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Un jeune puceau est engagé dans un sex shop gay sm.
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A 19 ans j'étais encore vierge. J'avais bien flirté avec une de mes cousines plus jeunes, ou sucé un ou deux camarades de classe plus âgés quand nous étions en sortie, mais je restais vierge. Pas par désir, mais par timidité maladive. Pourtant je savais que j'étais plutôt attirant et bien fait, mais j'étais facilement impressionnable. Je ne me sentais pas attiré par un genre particulier. La population n'était pas séparée par des sexes à mes yeux, mais par les dominants d'un côté, les alphas, et les dominés de l'autre. Dont faisait partie l'immense majorité dont moi. Et encore dans mon esprit, moi tout en bas. J'avais beau cherché je n'avais rien pour moi, aucune activité, pensée, culture dont je pouvais parler. Aucun ami non plus. J'étais incroyablement isolé, et je trouvais cela plutôt normal, compte tenu de l'image que j'avais de moi-même. Lorsque je croisais un dominant, un vrai, alors je sentais un coup de poing au fond de mon estomac, un désir profond, une fébrilité incontrôlable, et la réaction stupide alors de fuir, alors que je ne rêvais que de cela.

Quand je disais cela, en fait je ne sais pas trop ce que cela pouvait être en fait, mais pourtant il y avait là une évidence.

Si je commençais à avoir une belle collection de livres de femmes dominantes et de magazines, j'étais un peu frustré par le côté construit de la plupart de ces récits et encore plus des photos. Les dominatrices en faisaient bien trop pour être crédibles, mais sans doute était-ce nécessaire dans une société aussi marquée par la domination masculine. Je ne rêvais pas de cuissardes ou talons aiguilles, mais d'une présence et d'une autorité extrême, voire d'un certain sadisme et méchanceté pour me mettre à ma place. Je me tournais du coup vers le sm gay, mais lui frustrant d'une autre manière. Les récits étaient assez basiques et frustres. Seuls les dessins d'hommes suppliciés auprès de musculeux sadiques me tordaient les tripes et envahissaient mes pensées. Je pouvais imaginer des scenario sophistiqués et très pervers, là où je trouvais les écrits trop fades.

Je me rendais régulièrement dans un hangar qui faisait office de sex shop gay dans un quartier populaire de la ville. Il était au bout d'une impasse, toujours très calme, avec un étage réservé à des pratiques plus hard qui m'attirait régulièrement. J'étais fasciné par tout le matériel exposé, par les odeurs de cuir ou latex, par les images que je pouvais y voir. J'achetais parfois un objet, toujours déçu de ne susciter aucun intérêt des vendeurs. Ils étaient ouvertement gay et efféminés, ce qui n'était réciproquement pas mon cas. Je n'osais jamais aborder le sujet d'une rencontre avec un mâle alpha.

Un samedi après-midi, je regardais les vêtements en latex, en particulier un boxer couvert de fines pointes à m'intérieur. Ma main posée dessus mesurais bien leur agressivité et la douleur qu'elles devaient infligées. J'étais perdu dans mes pensées à imaginer porter cette culotte de torture, lorsqu'un vendeur s'approcha de moi.

- Tu souhaites l'essayer? C'est un modèle très particulier, je pense que tu l'as remarqué? (Tout le monde tutoyait tout le monde ici, je ne savais pas pourquoi)

- Oui je l'ai remarqué (j'étais rouge pivoine, je voulais juste m'enfuir. D'autant que je ne le connaissais pas, qu'il était âgé pour un vendeur et qu'il était très impressionnant par sa taille et sa carrure. Il me regardait droit dans les yeux, sans un sourire commercial, je me sentais très mal à l'aise)

- Mais est-ce que tu souhaites l'essayer?

- Oui, mais je n'ai pas les moyens de me l'acheter. Je...

- Essaie toujours

Il prit le short et m'entraîna vers un coin de la pièce, mais pas celui où il y avait un vestiaire. Il me tendit le short, je compris que je devais l'essayer là. Je n'osais pas, en fait je n'arrivais pas à bouger.

- Bon maintenant tu essaies ce short ou bien tu t'en vas et tu ne reviens plus. Les midinettes nous cela nous gonfle. Tu as compris?

- Oui Monsieur.

- C'est bien, alors mets-toi tout nu et enfile ce short, je ne vais pas le faire pour toi.

- Oui Monsieur

Je n'en menais pas large, et j'obéi malgré ma honte. Je me retrouvais tout nu devant cet homme qui ne manqua pas de me mater. Je faisais de la musculation pour ressembler à ces hommes que je voyais soumis sur les images et j'espérais que cela lui plaisait. Je ne commis pas l'erreur de masquer mon sexe, ayant peu de pudeur de ce côté-là pour avoir toujours pris des douches collectives. Même si je savais que mon sexe était moyen, voire petit, cela ne me gênait pas, je savais que je n'étais pas un mâle alpha. Mais il ne dit rien, même devant mon pubis bien épilé, il devait s'en foutre. Moi j'étais content d'être nu, pour un timide, être exhibitionniste était peut-être contradictoire, je ne savais pas. Au moins je n'avais pas besoin de parler.

Si ce n'était pas la première fois que j'enfilais du latex, avec les pointes c'était encore plus difficile. D'autant que le short me semblait vraiment petit, même si finalement mes jambes réussirent à entrer complètement. Le monter fut douloureux, je m'écorchais un peu partout. Enfin en place, il semblait en effet très serré, mais à ma taille. La sensation était d'une intensité que je n'avais jamais connue. Tout mon fessier et mon pubis était en feu, quant à mon sexe, il semblait brûler. J'étais à fleur de peau et quand le vendeur me demanda de marcher, la souffrance ne fit que s'accroître. Et à ma grande honte et douleur, l'excitation aussi. Mon sexe ne cessait de gonfler, bien visible, moulé par le latex, et transpercé de toute part. Il appela lors ses collègues d'en-bas, m'expliquant que c'était la première fois qu'il était porté. Je rougis, flatté. Et du coup je masquais mieux mon intense souffrance et irritation.

Je dû faire un défilé devant eux, recevant de multiples caresses sur le sexe et sur les fesses me faisant gémir de douleur. Quand je pensais à toutes les fois où j'étais venu espérant au moins un regard, le contraste était saisissant. J'eu même peur de jouir sur une caresse plus appuyée qui, heureusement, ne dura pas. Plus tard, allongé sur le ventre, à même une grande table d'exposition, les fesses exposées, ils essayèrent une tapette en bois sur mes fesses, pour constater les effets des pointes ainsi frappées. Curieusement, si la douleur était plus franche, la sensation semblait plus supportable. Mais c'était pour moi la première fois que j'étais frappé et sans que je ne puisse anticiper. Je me mis à jouir avec force cri.

Une fois apaisé, la honte me recouvra entièrement et je n'osais regarder personne. Le premier vendeur m'envoya alors dans l'arrière-boutique, retirer le short clouté et le nettoyer avec application. Je ne savais où me mettre d'autant que je dû traverser tout le magasin nu, après la douche. Personne ne semblant s'intéresser à moi, je me rhabillais le plus vite possible pour disparaître et ne plus jamais revenir. Enfin c'est ce que je me promettais.

En fait les nuits et les semaines suivantes, je fus envahi par le souvenir de cette scène, mais surtout de cette culotte si douloureuse et perverse. Je m'imaginais ne pas pouvoir la quitter avec une chaîne cadenassée autour de la taille, devoir prendre le métro bondé, m'asseoir longuement au cinéma et souffrir ainsi de mille points me torturant. J'avais aussi entre aperçu des chaussettes de la même matière et ornées des mêmes pointes, et je devenais fou. Malgré le prix exorbitant pour ma pauvre rente, je décidais de les acheter, ne serait-ce que pour me libérer de ce désir et ce rêve.

Le même vendeur était bien là au rayon hard et ne sembla pas me reconnaître quand j'entrais. J'en fus un peu soulagé. Non, en vérité, j'en fus déçu. J'étais donc bien complètement transparent. Je choisis à nouveau le boxer qui était à la même place et me décidait pour prendre aussi les chaussettes hautes cloutées en espérant qu'ils pourraient me faire un prix. J'étais un peu stressé, mais quand il s'agit d'argent j'étais tellement juste que cela me donnait du courage.

- Bonjour Monsieur, je voudrais prendre ces deux articles. Est-ce que vous pensez que vous pourriez me faire un prix? (Il m'a regardé surpris de ma demande)

- Oui cela fait cher pour un jeune homme comme toi. De quoi vis tu?

- Je, je donne des cours de mathématiques et j'ai un petit pécule que j'ai hérité de mes parents

- Oh, je suis désolé pour toi.

- Je, je ne comprends pas (j'étais désarçonné d'un coup)

- Pour tes parents voyons!

- Oh oui, merci Monsieur.

- Ecoute la dernière fois tu t'es très bien comporté, et nous nous sommes dits que nous avons besoin d'un petit soumis maso comme toi pour faire la démonstration de notre matériel (Je rougis au souvenir de la dernière fois, mais aussi que j'avais été catalogué ainsi, pour moi c'était juste des jeux, une fantaisie sexuelle).

- Oui Monsieur

- Alors voilà ce que je te propose, si tu viens tous les soirs de 18h à 22h pendant les deux prochaines semaines, nu et à la disposition des clients pour essayer des objets ou des tenues, nous pourrions te rémunérer en matériel d'ici. Qu'en penses-tu?

- (Mon cœur battait la chamade, il semblait très gentil et conciliant, Eh oui cela me permettrait du coup d'avoir des jouets moins chers). Oui Monsieur, mais je devrais faire quoi?

- Un peu comme la dernière fois, essayer des vêtements, faire ce qu'on te demande, rien de sexuel. D'ailleurs il ne faudra pas que tu rejouisses d'accord?

- Oui Monsieur.

- Alors on se dit qu'on fait affaire?

- Oui Monsieur.

- Ce que je te propose alors, c'est que tu enfiles ce short et ces bas, et que tu reviennes à 18h pour commencer tes deux semaines.

Je me déshabillais sur place et enfilait le short avec déjà plus de dextérité. Retrouver ces sensations douloureuses me fit bander à nouveau immédiatement, ce qui fit rire le vendeur. Il me massa le sexe pour le plaisir de me voir le supplier. Je réalisais que c'était bizarre leur proposition car il y avait tellement de mecs voulant se soumettre. Mais j'ignorais à ce moment-là que l'immense majorité ne fait que fantasmer, et que personne n'aurait pris le risque de s'exposer ainsi dans un tel lieu. Sauf moi, totalement naïf. Et sans aucun repère.

Ce que je n'avais pas vu c'était que les bas se fixaient sur le boxer pour être bien tirés. Eux aussi me semblaient petits et la tension était forte, plaquant les pointes sur toute la longueur de mes jambes, sans parler de celle qui étaient sous mes plantes de pied, me faisant hurler. Je remis mon pantalon, mes chaussettes et mes chaussure, ce qui ne me soulagea qu'à peine. Me mouvoir était une souffrance terrible, et au sourire carnassier du vieux vendeur, je me dis que j'allais bien mériter mon salaire. Mon sexe ne faisait que bander malgré les souffrances dans tout le bas de mon corps.

Je sortis dans l'impasse en marchant doucement, ayant laissé mon portefeuille à la caisse. Ils ne voulaient pas que je disparaisse avec la marchandise. J'avais trois heures à tuer, et j'habitais trop loin pour aller m'y reposer. Je décidais de me prendre un goûter dans un square, transférant la souffrance de mes pieds à mes fesses. Je venais de m'infliger des souffrances comme jamais et en plus je m'étais engagé pour deux semaines de démonstration. Je n'arrivais à penser à rien d'autre, et juste d'imaginer ce qui risquait de m'arriver, je bandais de plus en plus. J'étais heureux qu'ils aient pensé à moi. Ne pouvant pas tenir plus longtemps, je m'engouffrais à nouveau dans l'impasse du magasin et dans un coin calme je me fis jouir pour apaiser la tension. L'orgasme éclata dans la souffrance des pointes me déchirant, remplissant la culotte de mon sperme. Et sans doute de mon sang.

Je fus d'un coup dégrisé, me demandant comment faire avec Victor, le vieux vendeur qui semblait être le patron et m'avait interdit de jouir dans le boxer. Il me restait deux heures à tuer et peut être je pourrais trouver un endroit pour tout nettoyer.

A 18h je rentrais à nouveau dans le hangar, tremblant de fébrilité tant les pointes me rendaient fou et excitaient déjà à nouveau mon sexe. J'étais allé dans des toilettes pour tout nettoyer, me sentant affreusement coupable et n'osant regarder personne. Le vendeur au rez de chaussée me fit monter et je retrouvais Victor, souriant et affable. Il me fit déshabiller, hormis les vêtements de latex qui me torturaient par leur chaleur mais surtout par les pointes acérées. Il me serra un large collier autour du cou, m'empêchant de bouger la tête, une sorte de camisole, puis m'installa sur une croix de saint André en plein milieu de l'espace. J'avais des ceintures à chaque membre, et je ne pouvais quasiment pas bouger, ni même soulagé les souffrances provoquées par les piqures. Pour terminer, il prit des pinces japonaises lestées et me pinça les tétons avec.

- Voilà mon cœur, tu es là pour mettre de l'ambiance et je suis certain que nos clients vont apprécier!

Je n'étais jamais venu en fin de journée, et fus très surpris de voir autant de monde! Y compris quelques couples hétérosexuels. Je n'avais rien d'autre à faire que regarder toutes ces personnes qui semblaient en effet apprécier la mise en scène qui leur était proposée! Beaucoup vinrent me toucher, presser les pointes pour voir mes réactions, tirer un peu sur me tétons déjà très douloureux. Certaines mains me caressaient doucement, c'était une sensation incroyable d'être exhibé comme cela, moi si timide et en retrait. Je ne cessais de bander et finalement j'étais soulagé de m'être fait jouir tout à l'heure, pouvant plus facilement me retenir.

Une fois le magasin fermé à 22h je fus enfin libéré par un employé qui m'aida à me redresser et à enlever le latex si douloureux. Ma peau était parsemée de points rouges et de quelques points de sang quand les pointes ont traversé ma chair. Il me regarda un peu effaré, tandis que je me massais pour faire circuler les petits vaisseaux de sang. Je rentrais chez moi, complètement épuisé, mais avec une érection énorme. J'avais tellement envie de me masturber avec ce caleçon, c'était quelque chose d'incroyable. Je savais que j'étais complètement fou, le regard de cet employé me l'avait bien montré, mais je n'y pouvais rien. Et je ne voulais surtout pas résister. Mon sexe était tellement douloureux que je retrouvais vite le plaisir de la souffrance en le masturbant longuement. Quand enfin j'explosais, je criai mon plaisir comme jamais, la jouissance dura une éternité, j'étais épuisé. Comme souvent, je recueillais mon sperme et je l'avalais, comme pour bien m'habituer. Ou m'humilier, je ne savais pas. J'étais loin d'être au clair avec ma sexualité. Parfois je ne me masturbais pas pendant plusieurs jours, sentant la fièvre m'emmener dans des délires que je ne comprenais pas, une fois la jouissance enfin là.

Les jours suivants, les choses évoluèrent, se renouvelant à chaque fois. J'étais moins juste un modèle d'exposition, mais aussi un modèle pour tester et évaluer le matériel. Par principe, mais aussi timidité et luxure, je m'interdisais de refuser quoi que ce soit, et également de craquer malgré parfois des situations très pénibles. Mais j'avais la chance de pouvoir sans doute, subir à peu près tout ce que le magasin pouvait proposer. Un soir ce fut un couple qui voulait évaluer différentes résistances. La femme, ressemblant à mon ancienne proviseure, sévère et âgée, était positionnée face à moi. J'étais penché en avant, enfermé dans un carcan, les jambes écartées par une barre, ainsi offert à tous les clients. Ce fut d'ailleurs finalement la position dans laquelle j'étais le plus souvent.

Son mari avait serré autour de mes couilles un parachute en cuir, très serré, avec des pointes intérieures. A croire que tous les articles de ce magasin étaient étudiés pour faire le plus de dégâts possible. Puis, suivant les directives de la matrone, il ajoutait des poids. Elle étudiait mes réactions pour savoir ce que je supportais ou pas. Quelques personnes étaient autour, amusés de l'expérience. A 5 kg je commençais à bien souffrir. Cela tirait dans le ventre, mais je ne montrais rien, je ne voulais pas les décevoir, et je devais de faire de mon mieux. Elle demanda alors de rajouter deux kg pour voir.

Cette fois-ci, il me fut impossible de rester impassible, je grimaçais, et gémissait. Elle me força à soutenir son regard, ce que je fis, la convaincant alors que ce n'était pas mon maximum. A son signe, il rajouta encore un poids de 1 kg. Mes couilles allaient s'arracher, la tension était folle. Mon sexe était dur comme l'acier. Comme pendant toutes ces séances, c'était étonnant. J'avais du mal à respirer, mais j'arrivais à contrôler, et après quelques minutes je relevais à nouveau la tête pour la regarder, lui sourire. C'était bon de s'offrir ainsi à cette inconnue. Pour le poids suivant, à 9kg, ce fut la même chose, même si je mis encore plus de temps.

Enfin elle fit un dernier signe, et je supportais 10 Kg sur mes deux pauvres couilles qui avaient déjà subi maintes sévices les jours précédents. Mon gémissement était continu, entrecoupé de mes halètements, les larmes me montaient aux yeux, la torture était terrible, à la douleur dans le ventre, s'additionnait cette tension extrême. Elle émit un son de satisfaction, indiquant à son mari qu'elle pensait bien que 10 Kg étaient possible et que dès ce soir leur chien serait ainsi supplicié. Et ils me laissèrent ainsi, se désintéressant de moi.

Un homme pris le relais, pour s'occuper de mes tétons. Une coupelle avec différents modèles était posée, et une autre avec différents poids. Les pinces japonaises lâchèrent à 1 kg, à sa grande frustration et à ma grande douleur. Il décida alors de prendre de simples pinces crocodiles. Je les avais déjà expérimentées plusieurs jours et mes tétons étaient blessés tous les soirs. Lorsqu'il installa deux kilos à chacun des tétons, il du mettre un bâillon tant je ne pouvais retenir mes cris. Je ne pensais plus à mes couilles, mais à la souffrance qui irradiait de ma poitrine. Il fut satisfait, pris une photo et lui aussi me laissa ainsi. La fermeture était proche, aussi Victor vint me libérer de toutes ces souffrances, doucement, presque tendrement. Me passant une pommade et se déclarant très satisfait. C'était si bon d'être ainsi réconforté.

Un autre soir, ils avaient décidé de mettre en avant tous les instruments pour frapper ou marquer. Toujours dans mon carcan, cela semblait plaire à la population. Le cul toujours fermé d'un plug, je ne manquais pas de remarquer que le plug était de plus en plus énorme. Comment aurais-je pu le manquer, tant à la fin de ces deux semaines, sa seule présence était un supplice sans fin.

Ainsi exposé, les clients pouvaient tester les instruments mis à leur disposition. Cela n'avait rien à voir avec une flagellation car je recevais un ou deux coups, parfois une série, mais rien de très long. Mais cependant des coups parfois d'une violence inouïe pour tester l'accessoire. Je bondissais, hurlais, au grand plaisir des clients. Mes fesses, mon dos et mes cuisses furent rapidement couvert de marques diverses et variées. Je sentais mes fesses en carton et j'étais un peu inquiet. J'espérais que là aussi Victor aurait une crème.

Mais ce ne fut rien, avant qu'une jeune femme, au regard noir, clairement une dominatrice, ne se saisit d'un accessoire appelé griffes de tigre. Une réplique en acier d'une patte de tigre, aux dents plus qu'acérés. Elle me lacéra le corps, longuement, méthodiquement, cherchant à me faire le plus mal possible, à faire couler aussi le sang partout, insensible à mes cris. J'aurais voulu demander pitié, mais les mots même ne venaient pas. La brûlure était profonde, continue, intense. Bien pire que le moindre coup de canne. L'engin sembla lui plaire puisqu'elle décida de l'acheter.

A la fermeture, j'étais tremblant de souffrance, le corps à vif. Victor me consola. Ils partirent tous dîner ensemble, sans même penser à m'inviter. C'était surprenant comme une fois le magasin fermé, personne ne s'intéressait à moi. Victor vu ma souffrance d'être ainsi exclus de leur cercle :

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