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Cliquez iciMadame Solange me sortit de là et me fit parcourir tout le couloir dans l'autre sens. Je croisai deux ou trois clientes qui pouffèrent en me voyant passer toujours nu la verge au vent mise en valeur par ma récente glabreté. Enfin, je retrouvai le vestiaire où m'attendaient Caroline et Philippe remis de leurs ébats. Ils semblaient beaucoup plus naturels, comme s'ils ne craignaient plus la venue de madame Solange. Pendant que je me rhabillais sans chichis, ils me racontèrent qu'ils me connaissaient. Devant mon air étonné, ils m'expliquèrent fréquenter le même lycée que moi, mais dans sa section professionnelle sur laquelle les snobs comme moi ne jetaient jamais un œil. Ils préparaient un Bac pro d'esthétique. Je m'excusai et, en toute franchise, précisai que ma mère m'envoyait ici, mais que je n'étais pas mécontent de ce qu'il s'était passé. Moi non plus, me répondit Caroline en rosissant.
J'étais prêt à rentrer chez moi. Philippe avait quitté la pièce. Avant de me laisser partir, Caroline s'approcha, me regarda dans les yeux et déposa un baiser très léger sur mes lèvres. A bientôt, j'espère, murmura-t-elle. J'étais tellement étonné que je restai muet. Elle ouvrit la porte et je m'enfuis.
L'amour pour moi jusqu'à présent n'avait pas fait montre de tendresse et ce baiser, je crois, me troubla plus que tous les gestes obscènes qui l'avaient précédé.
- COMMENTAIRES
Ginaputanail y a plus d’un anMagnifique histoire, d'abord très bien écrite, vivante, descriptive et imagée. Ça fait plaisir de lire une histoire bien construite et écrite en français et non pas, comme trop souvent, dans un sabir approximatif. Les scènes sont tellement bien décrites qu'on les vit et les voit dans notre tête. Le scénario aussi, parfaitement bien construit. J'ai surtout adoré ce naturel total, cette perversité incroyables et cette complicité qu'elle développe avec lesquels Maman considère et pratique le sexe et entraîne ses deux enfants en les initiant au sexe le plus vicieux qui soit, vu comme simple source de plaisir intégral, à user et abuser de toutes les manières possibles, sans culpabilité aucune, malgré les perversités extrêmes des jeux et des relations incestueuses supposées interdites, jusqu'à aller traire son fils comme une vache pour lui extraire son lait, pourvu que ça apporte du plaisir bien pervers et leur faire comprendre, à peine sortis de leur puberté et encore un eu innocents, que tout est possible et que rien n'est interdit. J'aurais tellement aimé une suite, pour voir comment Maman pouvait sissifier et soumettre son fils pour en faire sa petite chose, le petit esclave-objet sexuel des deux femmes. En lisant l'histoire je me dis que j'aurais tellement voulu avoir une maman et une soeur similaire...
