Maîtrise De Genre : Épisode 01

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La meilleure amie de Mélanie à quelqu'un à lui présenter.
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Partie 2 de la série de 9 pièces

Actualisé 02/16/2024
Créé 02/04/2021
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Il était environ 22 heures lorsque Mélanie entra dans un hôtel très haut de gamme de la banlieue de Paris. Un voiturier avait pris sa voiture devant l'entrée du bâtiment, permettant à la brune éclatante de se diriger vers le comptoir de la réception. Son interview devait avoir lieu dans la suite 47.

Il s'agissait d'une jeune quarantenaire fulgurante, au sourire solaire et au regard audacieux, portant un tailleur sobre et une jupe courte sous un imperméable beige laissé ouvert. Elle dirigeait depuis près de 10 ans son propre journal féminin, qu'elle avait créé pour faciliter la diffusion de ses idées féministes. Maintenant à la tête d'une quinzaine de salariés, elle ne faisait personnellement les interviews que lorsqu'elle avait un coup de cœur pour le sujet, ou lorsque la personne représentait un poids financier non négligeable.

Dans ce cas précis, c'est sa meilleure amie qui avait insisté pour qu'elle fasse le déplacement. Jeanne l'avait appelée deux jours plus tôt pour lui dire qu'elle venait de rencontrer un homme impressionnant, qui lui avait fait découvrir une perspective inédite sur le rapport de force entre patriarcal. Elle avait supplié Mélanie de le rencontrer tant qu'il serait sur Paris, et lui avait donné rendez-vous dans cet hôtel pour un entretien. Mélanie avait tout d'abord été réticente, mais Jeanne avait tant insisté qu'elle avait fini par accepter. Le plus étrange était que cette dernière avait refusé de donner le moindre détail sur l'homme en question, ou sur son point de vue sur les questions de genre. Cette odeur de mystère excitait tout particulièrement sa curiosité.

Au moment où Mélanie arrivait face à la porte de la suite 47, un frisson parcourut son échine. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle ressentait au fond d'elle que quelque chose de terriblement dangereux l'attendait de l'autre côté. Une puissance qui la dépasserait complètement. Son instinct lui hurlait brusquement que seule la fuite la sauverait du danger implacable l'attendait de l'autre côté. En parallèle, elle sentit étonnamment une chaleur troublante naître en elle.

Elle prit quelques secondes pour reprendre sa contenance, seule au milieu du couloir, et jauger la situation. Sans vraiment réussir à chasser cette impression instinctive incompréhensible, elle rationalisa tout de même, et décida de passer outre son trouble, afin notamment de ne pas poser un lapin à sa meilleure amie. C'est donc un peu décontenancée, et le souffle court, qu'elle frappât à la porte.

Après une trentaine de secondes, celle-ci s'ouvrit sur Jeanne. Mélanie écarquilla les yeux de surprise. Sa meilleure amie était rayonnante, un sourire éclatant sur les lèvres. Ses cheveux blonds étaient défaits. Elle portait une minijupe et une chemise blanche, bien assez ouverte pour laisser comprendre que rien ne séparait le tissu soyeux de sa peau bronzée. Jeanne la serrât dans ses bras, et Mélanie sentit les tétons durcis de son amie frotter contre sa poitrine. Elle la prit par les épaules.

_Jeanne! Je... tout va bien?

_Tout n'est jamais allé aussi bien, Mélanie. Tu vas comprendre.

_Mais, qu'est-ce qui t'arrive? Je...

_Tu vas voir. Suis-moi.

Mélanie envisagea un instant de faire demi-tour, mais la chaleur en elle sapait toute volonté. Jeanne lui prit la main et la tira presque vers le salon de la suite, où l'homme les attendait. Avant même de le voir, à l'instant où elle posa le pied dans la pièce, elle sentit son corps s'emballer. Un frisson de plaisir la parcourut, et une tension palpable prit tout l'espace. C'est alors qu'elle le vit.

Il était assis sur un fauteuil, affalé en arrière, le menton dans la main, les yeux fixés sur Mélanie. Il portait un costume sombre et une chemise blanche avec trois boutons ouverts. Dès qu'elle vit ses yeux dévorants sur son corps, Mélanie sentit sa culotte se mouiller doucement. Elle restait comme hypnotisée, paralysée par l'impact, les jambes tremblantes, figée, sentant que cet homme savait pertinemment l'effet qu'il lui faisait.

Jeanne le regarda avec un grand sourire, et alla s'agenouiller à côté du fauteuil. Elle posta ses coudes et son visage sur l'accoudoir droit, et l'Homme lui caressa les cheveux comme s'il s'était agi d'une chatte, sans quitter Mélanie du regard. Celle-ci, excitée de terreur, vit un sourire satisfait presque enfantin envahir le visage de sa meilleure amie au contact de la main de son... Maître.

Mélanie ne saurait s'expliquer pourquoi. Mais le terme de Maître lui était venu naturellement.

_Mélanie, assieds-toi là, ordonna l'homme.

Elle se sentit faire quelques pas pour s'assoir face à lui. Jeanne eut un sourire. La voie Grave du Maître s'éleva.

_Vous êtes Mélanie. N'est-ce pas?

_Je... Oui.

_Et vous dirigez un journal féminin?

_En effet...

Un sourire discret apparut sur les lèvres de l'homme, que Mélanie fixait presque malgré elle.

_J'ai beaucoup à t'apprendre, jeune fille.

Mal à l'aise et interloquée par tant de familiarité, l'intéressée tenta de sortir de sa torpeur :

_S'il vous plait, ne me tutoyez pas. Je...

_Chuut...

Sans bien comprendre pourquoi ou comment, Mélanie se tut. Un ange passa, puis le Maître reprit.

_Comme je disais, j'ai beaucoup à t'apprendre.

_Je... oui.

_Tout d'abord, tu dois bien accepter que, si intelligente et belle que tu sois, tu n'es jamais qu'une femme, tu es bien d'accord?

_Je ne vous permets pas... dit Mélanie qui malgré cette courageuse tentative sentit toute volonté d'interrompre son interlocuteur faiblir à chaque mot.

_Pardon?

Il lui lança un regard dur, et elle baissa les yeux instinctivement.

_Je ne suis pas... je ne suis pas juste une... pardon. Je vous écoute.

_Bien. Et tu sais qu'il existe sur cette planète des... disons... des dominants.

_Non, pas du tout! Enfin je veux dire...

_Tu veux dire? rétorqua l'Homme avec un sourire ironique. Je... C'est faut! Toutes les études prouvent que... que... enfin je veux dire que...

_Réfléchis mieux.

Elle déglutit. L'objection qui lui semblait très claire quelques secondes plus tôt lui semblait maintenant nébuleuse. Elle avait même du mal à s'en souvenir.

_Je... Oui. Je vois ce que vous voulez dire.

_On pourrait parler de Maître naturel.

_Oui...

_Et dis-moi maintenant. Que fait une femelle lorsqu'elle se trouve face à un mâle dominant?

_Je... je suppose qu'elle se... heu... qu'elle se... soumet.

Elle sentit un frémissement de plaisir parcourir son corps fasciné en prononçant ce dernier mot.

_Et donc, que fait une femme face à un Maître naturel?

Mélanie secouait la tête. Le brouillard de désir qui encombrait son esprit se dissipa un instant.

_Non! Il n'y a pas de... de...

À ces mots, Jeanne, que le Maître n'avait pas cessé de caresser, intervint:

_Tu ne devrais pas résister, Méla-AH?

Le Maître venait de saisir les cheveux de Jeanne et de tirer sa tête en arrière. La journaliste regarda la scène tétanisée. Il tourna la tête vers la blonde, la regardant avec dureté. Les deux femmes retinrent leur souffle.

_Tu n'as pas l'autorisation de parler.

_Je... Maître... désolé de...

_Tais-toi.

D'une main, le Maître ouvrit sa braguette et sortit son membre de son pantalon. De l'autre, toujours serré sur les cheveux de Jeanne, il emmena la tête de la femme vers son entrejambe et l'enfonça sur son pénis turgescent. Jeanne se mit immédiatement, sans même y penser, à lécher avec application, au point de presque s'étouffer. Noémie réalisa alors la petite taille des bouches féminines, et aussi que son amie ne portait visiblement pas plus de culotte que de soutien-gorge. Elle regardait fascinée la soumission de son amie, lorsque le Maître interrompît sa rêverie d'un claquement de doigts.

_Regarde-moi.

_Je... Désolée Maîtr-je veux dire Monsieur...

_Pardon?

Il y eut un blanc, seulement dérangé par le bruit de succion de la bouche que Jeanne appliquait consciencieusement. Mélanie baissa les yeux.

_Pardon Maître.

_En me regardant, dit le Maître d'une voie terriblement froide.

Mélanie rougit. Elle leva la tête et le regarda.

_Pardon, Maître. Elle déglutit. Face à un Maître naturel, la femme se soumet, Maître.

_Et pourquoi?

_C'est dans notre nature, répondit Mélanie d'une voix faible.

_Bien, dit le Maître. Tu commences enfin à progresser. Mets-toi à genoux devant moi. Tout de suite.

Mélanie était terrorisée. Mais le désir de satisfaire ce Maître était plus fort que tout. Elle sentait sa culotte trempée de désir. Sa douce intimité était déjà soumise, qu'elle le veuille ou non. Elle sentit son corps s'agenouiller face au fauteuil, où sa meilleure amie suçait son Maître avec une application qui forçait le respect. Mélanie salivait rien qu'à contempler ce spectacle, fantasmant comme une folle à l'idée de pouvoir obéir au côté d'une consœur

.

Le Maître tira Jeanne par les cheveux, la forçant à interrompre sa fellation, et Mélanie put enfin contempler le membre tant désiré de près. Juste devant ses yeux. Palpitant, gorgé de puissance et vibrant de virilité.

_Ouvre ta bouche.

Mélanie ouvrit la bouche et elle sentit son Maître lui prendre les cheveux. Il enfonça lentement sa face sur sa verge, qui la pénétra jusqu'au fond de la gorge. Le Maître laissa sortir un gémissement appréciateur, et la quarantenaire sentit sa moiteur frémir d'anticipation. Elle laissa sa langue et sa bouche prendre le contrôlé sur son corps, se découvrant une expertise un entrain qu'elle ne se serait pas soupçonnée. Régulièrement, celui-ci corrigeait son mouvement, d'un mot ou d'une petite tape, afin de lui permettre d'améliorer sa prestation. Après quelques minutes d'un silencieux travail, et sans oser arrêter de faire son devoir, elle entendit le Maître s'adresser à son amie.

_Tu as bien fait de m'apporter cette nouvelle Servante. Elle est bandante, comme tu l'avais promis. Quand je lui aurai appris quelques règles, elle fera une très bonne esclave.

_Merci Maître! répondit Jeanne qui semblait prête à jouir de satisfaction.

_Quand j'en aurai fini avec elle, tu pourras l'utiliser à ta convenance. Elle n'est plus capable de te résister de toute manière. N'hésite pas à l'humilier pour lui rappeler sa place.

_Avec plaisir! répondit Jeanne très fière.

Le Maître tira Mélanie par les cheveux pour la forcer à le regarder.

_C'est bien compris, esclave? Tu vas obéir à notre jolie Jeanne à partir de maintenant. Tu feras tout ce qu'elle t'ordonne en mon absence.

Mélanie aurait aimé refuser, mais son cerveau ne semblait plus être vraiment câblé pour quoi que se soit d'autre que le plaisir ou l'obéissance. Elle s'entendit donc répondre :

_Bien Maître.

_Et tu vas aimer ça. N'est-ce pas?

_Oh oui Maître...

À ces mots, le Maître saisit la nuque de Mélanie, et la mit à quatre pattes les jambes nues de Jeanne. Il enfonça alors son visage entre les cuisses da sa meilleure amie, et la langue de la soumise trouva d'instinct le clitoris de sa nouvelle maitresse. Celle-ci commença immédiatement à gémir, et à noyer le visage de la belle brune sous sa jouissance. Après quelques minutes de services assidus, Mélanie sentit le Maître se placer derrière elle, soulever sa jupe et retirer sa culotte trempée... elle savait ce qui allait suivre. Elle adorait l'idée.

Le Maître la prit donc en levrette, sans qu'elle puisse même imaginer interrompre son cunni. Mélanie poussa des cris de jouissance, étouffés par la chatte de sa blonde supérieure. Jeanne quant à elle hurla de plaisir en remerciant son Maître, ajoutant au plaisir de Mélanie la fierté de pleinement satisfaire sa maitresse.

Une heure plus tard, l'homme se rhabillait en regardant les deux femmes nues, serrées l'une contre l'autre sur le lit, environnées de buée, leurs sourires couverts de son plaisir. Bien qu'épuisées, elles se léchaient mutuellement doucement le visage pour ne pas perdre une goute de la puissance de leur Maître.

_Mélanie, je te laisse à disposition de Jeanne. Sache qu'il s'agit d'une demande de sa part. Ça ne me dérange pas. Elle te fera tout ce qu'elle désire, et bien entendu tu feras tout pour la satisfaire. C'est bien clair?

_Oui, Maître.

Mélanie remarqua que lorsqu'elle approuvait un ordre, une petite vague de plaisir parcourait son corps. C'était à chaque fois plus difficile de résister.

_Et pour toi Jeanne?

_Bien sûr. Répondit Jeanne en posant sur son esclave un regard ou se mêlaient le désir et la fierté.

_Bien. Mélanie, tu seras bien entendu dès maintenant soumise à la même règle que toutes tes consœurs : interdiction de porter une culotte en ma présence. Tu devras demander mon autorisation pour toute exception. C'est bien compris?

_Oui...

_Parfait. Je viendrais te voir dans ton bureau lundi matin. Tu organiseras une réunion en fin de matinée avec tout le personnel. Tu placeras tes employées les plus belles au premier rang. Entendu?

Mélanie savait qu'elle n'en pouvait pas accepter. Que ce Maître ne pouvait pas simplement venir prendre ce qu'elle avait. Qu'il lui suffisait de résister. Mais sa bouche la trahit.

_Bien sûr Maitre. J'ai déjà quelques noms en tête.

_Parfait. Des questions?

Un ange passa. Mélanie avait bien une question, mais elle n'osait pas la poser... Et le Maître l'avait bien senti. Il attendit en silence qu'elle se livre, ce qui arriva au bout de quelques très longues minutes :

_Je... Je dois vous signaler que... que... J'ai un mari qui... Je ne sais pas...

Le Maître rit.

_Un mari? Aucun problème. Tu sais déjà au fond de toi qu'il ne peut plus vraiment te satisfaire. Je viendrais vous voir lundi soir pour lui expliquer la situation. Je l'autoriserai peut-être à te prendre une fois par semaine, si tu es sage... Je verrais bien.

Il lui laissa le temps d'assimiler l'information. Bien que touchée, elle n'osa pas répondre. Elle savait intimement que ce n'était plus son choix. L'homme conclut donc ainsi :

_Très bien. Je dois y aller, j'ai affaire. À très bientôt, mes chères.

Mélanie regardait son Maître quitter la pièce sans les regarder. Elle se demandait ce qui allait advenir. Ce qui allait lui arriver, à elle, à son journal, à ses employées, et à son mari. Elle se mettait accroupie pour se lever lorsque Jeanne la prit gentiment par la gorge et la doigtât sans prévenir. Mélanie poussa un gémissement de surprise et se laissa coucher en jouissant sans contrôle par sa meilleure amie.

_Où crois-tu aller? demanda Jeanne

_Nulle part, Maîtresse, répondit gentiment Mélanie en mouillée à nouveau, alors que sa dominante s'assaillait calmement sur son visage.

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3 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 3 ans
Oui et non

Oui à cette situation ô combien excitante dont on a hâte de connaître la suite.

Non quant à l'écrit et pas que quarantenaire pour quadragénaire; mais aussi des construction de phrase et un manque de ponctuation .Relisez-vous et votre texte sera d'autant plus bandant.Vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Orthographe

Cher de Noirmont, faudrait réapprendre le Français, le vrai, pas celui des illettrés. Quarantenaire!!! Je t'en foutrais des quarantenaires, quarantenaire de quel évènement? Non; pour une personne de 40 à 49 ans on doit dire quadragénaire, et pour la tranche d'après on parle de quinquagénaire. Ah les subtilités de la langue française. Ouvre un dico un peu plus souvent.

Je suis méchant? Oui.

Blais

MaitrePolMaitrePolil y a environ 3 ans
Impatient de lire la suite.

Desole mais je suis oblige d’ecrire sans accent.

AH! Un vent de debauche a partage ma pause matinal lorsque j’ai commence a lire ton histoire, quel avantage de travailler à la maison en ce temps de covid. Febrilement je suis alle chercher ma pagaye pour lire la suite, elle manque d’exercice ces temps-ci. Je la sentais toute excitee pour la petite chatte blanche qui va apprendre a obeir, ses services sont souvent requis dans ces moments de formation. Bien qu’elle soit deçue de ne pouvoir sevir pour lui apprendre l’obeissance elle me demande d’accorder un 4 etoiles pour les plaisirs a venir.

maitrepol@hotmail.com

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