Mon Apocalypse à Moi 03

Informations sur Récit
domptage des voisins.
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1

Partie 3 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 09/20/2018
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-Et bien, bravo! M'exclamais je.

Ça puait dans le salon. Maman avait le derrière des jambes souillé de merde liquide qui avait formée une flaque sous son fauteuil, et Kévin s'était pissé dessus. Seule Priscilla avait su se tenir. En récompense, je la libérais quelques peu et la menait aux toilettes. Elle se soulagea avec un grand bruit d'écoulement et quelques ploufs. Je l'attachais ensuite avec un collier après le pilier entre l'espace salon et l'espace repas. J'empoignais ensuite maman merde par les cheveux et la menait dehors. Elle pleurait en sentant le jet d'eau glacée l'asperger pour enlever les traces de la nuit dans le matin frais. Je la ramenais dans la salle frissonnante et couverte de chair de poule. Christelle avait trouvé un nécessaire de ménage, et Kévin s'employait à faire disparaitre les traces de l'inconduite familiale. Je fis mettre Priscilla à genoux et lui ordonnais de me prendre dans la bouche. Elle me regarda avec dégout. C'était l'heure de sa rasade de pisse. Elle avala les premières gorgées sans problème mais s'étouffa ensuite et répandit l'essentiel sur son t-shirt de pyjama. Je tranchais celui-ci et découvrit un corps parfait. Elle était plus grande que Christelle, avec de beaux seins ronds et des hanches mieux dessinées. Je tranchais aussi sa culotte fantaisie et découvrit un abricot épilé avec soin. C'était réellement une très jolie fille. J'aperçus l'éclair dans les yeux de Christelle. Mon esclave était jalouse de la prisonnière. Je me relevais en me rajustant.

-Christelle, ma chérie, passe la pissotière au jet . Maman café va préparer le petit déjeuner.

Maman se déplaçait à tout petits pas, entravée par ses chaînes aux pieds. Elle était nue aussi, ses seins lourds et son petit ventre montraient son âge. Sa toison peu entretenue s'étalait en buisson serré entre ses jambes. Elle préparait pour tout le monde café au lait et tartines beurrées. Elle disposa la table pour Christelle et moi. Et donna un bol et des tartines à Kévin. Priscilla revint, tremblante et glacée, précédant Christelle qui souriait méchamment. Je me plaçais après le petit déjeuner au centre de la pièce. J'appelais Christelle et la fit mettre à genoux. Elle comprit de suite et déboutonna ma braguette. Elle saisit mon membre à la base et le parcourut de sa langue. Puis embrassa le gland avant de l'emboucher profondément. Elle commença un doux va-et-vient tandis que sa langue jouait autour de ma hampe. Elle avalait de plus en plus de phallus, la sensation incongrue de son bout du nez froid sur mon pubis m'arrachant un grognement surpris. Elle renouvela plusieurs fois cette gorge profonde. Putain, c'était délicieux. Lorsque je plongeais un instant dans cette petite mort connue sous le nom d'orgasme, je dus m'appuyer sur ses épaules pour ne pas tomberr tandis qu'un torrent de foutre lui remplissait la gorge. Christelle se releva en se passant la langue sur les lèvres. Elle irradiait de fierté. Je songeais à la spectaculaire évolution en trois jours, de pucelle à salope. Les trois autres avaient le regard éteint.

-Bien, dis-je. On va aller faire un tour, Christelle, Kévin et moi. Je vais vous libérer les mains, les filles, que vous puissiez faire un vrai nettoyage.

-Vous n'avez pas besoin de lui, dit maman.

-Tu fais chier, mamanbalai. Tu vas tout nettoyer nickel et nous, on va chercher des glaces.

Le pickup familial était très facile à conduire, et équipé d'un chasse buffle en acier brillant. Cet accessoire, risible en Ile de France , trouvait toute son utilité en cas d'invasion zombie. Je visais une femme qui titubait dans la rue et l'étalais proprement pour le compte. Je percutais un vieux, un gosse , et deux ados habillées vulgaire. Christelle et moi accompagnions ces exécutions de commentaires plaisants. Je remarquais que Kévin ne disait rien. Je le regardais dans le rétro. Il était blême.

-Qu'est-ce qu'il y a? Demandais je.

-Je connaissais ces filles.

-Si tu veux, on peut retourner les voir, je crois qu'il y en a une qui bouge encore, elle sera d'accord pour un bisous, je pense.

-Arrêtez la voiture. Gémit Kévin.

Il sortit gerber dehors. Il était super sensible, sous ses dehors de crétin, finalement.

J'avais la supérette;"Chez momo". Ce gars avait un plein congèlo d'Hagen Dass. À 8€ pièce, mais aujourd'hui, c'était promotion. Je descendis avec le fusil à pompe en travers de la poitrine et un marteau à la main. Je m'étais équipé d'un masque de paintball, de mes gants de moto et d'un blouson de cuir. La porte était ouverte, j'entrais. Un zombie avançait vers moi. Évidemment, ce con d'épicier avait même dû dire bonjour à celui qui l'avait mordu, faut dire qu'avec la Horde de clodos qui venait au ravitaillement en pinard et flasques de merde, il avait dû avoir du mal à discerner le changement. Ses mains agrippèrent mon blouson et je le frappais au milieu du front. Le marteau imprima sa marque au dessus des yeux. Il tomba en arrière avec fracas. D'autres pas lourds approchaient . Trois ombres grognantes se dirigeaient vers nous. Un homme, une femme voilée et un jeune garçon. Ce qu'ils puaient, les cons.je reculais et ils trébuchèrent sur le cadavre du père de famille. J'éclatais la nuque du mec qui était tombé en premier et Christelle planta sa lance dans la bouche de la femme, emportant quelques dents. Restait l'adolescent . Il ne restait plus grand chose du jeune effacé et discret qui servait les fruits et légumes avec un gentil sourire. Son éternel sweat était maculé de rouge autour de l'épaule gauche, autour d'un endroit mordu. "Merde, Karim." Dis je. Je m'appliquais. Un bon coup sur le sommet du crâne. Je continuais vers le fond du magasin. La porte du petit appartement était ouverte. Je me glissais à l'intérieur. Le sol était poisseux de sang séché. Bravo pour l'hygiène dans un magasin alimentaire! Les trainées partaient vers le fond de l'appartement. Je suivis, mené par une sorte d'instinct. La porte des toilettes était fermée. Je toquais à la porte.

-Vous avez été mordu? Dit une petite voix.

-Non, ma grande. Je vais bien. Et toi?

-Je me suis cachée, mais ils tapaient dans la porte!

-Je les ai tous tués, mais c'était plus eux, tu comprends?

-C'est des monstres.

-Oui.

-Il va falloir sortir,ma puce, je ne peux pas rester longtemps.

-Je ne vous connais pas.

-Tu es Farida Berkane.

-Vous me connaissez?

-Je suis monsieur Delbard, le prof d'histoire. Je suis venu jusqu' ici parceque si quelqu'un peut survivre à ce merdier, c'est bien toi.

Elle ouvrit la porte et je relevais mon effrayant masque de paintball.Je la pris dans mes bras. Je dépassais Kévin qui pillait le rayon alcool et posais la gamine à l'arrière. Les deux jeunes ne disaient rien. Des ombres titubantes approchaient en nombre.

-T'as pris les glaces? Demandais-je à Kévin.

-Toutes.

Je fis un rapide tour d'horizon. Le boulevard était encombré de zombies, restait la petite rue transversale. Évidemment, au bout de dix mètres, les véhicules enchevêtrés m'empêchait d'avancer. Je fis une brève marche arrière et demi tour. Je démarrai en douceur. Les chocs sourds se faisaient entendre à l'avant. Je serrai les dents et accélérais progressivement. La foule se clairsema d'un coup. Je lançais le V8. Il ronfla. Les ombres s'éloignaient dans le rétro. Je me garais dans la cour. Je descendis tout de suite regarder l'avant. On aurait dit que j'avais peint le gros véhicule en rouge marronnasse. Avec des flammes de même couleur. Le problème, c'était que tout l'avant était couvert de virus zombie.Nous avons déchargé le pickup avec célérité.

À l'intérieur, Farida regardait les deux femmes nues aux pieds entravés avec des yeux écarquillés.

-Farida,je te présente Priscilla et maman cuisine. Allez, au boulot,j'ai faim. Farida, tu montes te laver dans la salle de bain au premier.

Je plaçais Priscilla à genoux devant moi et commençais à lui baiser la bouche. Ça m'avait excité, cette boucherie. Je l'attrapais par les cheveux pour me propulser au fond de sa gorge. Elle avait des hauts le coeur, mais ouvrait le plus grand possible, et avançait la langue pour éviter de gerber. Finalement je lachais tout dans sa gorge soumise. Elle hoqueta et toussa.

-T'as même du sperme qui te sort du nez. Raillais je. Va te rincer en cuisine.

-Kévin, tu veux en tirer une?

Kévin ne savait que dire. Son jogging montrait une urgence, mais sa morale se révoltait.

-Priscilla, viens là, dis-je.

-Non. Gémit maman.

-Ta gueule. À quatre pattes, jeune fille.

Kévin la regarda se mettre en position sur le tapis. Je lui fis une signe de tête. Il baissa son pantalon et pointa sa bite sur la chatte de sa sœur. Il avança et entra. Elle se cabra un peu, elle n'était pas prête. Mais il coulissait déjà dans ce con soumis. Elle haletait sous les coups de boutoirs de son frère. Kévin rougit brutalement et lâcha un cri rauque. Priscilla gémit aussi, pas vraiment que d'humiliation.

-Elle commençe à comprendre qu'il vaut mieux prendre ce qui vient. Dis-je. Allez, à table. Farida, sors de l'escalier, je sais que t'es là.

Un petit bruit de pieds nus se fit entendre. Farida portait une robe courte et rose qui avait appartenu à Priscilla et qui lui faisait une sorte de djellaba.

Le repas fut un peu morose. Farida me regardait avec des milliers de questions dans les yeux, et les trois autres mangeaient assis par terre. J'avais remis son collier à Kévin, et il était assis au pied de son radiateur.

-Pourquoi vous les attachez?

-Pour ne pas qu'ils fassent de bêtises. Répondis-je.

-Pourquoi Kévin a -t'il couché avec sa sœur?

-Il a bien travaillé, ce matin. Il lui fallait une récompense.

-Mais c'est interdit! S'indigna la petite.

-Plus rien n'est interdit. C'est moi qui commande, ici. Taches de t'en souvenir.

Elle réfléchit un instant.

-Je sais à quoi tu penses. Dis-je. Tu te demandes si je vais te faire la même chose. Non. Tu es petite. Tu es libre de tes mouvements dans la maison, mamanménage à besoin d'aide.

-Mais vous êtes gentil, comme professeur!

-C'est un travail qui ne prend pas trop de temps. Ça me laissait mon lundi, en plus. Et je pouvais repérer des mères d'élèves et des grandes soeurs.

-Pourquoi?

-Pour les enlever, les violer, les torturer et les tuer. C'est mon loisir à moi.Faut juste faire attention à ce qu'elles soient majeures et jeter leur portable à une gare.

Là, Farida ouvrit de nouveau de grands yeux.

-Karima, C'était de ta famille, je crois.

-Oui, elle est partie avec un garçon il y a un mois

-En fait, elle était dans ma cave. Elle est morte samedi dernier.

-Vous l'avez tuée?

-En fait, je l'ai étouffée par erreur . Je lui rentrais mon poing dans les fesses et elle a vomi dans son bâillon. Elle s'est noyée dans ses sécrétions, en somme.

-C'est horrible.

-Pour elle, sûrement.

Ce fut l'oraison funèbre de la tante de ma meilleure élève de 4eme C. Je l'avais traquée pendant des semaines, jusqu'à trouver le bon angle. Je lui avais dit de m'accompagner à ma voiture , garée à deux cents mètres du collège, mais dans une impasse. Je devais lui rendre un copie de sa nièce. Un coup à la tempe puis un grand verre d'eau assaisonnée aux tranquillisants l'avaient laissée endormie dans la camionnette. Sa terreur quand j'avais enlevé son voile et sa longue robe avait été une liqueur délicieuse. Mais quand je l'avais pénétrée, alors qu'elle était écartelée sur une table, ça avait été presque meilleur. Elle murmurait quelque chose en arabe, et fermait ses grands yeux noirs aux longs cils. Le lendemain, je lui fis écouter la conversation avec son beau frère. J'étais passé à l'épicerie pour chercher de la glace. Et Momo me demandais si j'avais vu sa belle sœur. Je lui répondis par la négative, et il me dit qu' elle était partie, sans doute avec un portugais du quartier qu'il ne voyait pas depuis quelques jours. Nous avions échangé quelques commentaires sur l'inconstance féminine et la chance que j'avais d'être toujours célibataire. Karima était placée sur la table, avec les mains liées devant et les pieds fixés au sol. Elle me présentait son cul et entre ses fesses brillait le plug et sa fausse pierre précieuse. Je lui fit écouter la conversation et lui dis; " tu vois, personne ne te cherche." Elle se mit à pleurer. J'otais doucement le bijou de cul, constatant avec plaisir que son anus devenait lisse lorsque l'arrondi du petit objet franchissait son anneau extérieur. Je m'étais dénudé jusqu'à la taille et avais placé deux caméras. Une devant elle pour fixer ses expressions, et une go pro sur mon casque de vélo, dont le retour était sur un écran face à elle. Bloquée par une mentonnière, elle voyait mon gland se poser sur son étoile qui palpitait d'affolement.Elle pleurait. Je poussais et le miracle du lissage de son anneau inviolé se reproduisit. Je m'enfoncais doucement, pour profiter de son long cri et de ses modulations de plus en plus aiguës au fur et à mesure de ma progression. Centimètre par centimètre, j'investissais son cul, profitant avec sadisme du spectacle qui s'étalait en face de moi sur l'écran. Elle voyait son anus se faire violer en direct.

Je revenais à la réalité, à cause d'une gène au niveau du caleçon. Une érection bien dure se manifestait avec insistance.

-Bon, inutile de rabâcher le passé. Dis-je. Il faut avancer. Qui sait si demain nous vivrons encore?

Je fis signe à Farida de débarrasser. La petite s'exécuta sans rien dire. Je songeais à ce que m'avait dit sa tante. Les filles ne jouissaient pas d'un statut privilégié dans ces familles moyen orientales, et honnêtement, elle avait l'habitude de servir. Karima s'était plus d'une fois lamentée de ne plus pouvoir protéger sa nièce de ses servitudes domestiques. Elle disait même que d'ici deux ans , son père irait la marier au bled pour laver l'affront de sa propre disparition. Farida aurait alors quinze ans, et c'était possible, là bas. Sur un ordre, Priscilla vint se placer à plat ventre sur la table. Je hélais Christelle et l'envoyait chercher de l'huile.

-Tu ne prépares pas, juste tu lui en met un peu. Je veux que cette petite pute sente bien qui commande.

Je relevais les yeux et vit maman qui me regardait avec des yeux suppliants. Je lui souris, avec mon bon air de professeur, style, oui, viens demander des précisions sur la leçon du jour.

-Prenez moi, plutôt. Dit-elle.

-Non. J'ai envie d'un petit trou tout neuf et bien serré. Répondis-je. Mais tu peux approcher pour lui tenir la main, lui caresser les cheveux, ce genre de choses.

Elle hésita, tandis que j'eloignais Farida. Puis s'approcha.

-Ça va aller, dit -elle en caressant le dos de sa fille qui s'était pris le visage dans les mains.

-Ça, c'est pas sur, ricanais-je.

Je me mis en position et poussais bien droit. Priscilla faisait des petits"hiii", et son anneau se contractait. Un peu d'huile perlait même. J'accentuais ma pression sur son sphincter. Elle continuait à gémir tandis que mamancalin lui disait de se laisser faire. Mais toute sa fierté et son énergie étaient concentrés dans son refus. Elle essaya de se redresser mais je la plaquais brutalement sur le plateau.

-Tiens là, on va avoir un problème! Ordonnais-je à mamancalin.

-Tiens toi tranquille, dit elle d'une voix douce à son aînée.

-Maman. Gémit Priscilla.

À cet instant, le fion céda. Je m'enfoncais dans son tunnel secret avec un rugissement auquel répondit son grand cri de douleur. Bon sang qu'elle était étroite. Sur toute la longueur, mon sexe était serré de près. Je restais au fond, puis ressortis presque complètement. Priscilla soupira quand le volume à l'intérieur diminua. Mais son répit fut de courte durée. Je replongeais dans ses reins avec une énergie maximum. Mon pubis et mes cuisses claquaient contre ses fesses. Et toujours son fourreau résistait et serrait. Elle criait sans arrêt et sa mère l'embrassait et la cajolait. Finalement, elle finit par émettre un cri plus grave, où la douleur se mêlait de soulagement en sentant mon sperme lui irriguer le colon.

Je sortis doucement de son petit trou, qui resta ouvert. Un peu de sang coulait sur le coté droit, une fissure ,sans doute. Avec des sortes de sursauts, l'oeillet se refermait, à présent et bientôt, au dessus de sa fente rasée reprit son aspect initial, au petit saignement près, bien sûr.

-Mamanbouche, vient me laver , dis-je. Ta fille a laissé des cochonneries sur ma bite.

La mère piétina de ses jambes entravées et se laissa tomber à mes genoux. Je vis et entendis la violence de son haut le coeur quand elle gouta le cul de sa fille et la merde mêlée d'huile sur ma bite. Mais elle lécha tout bien tout propre, et rangea mon sexe au repos dans mes sous vêtements.

Christelle avait un drôle d'air.

-Ça t'as excitée, n'est ce pas? Demandais-je.

-Oui.

Kévin, lèche la.

Kévin était assis, et Christelle posa ses pieds de chaque côté de ses jambes. Elle lui prit les cheveux et lui bascula la tête en arrière. La langue du jeune homme commençait à aller et venir le long de sa jeune chatte. Après quelques minutes de ce traitement, un frisson parcourut Christelle.

-Si ça t'as donné envie de pisser, laisse toi aller. Commentais-je.

Kévin ne dit rien. Il but l' urine jusqu'à la dernière goutte. Il s'adaptait bien, ce petit. Il méritait une gratification.

Mamannichons, fait une cravate de notaire à ton gamin. Il aime manifestement lécher et boire de la pisse.

Avec une moue attristée, maman vint se placer au dessus de son fils et après avoir sorti son sexe de son jogging, commença à faire coulisser le chibre filial entre ses mamelles. Elle les tenaient serrées, et comme elles étaient un peu pendantes, cela branlait efficacement. Kévin regardait son gland disparaître et réapparaître avec un regard de fou. Il éjacula entre les seins de sa mère et une partie goutta sur son maillot de foot. J'ordonnais à Priscilla de lècher les tâches me tournait vers l'escalier.

Farida!

-Oui, monsieur. Dit elle.

-Tu es descendue en douce. Tu es une sale voyeuse.

-Je...

Silence. Pour ta punition, tu vas laver les deux filles.

La petite nettoya les dégâts avec soin, récurant au gant de toilette la poitrine de maman et tamponnant délicatement l'orifice profané de Priscilla.

Je passais une grande partie de mon après midi à laver l'avant du 4x4 au jet. Le jus de mort coula sur le sol gravillonné. Pendant ce temps, Kévin évacua le cadavre du chien par dessus la clôture de la maison voisine. Je rentrais à un moment, parce qu'avec toute cette eau, j'avais envie de pisser. Priscilla se mit à genoux et forma un tube avec ses lèvres bien serrées. Je me vidais à long traits. Lui laissant de courtes poses pour inspirer par le nez. Ça me plut, mais ne m'excita pas vraiment. Je descendais à la cave faire le tour de nos réserves. Le stock de nourriture était très impressionnant. La clé idoine ouvrit sans problème l'armoire forte. Deux automatiques, plusieurs couteaux de chasse, un fusil à pompe et une arme de bon calibre me tentaient. Je refermais le coffre et remontais au rez de chaussée.

-Farida!

-Oui monsieur.

-Tu sais ce que c'est, ça?

-Non.

Je lui tendis ce qui ressemblait à une courte cravache.

-C'est un fouet à chien. Tu vois le bouton rouge?

-Oui.

Je lui posais la lanière du fouet sur son bras nu et appuyait sur le bouton. Le choc de la décharge électrique la vit crier et vaciller.

-Ça fait mal. Dis je

Elle hocha la tête en se tenant le bras, qui pendait, inerte.

-Ne t'inquiète pas, ton bras bougera de nouveau très vite. En fait, tu vas le mettre à ta ceinture et tu seras la gardienne de Priscilla et maman.

-Elle a pas de prénom?

-Si, sûrement, mais on l'appelle maman. Évite de leur faire trop mal. Comme ça, je pourrai leur détacher les chevilles.

-Elles sont plus fortes que moi!

-Elles ne sont pas stupides. Si elles s'enfuient, les monstres les mangent, et si elles t'embétent, je les punirai.

Les deux filles avaient écouté notre échange avec inquiétude. Elles se massèrent les chevilles, là où l'anneau avait laissé une rougeur. J'étais obligé de leur enlever. Elles marchaient beaucoup, ça allait s'ouvrir et s'infecter. Et en ces temps troublés, une infection n'était pas indiquée. Et puis, Farida nouait une ceinture rose avec un air revêche. Elle tenait sa revanche de fillette effacée. J'avais remarqué, dans la cour de récréation, ses talents de meneuse. Elle ferait un préfet de discipline redoutable. Son voyeurisme était gênant, bien sûr, mais finalement, cela ajoutait un peu de piment. Et puis cela lui donnait une formation de base. Bien qu'à mon avis, rien ne vaut l'expérience.

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