Modèle d'Exposition

BÊTA PUBLIQUE

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- Eh bien tu sembles tellement avoir envie de faire partie de notre groupe n'est-ce-pas?

- Oui Monsieur

- Mais tu sais que ce n'est pas possible, non?

- Pourquoi ce n'est pas possible?

- Ce n'est pas ta place, voyons. Tu ne l'as pas compris?

- Pas ma place?

- Non bien entendu. Tu n'as rien à voir avec nous.

- C'est quoi ma place, Monsieur.

- Tu ne le sais pas encore? Vendredi tu le sauras à coup sûr, tu verras.

Et il partit. Vendredi c'était ma dernière soirée, avant que je ne puisse avoir les vêtements que je convoitais. J'avoue que je n'y pensais plus du tout. Tellement d'autres sensations avaient pris place dans ma tête. Mais quelle était donc cette place dont il parlait? Et qu'allais-je pouvoir faire après vendredi? Peut être serait-il possible de pérenniser cette expérience?

Le jeudi précédent ce dernier jour, tout comme le vendredi lui-même, je fus à nouveau installé en simple mannequin sur la croix de Saint André, et plutôt laissé très au calme. Je n'en pouvais plus il est vrai. De nombreux clients s'amusaient de moi depuis le début de cette aventure, demandant aux vendeurs quel était mon prix, puisque je ne portais pas d'étiquette. Ce dernier jour, pour marquer le coup, Victor me mis une étiquette, avec un prix de 1 000 €. Il me dit en souriant que ce n'était pas mal comme mise à prix. Je lui souriais, sans bien comprendre son humour, comme souvent.

Je dois l'avouer, ces deux jours ont été certes reposant, mais je m'ennuyais ainsi exposé. Je devais lutter pour ne pas m'endormir. Quand enfin le magasin fut fermé, je notais que de nombreux clients étaient restés, et tous me regardaient. J'étais un peu anxieux. Victor me détacha, et m'amena dans la pièce à côté du hall d'exposition, me fit m'asseoir.

- Voilà le soir où tu vas découvrir ta vraie place, puisque tu ne la connais pas. Tu te souviens, je te l'avais promis.

- Oui c'est vrai, mais que va-t-il se passer Monsieur.

- Tu as surement remarqué comme de nombreux clients ont demandé s'ils pouvaient t'acheter? Beaucoup plaisantaient, mais pas tous. Ceux qui sont restés ne plaisantaient pas. Ils sont venus t'acheter aujourd'hui.

- Oh, d'où la mise à prix.

- Voilà tu as compris. Qu'en penses-tu?

- Je ne sais pas, cela doit être amusant, mais je dois faire quoi Monsieur?

- Etre toi-même, rassure-toi, tu es parfait pour cela.

- Mais du coup ils pourront faire quoi de moi?

- Tout ce qu'ils voudront

- Tout?

- Oui exactement

- C'est très excitant Monsieur.

- Je le vois, ton sexe est tout le temps tout dur, c'est un bon marqueur de ton excitation. (Je rougissais, conscient que j'étais vraiment indécent)

- Et ils peuvent m'utiliser pendant combien de temps?

- Quand ils viennent acheter une cravache, ils peuvent la garder combien de temps à ton avis?

Je mis quelques secondes à comprendre ce qu'il disait. Ce n'était tout simplement pas possible, on ne pouvait pas acheter quelqu'un comme cela? Et c'est là que j'ai réalisé que j'avais complètement perdu le contrôle. Avec beaucoup de gentillesse et de douceur, Victor m'expliqua que si, que les gens venaient ici m'acheter pour faire de moi leur esclave personnel. Car tel était ma place, j'étais né et fait pour cela, non seulement souffrir comme je l'avais si bien fait ces jours derniers, mais aussi être utilisé sans limite. Il était tellement doux qu'il me convainquit.

Puis Victor m'indiqua que je n'avais pas d'autres perspectives. Le congé avait été donné à mon bâilleur, qui avait accusé réception. Il sortit la lettre, me la montra. Mes comptes ainsi que mon petit pécule avaient disparu, là aussi il me montra les lettres de la banque. Tous ce qui me retenait avait été détruit. Ils avaient une malle de mes affaires, si mon futur propriétaire le souhaitait. Mais Victor en doutait. Il avait juste récupéré mon passeport au cas où je devrais suivre mes Propriétaires à l'étranger. Je n'avais plus rien, nulle part où aller, sans amis ou famille, il était ma seule planche de sortie. Il me sourit me disant que laisser mes clés et mes papiers ainsi avait été imprudent, mais que c'était pour le mieux.

- Mais pourquoi faites-vous cela? (J'étais en pleurs)

- Parce que c'est ta nature, tu vas être si heureux, si à ta place, je suis certain que tu le sens aussi, n'est-ce pas? Regarde ton sexe, il n'a pas débandé une seconde, petite lope perverse.

- Mais, mais je n'ai rien choisi.

- Ce n'est pas ton rôle de choisir, j'ai choisi pour toi. Tu as accepté quand même des choses folles ici.

- Oui Monsieur

- On te refait une beauté, il faut que tu sois à ton avantage, tu ne crois pas?

- Oui Monsieur

Je ne pouvais plus réfléchir. La pente était tellement bien savonnée que par lâcheté je me laissais glisser.

Victor me ramena en laisse dans la pièce principale, à 4 pattes, sans d'autres ornements. Des chaises avaient été placées en cercle et je me mis à genoux au centre. Les cuisses écartées, montrant à tous et toutes que j'étais bandé. Quelle honte. Il y avait deux couples et 7 ou 8 hommes. Dans quelques instants j'allais appartenir à l'un d'eux. Je savais bien que je pourrais me sauver quand je voudrais, qu'il n'y avait rien de définitif, juste un jeu entre adultes. Je décidais de jouer le jeu alors.

- Inutile de vous présenter l'esclave à vendre, vous avez tous eu le temps de le regarder, pour certains de le tester et le pousser un peu. Avant de commencer ces enchères, sachez que le prix de l'enchère inclus deux heures de personnalisation de l'esclave à votre goût avant que vous ne repartiez avec. Nous avons son passeport, sa carte vitale et sa carte d'identité. Sachez qu'il n'a rien d'autre. Pas de logement, pas de travail, pas d'engagement, pas de vie sociale, il est donc libre de tout, ce qui est rare il faut l'avouer. Nous avons pris soin de déconnecter tous ses liens. La mise à prix est donc de 1 000 €

Les enchères ont alors commencé. Je n'écoutais pas vraiment le prix, tout cela était factice sans doute, une mise en scène. Je me demandais juste si le gagnant était déjà désigné. A 15 000 € le silence se fit. Je me demandais si pour un réel esclave c'était beaucoup ou peu. Et le gagnant était un couple, sans doute les plus classe de l'assemblée. Je ne les avais pas repérés les jours précédents. Un couple Alpha c'était évident, la cinquantaine, surs d'eux, l'homme très entretenu et la femme très féminine mais très puissante aussi. Presque une caricature de couple dominant. Victor s'approcha de moi.

- Tu as de la chance, ce sont sans doute les personnes les plus... exigeantes et sadiques de l'assemblée. Ce n'est pas le premier esclave qu'ils achètent, ils vont savoir très bien s'occuper de toi. Juste un conseil et ne l'oublie jamais. N'essaie pas de t'enfuir, d'une part tu n'y arriverais pas, et d'autre part cela finirait très mal pour toi. Vraiment ne l'oublie jamais.

Je le regardais un peu interloqué, il semblait vraiment sérieux. J'allais vraiment finir ma vie esclave de ce couple? Je le suivis hébété dans la pièce à côté, où je fus intégralement ligoté sur une chaise de gynécologie afin d'être préparé suivant les désirs de ce couple.

La première chose que je vis, ce fut une tondeuse, qui me rasa intégralement le crâne, avant qu'un rasoir finisse par tout bien nettoyer. Je me demandais si j'avais un joli crâne, combien de temps cela mettait à repousser. A vrai dire, je trouvais cela plutôt intéressant et amusant. La suite le fut moins.

D'abord très douloureuse. Un homme vint s'occuper de mon sexe, et le perça au niveau du frein. Je gigotais dans mes liens, la douleur était fulgurante, suivi de la brûlure de son fer à cautérisé qui stoppa net les saignements. Il m'inséra un bijou sous la forme d'un cadenas de 3 mm d'épaisseur qu'il laissa ouvert. Puis il installa une cage de chasteté à la base de mon sexe, avec un anneau à pointes (cela faisait longtemps!) que je trouvais très petit et qui me faisait mal même si j'avais largement débandé sous la douleur. La cage vint s'attacher à l'anneau avec un cadenas et mon prépuce fut cadenassé au bout de la cage, interdisant de l'enlever totalement. Une ceinture sur mes hanches vint la sécuriser un peu plus si besoin était, plaquant mon paquet contre mon pubis. Comment allais-je faire, moi qui ai besoin de plusieurs éjaculations par jour? La sensation était oppressante et la douleur atroce dès que le sang affluait dans mon sexe. Mes couilles étaient projetées en avant, bien tendues, fragiles, je craignais qu'elles ne soient bien trop vulnérables.

L'homme fut satisfait et continua son travail en perçant chacun de mes tétons. J'aurais cru qu'ils étaient trop petits pour cela, mais cela ne l'empêcha pas d'y glisser un anneau doré de 3 mm lui aussi (il me décrivait ce qu'il faisait) après cautérisation. La douleur fut vive mais très vite calmée, c'était étrange. Je sentais bien le léger poids des anneaux tirer mes tétons. Je trouvais cela excitant, il est vrai que j'adore me faire mal aux tétons. Mais l'érection de mon sexe fut vite stoppée, je faisais des bonds de souffrance en essayant de penser à autre chose pour ne pas bander.

Je n'en avais pas fini, puisqu'à ma grande surprise et panique, il m'informa du désir de mes propriétaire que j'ai un large anneau dans le nez! Je compris alors pourquoi ma tête était totalement immobilisée et sans attendre mon accord, il utilisa encore la même aiguille pour me percer la paroi nasale. Les larmes jaillir sans contrôle de ma part, et même une fois cautérisée, la plaie était sensible. Il inséra un anneau de grande taille, puisqu'il touchait ma lèvre inférieure. A quoi j'allais donc ressembler? A un esclave en fait...

J'étais épuisé et les quelques minutes de calme me firent du bien. Je m'apprêtais à découvrir mes nouveaux tortionnaires, croyant en avoir fini. Un autre homme arriva avec un pistolet, de l'encre et une lumière vive pour éclairer mon visage. J'ouvris grands les yeux de panique, inutile une fois encore. Il appliqua un premier dessin sur mon front, un sur chaque joue, et un petit sur le cou. Evidemment ce n'était que des modèles. La brûlure était largement supportable, bien plus que la honte, l'humiliation et la dégradation que je subissais. Les mots de Victor me revenaient en boomerang, ce n'était définitivement pas enjeu, j'étais perdu, ils m'avaient entraîné dans une destruction programmée.

L'assemblée était restée à attendre ma sortie, impatiente du résultat. J'étais détruit et défait et ne songeai déjà plus à m'échapper. Pour faire quoi?

Tiré par une laisse accrochée à l'anneau de mon nez, Victor me présenta à mes Propriétaires. Ma cage et le cadenas de mon sexe se devinaient au travers du latex de la culotte cloutée qui m'avait été enfilée : je l'avais bien gagnée celle-là! Si mon sexe était protégé par les barreaux de la cage, mes couilles exposées étaient atrocement percées en permanence. J'avais également enfilé les chaussettes cloutées qui allaient avec, et rendaient ma démarche atrocement difficile et douloureuse.

Un corset victorien venait étrangler ma taille et faisait ressortir mes hanches. Il auraient du mettre en valeur mes seins, mais c'étaient surtout les pectoraux qui ressortaient, projetant les anneaux d'or de mes tétons. Victor y avait accroché deux petites cloches qui tintaient à chacun de mes pas. C'était très pratique pour les Maîtres m'apprit-il. Mes bras étaient retournés dans mon dos, et enfermé dans un sac en latex fixé sur mes épaules. La tension était douloureuse, et surtout l'impression de ne pouvoir rien faire. De face je donnais l'impression d'avoir été amputé.

Le clou, qui fit réagir l'assemblée après m'avoir fait longuement pleurer, étaient les tatouages que j'avais reçus. Si la marque de mes Maîtres étaient discrète et très jolie dans mon cou, j'avais un large tatouage sur le front avec le mot Esclave entouré de fouet et d'épines, marquant clairement ma condition. Et sur chaque joue un numéro écrit en très gros. 1 pour la joue droite et 7 pour la joue gauche. Mon numéro d'esclave et mon nouveau nom : dix-sept. Ma vie était finie. Je ne pensais plus à rien. Je gardais les yeux baissés tandis que la laisse était donnée à la femme du couple qui sans un mot m'emmena dehors. Une berline nous attendait, le coffre m'était destiné. Tout un symbole. Je m'endormis vite balloté par les mouvements souples de la voiture.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Comme toujours entre forte excitation et répulsion !

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