Mon Aventure Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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Je me tenais les mains croisées devant moi, la tête baissée. J'entendis plus que je ne vis Jack s'appuyer contre le comptoir et défaire son pantalon.

Sachant que l'hésitation est un de mes plus gros problèmes, je tombais à genoux et je me déshabillai. Je rampai jusqu'à Jack et je pris sa bite dans ma bouche. Je suçai sa queue et léchai ses couilles jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche. J'avalai son sperme et je restai en place, à genoux, tête baissée, regardant le sol, jusqu'à ce que je l'entendisse partir. Je voulais être une bonne fille. Janvier dit :

- Tu ferais mieux d'emmener ton café à l'étage salope. Il faut que tu aménages la pièce supplémentaire, que tu nettoies la maison et que tu me donnes une douche quand j'arriverai. Ceci dit tu dois mémoriser les règles. Si tu ne les connais pas et que tu n'en respectes pas une, je te promets que tu seras vraiment désolée.

Je pris cela comme une permission de me lever. Je pris une tasse de café et j'attrapai ma nuisette. Puis je montai les escaliers, dépitée de perdre ma chambre mais excitée de mon nouveau rôle au sein de la famille.

J'emballai mes vêtements quand Janvier arriva et souleva son tee-shirt. Elle ne portait rien en dessous. Je me suis mise à genoux et je rampai vers elle.

J'enterrai ma langue entre les petites lèvres de sa chatte, puis j'effleurai son clitoris et je le titillai jusqu'à ce qu'elle eût un orgasme. Puis elle me repoussa et tira son tee-shirt vers le bas. Elle s'assit sur le lit et commença à prendre mes vêtements un par un.

Elle en choisit certains et déclara qu'ils étaient à elle maintenant. Elle en jeta sur le sol en me disant de les jeter. Elle fit une autre pile et me dit qu'elle allait les ajuster pour moi. La quatrième pile, la plus petite était la garde-robe qu'elle trouvait appropriée pour moi. Il n'y avait pas grand-chose dedans, quelques jupes et quelques hauts, quelques robes et un peu de lingerie. Tous mes soutien-gorge et mes culottes étaient dans la pile à jeter.

Quand elle alla dans la douche, je la suivis. Je la lavai des pieds à la tête. Puis je rasai ses jambes et sa chatte afin que sa peau soit bien lisse. Enfin je la séchai puis je l'enduis de lotion.

Je la suivis dans mon ancienne chambre. Elle prit une jupe dans le tas de vêtements qu'elle voulait ajuster et un haut dos nu dans l'autre pile. Elle me dit que c'était mes vêtements pour la journée. Avant de me laisser mettre la jupe elle la coupa environ de cinq centimètres et elle tira sur la couture. Si bien que ma jambe était exposée presque jusqu'à la taille et que mon cul était à peine couvert. A chaque fois que je me baisserai, j'exposerai mon cul.

Janvier revint vers moi quelques minutes plus tard et se mit à côté de moi. Elle portait aussi une jupe et un dos nu. Elle fit un commentaire sur le fait que nous emblions deux sœurs et elle se mit à rire. Je nous regardai dans le miroir et je me rendis compte qu'elle avait raison. Nous nous ressemblions comme deux sœurs. Nous avions la même taille mais où j'avais des seins elle n'avait presque rien. A part d'autres détails comme la couleur de nos cheveux nous étions presque identiques.

Elle me dit que nous allions sortir. Avant de partir, elle me tendit un collier et me dit de le mettre. C'était comme un collier de chien. Il était large, en cuir noir, avec un anneau en acier devant. Je mis ce collier. Elle me jeta mon sac à main ainsi que mes clés.

Une demi-heure plus tard, nous étions dans le centre commercial. Je m'assis tranquillement pendant que Janvier essayait des chaussures. Elle me demanda :

- Que pense-tu de celles-ci?

- elles sont bien. Combien valent-elles? Dis-je.

- Putain je m'en fous, c'est toi qui paie, pas moi. Dit-elle sèchement.

Puis elle réfléchit et ajoute :

- Mais attends un peu, je vais voir si je ne peux pas avoir un rabais.

Janvier demanda à parler au gérant. Je les vis discuter pendant une minute. Puis elle me fit un signe. Je me levai et je les suivis elle et l'homme. Nous passâmes un rideau pour entrer dans la réserve.

- A poil! Me dit-elle.

Hébétée et humiliée devant le jeune gérant je me déshabillai. Janvier dit :

- Un rabais de 50 % et elle suce votre bite. Ou alors elle vous laisse la baiser et c'est gratuit. Ok?

- Je peux tout faire? Demanda le jeune manager.

- Tout. Il suffit juste de ne pas laisser de traces, nous l'avons assez marqué hier soir. Répondit ma fille.

Puis elle se mit à rire et tendit la main et pinça un de mes mamelons. Elle le tordit jusqu'à ce que j'aie le souffle coupé. Le gars attrapa mes tétons et les tordit lui aussi comme s'il essayait de régler une radio.

Je voulais en finir rapidement donc je tombai à genoux et défit le pantalon du jeune homme pour pécher sa queue. Pour un maigrichon, il avait une bite d'une taille décente, pas tellement épaisse mais assez longue. Malgré moi, j'eus plaisir à avoir une bite d'étranger dans ma bouche. Quelques instants plus tard il me tira vers le haut et tripota mes seins assez brutalement. Puis il commença à me doigter. Il était brutal, inexpérimenté et maladroit. Mais je devins humide à l'idée qu'il allait me baiser. Il me plia sur une pile de boite est essaya de pénétrer ma chatte avec sa bite. Après plusieurs tentatives, je glissai ma main entre mes jambes et je le guidai en moi. Il commença immédiatement à me pistonner.

Il se passa deux minutes avant qu'il ne grogne et me remplisse de sperme. Et il inonda bien ma chatte. Je pensai que ce gamin n'avait jamais dû gicler de sa vie. Il éjacula pendant plus de temps qu'il ne me baisa. Quand il sortit sa queue, je sentis son foutre couler le long de mes jambes. Alors que le garçon était sur le point de se rhabiller, Janvier lui dit :

- Elle n'a pas fait grand-chose. Je pense que vous méritez un petit extra.

Le jeune homme se contenta d'acquiescer. Je me mis de nouveau à genoux. Après avoir nettoyé sa bite et ses couilles il était de nouveau très dur. J'appréciai son endurance. Il me baisa le visage pendant un peu plus longtemps et se vida dans ma gorge.

Je le finis puis je remontai son caleçon et son pantalon en me demandant si je venais de prendre sa virginité.

- Habille toi et attends-moi dehors, nous avons d'autres courses à faire. Dit Janvier.

Elle sortir avec un sac plus grand que prévu. Elle le laissa tomber devant moi et me dit de le porter. Elle avait été bonne négociatrice. A mes frais, il y avait deux paires de chaussures, un sac à main, une ceinture et des bas. La note était de 30 euros. Je fus fière d'avoir été en mesure d'obtenir autant pour un seul échange. Je me demandai combien d'argent j'aurais pu gagner au fil des années en employant la même méthode.

Ce scénario se répéta dans quatre autres magasins. Dans un, je léchai une vendeuse jusqu'à ce qu'elle ait plusieurs orgasmes. Dans un autre, je fus prise par le directeur et son adjoint, un dans ma chatte et un dans ma bouche jusqu'à ce qu'ils se vident en moi.

Un grand black donna un sac à Janvier et lui dit de le remplir pendant qu'il me baisait dans son bureau. Quand elle entra dans celui-ci avec le sac rempli de CD, j'étais malheureusement sur le point de jouir. Je retins mon plaisir et reçu une dose de foutre supplémentaire par le black.

J'avais du sperme séché à l'intérieur de chaque jambe et mes chaussures étaient imbibées. Je nettoyai la bite de l'homme avant qu'il ne la range. Il sortit du bureau avec Janvier alors que je me rhabillai pour un énième fois de la journée. Quand je les rejoints, Janvier a un deuxième sac et il est aussi empli de CD. Elle me dit :

- Paie le!

Après avoir payé je fis le calcul dans ma tête. Nous devions avoir pour près de 200 euros de marchandises, je devais avoir dépensé moins de 100 euros et nous avions dix sacs remplis de marchandises.

Il me fut difficile de tout transporter mais je m'en sortis. Il fut clair que j'étais sous les ordres de Janvier et que je faisais ce qu'elle demandait. J'étais une salope et une esclave et j'eus le sentiment que ce serait pour le reste de ma vie. Intérieurement je ris en m'imaginant avoir 80 ans et sucer une bite pour obtenir un rabais pour Janvier.

A suivre...

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