Mon initiation dans la sororité 01

Informations sur Récit
Une sororité bizute ses candidates avec des couches-culottes.
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 05/14/2017
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Traduit de "My Sorority Initiation" de Heather23

Mon mari à suggérer que je vous décrive l'expérience que j'ai vécue à mon entrée en université privée. Mon nom est Kimberly ou Kim comme on m'appelle souvent. J'étais étudiante à l'Université Midwest où j'étais membre d'une grande sororité et mon bizutage pour entrer dans cette sororité a changé ma vie pour toujours. Non seulement j'ai rencontré mon époux durant l'initiation, mais j'ai aussi découvert que j'étais extrêmement excitée quand je me retrouvais dans des situations humiliantes. Particulièrement quand il est question de couches-culottes et de se faire pipi dessus.

Les sororités et fraternités sur mon campus n'étaient plus autorisées à pratiquer des séances de bizutages qui pouvaient blesser les candidates. J'ai d'abord pensé que cette règle anti-bizutage était une super idée, mais ce que je ne savais pas était que les associations « grecs » (appelé ainsi, car les associations de fraternités et sororités étudiantes utilisent trois lettres de grec ancien comme nom) pratiquaient encore des rites d'initiation. Les pires épreuves arrivaient dans ce qui était appelé : « La semaine infernale. » Tant que personne ne se faisait blesser, l'université autorisait les sororités et fraternités à faire à leur bizute ce que bon leur semble.

Après plusieurs fêtes de présentation des sororités, je décidais de candidater à la plus populaire du campus. Leur maison collective était magnifique, les filles très extraverties et jolies, et il semblait que toutes les fraternités adoraient particulièrement cette sororité. Je soumettais une offre pour les rejoindre et attendis anxieusement la première réunion pour rencontrer les autres candidates et les membres actuels.

Les choses se déroulèrent un peu près comme je m'y attendais. Les filles étaient vraiment gentilles, les verres circulaient librement, eh oui, il y avait plein de gars de la fraternité frère. (Cette fraternité était officieusement liée à notre sororité pour de nombreuses activités.) J'étais satisfaite d'avoir pris cette décision et j'attendais impatiemment que passe le mois de bizutage pour devenir membre.

Le jour suivant, on demanda à toutes les candidates d'assister à une réunion à la sororité pour en apprendre plus sur l'association et le processus pour en devenir membre. Les sœurs « sympa » commencèrent alors à afficher une tout autre attitude. Nous fûmes tout de suite prises de haut et il devient très clair que nous devrions traverser des épreuves assez dures avant de devenir membres. Nous devions traiter tous les membres actuels comme des reines. En d'autres termes, quoi qu'une sœur veuille, nous devions immédiatement accéder à sa demande. De plus, nous étions affectées à une « Maman » de la sororité, et un « Papa » de la fraternité frère qui « veilleraient sur nous » et nous « aideraient » à traverser le processus d'adhésion.

Au début les choses ne se passèrent pas trop mal. Nous devions nettoyer les pièces de la maison de la sororité, préparer les repas, et pendant les fêtes, servir les petits-fours et les verres. Toutefois, ma Maman de sororité, Janet, était très exigeante et elle était très fière de me faire travailler super dur pour lui faire plaisir. Le plus angoissant était que si un seul membre de la sororité faisait objection à notre candidature, nous ne pourrions pas adhérer à la sororité à la fin du mois. Inutile de dire que nous donnions à fond pour avoir l'approbation de chaque membre.

Ce fut aussi durant cette période que je rencontrais mon Papa de fraternité, Chris. Chris était vraiment beau gosse, attentionné, eh oui, plein d'assurance. Notre relation démarra presque immédiatement. Ce que je ne réalisais pas était que ma Maman de sororité et mon Papa de fraternité discutaient fréquemment de mes progrès et s'arrangeaient pour rendre mon expérience de bizute la plus pénible et humiliante possible. Mais dans l'ensemble, les choses se déroulaient plus ou moins comme je m'y attendais... du moins, jusqu'à ce que la « semaine infernale » commence. (La semaine infernale était la dernière étape avant de devenir membre.)

Au début de la semaine infernale, toutes les bizutes furent rassemblées ensemble pour discuter des activités de la semaine. On nous expliqua que nous perdions TOUS nos droits durant cette semaine et que nous serions soumises à de nombreuses expériences humiliantes. Nous devions abandonner nos droits dans un « Contrat d'accord. » Je crois qu'aucune de nous n'avait la moindre idée de qui nous attendait et l'on signa le document sans tarder. On nous dit alors que nos « Papas » et « Mamans » grecs allaient continuellement contrôler nos actes durant la semaine. Chaque jour nous devrions affronter des challenges de plus en plus nombreux que nous serions tenus de remporter ou nous ne serions pas intégrés à la sororité. La fin de la semaine serait conclue par une fête de fraternité/sororité, et ce n'est qu'à la fin de cette fête nous saurions si nous avions réussi à passer les tests pour devenir membre.

La première nuit commença de façon inoffensive. Les candidates étaient divisées en six groupes de trois filles. J'appréciais les deux autres filles de mon équipe, Heather et Amy. Nous resterions dans la même équipe toute la semaine ; on nous expliqua que l'équipe qui aurait le moins de points recevrait le traitement le plus dur. Le premier évènement semblait assez classique. Nous devions participer à une chasse au trésor, on donna à chaque équipe une liste d'objets à se procurer. L'équipe qui reviendrait la première recevrait le plus de points, mais toutes les équipes devaient compléter la liste avant d'être autorisées à revenir à la sororité.

La liste même pour une chasse au trésor était bizarre. Mais vu que c'était la semaine infernale, aucune de nous n'y porta une trop grande attention, nous étions surtout déterminées à être la première équipe à revenir à la sororité. Notre liste contenait les éléments suivants : un lot d'épingle à nourrice ; trois biberons ; trois chaînettes de 60 centimètres ; un rouleau de ruban adhésif ; un gros paquet de couches-culottes jetable ; trois courtes jupes à carreau adaptées à nos tailles ; un lot de mini-cadenas avec leurs clefs ; trois sacs à couches-culottes ; des pyjamas de nuit à nos tailles ; des marqueurs permanents et plusieurs autres objets saugrenus. Oui c'était une liste bizarre, et qui demanderait du temps pour être bouclée.

Il semblait évident qu'il fallait s'attendre à devoir porter les objets marqués sur la liste, mais aucune de nous ne parvenait à voir le lien entre certains des objets. Et pourquoi y avait-il autant d'objets pour bébé sur la liste? On partit tout d'abord dans une quincaillerie pour récupérer trois chaînettes et trouver les petits cadenas. La pharmacie avait une bonne partie des objets qui nous intéressait, dont les couches-culottes jetables. C'était le plus embarrassant à acheter. Je sentis mon cœur se mettre à battre à toute allure alors que je me présentais avec les couches devant le caissier. Il demanda : « Ces couches sont de grandes filles comme vous? » On rigola et on répondît « On sait jamais. » Ensuite, on alla au centre commercial, on trouva facilement les vêtements dont on avait besoin. On avait enfin fini notre liste, et on se dépêcha de revenir à la sororité pour découvrir que nous étions arrivées les toutes dernières.

En tout cas, toutes les équipes étaient revenues. On plaisantait toutes ensemble, en buvant des verres et en nous racontant la façon dont on s'était procuré tous les objets. La nuit finit assez abruptement quand la présidente de notre sororité, Nicole, débarqua et nous annonça que l'on ferait mieux de se mettre au lit, car les cours commençaient tôt demain. Elle continua en déclarant que l'on devrait avoir fini de se doucher dès sept heures et avoir mis nos mini-jupes à carreaux pour aller en cours. Je ne pouvais pas me sortir de la tête que demain allait être une journée de folie.

Avant de m'endormir, mon « Papa » de fraternité, Chris m'appela pour me souhaiter une bonne nuit et dit qu'il avait hâte de voir son « bébé » le lendemain. Je ne me rappelais pas qu'il ne m'ait jamais appelé « bébé » et j'étais un peu près certaine qu'il y avait un sous-entendu caché. Avant de m'assoupir, je me posais des questions sur les couches-culottes que l'on avait achetées...

J'avais eu une histoire un peu particulière avec des couches. Il y a plusieurs années, quand j'étais au lycée, je fis du baby-sitting ; lorsque les bébés furent couchés et que je me retrouvais seule, je sortis trois couches lavables. J'avais décidé de les déplier et de les rabattre sur moi pour voir l'effet que ça faisait. J'essayais même de mouiller les couches, mais, je trouvais impossible de me faire pipi dessus volontairement. Finalement, je versais deux verres d'eau chaude sur la surface des couches pour avoir l'impression de porter des couches humides. L'expérience me mit dans un état d'excitation imprévu. Je me sentais si souillonne de porter des couches trempées... C'était un peu compliqué de me promener dans la maison, mais avoir entre mes jambes des couches chaudes et humides, cela procurait une sensation incroyable. Je finis par m'étendre sur le sol, passant mes mains sous les couches trempées et je jouais avec moi-même jusqu'à exploser dans un climax fantastique. Je pensais que demain serait intéressant...

Je me réveillais, prenais une douche et revêtais de ma petite jupe à carreaux achetée la veille. On demanda aux bizutes de s'habiller comme de petites écolières et je fis de mon mieux pour m'y conformer. J'allais jusqu'à coiffer mes longs cheveux blonds en deux couettes pour correspondre parfaitement au rôle. Nous avions toutes dormi dans la sororité. Quand je descendis dans la grande salle, on nous demanda immédiatement de nous mettre en ligne pour inspection. L'on indiqua à plusieurs d'entre nous que nos jupes étaient trop longues, dont moi. Je n'arrivais pas à y croire, elle était si courte! On me donna une nouvelle jupe sur-le-champ et on me demanda de me changer face à toutes les bizutes. La jupe était riquiqui, mais je n'osais pas me plaindre. Quand nous fûmes toutes passées par l'inspection, on pensa se rendre dans nos salles de classe. C'était embarrassant d'être habillées comme de petites écolières, mais des choses bien pires auraient pu arriver. Avant de rompre les rangs, Nicole, la présidente, nous demanda de retirer nos culottes et de les lui donner. On nous demanda de reformer nos équipes de la veille et se préparer à se mettre en couche-culotte. Il y eut beaucoup de questions, mais notre présidente nous réprimanda : « Fermez là et faites ce qu'on vous dit! » Les groupes se réunirent chacunes dans une pièce et un des sac de couches jetables qu'on avait achetés fut amené. On nous chargea de bien vouloir mettre une couche sur nos partenaires d'équipe à tour de rôle. Si la couche-culotte était mal mise, ou pas assez serrée, on nous retirerait des points. (Et les points allaient avoir beaucoup d'importance.) C'était super gênant! Il y eut des ricanements et même quelques protestations de pure forme, mais au fond, nous voulions toutes rejoindre la sororité et l'on procéda à se placer les couches les unes sur les autres. Ce n'était pas bien dur à faire, juste vraiment humiliant. Je ne m'étais jamais allongée nue en face d'une autre fille, et certainement pas pour me faire mettre une couche. Quand tout le monde eut fini, on intégra de nouveau la ligne d'inspection. La présidente de sororité passa devant chacune de nous, et inspecta chaque couche. Toutes les filles réussirent l'inspection sauf une fille. On demanda alors à la pauvre fille de retirer sa couche et une consœur se mit à lui infliger cinq grands coups sur les fesses avec une palette de la sororité. La fille fut alors ensuite rapidement mise en couche-culotte par une de ses coéquipières, et cette fois la couche fut fermée au plus serré.

La présidente Nicole, nous donna des instructions supplémentaires :

« Je sais ce que vous pensez... Dès que vous partirez en cours, vous espérez pouvoir retirer vos couches-culottes pour ne pas avoir à les porter en public. »

« Eh bien n'espérez rien de tel! »

« Apportez-moi les rubans adhésifs que les filles ont achetés hier. » Pendant que l'on attendait debout en ligne, on nous demanda à tour de rôle de relever nos jupes. Une des membres de la sororité plaçait alors un petit morceau de ruban sur la fermeture de la couche jetable.

« Vous êtes dorénavant dans l'incapacité de retirer vos couches sans que le plastique soit déchiré! »

« Si vous revenez à la maison sans votre couche sur vous, vous échouerez à l'initiation! »

« Des questions? »

Audiacement, je demandais « Que fait-on si on a besoin d'utiliser les toilettes? »

Nicole répondit :

« J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. »

« La mauvaise, c'est que vous portez votre toilette sur vous! »

« La bonne, c'est que vous pouvez revenir à la maison entre midi et une heure pour aller aux w.c., ou si c'est nécessaire -- pouvoir changer de couche! »

Nicole continua,

« Avant que vous vous dandiniez jusqu'à vos salles de classe, il me reste encore quelques instructions à vous donner. »

Chacune de nous reçut une bouteille d'un litre et on nous demanda de la boire la plus vite possible. À nouveau, on donna des points à l'équipe de trois filles qui finit sa bouteille en premier. Il était évident que les membres de la sororité souhaitaient que l'on parte à nos cours avec pensée inquiétante que nos vessies devraient attendre jusqu'à midi avant de pouvoir se soulager en sécurité. Amy, Heather et moi-même finîmes notre bouteille en premier. Ce qui allait rendre les choses encore plus difficiles, c'était qu'on nous avait offert plusieurs tasses de café avant qu'on nous mette en couche-culotte. Quoi qu'il en soit, et en ne parlant que pour moi, j'étais assez confiante pour me retenir jusqu'à midi, tout serait OK.

Nicole continuait avec ses ordres :

« Maintenant, vous avez une dernière chose à enfiler pour vos cours ce matin. »

« Nous avons acheté des culottes en plastiques pour bébé pour chacune de vous. » J'ignorais alors que des couches plastiques étaient conçues pour être portées par de « gros bébés. » (Je sais maintenant que mon Papa de fraternité/petit ami les avait commandées sur internet.) « Votre nom a été inscrit ainsi que les lettres grecques de notre sororité au dos de chaque culotte. Par exemple, Kim, ta culotte est marquée "Bébé Kimberly" suivi des lettres grecques. »

« Et n'ayez pas cet air choqué! »

« Vous verrez que ce matin, vous apprécierez ces culottes si l'une de vous a besoin d'un peu de protection supplémentaire. » Nicole fit circuler par l'intermédiaire d'une des sœurs nos culottes en plastique individualisées. On nous enjoint à les mettre par-dessus nos couches jetables. Je retirais mes chaussures et commença à monter la culotte en plastique le long de mes bas blancs d'écolière. Comme je continuais à la remonter sur mes jambes, je me sentais humiliée, mais je commençais aussi à être excitée. Je finis par recouvrir ma couche-culotte par la culotte en plastique et éprouvais une sensation de douceur autour de ma taille et de mes cuisses. Je pourrais seulement décrire cette impression comme de la sécurité, une sécurité étrangement érotique.

« Ok, vous devrez faire avec jusqu'à midi, » nous dit Nicole.

« Je suis sûr de ne pas avoir besoin de vous dire d'être de retour à midi, puisque vous portez toutes de quoi vous en souvenir. »

« À midi, on aura quelques surprises supplémentaires, mais je pense que vous avez déjà de quoi profiter de vos cours du matin. »

On était donc libre d'aller en cours, mais comment pouvions-nous nous montrer en public? Je demandais à mes coéquipières si elles pouvaient voir ce que je portais sous ma jupette. Elles me répondirent que ma jupe couvrait tout juste ma couche-culotte, mais qu'à moins que je penche on ne pouvait pas vraiment la deviner. Nous étions toutes dans la même situation embarrassante, et bien obligées de partir en cours, nous restions groupées espérant être ainsi plus en sécurité. Mais cela n'empêcha pas qu'en marchant jusqu'à nos salles de classe, habillées en jeunes écolières, tous les regards se tournaient vers nous. J'avais peur qu'à chacun de mes pas, le son du froissement de ma culotte en plastique contre ma couche-culotte puisse s'entendre.

Je ne m'attendais pas à ce que cette situation m'excite autant. Je pense que c'est le risque d'être prise sur le fait portant cet accoutrement grotesque et l'humiliation de ma tenue d'écolière qui me rendait aussi sexuellement survolter. Il faut dire que j'attendais depuis le lycée une occasion de retrouver l'excitation que j'avais éprouvée en me mettant des couches-culottes entre les jambes. Aujourd'hui encore, je me souviens très nettement de ce moment où pour la première fois, je marchais en public avec des couches-culottes étroitement pressées contre mes jambes. Marchant avec mes camarades, je ne pouvais arrêter de leur parler de notre situation. Une chose était sûre ; on allait devoir s'accrocher pour passer cette épreuve, car aucune de nous n'était une dégonflée et l'on voulait toutes devenir membres de la sororité.

J'arrivais au premier cours et m'asseyais sur un siège près du fond de la classe. Beaucoup de mes camarades me dévisageaient. Comme j'étais habillée en petite écolière, ça n'avait rien de surprenant. Et puis, les sororités et fraternités font toujours porter à leurs bizuts toute sorte de choses bizarres durant la semaine infernale, ce n'était pas si étrange que j'arrive en cours dans ce genre de tenue. C'était par contre la première fois que je m'assoyais avec une couche-culotte et ce n'était pas quelque chose que l'on pouvait oublier, j'avais la sensation d'être assise sur du rembourrage. Chris, mon Papa de fraternité suivait le même cours d'économie, quand il entra il s'installa comme il le faisait d'habitude, juste derrière moi.

« T'as l'air vraiment mignonne aujourd'hui. »

J'avais l'impression qu'il pouvait voir à travers ma jupe, peut-être était-il au courant de quelque chose sur ce qu'on portait pendant l'initiation? En tout cas, il n'en laissa rien paraître.

Je priais pour que le professeur ne m'appelle pas au tableau et mes prières furent exaucées. Comme le cours finissait, Chris offrit de m'escorter jusqu'à la prochaine salle de classe. Bien sûr, j'acceptais. Je trouvais quand même un peu bizarre qu'il choisisse ce jour précis pour m'accompagner alors que sa salle de classe était dans un autre bâtiment de l'université. Avait-il eu un aperçu du rembourrage sur ma croupe? J'étais sûr qu'il en savait plus qu'il ne disait... Quant j'arrivais devant ma salle de classe, Chris me tapota le derrière alors que m'apprêtais à entrer.

« À plus, bébé. » J'en crevais de honte. J'aimais Chris comme une folle, mais notre relation n'en était encore qu'à ses débuts, et j'étais terrifié à la pensée qu'il puisse me savoir en couche-culotte!

Je m'asseyais pour le deuxième cours, mes pensées tournées vers Chris. Quand tout d'un coup je sentis un besoin grandissant de faire pipi! Et il était que dix heures du matin, il y avait encore pas mal de temps à passer avant que je puisse rentrer à la sororité. J'essayais de me distraire en me concentrant sur d'autres choses qu'à la pression sur ma vessie. Ma compagne de bizutage, Amy, était dans la même classe et nous étions voisines de table. Nous nous regardâmes l'une l'autre sans rien dire ; nous savions toutes deux que nous commencions à être sur des charbons ardents, mais nous étions encore sèches! Je voyais bien qu'Amy n'arrêtait pas de se déhancher sur sa chaise. Il y avait quelque chose d'incroyablement excitant à la situation où nous nous trouvions. D'un côté, j'avais peur de mourir d'humiliation si je mouillais ma couche, mais d'un autre côté j'étais sexuellement électrisée par les sensations que j'expérimentais. Je me sentais en sécurité en sachant que j'avais une protection sous ma jupe. (Encore aujourd'hui, je suis excitée quand je sors dehors et que je porte en secret une couche-culotte sous mes vêtements.) Amy me passa une note où était écrit : « J'ai laissé filer un petit jet dans ma couche... je me sens vraiment mieux! » J'étais médusée. Nous étions deux étudiantes matures qui se passaient des notes sur l'humidité de nos couches! Je lui répondis en écrivant que j'étais toujours au sec, mais sacrément en danger.

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