Mon Apocalypse à Moi 03

Le soir, j'autorisais la famille à manger avec nous.

-Demain, il faut fermer le hameau. Dis-je au dessert. L'électricité et l'eau sont précieuses. Il ne faut pas gâcher. On va couper l'eau et l'électricité partout où on pourra, pour économiser.

Un assentiment général me répondit. Au café, je m'essuyais la bouche.

-Je vais t'enculer , Christelle. Lachais-je

Elle hocha la tête sans rien dire.

-Va à plat ventre sur la table basse. Mamanbouche, va la lècher bien à fond pour la préparer.

Christelle se dénuda, puis se plaça sur la table basse, les fesses légèrement cambrées. Maman se plaça derrière elle et commença à pointer une langue rose sur le petit trou serré. Elle mouillait bien l'oeillet, aspirant légèrement les bords froncés pour les assouplir. C'était excitant de la voir prendre soin du cul de Christelle. Elle assouplit l'anneau jusqu' à ce que deux de ses doigts manucurés, l'index et le majeur, puissent entrer dans le fondement obscènement exposé. J'enlevais mon pantalon et demandais à Christelle de s'introduire mon chibre. Elle passa sa main entre ses jambes et appuya son anus contre mon gland. Celui-ci disparut rapidement dans l'orifice bien préparé, et elle s'empala en soufflant sur toute la longueur. Elle resta un instant comme cela, avant de donner des coups de reins. Ma bite était enserrée dans un fourreau étroit mais accueillant, volontaire. Christelle accélérait et amplifiait ses mouvements, bien que j'entendais par ses petits cris que cela lui faisait mal. Elle émit bientôt un gémissement"hiiin" en continu, sans vraiment de variation. Je jutais dans ce fion servile, et encore une fois, je vis des étoiles, tandis qu'une vague d'électricité me secouait les reins.

Elle se redressa quand je me retirais. Ses joues étaient parcourues de ses larmes si délicieuses à mes yeux. Je lui pris le visage entre mes mains et aspirait ses larmes de baisers.

-Kévin, met toi à plat dos, et nettoie Christelle. Maman bouche, lave moi.

Maman suça ma bite en cours de débandade, et Christelle se mit à croupeton au dessus du visage du gamin, qui but et lécha ce qui sortait du cul au dessus de son visage. Elle chercha mon assentiment du regard. J'approuvais, et elle doucha la bouche de Kévin de sa pisse drue. Farida supervisa avec autorité l'installation de matelas pour la nuit sur le carrelage. Elle même dormirait en travers de l'escalier, pour veiller à ce que les esclaves ne montent pas. Je remarquais que les deux filles dormaient dans les bras l'une de l'autre, tandis que Kévin se reposais sur un matelas à l'écart.