Mensonge & Cie - 03

BÊTA PUBLIQUE

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Mais elle écrivit des chiffres ne correspondant toujours pas à ce que je voulais.

J'attendis une heure, mais visiblement ce genre de pratique n'allait pas la déstabiliser. Je l'avais peut-être sous-estimée. Je pensais en la voyant pleurer qu'elle était faible. Mais elle savait que je ne pouvais pas l'entendre, alors ses larmes étaient sa seule arme contre moi, et elle ne se gênait pour s'en servir...

Encore une demi-heure plus tard et Pierre entrait et détachait la chaîne. Le plug fut éjecté aussi sec, et un tombereau de merde et d'eau nauséabonde vint s'étaler sous elle. Je pensais un instant la lui faire boire, mais je trouvais ça répugnant et n'avais aucune envie d'observer ce spectacle. Je précisais quand même à mon complice de garder l'eau noirâtre dans un seau, au cas où...

Nous passions à l'étape suivante.

Emma fut ligotée à la table. Pierre apporta les instruments. De l'encre et un dermographe. Un petit appareil à aiguille fait pour tatouer la peau. Pierre n'était pas un expert dans ce domaine, en fait il n'avait fait qu'un seul essai auparavant, mais ce serait bien suffisant. Il plaça deux miroirs se faisant face, afin qu'Emma puisse contempler ce qu'on lui gravait sur la peau. Pierre actionna l'appareil et se mit au travail, il inscrivit la première lettre en haut du dos : S

Un peu plus bas ce fut un A

puis un L

un O

un P juste au creux du dos

et un E en haut des fesses.

Cela prit une heure, et ce dû être très douloureux. Pierre enthousiaste prit une photo de son travail pour la montrer à Emma. Elle en fut chagrinée, se mettant à pleurer peut-être plus à cause de l'humiliation de ce qui était inscrit sur sa peau que la douleur provoquée par le tatouage.

On lui donna une feuille, elle écrivit un 8 absolument absurde... Elle en voulait encore, la garce.

Très bien. On avait encore du temps devant nous. La nuit venait de tomber, on allait prendre un peu de repos pour avoir les idées claires. Avant de partir, Pierre perça les tétons d'Emma pour y passer deux gros anneaux en métal qui serait bien utile le lendemain. Pour éviter qu'elle ne reprenne trop de force, on la ligota fermement sur sa chaise et on scotcha un œuf vibrant sur son clito. On lui banda les yeux et on fourra un bâillon dans sa bouche. Si quelqu'un passait à côté, elle n'aurait aucun moyen ni de le voir ni de lui parler.

Je revins chez moi. Je passais une agréable soirée avec ma femme, et réussie à dormir plutôt facilement. Je n'avais vraiment pas beaucoup de compassion pour Emma, elle avait menacé ma fille, elle devait payer.

Le lendemain de bon matin, j'étais de retour dans le pavillon. Je vis que la chaise sur laquelle Emma avait passé la nuit inondée de mouille.

On lui promit de retirer l'œuf immédiatement en échange de son chiffre. Elle tenta un 6 qui ne me convainquit absolument pas.

Pierre installa un pilori pliable en acier dans le salon. Et l'on installa Emma dedans. Avant de partir, je me dis que c'était trop bête de ne pas lui laisser un souvenir de ma part. Elle ne pouvait pas voir ce qui se passait, car on ne lui avait pas retiré son bandeau, mais elle sentit ma bite entrer en elle. Je fus stupéfait de m'apercevoir qu'elle était encore vierge. Je me demandais si elle était lesbienne ou quoi, en tout cas j'étais content d'être le premier à la baiser.

Je fus aussi le premier à en faire une enculée.

Mais je ne fus pas le dernier. Emma avait une journée bien remplie. Comme elle ne pouvait pas parler à cause de son bâillon, mais qu'il était important que l'on puisse savoir à quoi elle servait, l'on attacha un carton à la chaîne qui reliait ses deux seins, il y avait inscrit dessus : « PUTE EN LIBRE SERVICE. »

Elle avait donné son ancienne concurrente à baiser à seize mâles. Elle aurait droit à un juste retour des choses. J'avais publié une annonce pour un tournage de film porno ici même. Le salaire était de 10 € pour la journée, avec au moins deux passages dans sa chatte ou son cul de demandés. Bien sûr, ce n'était pas tant le salaire que la possibilité de fourrer de la chatte qui allait attirer toute sorte de pervers. Dès huit heures trente du matin, les hommes commençaient à entrer dans la maison. Il y avait vraiment de tout, des noirs, des arabes, des gros, des vieux...

Emma était coincée dans le pilori, les yeux couverts par un bandeau, incapable de savoir ce qui se passait derrière elle. Enfin... incapable de savoir... elle comprit très vite... Un homme s'avançait et enfonçait son chibre en elle. Ensuite pendant une moyenne de dix minutes il percutait ses fesses, l'embrochant avec sa teub comme il en avait envie, sans qu'elle ne puisse rien faire ni rien dire pour les en empêcher. Puis, l'homme arrivé au point culminant giclait sa sauce en elle. Elle sentait alors la semence chaude inonder sa chatte. Un petit racloir était installé pour le suivant s'il ne voulait pas sentir le sperme déjà présent dans la fente d'Emma quand il la fourrerait à son tour.

La journée passa ainsi, et heureusement que c'était du travail au noir, car j'en fus pour près de mille euros de dépenses salariales. Mais je crois que s'en valait la peine, quand tout le monde fut parti et que je demandais à Emma de tracer son chiffre, elle traça un 2 qui commençait à s'apparenter à la dactylographie originale. Mais ça manquait de précision...

Je lui indiquais alors : « Je vois que tu fais des progrès. Pour t'encourager, comme tu n'as rien mangé depuis hier, je t'autorise à avaler quelque chose. »

Pierre lui présenta un seau. Ce seau était resté sous sa chatte pendant toute la durée du gangbang, tout le sperme qui avait giclé en elle était ensuite retombé dedans, que ce soit naturellement ou avec l'aide du racloir.

À l'aide d'une cuillère, Pierre entreprit de se mettre à la nourrir. Il lui pinçait le nez pour qu'elle ouvre la bouche quand elle faisait la difficile. J'essayais de l'encourager : « Une cuillérée pour faire plaisir à papa, une cuillérée pour faire plaisir à maman. »

Une par une, les cuillères de foutre s'enfonçaient dans sa bouche pour reparaître vide. Le seau était loin d'être rempli à ras bord. Mais ça faisait tout de même une bonne quantité, environ cinquante cuillères à soupe.

Cinquante cuillères à soupe remplies de sperme. Je devinais qu'elle n'aurait plus faim pour un certain temps et qu'elle allait avoir l'haleine puant le foutre. Je voyais à sa mine son dégoût s'accentuer à mesure qu'elle devait ingérer la substance gluante.

Mais ça ne fut pas suffisant... Elle avait une volonté de fer.

Je commençais à m'inquiéter. La nuit arrivait et je devrais avoir obtenu le chiffre d'ici l'après-midi suivant.

Je la laissais dormir, j'avais besoin de préparer les dernières épreuves. J'espérais aussi que la nuit lui porte conseil, et pour ce conseil se montre particulièrement pertinent, on lui installa un casque de réalité virtuelle sur la tête. Dedans, on diffusa le film du gang-bang qu'elle avait subi dans la journée. Le son était à fond, qu'elle entende comme les acteurs riaient et se foutaient de sa gueule pendant qu'elle se faisait troncher. Elle était traitée de tous les noms, et baisée comme une salope, ça devrait la faire réfléchir quant à son refus de communiquer l'information que je lui demandais.

Au matin, je lui annonçais que si elle refusait encore de me faire un beau chiffre, ce film serait diffusé sur toutes les plateformes de vidéo porno.

Et ce fut un 3 lamentable, dommage pour sa réputation...

Cette fois, elle fut installée à quatre pattes. Les bras et les jambes coincés dans des arceaux de fer plantés dans le sol pour éviter qu'elle ne bouge. On pulvérisa un produit sur sa chatte, et l'on fit entrer les chiens. Une dizaine. Emma était terrifiée. Pierre resta près d'elle pour guider les chiens. La chatte d'Emma dégageait des phéromones qui provoquaient chez les clébards une envie irrésistible de la niquer, même s'ils devaient être un peu surpris d'avoir envie de baiser une humaine.

Quand cinq chiens lui firent passer dessus, je lui signalais :

« Maintenant, c'est la dernière occasion que tu auras d'écrire le chiffre avant le passage des bergers allemands. »

J'eus le droit à un magnifique 7.

Enfin, on était en fin de matinée. On lui redonna un peu de chloroforme histoire de pouvoir récupérer tout le matériel et effacer toutes nos empreintes. Elle serait réveillée à temps pour venir au siège de Voréal... si elle en avait envie. Mais après tout ce qu'elle avait subi, j'en doutais.

En tout cas, en partant je croisais un groupe de SDF traînant non loin de la maison, je leur donnais un bon conseil :

« Vous voyez cette maison? Vous pouvez squatter dedans, personne ne viendrait les chasser. Au contraire, vous pourrez profiter autant que vous voulez de la maîtresse de maison... Elle fait semblant de dormir car elle est trop timide pour demander à se faire baiser. Mais n'hésitez pas à la combler avec vos chibres, c'est ce dont elle a vraiment envie...»

L'arrivée des clodos dans la maison permettrait d'effacer encore plus les preuves qu'il pouvait rester de mon passage. Quant à ce qu'ils feraient de la jeune femme endormie, ce n'était pas mon affaire...

Je repassais par chez moi, prendre une douche et m'habiller de mon plus beau costard pour obtenir mon nouveau poste.

///**///

Il était dix-sept heures trente, et je me rendais au siège de Voréal d'un pas léger. Mon plan avait fonctionné à la perfection. J'avais de quoi être satisfait de moi. Je me demandais si je n'avais pas un peu exagéré avec Emma, mais elle s'était montrée coriace et ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même. Et puis, elle était bien punie pour avoir fait suivre ma fille.

J'attendis 18h, quand le recruteur me fit entrer. Emma n'était toujours pas arrivée, rien de surprenant. J'informais le DRH de ma réussite et qu'il était inutile d'attendre plus longtemps :

« J'ai bien peur que nous devions commencer sans la présence d'Emma. La pauvre vient juste venir de se réveiller aux bras de certains individus un peu miteux, et elle n'a sans doute pas envie de se présenter ici. Mais ça ne portera pas à conséquence, j'ai réussi à obtenir son chiffre et à lui cacher le mien... je dois dire que... »

Je fus interrompu. La porte venait de s'ouvrir derrière moi. C'était Emma, avec une casquette pour dissimuler son crâne tondu. J'étais un peu surpris qu'elle vienne, elle avait passé deux jours bien compliqués... Mais c'est vrai que la pauvre fille pensait avoir mon chiffre, peut-être est-ce en s'accrochant à cette idée qu'elle avait tenu bon.

Elle ne se précipita pas pour m'égorger, elle présenta juste ces excuses :

« Désolée pour mon retard.

— Vous êtes encore dans les temps, la rassura le DRH, asseyez-vous je vous en prie.

— Merci... C'est que... j'avais à m'occuper de la fille de quelqu'un voyez-vous. »

Je vis rouge :

« Ma fille n'a rien à voir avec ce concours! Si tu penses à te venger sur elle, si tu la menaces de quoi que ce soit, si tu touches à un seul de ces cheveux, je vais...

— Du calme! Je ne toucherais à aucun cheveu de votre fille, restez tranquille.

— J'aime mieux ça.

— Parce qu'elle n'en a plus aucun.

— Hein?

— Vous croyez vraiment que votre hypnose a été un échec?

— Comment ça?

— Je veux dire, vous êtes sérieux? Vous venez me dire, sans que rien ne vous y oblige, que vous n'êtes pas hypnotisable? C'est évident que c'est du bluff, jamais je n'y aurais cru et vous le saviez bien. C'était une simple technique pour me forcer la main pour que je tente justement l'hypnose sur vous. Vous croyez que je ne l'avais pas compris? Tout comme j'ai remarqué que vous ne regardiez pas la carte qui vous était confiée.

— Pfff... Vous l'avez peut-être compris maintenant, mais je vous ai quand même eu. Voyez-vous, j'ai enregistré la séance d'hypnose, je sais ce que vous avez fait.

— Rectification, vous avez entendu seulement la première partie.

— La première?

— En effet, vous voulez sans doute entendre la seconde partie de la séance, je suis sûr que ça vous éclairera un peu... »

Emma sortit son smartphone et appuya sur un bouton. On entendit ma voix et la sienne :

« Ce chiffre, le cinq, c'est le seul chiffre que vous avez reçu?

— Non.

— Quel est l'autre chiffre alors?

— Je l'ignore, il est caché.

— Où ça?

— Chez moi, dans un livre de Philip K Dick.

— Et peut-on se rendre chez vous facilement?

— il suffit d'attendre que ma femme soit au travail. Il n'y a plus personne.

— Très bien, alors demain avant de partir, vous vous assurerez de laisser une fenêtre discrètement déverrouillée. Vous pouvez faire ça?

— Oui la fenêtre de la cuisine.

— Bien, maintenant, avez-vous un plan pour me faire parler?

— Oui, vous kidnapper et vous obliger à me donner la réponse.

— Et comment me trouverez-vous?

— J'ai un traceur cousu dans mon pantalon à côté de l'enregistreur.

— Je vois. Avant que vous ne me confiiez cet enregistreur, j'aimerais que vous regardiez cette photo.

— C'est une photo de ma fille.

— Non, cette photo ce n'est pas une photo de votre fille, c'est une photo de moi. Si vous vous voyez quelqu'un qui ressemble à cette personne, c'est que c'est moi, Emma, votre concurrente. Maintenant, qui est sur cette photo?

— C'est vous. »

Je me levais brutalement :

« Qu'est-ce que ça veut dire!? Qu'est-ce que vous avez fait!?

— N'est-ce pas évident? »

Elle retira sa casquette, elle avait tous ces cheveux.

« Je ne comprends pas, je n'ai pas pu... J'avais un complice, il n'a pas été hypnotisé et il vous connaissait. Il n'a pas pu vous confondre avec ma...

— Vous voulez parler de Pierre? J'ai bien peur que ce ne soit pas votre complice, c'est le mien. C'est moi qui vous en ai parlé de lui, et ai attiré votre attention dessus. C'est vrai, son père est mort par ma faute. Mais c'est Pierre qui a fait appel à moi pour lui piquer son fric. Son père le détestait et il avait entamé des démarches pour le déshérité. Alors qu'il soit mort après que je l'ai ruiné lui a plutôt fait plaisir. Et puis, c'est de sa faute si la justice a eu vent de cette affaire, il avait une dette envers moi.

— Mais ce qu'il a fait...

— Ce qu'il a fait, c'est filer votre fille. Pour le reste, il n'a fait que suivre vos demandes. Tout ce qui est arrivé à votre fille est entièrement de votre faute, vous avez donné les ordres, vous avez préparé le matériel. Tout ce que j'ai fait, c'est de l'inviter chez une amie. Heureusement pour elle, Pierre a fini par lui donner les instructions sur la façon dont les chiffres étaient calligraphiés. Sinon elle serait encore votre prisonnière, je préfère ne pas savoir ce que vous prévoyez pour elle dans ce cas... Je ne suis pas sadique, vous savez... Quoique... après avoir vu la vidéo de son gang-bang que vous avez mis en ligne, j'ai pris un peu de plaisir... »

Je l'écoutais sans y croire. Ma fille, mon adorable fille. Elle était vierge alors? Et je l'ai... Tous ces hommes après qui l'on... et je lui ai fait manger leur sperme... Non, NON NOOOOONNNN!!!!!!

Je me sentais mal, proche de l'asphyxie. Je me rappelais le tatouage affreux sur son dos... Puis je me rappelais de la vidéo. Elle mentait, je pouvais prouver qu'elle mentait, je sortais mon téléphone et j'allais sur pornvideos.com chercher le film amateur que j'avais posté : « Salope au pilori fourré par 100 mecs. » je regardais, le visage était bien identifiable, c'était Emma. Je relevais la tête pour le lui dire, mais son visage était différent de celui que je voyais sur la vidéo. Je me concentrais, un flou se forma, je sentais mon esprit devenir plus clair, le visage de la fille sur la vidéo se transformait, c'était ma fille! Mon ange en train d'être baisée par un vieillard obèse!

Et je l'avais laissée encore endormie avec des clochards! Qu'est-ce qu'ils pouvaient lui faire? Je me levais et quittais le bureau en courant. Derrière moi j'entendis :

« Félicitation, Mademoiselle, je crois que le poste est pour vous. »

FIN

12
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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
DavidMC2DavidMC2il y a presque 4 ans
Malin

Bel effort, l'auteur a pensé à plein de petits détails. 100 mecs différents ! ! En une journée sa chatte vierge est transformée en un registre d'état civil. Elle a dû avoir quelques démangeaisons intimes avec autant de passage...

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Diabolique

Réellement diabolique !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Magistral et

Terrible !

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