Maman, Juliette et Moi 06

Informations sur Récit
Maman m'inflige mon premier lavement.
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Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/29/2022
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Chapitre  6

Le vendredi, je rentrai du lycée très fier de mon dix-sept au contrôle de SVT. Était-ce un effet de la chance ou l'impact des punitions sur mon travail ? Je n'aurais su le dire. À la cuisine, Juliette et maman préparaient une pizza que nous partagerions pendant notre film du soir. Les deux femmes ne portaient que leurs dessous et, devant mon air étonné, elles m'expliquèrent avoir voulu protéger leurs vêtements des taches de sauce tomate.

-- Si ça te plaît et si tu es sage, me proposa maman, nous resterons comme ça toute la soirée pour te récompenser de tes succès au lycée.

Je battis des mains tant j'étais heureux de la suggestion. Ma mère était en noir, comme souvent, une culotte simple et classique, assez couvrante, bordée d'un fin bandeau de dentelles et un soutien-gorge assorti à larges bretelles qui avait bien du mal à contenir ses gros seins. Les bonnets étaient de la même dentelle que le liseré de la culotte et mes yeux s'y perdaient pour essayer d'y distinguer le brun de ses aréoles. Puisque j'y étais invité, je ne me privai pas de mater. L'ambiance était gaie et légère. Juliette virevoltait devant moi pour me faire admirer son mini-slip. Toute de blanc dévêtue, ses dessous étaient d'une matière inconnue de moi. En tout cas, son cul superbe était comme magnifié encore par une étoffe presque transparente, la même qui découvrait plus qu'elle ne couvrait ses mamelons roses. Seule sa chatte était invisible derrière l'empiècement blanc.

-- Vous êtes toutes les deux très belles, avouai-je.

-- Alors, viens vite nous montrer ta queue, reprit maman. On va peut-être la libérer, ce soir. Qu'en penses-tu, ma Juliette ?

Ma sœur rit en tripotant la chaîne dorée qu'elle portait autour du cou et sur laquelle était montée la clé de ma prison. Ma mère avait la même. Je partis dans ma chambre y laisser mes vêtements. Je ressortis nu, le sexe gonflé, occupant pleinement la cage de chasteté qui me faisait si mal. La pizza était au four et maman me demanda de venir leur servir un verre de vin blanc au salon. N'oublie pas d'enfiler un tablier, ajouta-t-elle en riant.

À la cuisine, le seul tablier jamais utilisé par qui que ce soit consistait en une horreur rose à fanfreluche de plumes, plus un déguisement qu'un uniforme de serveur. Je le mis sans réfléchir. Il me donnait un air parfaitement ridicule. Mais je savais que maman y tenait et que si je voulais profiter de sa joyeuse humeur, je devais me plier à ses caprices. J'entrai dans le salon avec mon plateau aux cris de « Oh la jolie petite bonne ! ». Les deux femmes se moquèrent de moi autant qu'elles le purent. Le tablier me laissait les fesses à l'air, cachait mal mon torse et couvrait vaguement ma cage de chasteté. Je servis ces dames. Ma tenue les amusait beaucoup. Juliette profita de ce que j'étais près d'elle pour m'asséner une belle claque sur les fesses.

Maman me demanda d'approcher, passa la main sous le tablier et soupesa ma queue et mes couilles en experte. Il n'en fallut pas plus pour me faire gonfler sans que mon sexe puisse prendre l'ampleur qui était la sienne.

-- Tu as bien mérité une soirée de liberté, commença-t-elle tout en agaçant mon prépuce de la pointe de ses ongles. Après tout, ce n'est pas tous les jours que tu rapportes une bonne note. Tète bien ta maman et je te libère.

Excité par ses mots, je me mis à genoux devant elle assise sur son fauteuil. Elle écarta les cuisses pour me permettre d'accéder à son soutien-gorge. Pour en sortir ses gros nichons, je dus faire tomber les bretelles de sa lingerie avant d'abaisser les bonnets sous ses mamelles qui, ainsi soutenues, ressemblaient à deux magnifiques obus. Juliette regardait le spectacle et maman l'invita à s'approcher et à téter aussi comme nous l'avions fait la toute première fois que notre petite famille était devenue spéciale.

Ma mère avait déjà les tétines raides et fermes et je commençai par les lécher doucement. Je voyais Juliette à côté de moi qui se perdait dans le sein droit pendant que je me consacrai au gauche. Maman roucoulait comme une colombe joyeuse. Elle nous encourageait, nous félicitait et je pris enfin le téton entre mes lèvres pour le sucer de plus en plus fort. C'était délicieux et la fermeté du trayon était telle que je finis même par le mordiller. Ma mère cria sans se retirer.

-- Ton cochon de frère me mord les seins. Je suis sûre qu'il me mangerait si je le laissais faire.

Elle me saisit durement les couilles et les écrasa légèrement à chaque fois que je mordais son nichon un peu trop fort. Je relâchai alors immédiatement le téton. Juliette avait la main dans son mini-slip et je sentais sa bonne odeur de femme qui venait jusqu'à mon nez. Enfin, maman susurra qu'elles avaient un tout autre projet pour moi ce soir. Juliette lâcha le sein, rit et se releva. Ma mère m'ôta le nichon de la bouche et remit son soutien-gorge en place.

-- À la salle de bain, m'ordonna-t-elle, à quatre pattes, nu dans la baignoire, la tête dans les bras.

Je ne savais rien de ce que j'allais endurer et j'étais tout excité par ce projet inconnu. Je me demandais néanmoins quand elle allait me libérer de mon carcan puisque j'avais cru comprendre que cela était au programme du soir.

Je me retrouvais dans la salle de bains, respectant parfaitement la position imposée. Mon cul était offert et je devinai que ce serait lui encore qui subirait les caprices de ma mère. Elle arriva avec Juliette poussant toutes deux une potence médicale à laquelle était suspendu un réservoir de caoutchouc à l'évidence plein.

-- Nous voulons explorer ton trou du cul, ce soir, commença Juliette, mais nous allons d'abord te rendre tout propre.

-- C'est une idée de ta sœur, reprit maman. Je me demande d'ailleurs bien d'où elle la sort.

Un court silence suffit pour que Juliette se rendît compte qu'elle n'était qu'ouvrière ici et que si notre mère adoptait son idée elle en restait maîtresse. Elle avait dans les mains un tuyau de plastique transparent enroulé sur lui-même qu'elle raccorda d'un côté au réservoir de caoutchouc.

-- Nous allons te briquer le cul de l'intérieur, commença-t-elle à m'expliquer. Cela s'appelle un lavement et c'est excellent pour la santé et pour avoir des fesses toutes propres.

Juliette s'approcha de moi par-derrière et je sentis le froid d'un gel qu'elle appliquait sur mon anus.

-- Je t'ai pris rendez-vous demain chez l'esthéticienne pour faire ôter tous ces vilains poils, m'annonça maman. J'aurais honte de toi si tu n'étais pas parfaitement propre.

Je ne voyais pas très bien le rapport, mais les doigts de Juliette s'enfoncèrent à ce moment-là dans mon petit trou pour en enduire l'intérieur et je poussai un gémissement de plaisir. Les deux femmes rirent. Ma sœur retira son index et son majeur dans un bruit de succion avant de me les faire lécher.

-- Il en veut plus, commenta-t-elle.

Alors maman me montra ce qu'elle appela une canule, une longue tige assez épaisse et creuse terminée par quatre petits trous qui allaient me ramoner les intérieurs, précisa-t-elle. Dans le réservoir, elle avait placé cinq litres de bon lait tiède dont elles allaient m'emplir la panse. Elle appuya le bout de la canule sur mon anus enduit de gel et l'engin entra sans peine. Je le sentis me transpercer plus profondément que ma sœur ou ma mère ne l'avaient fait de leurs doigts les jours précédents. Maman raccorda le tuyau de plastique à la canule et ouvrit un petit robinet qui se trouvait à la base du réservoir.

Au début, je ne sentis pas grand-chose puis je remarquai la chaleur. Le lait devait être un peu plus chaud que mes boyaux et ce n'était pas désagréable. Maman faisait aller et venir la canule pendant que Juliette soupesait ma queue enfermée dans sa cage et mes couilles gonflées. Je fermai les yeux pour jouir plus intensément de ces sensations étranges et délicieuses. Au bout d'une ou deux minutes, je sentis que mon ventre s'arrondissait légèrement. Je murmurai qu'il y en avait sans doute assez. Mais maman prit sa voix ferme pour annoncer que je n'avais pas reçu la moitié du lavement et que je devais être patient.

Ce qui était plaisir se mua en inquiétude. Mon abdomen était lourd et je me demandais si j'allais vraiment pouvoir garder tout ce liquide. Alors elle me caressa le dos doucement pour me détendre et Juliette passa sa main sur mon ventre gonflé comme pour aider le lait chaud à circuler. Je me sentais transformé en simple outre de peau que l'on emplit à ras bord. Ce n'était pas encore douloureux, mais très gênant, comme si mon centre de gravité avait changé. Je me plaignis de souffrir, mais maman me traita de chochotte et demanda à Juliette de me tanner un peu le cul pour que je sente le temps passer plus vite. Ma charmante sœur n'hésita pas une seconde, prit une brosse à cheveux et se mit à me fesser du côté bois d'ébène. Je dus compter les coups qui tombaient très régulièrement sur chaque fesse. Ma mère me demanda si j'avais encore à me plaindre et je préférai me taire. Pourtant, mon ventre à présent me faisait mal, moins que mon cul certes, mais je me sentais comme déformé par tout ce liquide que j'imaginais flotter à l'intérieur de moi. La sensation était difficile à préciser et je n'aurais su dire si je trouvais plus d'agrément que de déplaisir dans ce lavement.

Je serrais les fesses de plus en plus fort autour de la canule, car j'avais l'impression que malgré tous mes efforts de volonté, mon corps allait finir par évacuer tout ce lait. Juliette cessa enfin de me corriger. Nous arrivions à la fin du réservoir et maman était très contente de moi. J'avais reçu une cinquantaine de claques et mon cul me brûlait. Je n'osais pas bouger de peur de me vider les entrailles d'un coup. Ma mère retira très doucement la canule en exigeant que je ne perdisse pas une goutte du précieux liquide. Je crois que j'y parvins, même si je sentis du lait me couler sur les cuisses -- peut-être l'intérieur de la canule ?

Je dus alors me mettre debout dans la baignoire. J'avais le sentiment de tanguer, que tout mon ventre était gonflé d'un poids extraordinaire que j'étais incapable de garder plus longtemps. Je dus enjamber le rebord de la vasque et marcher dans la salle de bain.

-- On dirait un vieux, commenta Juliette.

Je me déplaçais en effet comme un malheureux, à tous petits pas et implorai mes tortionnaires d'accepter de me libérer. Maman sourit et me montra une grande bassine qu'elle avait disposée devant moi. Je rougis de honte quand je compris qu'elle voulait que je me relâchasse là-dedans. J'eus beau la prier, je dus, les larmes aux yeux, m'accroupir le cul au-dessus du bord de la bassine.

-- Nous devons regarder ce qui te sort de là, se justifia maman, être bien sûr qu'après cela, tu seras tout propre.

De toute façon, je ne pouvais plus résister à la pression qui me fit exploser en grands geysers blancs. Je n'en retirais pas de plaisir sauf la joie de me sentir enfin libéré de cette masse liquide qui m'emplissait les intestins. La bassine se remplit. Les jets de lait se firent intermittents. J'étais épuisé par mes efforts. Juliette me disait que j'étais un dégoûtant personnage et ma mère exigeait que je me purge complètement. Tout s'arrêta ; j'avais évacué les cinq litres qu'elle m'avait introduits par l'anus et aussi, pour ma plus grande honte, les matières que contenait mon tube digestif et qui, à présent, surnageait dans la bassine. Maman m'ordonna de vider mes cochonneries dans les toilettes, de me laver les fesses et de venir les rejoindre au salon.

Je m'exécutai, je ne m'étais jamais senti aussi humilié. Mais j'en étais satisfait et j'avais hâte de me donner encore à ma sœur et à ma mère.

Je rinçai la bassine, la retournai pour qu'elle séchât dans la baignoire, prit une douche rapide et quittai la salle de bain le ventre léger et le cœur à la fois plein d'appréhension et d'excitation.

Au salon, les deux femmes m'attendaient harnachées chacune d'un gode-ceinture noir. Elles allaient bien sûr profiter de mon anus propre, j'aurais dû m'en douter. Juliette avait choisi un modèle assez long et étroit, simple et lisse tandis que maman était affublée d'un organe épais et veiné comme l'était une verge d'homme. Tous les détails étaient reproduits et ma mère se faisait une fête, me dit-elle, de me dépuceler le cul avec presque une vraie bite.

Je me mis à quatre pattes au milieu du salon. Au tirage au sort, Juliette avait gagné le droit de me prendre la première. Maman se plaça devant moi, me caressa les joues avant de présenter sa fausse queue à mon visage. Suce-moi bien, mon grand, je suis certaine que tu en meurs d'envie. J'ouvris la bouche et ingurgitai le gland artificiel qui me déforma les lèvres. Derrière moi, Juliette était à la manœuvre. Elle avait déposé une goutte de gel lubrifiant au bout de sa fausse bite et présenta rapidement son engin à mon trou du cul mal remis pourtant de ce qu'il avait subi auparavant. Je fis au mieux pour sucer ma mère tandis que Juliette pénétrait doucement entre mes fesses.

-- Une vraie jeune-fille, commenta maman.

Le godemiché de Juliette était si long que j'eus presque l'impression d'être traversé de part en part et qu'elle atteignait le fond de ma gorge. Une fois bien installée, ma sœur attendit quelques instants avant d'entamer des va-et-vient. Elle sortait son engin presque complètement et, à chaque fois, qu'elle l'enfonçait de nouveau, le plaisir était décuplé.

-- Ça m'excite trop de le baiser, remarqua Juliette, je voudrais qu'il me lèche.

-- Changeons de place, proposa maman.

Ce n'était pas pour me déplaire, car sucer le gros membre de ma mère ne me satisfaisait guère. Il avait un goût de caoutchouc ou de plastique trop prononcé et me déformait la bouche. J'avais en plus très envie de savoir ce qu'il se passerait quand maman me pénétrerait avec sa grosse queue. Je ne disais rien. Juliette se désarnacha de son gode-ceinture, enleva son slip blanc, s'allongea devant moi et me plaça son sexe dégoulinant d'excitation sous la bouche. Je m'empressai de le lécher et d'y retrouver la saveur délicieuse qui m'avait déjà régalé quelques jours plus tôt.

Ma mère, elle, s'agenouilla derrière moi. Elle colla son énorme gland artificiel contre mon anus sans aller plus loin pour le moment.

-- Pousse, mon chéri, ouvre-toi pour ta maman.

Je m'exécutai. Je savais que j'avais le colon parfaitement vide et que rien de fâcheux ne risquait d'en sortir. Je poussai donc et, comme par miracle, mon petit trou s'élargit et aspira d'un seul coup le gland de caoutchouc. Il était énorme et je me sentais distendu, presque déchiré. Maman me félicita et souligna comme j'aimais cela, recevoir une grosse queue dans le derrière. Je continuais à lécher ma sœur, mais j'avais bien du mal à me concentrer tant tout mon esprit était comme rassemblé autour de mon anus. J'avais le souffle court espérant et m'inquiétant tout à la fois de la poussée que ma mère n'allait pas tarder à entamer. J'essayai de m'enivrer des parfums et du jus de Juliette, de ses gémissements de plaisir pour supporter ce qu'il se passait derrière moi.

Maman appuya enfin. J'eus l'impression de sentir chaque relief de son sexe synthétique entrer dans mon corps, le gros pli du gland bien sûr, mais aussi les veines au dessin exagéré. Elle y allait très lentement, avançait centimètre par centimètre.

-- Ça rentre sans soucis aucuns, commenta maman.

Personne ne lui répondit. Juliette se mit à hurler sa joie, car je l'avais mené à l'orgasme et j'en étais heureux. Je pouvais enfin me concentrer complètement sur mon cul écartelé. Je ne voyais pas ma mère bien sûr, mais je me la représentais, son visage attentif, son soutien-gorge plein, son ventre doux, ses cuisses, ses jambes, ses pieds que j'avais déjà sucés et, à présent, son énorme fausse bite qu'elle avait enfin réussi à m'enfoncer complètement. Elle commença ses mouvements qui me raclaient les intérieurs à chaque passage. Elle allait lentement ; je tremblais de peur et de plaisir, je me sentais vraiment comme un papillon épinglé que l'on observe sous toutes les positions.

La situation ne s'arrangea pas quand Juliette demanda à ce que je sois sur le dos, car elle voulait pisser dans ma bouche. Maman trouva l'idée judicieuse et je dus tourner autour de son dard synthétique qu'elle refusa de sortir de mon cul. Je me retrouvai colonne vertébrale au sol, jambes relevées, cuisses collées à la poitrine et Juliette s'installa sur ma bouche ouverte, la vulve trempée de ses sécrétions et de ma salive. Maman reprit son ouvrage.

-- C'est plus facile dans ce sens-là, commenta-t-elle.

Pour moi, la position était moins fatigante et je pouvais tout à mon aise me concentrer sur le plaisir de plus en plus grand que je prenais à la pénétration de cette grosse bite réaliste. Aux ordres de Juliette, j'ouvris les lèvres et elle commença à pisser par à coup au fond de ma gorge. Je devais tout avaler dès que ma bouche était pleine. Ce que je fis avec volupté. J'aimais son urine, j'aimais lui donner du plaisir, j'aimais être leur objet. Je ne pouvais pas deviner si maman jouissait elle aussi, mais elle appréciait à coup sûr la situation. Juliette prit son temps et je bus tout mon saoul son urine dorée. Quand elle eut fini, je nettoyai son con d'un coup de langue et elle s'éloigna. Elle était fatiguée ajouta-t-elle et souhaitait à présent regarder notre film du soir. À ce moment précis, sans que j'aie pu le deviner, ma queue toujours emprisonnée se mit à juter sans jouissance comme quand ma mère ou Juliette me traillaient. C'était bien sûr l'effet de la sodomie de maman. Elle sembla en être très satisfaite et se retira très doucement de mon cul.

-- Tu as l'anus encore ouvert, commença-t-elle, on pourrait entrer n'importe quoi là-dedans.

Elle ôta le gode ceinture et m'ordonna d'aller le nettoyer avant de nous servir la pizza. Je m'exécutai un peu déçu tout de même qu'on ne parlât plus de me libérer de ma cage et de me faire jouir. Je n'osai demander, j'étais fatigué de ma soirée et ne souhaitai pas de nouvelles punitions. J'obtins l'autorisation d'aller au lit.

Je m'endormis immédiatement, épuisé, sans plus penser à rien. Mais, dans la nuit, il se passa une chose délicieuse. Songe ou réalité, je ne le sus jamais. Je rêvai donc que maman était entrée dans ma chambre sans que je m'en rendisse compte. Je sentis ses mains manier la petite clé et me libérer de ma cage. Je m'éveillai à moitié. D'un doigt sur ses lèvres, elle m'interdit de parler. Je n'avais pas fermé mes volets et une lune gibbeuse me laissait deviner sa silhouette sur moi. Elle plaça une jambe de chaque côté de mon corps et je pus poser mes mains sur ses seins. Quand je voulus soulever sa nuisette, elle m'en empêcha. Ses mamelons étaient suffisamment développés pour que je pusse m'amuser à les pincer et à les étirer à travers le fin tissu. Ma queue enfin libérée était grosse, longue, verticale, dressée comme un phare. Maman se pencha à mon oreille et je crus comprendre qu'elle ne voulait pas laisser son fils ainsi frustré et qu'elle désirait être la première. Je t'avais promis une récompense, ajouta-t-elle.

Elle abaissa alors lentement son entrejambe vers mon sexe qu'elle saisit pour l'introduire elle-même dans son vagin. Je n'avais jamais éprouvé une sensation si douce, si parfaite. Je savais enfin où était ma place dans ce monde. Toute angoisse, toute fatigue disparurent immédiatement quand maman se laissa lentement descendre le long de ma queue. Je gémis sans doute, mais elle posa sa main sur ma bouche puis introduisit deux doigts entre mes lèvres. Je les suçai tandis qu'elle commença à remonter et redescendre très précautionneusement sur mon dard dressé. C'était merveilleux. Elle rejeta sa tête en arrière, car le plaisir sans doute l'envahissait. Elle retira ses doigts de ma bouche pour me caresser le torse, me griffer, me pincer. Elle m'étira et me tordit les tétons. Elle semblait perdre tout contrôle d'elle même et pourtant, elle parvenait à être parfaitement silencieuse. Son odeur de femelle emplissait la pièce et un léger bruit humide accompagnait ses allées et venues.

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