Mensonge & Cie - 02

BÊTA PUBLIQUE

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Elle allait visiblement obtenir la signature. Quand un type à la queue dans la bouche d'une fille, il ne peut rien lui refuser. Il me fallait donc un nouveau plan. Mais j'eus un doute... Est-ce qu'elle ne me menait pas en bateau? Peut-être avait-elle compris que je n'étais pas une employée. Peut-être que c'était moi la victime d'un coup monté... Le type derrière la cloison était son complice... Il fallait que je sois sûre. Je posais mon sac par terre et montais d'abord sur la cuvette, puis sur le réservoir. De là-haut, même si mon équilibre était précaire, j'avais suffisamment de hauteur pour regarder de l'autre côté. Et ouf! je n'avais fait que la paranoïa. Cette pute était vraiment en train de faire une pipe dans les toilettes de l'entreprise. Le gars était debout contre la paroi séparant les deux toilettes, les deux mains sur la chevelure de Mathilde et lui imposant le rythme de la fellation. De ma position en hauteur j'avais une vue plongeante sur le visage de la postulante. Et elle était é-c-œ-u-r-é-e. C'en était pathétique, son visage avait une expression de pur dégoût, c'était presque comique... et exagéré... Si le type était un vieux dégueulasse, elle aurait eu le droit de faire une grimace pareil, mais le type était tout à fait convenable. Soit c'était une pucelle qui n'avait jamais même eu de queue dans sa bouche, soit elle faisait du cinéma. Cela dit, je pouvais la comprendre un peu. Elle était entrée dans le bâtiment en pensant être embauchée dans l'entreprise de luxe la plus prestigieuse de France, et elle se retrouvait à tailler des pipes dans des chiottes. Quant au type c'était le contraire, il n'était que trop heureux. Non seulement il allait peut-être conclure un bon contrat, mais en plus l'entreprise lui fournissait une putain pour se vider les couilles. Il devait se croire au paradis... vu comme il était au septième ciel, il n'allait sans doute pas durer longtemps avant de juter son foutre au fond de la gorge de ma concurrente. D'ailleurs, sa façon de lui baiser la bouche montrait bien qu'il se croyait le roi du monde, il fourrait sa pine dans sa gorge comme s'il baisait une poupée gonflable. Il ne demandait aucun accord à la "pute", et si quelque chose ne lui convenait pas dans la façon qu'avait Mathilde de le sucer, il lui tirait les cheveux.

En face, Mathilde n'avait pas d'autre choix que de subir, et elle savait qu'elle devrait avaler ce qui lui coulerait dans la gorge et le remercier pour ça si elle escomptait une signature sur son papier. Vu comme elle détestait pomper, j'étais sûre qu'elle allait se mettre à pleurer. Ça me donna une idée...

Je quittais la cabine et sortis rapidement des toilettes. Je me mis au travail aussi vite que possible. Je causais avec toutes les personnes dans le hall, un par un, je les informais que l'entreprise leur mettait une pute en libre disposition. Quand ils protestaient ou s'étonnaient que Voréal se serve de prostituée, je leur disais :

« Voréal c'est le luxe et le confort. Alors si vous connaissez une meilleure façon de vous détendre que de fourrer votre queue dans une fente juteuse de première qualité dans les chiottes, merci de faire part de vos propositions, et je les transmettrais à qui de droit. En attendant, j'espère que vous aurez plaisir à bien vous vider les couilles dans la chatte, la bouche ou le cul de notre pute. Vous êtes chez Voréal, et vous le valez bien. »

J'y mettais le ton le plus naturel possible, histoire qu'ils n'aient pas de scrupule à tringler ma concurrente. Et j'insistais sur le fait que la pute en question devait accepter toutes leurs demandes, que si elle refusait — par exemple de se faire fourrer le cul, — il ne fallait pas hésiter à la menacer d'en informer l'entreprise, et moi-même en particulier. Vu la façon dont je l'avais manipulé jusqu'à présent, j'étais certaine qu'elle penserait que c'était une étape obligatoire pour se faire embaucher.

Mais elle allait refuser. À la façon dont elle avait trouvé dégoûtant de pratiquer une simple petite pipe, elle jeterait l'éponge quand un des types viendrait pour lui défoncer la moule. Même une grosse salope refuserait de sucer et de se faire tringler par des dizaines d'inconnus juste pour se faire embaucher. Personne ne serait assez fou pour ça. Elle allait quitter les w.c. en larmes, et sortir du bâtiment honteuse et sans demander son reste. Deux fois honteuse même, d'être éliminée et de s'être fait baiser. Un plan parfait!

J'organisais ça bien. Je donnais à chacun des futurs « clients » un papier numéroté. N° 1, N° 2... jusqu'au N° 15. Ça avait l'air pro, et plus j'aurais l'air pro, moins ils remettraient mon autorité en cause.

Je venais justement de remettre le dernier numéro quand je vis le type qui s'était fait sucer sortir des toilettes. Il avait un grand sourire, le genre de type qui, quand il s'est fait dégorger le poireau, se sent supérieur. Il fallait s'attendre à ce que la majorité des types ressortent des chiottes en arborant eux aussi cette expression.

« Numéro 1! Tu y vas. »

Aussitôt un des types s'engouffra dans les toilettes... J'aurais sans doute pu attendre, mais j'étais trop curieuse. J'entrouvrais la porte... Je voyais le type se diriger vers Mathilde alors que celle-ci était au lavabo en train de boire. Sans doute essayait-elle de faire passer le goût du foutre de sa bouche... Elle n'était pas au bout de ses surprises.

Le type regarda autour de lui, voulant s'assurer de ne pas se tromper de personne. Il avait beau être dans les toilettes hommes où Mathilde n'avait rien à faire, s'il traitait une employée « normale » comme une pute, il y avait de quoi se faire dégager aussi sec.

« Alors c'est toi?

— Moi?

— Ouais... hum... tu sais... la pute...

(Je devinais plus que je n'entendais ce dernier mot, tellement il l'avait prononcé bas.)

— Euh... Oui. Tu veux signer ma feuille? »

Aussitôt, s'étant assuré qu'il avait bien une salope de catin en face de lui, il sembla respirer plus aisément.

« Te signer ta feuille? Ce que je vais faire, c'est te casser le cul, salope. Viens par-là que je te démonte. »

Visiblement, il avait vraiment besoin de se vider les couilles pour se détendre. Bon, tant mieux. Qu'il lui ramone le cul aussi fort qu'il le souhaite, ça faisait mes affaires. Si ça se trouve, elle allait partir en courant d'ici quelques secondes.

Mais non... le visage de Mathilde blanchit, et elle se contenta de se diriger vers une cabine.

J'étais abasourdie. Par ma faute, elle allait se prendre une bite dans le cul. Je me répétais sans trop y croire qu'elle n'avait que ce qu'elle méritait... de toute façon, maintenant la machine lancée, il n'y avait plus de retour en arrière possible.

Je sortis et attendis que le mec ressorte. Il lui fallut moins de dix minutes, aussitôt le numéro deux entra. Certains de ceux qui avaient les numéros les plus éloignés étaient partis fumer une clope ou faire Dieu sait quoi, mais les cinq premiers étaient tous là, et ils ne manquèrent pas de questionner N ° 1 sur la « pute. »

« Alors? C'est vrai? Il y a bien une pute?

— Je sais pas si on peut dire que c'est une pute... Elle ne fait pas payer, il y a juste à signer de son nom. »

Là, j'intervins, je ne voulais pas qu'il réfléchisse trop à l'identité de celle qu'ils devaient baiser...

« Oh, c'est bien une pute. Mais c'est l'entreprise qui prend en charge ses frais. Ne vous inquiétez pas pour elle, elle est payée très cher pour sa journée. Vous pouvez lui demander les trucs les plus barbares et les plus sales que vous voulez, c'est pas un problème.

— Qu'est-ce que tu lui as demandé? demanda N° 3 (qui était noir)

— Bah, je lui ai pété le cul. Une bonne sodomie le matin, ça vous requinque... Je l'ai fait gueuler... Vous avez entendu?

— Pas vraiment...

— L'isolation doit être top... Quand j'ai fourré ma queue dans son fion, elle beuglait comme une truie. On n'aurait cru qu'elle était encore vierge de ce côté. »

Les « clients » se succédaient les uns aux autres. Et Mathilde ne ressortait toujours pas en courant. Elle ne pouvait quand même pas durer! Je savais qu'elle s'était fait enculer, qu'elle s'était fait baiser par un noir, qu'un des types lui avait fait boire sa pisse... Elle aurait dû déjà laisser tomber.

Mais non, le N° 11 sortait des toilettes se vantant de lui avoir fait lécher son cul. Comment pouvait-elle supporter de se faire humilier comme ça? Même la pire des salopes n'aurait pas accepté ce qu'elle était en train de vivre.

Les quatre derniers entrèrent, se vidèrent les couilles et finirent par ressortir. Peut-être que j'aurais dû les faire entrer ensemble, qu'elle se fasse gangbanger. Mais vu ce qu'elle avait déjà subi, ça n'aurait sans doute rien changé. Elle était prête à se faire outrager de la plus vile des façons pour obtenir sa place... MA place...

J'attendis un peu, je pensais entrer pour voir le résultat de ces baises successives. Mais j'avais peur qu'après ce qu'elle venait de vivre, elle ne soit peut-être devenue folle et qu'elle ne m'agresse. Mieux valait rester dans le hall, et trouver un nouveau plan C. Ce n'était pas le nombre de fois qu'elle se ferait péter la chatte ou le cul qui la ferait changer d'avis.

Finalement, elle sortit. Son maquillage était devenu dégueulasse. On voyait ses yeux rouges, un des salariés m'avait signalé qu'elle avait pleuré pendant qu'il la baisait. Ça l'avait amusé, et sa seule réponse compassionnelle avait été de lui faire sucer sa bite et de lui gicler au visage. Je me demande comment elle n'avait pas sombré dans la folie. Ses vêtements étaient humides, puant le sperme et la pisse. On n'aurait vraiment cru qu'on venait de la sortir du ruisseau. Elle était entrée quelques heures plus tôt dans ce bâtiment comme nouvelle future employée toute pimpante, elle n'était maintenant plus qu'une pute au rabais qu'on baiserait par charité.

Elle s'approcha de moi. À sa démarche douloureuse, on pouvait voir que son cul avait servi à garer les bites. Et puis elle sentait fort le foutre, je me retins de me boucher le nez.

« Voilà, j'ai passé le test... j'ai quinze signatures... Je suis prise maintenant? »

J'imaginais que c'est en s'accrochant à cet espoir qu'elle avait tenu ; qu'elle avait pu supporter de se faire enfiler et de sucer tous ces chibres, en se disant qu'elle serait admise grâce à ça... C'était l'occasion idéale pour l'achever en lui portant le coup de grâce. Elle était trop affaiblie pour utiliser son cerveau.

« Mathilde... Je vais être franche, ça ne va pas être possible. Tu crois vraiment que notre entreprise voudrait intégrer une personne qui vient de faire les choses que tu viens de faire? Une fille prête à faire la pute pour avoir une place? Regarde-toi, tu dégoulines de pisse. Et l'odeur... une poubelle pleine de merde aurait un meilleur parfum que toi. Tu aurais dû refuser et montrer ton intégrité. C'est ça que l'entreprise attendait de toi. Au lieu de ça, tu as montré que tu étais prête à t'avilir, à manquer de tout sens moral. Et pour être honnête, tu t'es comporté comme une dégénérée. Vendre son cul aussi facilement... C'est vraiment honteux. Comment as-tu pu croire qu'une société aussi prestigieuse que Voréal puisse accueillir une employée comme toi... Ce serait presque drôle si ce n'était pas aussi sordide. »

En entendant mon verdict, Mathilde se mit à pleurer. Je la comprenais, elle devait vivre des émotions fortes. Je m'en voulais un peu de la malmener ainsi... mais ce n'était pas moi qui avais conçu les règles du jeu, et si elle se montrait trop bécasse pour se rendre compte qu'elle se faisait mener par le bout du nez, tant pis pour elle. "Tous les coups sont permis" avait dit le type.

« Après tout ce que j'ai fait! J'ai... Ils m'ont enfoncé leur... dans le... Et j'ai dû les sucer après!!!! ... S'il vous plaît... Je croyais que c'était ce que vous vouliez... Normalement, jamais je ne ferais ce genre de choses... C'était la première fois que... que... donnez-moi encore une chance!!! je vous montrerais que je suis capable d'agir comme il faut...

— Désolée, mais ce serait injuste pour les autres candidates au poste, et —

— Je vous en supplie! Je travaillerais jours et nuits, je ferais des heures supplémentaires...

— Je comprends votre détresse, et l'entreprise se sent responsable de ce qui vous arrive. Alors, nous avons différentes options à vous proposer... Pour cela il faut que je vous montre... des documents... mais avant ça, ça vous dérange si je fume une cigarette?

— Quoi... non! pas du tout, comme vous voulez...

— Venez avec moi, je vais vous expliquer vos options dehors... »

Je me levais et me dirigeais vers la sortie. Elle me suivit en m'écoutant parler, comme si avec mes paroles je pouvais encore lui sauver la mise.

« On peut vous proposer un poste dans une de nos filiales, nous avons diverses entreprises sous notre giron, des sociétés travaillant dans l'achat en gros et le stockage, mais je ne pense pas que ce soit votre option favorite. Ce que vous préfériez c'est... »

J'ouvrais la porte et lui fit signe de passer. Ce qu'elle fit, sans réfléchir ni hésiter. Moi, je continuais à parler encore quelques secondes :

« ... le luxe et le soin & beauté, pour cela nous pouvons vous faire une recommandation très favorable chez... »

Elle tenait la porte, attendant que je passe et buvant mes paroles. Elle demanda : « Une recommandation de votre part? Ce serait chouette... est-ce que... »

Elle avait tout oublié de la première consigne qu'on lui avait donnée : « Ne pas quitter le bâtiment! »

J'hésitais. Je ne suis pas sadique par nature, mais il y a des moments où on a une telle joie de gagner, d'être victorieuse, que franchement les sentiments des autres, on s'assoit dessus.

« Hey, Mathilde? lui dis-je.

— Oui?

— Tu viens de te faire baiser, pétasse. »

Je jouis presque en disant ces mots. Je venais de passer l'épreuve... et je lui avais mis tellement profond que j'avais l'impression de l'avoir fourré moi-même. Je la vis me regarder, d'abord avec incompréhension. Puis elle regarda la porte, et peu à peu elle se mit à comprendre les implications de ce que je venais de dire.

« Mais... m-m-mais... mais...

— C'est ça. Mêêêe! tu t'es fait tondre comme un mouton, pétasse. Et c'est moi qui prends ta place. »

La fureur qui naquit dans son regard était au-delà de tout.

« QUOI! NOOOON! T'AS PAS LE DROIT

— Bien sûr que si... je vais intégrer Voréal, et toi tu vas continuer ton chemin comme une conne. T'as déjà pris un bon départ comme pute. Je suis sûre, que tu vas faire un malheur si tu continu sur cette voie.

-SALOOOOOPPPPPEEEEEE!!!! »

Mathilde était prise de rage, et je refermais la porte avant que la furie ne vienne m'étrangler. Je poussais la porte de toutes mes forces, pendant que la folle faisait de même de l'autre côté. Cela dura une bonne minute avant qu'un agent de la sécurité ne vienne saisir Mathilde et la mener loin de là. Sans doute qu'ils la jetteraient sur le trottoir en face, où elle serait bien plus à sa place que dans un bureau.

Je retournais voir le DRH. J'étais soulagée, j'avais fait du bon travail et étais impatience d'avoir mon nom parmi les employés de l'entreprise. À peine étais-je assise en face du recruteur que je ne pus m'empêcher de me vanter :

« Vous avez vu. Elle n'a rien compris, elle s'est fait sortir comme une malpropre. Et si vous saviez ce qu'elle a fait, malpropre serait un compliment pour elle.

— Oh je sais tout ce qu'elle a fait... et tout ce que vous avez fait...

— Ah... euh... très bien. En tout cas, j'ai accompli ce que vous avez demandé.

— Et comment avez-vous pu croire qu'une entreprise aussi prestigieuse que Voréal puisse accueillir une employée comme vous... Ce serait presque drôle si ce n'était pas aussi sordide.

— ... »

C'était exactement ce que je venais de dire à Mathilde... Est-ce que... C'était pas possible... J'avais perdu, je... je sentis une larme coulée... mon cœur se mettre à battre comme en panique...

« Allons remettez-vous! Je plaisante. Vous avez gagné. Ah ah ah, vous devriez voir votre tête, vous êtes devenue blême.

— Excusez-moi... J'ai cru que...

— Mais non, mais non, tout va bien... vous êtes inscrite pour la prochaine étape.

— Merci... je... La PROCHAINE étape? Qu'est-ce que.... Je croyais que j'avais fini...

— Hé non! Il vous reste un candidat à affronter. Et je pense que cette fois vous trouverez le duel bien plus relevé.... »

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Mmm toujours aussi bon… J'attends la finale avec impatience merci

Aurailiens

trouchardtrouchardil y a presque 4 ans
impatient !

J'attends la finale avec impatience. je crois que ça va être du grand art !

Merci

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