques gouttes de pipi couler contre mes jambes. C'était pour le moins embarrassant. Chris en profita pour m'asticoter :

« Alors ce gros bébé est très mouillé et à besoin de se faire changer sa couche? »

Avant de partir, Chris m'aida en fourrant du papier toilette devant et derrière ma couche, puis il me conduit en voiture jusqu'à la sororité. Ainsi je n'eus pas à me dandiner tout du long. Il m'embrassa avant que je sorte de la voiture et me dit qu'il était impatient de me revoir ce soir. Je lui demandais ce qui était prévu pour les bizutes à cette soirée, mais il ne me donna pas le moindre indice.

« À bientôt, bébé! »

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Dominatrices Inattendues Ch. 01 du jeu de domination soft vers l'esclavage sexuel.
Lucie, But Not Lucky (?) Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
Mon Mari et Moi Avons été Forcés Comment nous avons été amenés à la prostitution.
Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Une Fille Bien Sage Un couple repousse ses limites dans une session abdl et bdsm.
Plus d'histoires